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Quand l'Oracle se tait - partie 1
- ZikL
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- ZikL
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Je les rajoute donc ici:
Elva cajole l’enfant et l’invite à se rendre aux cuisines pour manger un repas avant d’aller faire une sieste. Quinn n’hésite pas une seconde, son estomac réclamant son dut à cette seule pensée. Pourtant, il n’en oublie pas le dilemme qui se déroule dans sa maison et dont il sera le témoin.
Quinn, l’aîné, se sent soudain important. Il doit protéger sa famille, sa mère et ses deux jeunes frères surtout, de la maudite chanson.
ce qui est sensé clore le texte.
x_x
désolée... je ferais mieux la prochaine fois lol
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- Imperator
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À vrai dire, je pensais le faire tout de suite, mais au vu de la taille du pavé, ça va malheureusement m'être impossible sur le moment...
Impe.
Pourquoi? L'idée a l'air bonne. En tout cas moi ça m'accroche. J'avoue que j'aime beaucoup la perspective interne des enfants, avec tout ce qu'il y a de fantastique dans la perception des choses.désolée... je ferais mieux la prochaine fois lol
On verra comment tu aura traité cette chanson, mais mon imagination galopante en a fait quelque de particulièrement flippant. La barre est déjà placée haut.de la maudite chanson.
Pourquoi "à cette seule pensée"? Il me semble que ce morceau est de trop, à toi de voir, mais c'est mon impression.uinn n’hésite pas une seconde, son estomac réclamant son dut à cette seule pensée
***
Maintenant, si ce morceau doit être la conclusion définitive du texte (sans suite), et bien... dépendant de ce qu'il y avait avant. Mais visiblement, ça m'a l'air très ironique, donc probablement délectable. (j'imagine que Quinn ne doit pas être si innocent dans ce cas de figure).
Sinon, et bien... il me faudra déjà lire le départ.
Impe, tant à faire et si peu de temps!
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- ZikL
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et t'inquiètes je sais qu'en cette période... (pourquoi d'ailleurs? on est overbooké toute l'année en fait XD) c'est d'autant plus dur...
pour "à cette seule pensée" l'idée était de faire ressortir que l'estomac grognait simplement parce que l'enfant venait de penser à manger. c'est en effet peut être de trop surtout si l'idée n'est pas ressortie.
Ce genre de "rajout inutile" j'en fais hélas souvent. je l'ai remarqué et tente de me corriger...
j'attendrais donc sagement ta critique (ainsi que mon nouveau pc qui va me permettre de continuer mes lectures lol!)
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- Imperator
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Ceci étant, avant que je ne commente (et j'aurais deux ou trois choses à dire ), serait-il possible de corriger l'affichage du texte? Des morceaux se répètent continuellement, j'ai d'abord pensé que ça devait servir l'histoire, jusqu'à ce que la trame chronologique du texte soit niée par la répétition et que je m'aperçoive qu'il n'y a pas le moindre mot qui change entre les passages?
Sinon, avant la partie principale, je peux tout de même dire que j'aime bien la tournure que prend le texte. (je n'ai lu que la partie 1, je n'ai pas vu de partie 2). Je ne sais pas encore si tu as prévu ou non de conserver une éventuelle répétition de partie (comme j'ai tenu à le faire moi-même une fois) ou pas, ce qui sera intéressant à observer, mais l'idée de l'oracle est attrayante, le ton et style me fait penser à l'actuel texte de Petch et mes remarques porteraient plus sur des détails concernant l'immersion du lecteur et donc la perspective prise.
Ce qui est dommage, c'est que cette partie là du texte:
Est probablement une faute dans le postage, parce que l'espace d'un instant j'ai cru qu'au milieu de ce délire, l'oracle était un ordinateur .Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-qformat:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin-top:0cm; mso-para-margin-right:0cm; mso-para-margin-bottom:10.0pt; mso-para-margin-left:0cm; line-height:115%; mso-pagination:widow-orphan; font-size:11.0pt; font-family:"Calibri","sans-serif"; mso-ascii-font-family:Calibri; mso-ascii-theme-font:minor-latin; mso-hansi-font-family:Calibri; mso-hansi-theme-font:minor-latin; mso-fareast-language:EN-US;}
Bref, Quinn se plaint trop pour que je m'identifie à lui, j'ai plus d'affinités avec son père, et pour le moment leur monde me paraît trop étrange (on est en plein désert, mais tout rappelle la mode parisienne...) pour encore m'y attacher, ce qui peut encore venir.
