Edito de Février
- Vuld Edone
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Edito' en ligne avec un jour de retard -- que ça n'devienne pas une habitude... -- et je n'ai absolument aucun sujet à proposer !
Cela dit, petit message pour Petch : la mise en page des Martyrs est... variable. Je n'avais pas vu ça puisque je n'avais pas dépassé le 1.1 (et que je ne vérifie plus les tubes) mais je pense qu'il faudrait repasser derrière et uniformiser tout ça.
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- Zarathoustra
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Je propose que le sujet du mois soit ça. Essayer de faire de la mise à jour de mars une vrai mise à jour. Ca vous dirait que chacun se débrouille pour mettre un ou pourquoi pas deux textes? Et qu'on se fasse une vraie revus avec si possible un petit vote à la fin?
Je sais que tu es contre l'idée du "Récit du mois" et c'est vrai qu'elle n'a de sens que s'il y a de la matière et des participants.
Mais si on se faisait ce petit challenge entre nous, qui serait partant? Qui aurait des textes et qui serait prêt à se lancer dans le grand rodéo de tous les commenter et de voter à la fin? En fonction du nombre de texte, si vraiment on en a trop (rêvons!), on peut se laisser deux mois pour les commentaires.
Moi je pourrais ressortir pour l'occasion le début de la partie 2 des 3 Noms d4allariel, ça me motivera pour la relire et la reprendre un peu. Ey j'ai encore quelques chapitres du Rêve d'Ether. Par contre, je n'arrive pas trop à écrire depuis quelques mois, c'est du réchauffer (faut dire que j'ai beaucoup écrit l'année dernière, donc je vais pas me plaindre).
Alors, des candidats?
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- Imperator
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Ceci dit, je pourrais tenter de participer à quelque chose comme le concours qu'on avait fait:
Tronchage d'orcs
Plus amusant encore à mes yeux serait d'avoir un juge devant déterminer le gagnant, même si on sait très bien que ça ne sera pas objectif. Au final, ça nous donnerait un prétexte pour argumenter contre le juge.
L'avantage de ce genre de concours, c'est que le thème est déjà donné, et surtout que l'on peut se permettre d'écrire "moins bien" et "plus court".
Genre écrire une histoire en mille mots. Rien que ça... Mille mots, pas un de plus, pas un de moins (enfin, surtout pas un de plus).
Impe, qui aimerait bien prendre une semaine de vacance, au moins une fois dans l'année qui vient... (au lieu de griller mes jours de vacance d'un travail pour aller bosser sur autre chose)
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- Vuld Edone
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Je veux bien repartir sur des fondamentaux mais je n'arrive pas à écrire "pour écrire" et je passe plus de temps à [delete] qu'autre chose. Donc même s'il me resterait bien 20 jours et que j'aurais du temps pour ça... je suis à peu près sûr de ne rien publier ce mois-ci.
J'aimerais écrire les Armes comme un manifeste du personnage secondaire... Renier pour discuter d'humanisme... la romance parce que c'est un défi... Fléau parce que c'est mon univers... mais au final aucune de ces raisons ne parvient à s'imposer suffisamment pour que j'aligne les pages.
Zara', si tu trouves un thème à la limite on peut se lancer dessus. C'est vrai que Tronchage avait été sympathique.
Mais ça ne fonctionnera qu'à court terme, et en trois mois il ne faudra pas espérer plus de six textes.
Et puis, quel serait le thème...
...
...
LE MECHANT.
Ouais.
Ouais, c'est d'actualité, j'ai actuellement affaire à des méchants particulièrement... décevants dans les textes que je lis et je serais intéressé de voir ce que les chroniqueurs peuvent faire en termes de vilains pas beaux.
Donc si ça vous tente, dans les mois qui viennent le mot d'ordre c'est du méchant très très méchant, quitte à faire des "à côtés" à nos textes actuels (je sens que je vais faire un bref sur Homs) ou à partir en savate sur n'importe quoi.
Accessoirement on peut se donner le défi de faire tenir chaque texte en moins de mille mots. Vi'.
Et pour compléter le tableau, vu que j'ai proposé le sujet, je peux jouer les juges. Sauf si quelqu'un d'autre veut endosser le rôle.
Après si quelqu'un a un autre thème, pourquoi pas, mais là tout de suite c'est ce que je voudrais faire.
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- Mr. Petch
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Mais sinon, très partant pour un thème, sur le modèle du tronchage d'orcs. Je crois que c'est le meilleur moyen de nous ranimer : un thème simple, un texte court, juste pour comparer. J'en suis !
