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Thaz avait réussit à échappé aux soldats de l’Empereur mais il craignait que cela ne dure pas. Pour preuve, pas plus tard qu’hier, Thaz s’était assit dans une taverne convenable. Mais quelques instants après, des soldats sont entrés et le capitaine s’était dirigé d’un pas décidé vers le comptoir et parla avec le patron. Pris de frayeur, Thaz allait sortir, après avoir laissé trois shamn sur la table, quand les soldats qui étaient restés à cotés de la porte lui barrèrent le chemin et lui dirent qu’il ne fallait pas passer et donc Thaz s’était rassit à la table. Soudain le capitaine qui parlait avec le patron de la taverne détourna son attention sur Thaz et il se dirigea vers lui. Mais Thaz restait tranquille. Du moins il essayait de le faire croire. Mais le capitaine n’était pas dupe et quand il voulut le prendre par le cou, Thaz pris ses jambes à son cou et courut tandis que le capitaine donnait des ordres à ses soldats qui se dépêchaient de poursuivre le jeune homme. Mais ayant plus d’endurance que ses poursuivants, Thaz ne tarda pas a les semer. Ainsi, il courut pendant une heure divisée en quelque temps de repos. Après s’être assuré que les soldats ne le poursuivaient plus, il s’arrêta et, à bout de force, il s’écroula… Quand il se réveilla le jour pointait et la nature s’éveillait. Le jeune homme regarda autour de lui et vit qu’il se trouvait dans la chaussée. Il entendit des chevaux, six, qui se dirigeaient vers Ensem. Thaz fit vite le rapprochement de ces six cavaliers et les cinq soldats et leur capitaine dont il reconnut le visage à cause d’une cicatrice à la main gauche. Quand les soldats se furent éloignés, il sortit de son trou et se dirigea vers la direction opposée. Quand il arriva à un carrefour, six kilomètres plus loin, il s’arrêta et réfléchit. Il avait, sans le vouloir, tué l’alchimiste Erchar mais cet homme qui avait frappé en premier donc c’était Erchar le fautif. Dans sa fuite Thaz avait pris le parchemin qu’il voulait voir depuis qu’il avait vu le Maître, l’Empereur avait demandé ce parchemin mais l’alchimiste n’avait pas voulut le lui donner sous prétexte qu’il n’avait pas encore terminé de le décrypter.

Après s’être reposé, le garçon repartit avec en tête de rejoindre la capitale de la région, Aresem. La nuit était arrivée depuis longtemps quand il arriva aux portes de la ville. Il ne pouvait donc pas rentrer dans celle-ci qu’au plus tôt le lendemain. Il chercha donc une auberge et quand il en trouva une à quelques kilomètres de la ville, n’ayant plus assez d’argent pour s’offrir le luxe d’une chambre, il demanda à coucher dans l’écurie. Le lendemain matin, après une bien mauvaise nuit, Thaz partit pour la ville. Quand il y arriva, sa première péocupation fut de cherché un petit travaille qu’il trouva sans trop grandes difficultés. Il était assez bien payé pour ce qu’il faisait, c’est à dire classer des flacons chez un apothicaire.

Il y rencontra un apprenti qui se nommait Fersaz. Il était peut être un peu plus agé que Thaz mais ils commencèrent a être inséparable au grand désespoir du maître.

Il y restât trois ans avant de demander au maître de partir. Par conséquent, Fersaz fit lui aussi la demande. Le maître dit que cela ne le dérangeait pas du moment qu’il trouve deux autres apprentis avant qu’ils ne partent. Deux jour plus tard, le maître leur dit qu’ils pouvaient s’en aller car il venait de trouvé les apprentis qu’il lui fallait. Les deux amis partir le matin même de bonne heure. Ils se dirigèrent vers la ville la plus proche qui se trouvait a peu prés a une vingtaines de kilomètres. La nuit commençait a enveloppé de sa robe le monde quand les deux compagnons arrivèrent en vue de Azer, la ville où ils ne comptait pas allés mais ils s’étaient perdus. Les portes allaient se fermées quand ils entrèrent. Ils cherchèrent une auberge qu’ils trouvèrent non sans mal. Ils y dormirent bien après s’être rassasiés.

Le lendemain, Fersaz partit en ville demander si un apothicaire avait besoin d’aide mais aucun d’un de ces notables n’en avait besoin. Il retourna à l’auberge et Thaz proposât qu’ils fassent leur propre boutique. Son compagnon accepta immédiatement et ils partirent aussitôt un endroit où s’installer. Ils n’en trouvèrent pas a part une ancienne boutique mais dont le vendeur exigeait que l’on lui verse une importante somme d’argent. Une somme que les deux amis n’avaient pas. Ils retournèrent à l’auberge et dirent qu’ils allaient partir le matin.