En résumé, et avant une critique un tant soit peu argumentée, je dirais que le texte offre une agréable lecture, mais souffre de cet exercice d'équilibriste entre révéler et faire deviner...
Impe, en attendant de pouvoir facilement quoter les passages du texte.
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- Vuld Edone
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EDIT : Ah oui... il va même falloir que je change mon éditorial. Mes excuses pour ce résultat, le texte est beaucoup plus court que prévu... mais si on m'explique ce qui s'est passé...
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- Imperator
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- ZikL
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n'ayant pas relu la totalité de mon propre texte je ne l'avais même pas vu XD
j'avais juste vu que la fin manquaient XD
(d'ailleurs serait-il possible de la rajouter ?)edit: a ben c'est déjà fait lol
Et non ya pas encore de partie 2 lol.
Etre comparé au texte de Mr. Petch est un honneur sachant que j'ai fortement apprécié la lecture du dit texte.
Bon au final... par contre... le déséquilibre entre "faire deviner" et "révéler" pourrais tu m'en donner un exemple? car là, juste comme ça j'avoue ne pas "voir" ce qui est ennuyant pour m'améliorer
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- Imperator
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Volontiers (à défaut de faire plus complet...)Bon au final... par contre... le déséquilibre entre "faire deviner" et "révéler" pourrais tu m'en donner un exemple? car là, juste comme ça j'avoue ne pas "voir" ce qui est ennuyant pour m'améliorer
Premier exemple, et non des moindres. J'imagine que 50% des lecteurs, à cet endroit de la lecture, s'ils sont un rien concentrés, ont compris qu'il s'agit d'un accouchement. Alors autant nommer un chat un chat, ou alors éviter de poser la question. Ici, clairement, la perspective interne à l'enfant donne envie de poser la question, puisqu'un enfant se pose naturellement la question, mais le lecteur, lui, sait pertinemment et, dans mon cas surtout, sera vite ennuyé de se voir poser des questions auxquelles il a déjà les réponses (et toute question dans un texte est posée indirectement au lecteur).Pourquoi son père marche-t-il ainsi depuis hier ? Et que sont ces cris ?
Celui qui n'a pas compris qu'il s'agissait de jumeaux ne doit vraiment pas être très réveillé. À nouveau, la question est légitime pour le père, mais frustrante pour le lecteur.Aengus ne comprend rien à ce qu’il peut bien se passer. Pourquoi un Père Fondateur ? Pourquoi un autre berceau ? Qu’est-il arrivé au précédent ?
Là, c'est bien géré, puisqu'on parle de l'ignorance de Quinn et non pas du discours indirect où il se dirait: "Je me demande ce qu'il y a dans ces grands paniers en osier?"Des lits minuscules dont Quinn ignore tout, du contenu jusqu’au nom.
Idem, j'apprécie aussi.Il sait que ce sont des bébés alors même qu’il n’en a jamais vu.
Ce sont les principaux exemples que je trouve. Il faut dire que je les ai lu huit fois de suite, ce qui implique que j'aie eu une impression un rien amplifiée .
***
Là, c'est un soucis de cohérence. Un enfant demanderait plutôt comment ils s'appellent, ce en partant du principe qu'il sache ce qu'est un frère.Les a-t-il nommé ?
Voilà. Cette phrase là est, pour moi, la grosse faiblesse du texte. Le reste s'enchaîne plutôt bien, avec quelques grincements mais qui vont bien dans l'ambiance. Tout au plus le coup de l'eau tombe comme un cheveu sur la soupe, mais on l'avale néanmoins sans trop y prêter attention, il sera toujours temps.Chantes la moi Quinn. S’il te plait.