Le thème maintenant... OK pour "Les méchants". On reste dans l'esprit du Tronchage d'orcs avec un retour à la tradition, ça me va.
Cela dit, petit message pour Petch : la mise en page des Martyrs est... variable. Je n'avais pas vu ça puisque je n'avais pas dépassé le 1.1 (et que je ne vérifie plus les tubes) mais je pense qu'il faudrait repasser derrière et uniformiser tout ça.
Oui, j'ai remarqué aussi... J'ai des soucis quand je fais des copier-coller pour publier... Je regarde ça et j'essaie de tout bien rétablir.
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- Imperator
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Autant j'aime bien l'histoire que je veux développer, autant les personnages sont encore plus vides que d'habitude, le déroulement forcé et le thème un peu bateau.
Tiens, je me souviens pourquoi je n'écrivais plus beaucoup .
"Les méchants" est en fait un thème difficile. Soit le méchant a une raison d'agir comme il le fait et dans ce cas là, ce n'est pas vraiment un méchant, soit il n'a aucune raison d'agir comme il le fait et dans ce cas là il est peu intéressant car trop caricatural ou simplement impossible à comprendre.
Et un méchant ne semble faire du sens que dans l'univers duquel il est né (le joker n'aurait probablement pas fonctionné dans la série transformers par exemple...)
Impe, qui n'aurait pas dû passer une heure à écrire ce soir... mais bon (ça se paiera demain )
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- Vuld Edone
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- Ceux qui ont une raison de l'être
- Ceux qui sont méchants pour être méchants
D'après certains, un méchant n'est vraiment méchant que s'il l'est gratuitement. S'il a une excuse, ce n'est plus un vrai méchant.
Moi je partais du principe que l'enfer est pavé de bonnes intentions, mais va savoir...
Franchement, quand il y a un thème imposé, le but n'est pas d'écrire une bonne histoire. Le but est juste de se divertir, de se défouler, de participer ou de s'exercer. Donc tant pis si c'est vide, forcé et bateau...
C'est un peu le but.
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- Imperator
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J'ai simplement trop de travail. Entre le job régulier, les montages de start-up et le master, je n'arrive plus à donner le tour pour tous mes hobbys.
Impe: et le pire c'est que ça n'est pas prêt de s'arrêter...
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- Vuld Edone
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Cela dit j'ai enfin une idée de texte pour ce défi.
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- Imperator
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Ma question est donc: où est-ce qu'on pose les textes? Sur le forum? Au travers du système de publication?
Impe: "Le texte n'est pas très bon, mais il n'est pas "trop" mauvais..."
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- Vuld Edone
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- Krycek
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(Oui Vuld, c'est noté, c'est noté pour le prochain design)
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- Zarathoustra
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Voilà, une MAJ avec du Rêve et un nouveau nom...
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- Vuld Edone
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- Imperator
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Marrant, j'aurais défini le terme par "quelqu'un qui fait, a fait ou veut faire quelque chose de mal", les trois points sensibles de la définition étant:un méchant est "quelqu'un qui vous veut du mal"
- le concept de victime (à qui le mal doit-il être fait pour que le méchant soit méchant?)
- le concept de "mal"
- le concept d'intention (avoir l'intention de faire du mal fait-il du méchant un méchant?)
Éventuellement aussi le concept de rédemption, qui pose la question de la culpabilité dans le temps, ou "peut-on qualifier quelqu'un de méchant parce qu'il a commis quelque chose de mal dans le passé" avec toutes les nuances associées.
Bref, personnellement je ne désigne pas quelqu'un qui me veut du mal comme méchant. Il n'y aurait pas beaucoup de méchants sur terre selon cette définition, or c'est, à mon avis, loin d'être le cas.
Impe, en coup de vent...
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- Vuld Edone
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Ce principe est d'autant plus important que n'oublie pas, en général le gentil veut du mal au méchant (on veut lui tanner la gu-) donc bon. On ne se perçoit pas exactement comme des méchants pour autant.
Et puis bon, comme tu dis... va condamner Jean Valjean, alors que ce gars a volé son argent à un gosse...
Le lecteur a donc tendance à simplifier : il s'identifie à un personnage, en général le héros, et ceux qui veulent du bien à ce personnage sont les gentils, les autres sont les méchants. Donc si un cannibale sadique qui torture les nenfants se met à aider l'héroïne sans défense, tu vas faire "ah mais en fait ch'est un geeeeentil" ou plus probablement "ah, il est méchant mais en fait pas trop".
Ou alors tu lui supposes une arrière-pensée mais sois un gentil lecteur lambda, bitte.