Tôt le matin, alors que le soleil n’avait pas encore fait son apparition, les deux compagnons partir donc comme il en avait été prévu. Ils marchèrent toute la journée et la nuit arrivait quand ils entrèrent dans un petit village qui semblait désert. Ils marchèrent dans ce village fantôme quand un garçon sortit d’une des chaumières. Il était maigre et semblait ne pas avoir été nourri depuis assez longtemps. Il était plutôt grand avec les cheveux bruns et il marchait vers Thaz et Fersaz. Quand il arriva à leurs hauteur il dit qu’il se nommait Andréll et que des troupes de l’Amiral étaient venus piller leur village et qu’il était le seul survivant car il était à la forêt durant cette attaque et qu’il était arrivé longtemps après. Il était resté seul pendant trois jour sans mangé et en buvant peu.

L’Amiral était le général qui avait réussit à étendre l’Empire plus au sud mais le pouvoir l’avait monté à la tête et il s’était mis pour but de devenir le quatorzième empereur de l’Empire de Gohis.

La nuit était arrivée depuis assez longtemps et Andrell s’était endormis. Fersaz arpentait et fouillait le village en quête de nourriture. Il revient avec les bras chargés de victuailles qu’il déposa au coté de Thaz. Il se pencha vers Thaz et lui demanda de venir. Quand ils furent assez loin, Fersaz lui dit : « J’ai quelque chose à te montrer. En fait, je pense que ce n’est pas très important. Voilà : j’ai récupéré il y a quelques années un vieux parchemin incompréhensible. Je l’ai eu lorsque ma mère est morte et ce, il y a cinq ans. C’est le seul souvenir qu’il me reste de la femme qui m’a mis au monde. Le voici. » Cela dit, Fersaz sortit de son veston un parchemin plié en quatre semblable à celui qu’avait Thaz. Celui-ci dit : « Tiens, mais j’ai le même ! ». Il sortit le sien et ils comparèrent. C’était les mêmes écritures et le même alphabet, inconnu.

Ils retournèrent là où ils avaient laissés Andrell qui dormait toujours. Ils se dirent qu’ils lui diraient. Ce qu’ils firent lorsque leur compagnon se réveillât. Quand Thaz et Fersaz lui tendirent les parchemins, il semblât stupéfait et il parvint à articuler : « Mais…. Ou… ou les avez-vous eu ?… ». Les deux amis leurs expliquèrent leurs histoires et quand ils eurent terminés leurs récits, Andrell demeurât pensif. Puis il sortit de sa veste un autre parchemin qui avait le même alphabet inconnu.

Les trois amis se turent quelques instant puis Fersaz dit qu’il valait mieux laissé les parchemins de cotés et qu’il fallait partir dans la ville la plus proche pour ce faire un peu d’argent et récolté des information sur ses parchemins tout en restant discret. Ainsi, ils partirent et arrivèrent trois après dans la ville de Cerll. Ils cherchèrent une échoppe à louer comme a leur habitude qu’ils trouvèrent assez facilement et ils y mirent en route une boutique d’Apothicaire qui marchât très bien. Ils restèrent plusieurs mois dans la ville. Là se ils firent une réputation sans précédent dont ils n’étaient pas peux satisfait. Hélas ! Dix mois après leurs arrives dans Cerll, ils se firent cambriolés une nuit sans lune et ce fut la consternation dans le quartier. Les habitants se montrèrent compatissants avec les trois compagnons.

Le soir les trois apothicaires se réunirent et se consultèrent mutuellement. Il fût décidé qu’ayant assez d’argent, ils partiraient. Alors qu’ils allaient se quitter pour aller dormir, quelqu’un frappa à la porte. Les amis se regardèrent et quelques minutes s’écoulèrent. Peut-être étaient-« ils » revenus pour les agresser voire les tuer. La personne frappa encore avec plus d’insistance.

Andrell se dirigea vers la porte et ouvrit. Un homme d’une carrure imposante s’élevait devant la porte prêt à bondir sur Andrell. Ils ne pouvaient pas voir son visage cacher par l’ombre. L’homme, le géant plutôt fît un pas en avant et les garçons furent prient de panique mais restèrent comme pétrifier et ne bougèrent pas. Le colosse fit encore un encore un pas et il faillit détruire la porte par laquelle il passa sans faire trop de dommage.

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