Mais "chantes la moi", j'avoue, j'ai buté. Je pense personnellement que tu voulais, à un moment, faire connaître la chanson au lecteur et qu'il te fallait un prétexte. Alors tu as choisi celui-ci.
Seulement, ça se voit d'assez loin. Il y a un moment qu'on parle de cette chanson, elle est même au centre du texte (la fin le prouve), dont on attendait de la découvrir. La manière de la découvrir est donc d'autant plus importante.
Comment l'améliorer? Là, comme ça, je ne saurais pas dire. Bon, j'ai les doigts gelé, j'ai vraiment faim et j'ai encore une longue semaine devant moi, mais si un passage doit être amélioré, je pense que c'est cette phrase et ce prétexte.
***
Je te prie de m'excuser d'être aussi court et confus, mais je fatigue vite.
Impe, j'essaierais de revenir sur le texte plus en profondeur, et répondrais de toute manière à tes remarques ou questions.
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- ZikL
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Mise à part cet éclat de rire, je vois ce que tu veux dire. c'est vraiment plus clair avec des exemples. Je tenterais donc d'améliorer le point des "questions".
Quant à la phrase "bancale" c'est en réalité la toute première scène que j'ai visualisé. Ce n'était donc pas vraiment un prétexte mais je comprends d'où vient le côté "bancale".
voyons...
si j'écris ceci, est-ce moins....un soucis?:
...
- Mais... pourquoi ma chanson lui fait peur? demande l'enfant.
Elva retient une larme, se racle la gorge et lève les yeux vers la toile qui se tend au-dessus de leur tête. Sans regarder l'enfant, elle se met à fredonner l'air de la comptine puis en chante les paroles, parvenant à conserver sa voix sans trembler.
Quinn l'observe avec curiosité lorsque bientot, sa voix se joint à celle de sa gardienne.
[chanson]
Un serviteur interrompt leur récital pour leur demander de rentrer. L'heure n'est plus aux jeux extérieurs et l'endroit devient dangereux. Elva fait alors entrer l'enfant sans qu'il proteste. Il fredonne toujours l'air avec joie, lorsqu'ils croisent monsieur Wendover, le colonel Balsey et le Père macanraï en grande conversation. Elva les conduit dans la chambre de Quinn et fait assoir le petit garçon sur son lit. Elle s'accroupit devant lui et, relançant sa chaussure au lacet défait, lui demande:
- Tu comprends ce que dit la chanson? (reprise du texte)
C'est sans prétention et écrit "vite fait"... juste histoire de voir si une forme plus... narrative évite le soucis.
[et encore une fois, cesses de t'excuser de la longueur "trop petite" ou du manque de temps ou que sais je! on a tous une vie on sait tous ce que c'est
J'ai juste besoin de vous pour progresser. De là à affamer les critiques non Je sais être patiente quand même ]
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- Imperator
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Comme dit, je me suis longtemps accroché à l'idée que quelqu'un d'autre avait tenté d'employer le style de la répétition, que j'affectionne. Et quand j'ai quelque chose en tête, il me faut du temps pour le lâcher...tu m'as fait exploser de rire en disant l'avoir relu huit fois de suite lol...
À mes yeux, clairement mieux. Je rajouterais encore volontiers un "instinctivement" ou "paradoxalement", mais globalement ça va beaucoup plus dans la direction du plausible. On ne comprend peut-être toujours pas exactement pourquoi elle décide soudainement de chanter la chanson, mais les comportements étranges sont suffisamment légion pour que ça puisse passer.C'est sans prétention et écrit "vite fait"... juste histoire de voir si une forme plus... narrative évite le soucis.
En y pensant, il y a pas mal de solutions, (pas forcément bonnes) pour contourner la difficulté. La tienne me semble bonne.
***
En fait, c'est avant tout pour moi. J'enrage d'avoir si peu de temps à consacrer à ma passion.et encore une fois, cesses de t'excuser de la longueur "trop petite" ou du manque de temps ou que sais je!
Impe.