Toi, tu réfléchis en termes réalistes, comme si on était à Nuremberg. Vois ça en termes littéraires et demande-toi à quel moment, dans un texte, un lecteur identifie untel comme un méchant.
("ah! Lui, c'est un méchant...")
Tu les vois venir en général de très loin, d'autant plus que c'est la mission du texte que tu les reconnaisses comme tels. Le meilleur moyen d'y parvenir est de te montrer quelqu'un à qui tu peux t'identifier, par exemple une pauvre femme et son enfant, et de faire débarquer le méchant. Il l'attaque, il t'attaque, c'est un méchant.
Un lecteur qui réfléchit plus loin que ça a toute mon estime mais un tel lecteur serait aussi en train de démolir le contrat de lecture.
Cela dit, oui, on peut traiter la question de la méchanceté plus sérieusement. Mais ce n'est pas en général ce que le lecteur préfère.
Parce que c'est compliqué...
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- Zarathoustra
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D’abord, je ne sais plus qui l’a dit (Hitchcock ?), mais plus le méchant est réussi et meilleur sera l’histoire. Donc une question latente à notre thème serait : quel serait selon vous un méchant réussi ?
Deuxième réflexion : paradoxalement, un méchant, quand il est réussi, est souvent plus intéressant et fascinants que les gentils, qui, bien souvent, sont fades, prévisibles. Pourquoi ? Parce que les motivations d’un vrai méchant sont souvent plus complexes que celles des gentils.
Troisième réflexion : lorsqu’on parle de méchants (et donc implicitement de gentil), on dessine des portrait très manichéistes. Or, pour faire un personnage gentil ou méchant intéressant, et Vuld l’a souligné me concernant, il faut bien plus d’ambiguïté. C’est d’ailleurs mon problème pour écrire un texte sur un méchant. Je me dis que pour faire un méchant intéressant, il est difficile de le faire rentrer dans un texte court.
Quatrième réflexion : ce qui me dérange aussi dans ce thème, si on se situe dans un texte simple, avec donc un cadre manichéen, c’est justement le jugement moral qu’il implique. Par définition, on aurait des gentils et des méchants. Donc, on ne demande même pas au lecteur de choisir un camp, il lui est imposé. Et derrière cet état de fait, on ôte justement toute réflexion sur la Morale du Bien et du Mal. Pourquoi il est méchant ? PARCE QUE ! Et pourquoi il est gentil ? PARCE QUE ! Dans cette vision, on pourrait presque dire qu’on nait « gentil » et qu’on nait « méchant ». Ce qui importe ce n’est pas comment on devient méchant ou gentil, mais qu’on agisse en tant que tel. Et d’ailleurs, ce qui caractérise un méchant, dans ce type d texte, c’est justement qu’il agit. Et le travail du gentil e se réduit souvent à l’empêcher d’agir.
Vous aurez compris que, pour ma part, j’ai du mal à fonctionner avec un jugement moral définitif qui rentre un personnage dans une case. Pour moi, un personnage intéressant ne rentre pas dans une seule boîte, et à dire vrai, qu’il fasse le Mal ou le Bien m’importe assez peu, ce qui m’intéresse, c’est que son comportement soit cohérent et je laisse le soin au lecteur de juger ou trancher si c’est bien ou mal si lui, ça l’intéresse. Or, j’ai parfois l’impression que mon approche déstabilise certains lecteurs parce qu’ils ont besoin de juger un personnage par ses actes, plus que par ses motivations (à leur décharge dans les 3 Noms, ils n’ont pas forcément toutes les clés en main).
Je ne pense pas que le lecteur s'identifie forcément au gentil. L'exemple, c'est Tintin et le capitaine Haddock. On s'identifie très peu à Tintin, alors que Haddock nous est beaucoup plus sympathique parce que justement moins lisse et capable de ne pas toujours bien se comporter.Le lecteur a donc tendance à simplifier : il s'identifie à un personnage, en général le héros, et ceux qui veulent du bien à ce personnage sont les gentils, les autres sont les méchants. Donc si un cannibale sadique qui torture les nenfants se met à aider l'héroïne sans défense, tu vas faire "ah mais en fait ch'est un geeeeentil" ou plus probablement "ah, il est méchant mais en fait pas trop".
Il y a d'ailleurs des livres qui prennent le point de vue du méchant (par exemple, James ELLROY a écris un livre du point de vue d'un serial killer). Et qui nous fascine le plus entre Skywalker et Darth Vador? D'ailleurs, le plus inétressant n'est pas de savoir comment on devient un jedi mais plutôt comment un être peut basculer du côté obscur. On voit bien qu'il ne le fait pas dans le but de faire le mal (sinon il ne demanderait pas à son propre fils de faire quelque chose qu'il jugerait néfaste en lui demandant de le rejoindre du côté obscur), basculer du côté obscur est pour lui au-delà de la notion de bien et de mal, c'est autre chose.