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- ZikL
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(et désolée pour ta passion et ton manque de temps... je connais, j'ai dut en lâcher plusieurs de passions par manque de temps...)
Merci bien en tout cas je vais donc retravailler ce passage avant de me lancer/proposer la seconde partie
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- Vuld Edone
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Tu essaies d'introduire un monde nouveau (désert et eau, oracle et chanson...) et je me suis particulièrement intéressé au procédé que tu emploies, à savoir cacher l'information pour ne la révéler que vers la fin. Et tu as placé le principal de la tension future dans le mystère des jumeaux, accessoirement dans le rôle que s'attribue Quinn.
Impe' a déjà révélé le problème de l'information, on devine déjà assez facilement les pas du père - j'espérais quand même qu'il s'agirait d'autre chose - l'accouchement et les jumeaux. Et personnellement, quelle que soit la manière que tu tentes pour l'introduire, placer la chanson en toute fin - surtout avec des paroles aussi évidentes (et Monthy aurait pu en parler) - me semble un mauvais choix.
Littéralement du début à la fin l'enfant a chanté toute l'histoire (du moins tout ce passage) alors pourquoi le placer à la fin et, surtout, vu l'évidence des paroles, pourquoi redoubler ça d'une explication ? On comprenait déjà avec le colonel "cet enfant m'appartient" de quoi il était question et la colère de la mère vis-à-vis de la chanson était elle aussi plus ou moins transparente. Expliciter la chanson, c'est mettre trois points au-dessus du i.
Mon problème est que tu caches de l'information (pour la révéler plus tard) sans avoir vraiment de raison de le faire. Il est vrai qu'appeler un chat un chat n'est pas très efficace comme acte littéraire mais faire flotter un mystère sur ce qui n'en est pas un pour ton monde - même Quinn connaît la chanson, qu'il la comprenne ou pas - me paraît inapproprié. Il doit y avoir moyen de motiver le texte autrement, en donnant dès le départ l'information et en faisant porter l'intérêt du lecteur ailleurs.
Deux choses encore. Tu choisis le présent sans véritablement de raison - pourquoi n'avoir pas mis le texte au passé ? Et aussi, tu choisis le point de vue de Quinn pour la majorité du texte, d'ailleurs les passages au père ou au colonel n'apportent pas grand-chose. Mais pourquoi Quinn ?
Je verrais les choses ainsi : tout tourne autour de la chanson. La mère est contre, c'est assez clair. À la fin Quinn est contre aussi (avec néanmoins la nuance du rôle qu'il s'attribue). Et j'ai envie de dire, suivre Quinn n'est pas très intéressant, il n'y a pas vraiment de tension chez lui. Ce sont deux personnages plutôt fixés. Le père par contre semble beaucoup plus troublant : il est clairement pour la chanson, mais mis face à une situation impossible (les jumeaux) ainsi que la douleur de sa femme et le comportement de son fils inadapté à son rôle futur. Avec en plus un ami colonel particulièrement détaché, il a tout le potentiel pour mettre en question la problématique - présentée actuellement - de ton texte.
Alors pourquoi ne pas s'être focalisé sur le père ? Donner dès le départ le contrat de l'oracle, puis donner les cris de sa femme et sa propre réaction, puis la réaction du colonel et le père songe alors à son fils qu'Elva garde, et ainsi de suite... faire entendre dès le départ que l'accouchement va poser problème, ne serait-ce qu'en craignant pour la mère ; développer profondément le moment où il se fait annoncer la naissance et où le problème des jumeaux apparaît ; et lorsqu'il est conscient du problème, reporter son regard sur Quinn, dans le jardin pourquoi pas ?
Tandis que Quinn, tout ce qu'il fait, c'est nous parler de monstres dont il ne sera jamais question, chanter une chanson qu'on n'entendra qu'à la fin quand elle ne nous apprend plus grand-chose et se donner une mission qui n'est qu'accessoire vis-à-vis du problème même posé par les jumeaux.
Il est quand même intéressant de voir que les réactions des personnages sont très faciles à interpréter, sans doute parce que la scène de l'accouchement est très largement traitée et connue.
Il faudrait voir en quoi les accouchements fascinent, comment la littérature traite ce thème. Notamment tu réduis tout le processus à une série de bruits, cris et pas. Tu devrais essayer, même en conservant ce chapitre en l'état, d'écrire à côté des variations pour voir tout ce qu'il serait possible de faire sur cette seule scène, tout ce qui pourrait être exprimé...
Beaucoup d'autres choses pourraient être dites mais là, pour l'instant, c'est surtout cette question de Quinn comme focalisation qui me dérange et que je voulais poser.
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- ZikL
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- Messages : 129
Je ne vais pas dévoiler le mystère encore mais je retiens toutes tes critiques (et celles d'Imp' aussi) car ça m'apprend à m'interroger sur le choix du personnage que je choisi de suivre à chaque fois. Ce que j'avoue n'avoir jamais fait, écrivant à l'instinct plus qu'à toute autre chose, je n'y aurais sans doute même pas penser au niveau de l'importance...
Je n'avais pas vu ce point de la chanson à la fin comme évidente. L'interprétation donné par Elva m'avais semblé nécessaire pour la compréhension de Quinn et non du lecteur. Au vue de tes critiques je m'interroge en effet sur son utilité. La révélation de la chanson, serait-ce mieux si je la disséminais dans le contenu de cette partie plutôt qu'à la fin?
Je vais tenter de corriger le texte en incluant vos critiques et ma vision des choses. Je pense la mettre plutôt ici sur le forum. Sauriez vous y jeter u coup d'oeil plus tard?
Merci d'avance
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- Imperator
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En toute honnêteté: envoie-moi un PM, c'est plus sûr.Sauriez vous y jeter u coup d'oeil plus tard?
Je suis malheureusement pris dans des études d'économie plus ennuyeuses que la récitation de la généalogie de Jésus en latin qui m'offrent peu de périodes de temps durant lesquelles je suis réellement aptes de m'adonner à cette passion.
Impe.
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- Vuld Edone
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Par contre n'hésite pas à commenter ce que tu corriges et pourquoi, non seulement pour faciliter le travail mais aussi pour nous donner un intérêt à aller voir, je suis personnellement toujours curieux de voir comment les autres écrivent et conçoivent leurs textes.
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- ZikL
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pour l'un comme pour l'autre.
Bon courage Imp' x_x
J'imagine combien ce doit être ennuyeux. En tant que "rêveuse professionnelle" j'ai dut travailler dans divers milieux qui ne me permettait pas de rêver à loisir (je n'entends pas par là bailler aux corneilles hein? j'entends garder une âme même de rêveur) comme le notariat ou télévendeur x_x...
donc je compatis grandement et te souhaite beaucoup de courage pour la suite.
Vuld: je mets donc la version corrigée dans "travaux d'écriture"?
Oui je vais tenter d'expliquer ce que j'apporte à la correction. c'était bien mon intention
merci bien à toutes et tous.
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- Mr. Petch
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- Messages : 528
Je commence par une purement factuelle : la fantasy classique avait dernièrement déserté le forum (le dernier essai était Ignit et Chute , et je regrette qu'il n'ait pas été transformé parce que c'était prometteur). Nos deux nouvelles recrues, Zikl et Kalystah, semblent la remettre à l'honneur. En lisant ton texte, j'ai pensé d'emblée au Trône de fer, qui est à peu près le seul roman de fantasy hors Tolkien que je connaisse : on retrouve le thème des questions dynastiques dans un univers "humain", mais surtout, le regard de l'enfant comme procédé introductif, je vais y revenir. Du coup, ma question était de savoir si cette impression est juste ou si c'était moi qui extrapolait à partir de mon manque de culture en matière de fantasy.
Ah. Et puis comme Impe, au début j'ai continué à lire les paragraphes qui se répétaient en pensant que c'était un effet de style. A retenir pour une prochaine fois !