Même chose dans Harry Potter, pour prendre des exemples a priori simple. Voldemort n'est pas né "méchant". Et Dumbledore, qui incarne le bien absolu, n'a pas toujours été si gentil. C'est bien l'intérêt de ces personnages. D'ailleurs, pour moi, le meilleur personnage de la saga est le professeur Roque pour lequel l'ambiguité est tout le temps de mise.
Tu as raison, mais difficile de s'identifier à une populace... C'est bien pourquoi les romans ou les films te font identifier à la populace à travers quelques individus... Tu pars d'un état de fait que le dictateur commet le mal, mais, sans défendre une seconde Hitler, c'est malheureux, mais il n'a pas fait que du mal.Tu oublies le principe d'identification. Quand tu entends que tel dictateur massacre sa populace, si tu ne te mettais pas à la place de la populace, tu hausserais les épaules.
Et les nazis qui s'amusaient à torturer ou à réaliser les plus folles expériences ont fait également progressé la science aussi effrayant que cela puisse paraître.
Et faire eclater une bombe nucléaire sur des civiles n'est-il pas aussi moralement condamnable que bien des assassinats arbitaires des dits dictateur? Seulement l'histoire est écrite par les vainqueurs et on évite bien de soulever de telles questions quand on est né américain et qu'on a combattu des japponnais qui asservissait des peuples et terrassé la barabrie nazie en sacrifiant des milliers d'américains pour débarquer...
Pourtant, dans ce cas, on voit très bien qui sont les gentils et qui sont les méchants... Et on a envie de voir les américains uniquement en tant que gentils parce qu'on n'a pas envie de s'identifier comme nazis. Or on voit bien que tout est plus complexe. Et c'est encore une fois cette complexité qui est inétressante et non la fait de simplifier pour faciliter l'identification.
Pourtant, pour écrire une histoire, il faut qu'il y ait effectivement soit une identification à un gentil soit une fascination à un méchant. Ce serait d'ailleurs un sujet à part entière de discussion intéressant
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- Vuld Edone
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Cela dit, en te lisant, et en cherchant à te répondre, je me dis qu'il faut lier la question du méchant à celle du "repère", ou à la clarté du texte.
Rappelle-toi : un texte peut être très difficile à lire. Indiquer clairement qui est le gentil et qui est le méchant allège de beaucoup le travail du lecteur. On lui impose des catégories qu'il n'aura du coup pas à définir par lui-même. L'habituel "le lecteur est un flemmard".
Mais plus avant, définir clairement gentil et méchant signifie de définir clairement la cohérence du texte.
Rappelle-toi : chaque texte donne ses règles. Un texte qui te dit "je suis pour l'environnement" va te montrer un héros écologiste, chercheur, etc... face à un méchant pollueur ignorant et j'en passe. C'est caricatural, c'est grossier mais c'est clair : le texte dit pour qui il est, et donc comment le lire.
Un texte qui ne délimite pas clairement ses méchants ; un texte qui leur donne une vie, des buts, des idées ; un texte qui les fait douter ; ce texte est difficile à lire. On ne sait plus qui joue quel rôle et donc où porter notre attention.
En fait, plus un texte cherche à être réaliste (la réalité est compliquée), moins il est clair et lisible.
De mon point de vue d'humaniste, le méchant est une absurdité.
Mais d'un point de vue littéraire, c'est une nécessité.
Et plus le méchant est manichéen, plus il est clair, repérable, et plus le texte est facile à lire (ou facile tout court...) Pour nous, un méchant réussi se doit d'être complexe, ambivalent et au final... humain. Mais pour pas mal de lecteurs il faut que le méchant soit "méchant", simple et brut.
Et je t'avoue qu'en essayant d'appréhender ça, d'ailleurs encore maintenant, je suis plutôt comme ça : Mais c'est ce que j'observe. Les gens veulent des méchants manichéens, et je pars toujours du principe que les autres ont raison.
Donc quand tu demandes ce que serait un méchant réussi : apparemment un méchant clairement identifié comme tel.
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- Vuld Edone
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J'ai encore essayé aujourd'hui et après six pages j'ai fait "non non non non..." ça ne va nulle part et ce n'est pas intéressant. Et j'ai déjà changé de scénario trois fois.
Écrire est facile mais je n'ai juste... eh bien pas de raison d'écrire.
En tout cas pas sur les méchants, il faut croire.
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- Zarathoustra
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