**
Feurnard posait la question de la focalisation sur Quinn. En fait, je poserais le problème autrement. Pour moi, c'est une focalisation qui se justifie en tant qu'introduction : l'univers de l'Oracle est introduit par les yeux d'un enfant, un moyen comme un autre de proposer une "découverte" d'un univers de fantasy : le lecteur en apprend les arcanes en même temps que l'enfant apprend la vie. J'ajouterais que tu assumes parfaitement ce choix en accompagnant la focalisation sur Quinn d'un style "enfantin" : des phrases courtes, parfois sans verbe, un vocabulaire qui se repète et se concentre sur des sensation simples plutôt que sur des réflexions complexes. Pour moi, le présent (qui est un temps que j'affectionne quand j'écris ou lis !) se justifie par la focalisation enfantine. En ce sens, je trouve le texte réussi, voire très réussi. Donc, je te dirais de ne pas changer le style, au contraire, il m'a touché parce qu'il dépasse la simple description et introduit des émotions avec une certaine délicatesse.
En revanche, le problème surgit quand tu passes de la focalisation sur Quinn à celle sur son père (le paragraphe qui commence par "Aengus Wendover marche de long en large"). Ici, tu gardes le style enfantin de Quinn. Du coup, l'impression que j'ai eu était non pas que l'on était passé à une focalisation nouvelle, mais plutôt que l'on lisait les pensées du père à travers les yeux du fils... Un exercice étrange et avec peu de sens. D'autant plus que ce paragraphe dure très peu de temps, qu'on revient tout de suite après à Quinn, avec une transition par les sons qui, là encore, est à mon goût. Mais le passage par Angus, même s'il est nécessaire pour le sens, m'a semblé étrange dans le cours de la lecture. Y aurait-il moyen de le gérer autrement, par exemple en changeant plus franchement le style, ou avec un passage par Elva (comme au théâtre, ou les personnages prennent le relais l'une de l'autre). Ça permettrait de mieux identifier la voix d'Angus.
Enfin, j'approuve l'idée d'Impe et Feurnard de placer le poème plus en avant dans le texte. Comment ? Voilà ce que je ferais, après tu t'en débrouilles comme tu veux :
- soit le placer en bloc au début, comme une manière d'introduire la relation Quinn/Elva, qui est importante dans cette partie. L'effet sera peu élaboré, mais à la rigueur, c'est une introduction, donc pourquoi pas.
- soit disséminer la chanson au long du texte, avec un effet "écho" (comme tu le suggères toi-même). Ça a le mérite d'être plus original, mais ce sera plus difficile à amener pour le sens.
Dernière remarque : fait gaffe à l'orthographe et au vocabulaire, il y a beaucoup de fautes qui traînent un peu partout, et ça fait un peu désordre.
Mr Petch
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- ZikL
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non je n'ai pas commencé mes corrections vu que je n'ai à ce jour plus d'ordinateur véritablement appréciable x_x...
(un mort et un vieux de 10ans...presque mort... dur dur...)
Pour les fautes n'hésites pas à me les montrer. J'aspire à améliorer ce point fortement négatif (excès d'MSN, de message forum avec une totale inattention...ça ne pardonne pas x_x...encore heureux je n'ai pas de portable pour écrire en mode SMS lol)
Blague à part, n'hésites pas même s'il y en a sûrement trop pour tout donner, à me signaler celles qui te gênent le plus
Merci pour les compliments. Je n'ai jamais lu le trône de fer mais j'en ai beaucoup entendu parler.
Je garde de toute façon le point de vue de Quinn et le présent qui, comme je l'ai dis, à une importance pour la suite. La structure même du texte aussi a son importance.
Je vais voir si j'arrive à entrer la chanson de manière différente...j'ai une petite idée mais difficile à mettre en pratique.
Je note pour le point de vue et le vocabulaire du père. Je vais voir si je parviens à le modifier ou si je change la manière d'apprendre cette scène...Ce qui rejoint en partie ce que je comptais faire grâce à la critique de vuld. Je n'avais jamais pensé à me soucier de savoir "à qui et par qui" je parlais...Je vais donc faire ce travail sur moi avant de proposer la correction
Merci encore à toi
Une critique qui m'est fortement utile de nouveau
ps: j'en profite, je n'ai plus véritablement de pc comme dit... il m'est donc difficile de lire et d'écrire ces temps ci. nous prévoyons l'achat d'un pc neuf mais on ne sait pas encore lequel véritablement remplacer (le portable mort ou le fixe trop vieux?! lol) mais je reviens vite promis x_x
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- Mr. Petch
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- Messages : 528
§2 :
Les bruits de la maison l’ont souvent réveillé.Les bruits de la maison l’on souvent réveillé.
une impression hagarde (à moins que tu parles du agar-agar, algue marine utilisée pour faire de la gélatine, mais ça m'étonnerait. )Perdue, cherchant où elle se trouve et ce qu’elle y fait, fixant dans son regard une impression agare.
Il serre fort Elva... (ne pas confondre serrer = il serre et servir = il sert)Il sert fort Elva dans ses bras qui en fait tout autant.
§3 :
il se saisit...Puis, rassuré que rien n’en surgisse pour le dévorer, il se saisi d’un pantalon de toile de lin foncé
Il guette son arrivé avec impatience et angoisse.
Il guette son arrivée...
Habillé, la chemise bien tirée comme on le lui a apprit, il attend sur son lit, le regard toujours fixée sur la porte désepérément close.
... comme on le lui a appris (...) le regard toujours fixé
§4 :
et retire ses petites mains plaquées sur ses oreille
sur ses oreilles
Elle avance le long d’un couloir, passe discrêtement une porte
passe discrètement une porte (accent grave et non circonflexe)
Ils ne se sont arrêté que durant le cri.
Ils ne se sont arrêtés...
§5 :
Il sait maintenant ce que son ces pas qu’il entend.
...ce que sont ces pas...
§6 :
Le cadet lui appartient et il est hors de question d’avoir un trouble fait dans ses rangs.
...un trouble-fête... (et du coup, je ne pense pas que le mot soit bien choisi...)
La sueur perle dans son dos à chaque mugissement ou cris qui lui parvient.
... ou cri qui... (chaque impose un singulier)
§8 :
Elle ne parrait pas plus rassurée que lui et cela n’aide pas vraiment le petit garçon a se sentir mieux.
Elle ne paraît pas... et (...) à se sentir mieux.
On crit dans les couloirs.
On crie dans les couloirs (verbe crier qui se conjugue comme aimer = aime, dont crier = crie)
Les servantes courrent en tout sens,
Les servantes courent... (moyen mnémotechnique : ce n'est pas parce tu mets deux "r" qu'elles courent plus vite)
§9 :
Aengus Wendover franchi les lourdes portes de la chambre
Aengus Wendover franchit...
Il éxige de voir son fils !
Il exige de voir son fils ! (jamais d'accent sur le "e" quand il précède un "x")
§11 :
Quel soucis peut-il bien y avoir en ce cas ?
Tu choisis : soit "Quels soucis" au pluriel, soit "Quel souci" au singulier. Souci n'est pas invariable et ne prend son "s" qu'au pluriel, comme tout le monde.
Il se relève et fait appelé le majordome.
... et fait appeler...
§15 :
(...)en dirigeant son regard perdu et appeuré vers le Colonel.
...et apeuré vers le Colonel. (verbe apeurer, et non appeurer : il n'aura pas plus peur avec deux "p", non plus )
§24 :
Deux petites choses qui s’égayent, ne parvenant pas à ouvrir bien longtemps leurs yeux bleux
...leurs yeux bleus.
Elle le prend dans ses bras et le sert fort.
...et le serre fort.
§36 (réplique d'Aengus) :
Vous n’auriez pas dut y céder sans m’en parler Elva.
Vous n'auriez pas dû... (participe passé de devoir = dû, au féminin, il perd son accent : "due" ; "dut" est la troisième personne du passé simple de devoir ; mais j'avoue que celui-là est costaud, je me trompe souvent aussi.)
§38 :
Ils ne pourront pas resté
Ils ne pourront pas rester...
§39 :
« Dépêches-toi Elva !
"Dépêche-toi Elva !" (alors celui-là, c'est un grand classique des fautes de conjugaison : la 2e personne de l'impératif des verbes en -er ne prend pas de -s, contrairement au présent : aimer = Aime !)
§41 :
Déjà, les domestiques s’affèrent à installer l’armature.
... les domestiques s'affairent... (verbe s'affairer, et non s'afferer)
§43 (réplique d'Elva) :
Et elle a réagit comme toi quand tu fais un cauchemar.
Et elle a réagi...
§45 (réplique d'Elva) :
Chantes la moi Quinn.
Chante-la moi Quinn. (même remarque que plus haut + ne pas oublier de relier le complément avec un tiret quand c'est un pronom relatif)
§47 (dans la comptine) :
Au puiné nous allouerons
Au puîné... (accent circonflexe sur le "i", comme dans "aîné")
N’autorises nul responsable
N'autorise nul responsable (même remarque qu'au-dessus)
§48 :
Le soleil est presque au Zénith et nul être humain ne peut supporter sa châleur.
Le soleil est presque au zénith (...) sa chaleur. (pas d'accent circonflexe sur chaleur + si tu écris "zénith" avec une majuscule, tu parles de la salle de spectacle, et ce n'est pas le cas ici, je pense)
Elva s’accroupi devant lui et lui demande
Elva s'accroupit...
§50 :
Il en a apprit le sens
Il en a appris le sens (moyen mnémotechnique : cherche à accorder le participe passé au féminin pour savoir la terminaison : on dit "la leçon est apprise" et non "la leçon est apprite")
Si fils suivants il y avait, ils seraient alors les enfants du couple et apprendrait sans doute à épauler l’aîné.
...et apprendraient sans doute... (ha, le fameux accord au pluriel qu'on oublie parce que le sujet est à trois kilomètres...)
Alors ne jamais pouvoir les caliner à loisir
les câliner à loisir (accent circonflexe à ne pas oublier, pareil sur le substantif et l'adjectif "câlin")
§52 :
Quinn acquiesse.
Quinn acquiescer. (verbe acquiescer)
et il voit les traitres. Et les traitres nuisent
et il voit les traîtres. Et les traîtres nuisent
§53 :
« Comment ? » voulu savoir l’enfant.
« Comment ? » veut savoir l’enfant. (là, c'est plus un problème de temps : le reste de ton texte est au présent ; "voulu" sans "t" final est le participe passé, "voulut" est le passé simple)
§61 (réplique d'Elva):
afin de déterminé le premier né des deux.
afin de déterminer...
son estomac réclamant son dut
son estomac réclamant son dû (voir plus haut)
Dans l'ensemble, j'ai l'impression que ce sont des fautes d'inattention qui peuvent très facilement se corriger : relis bien le texte une fois, deux fois, trois fois, avant de le poster. Normalement, avec un peu d'entraînement, tu vas prendre des automatismes et finir par faire de moins en moins de fautes en anticipant les endroits où tu te trompes fréquemment. J'ai quand même un peu l'impression qu'il y a des fautes qui viennent juste du fait que tu ne connais pas le mot (hagard ?)... Dans ce cas, il n'y a pas de mystère, lire est le meilleur des remèdes pour apprendre à écrire des mots nouveaux, et ce n'est même pas douloureux. Ou simplement un bon dico si tu as des doutes (il y en a des tas en ligne, par exemple le portail lexical du CNRTL, www.cnrtl.fr/definition/, qui est un must, à mon sens). Tu fais aussi beaucoup de fautes (inattention ou pas) de conjugaison. Pour la conjugaison, un bon vieux Bescherelle sert toujours : quel que soit le niveau, il y a toujours des verbes qu'on ne sait pas conjuguer (si tu n'as pas la version papier, il y a un "conjugueur" express sur le site de l'éditeur, www.bescherelle.com/). En fait, le secret pour ne pas se tromper, c'est de ne pas avoir peur de douter de l'orthographe et de la conjugaison, de savoir s'admettre à soi-même qu'on ne sait pas tout, et d'oser vérifier dans des dicos à tout bout de champ.
Mr Petch, à ton service dès qu'il s'agit d'orthographe
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