Il y a eu tant et tant de commentaires que nous avons fini par oublier décembre. Qu'est-ce que ces chroniqueurs qui commentent et qui n'écrivent pas ? Le monde à l'envers ! Allons, messieurs, à vos plumes, nous sommes avides de vos lectures et avares des nôtres, dépêchez-vous de nous raconter vos bonnes histoires ! D'autant que la tendance est donnée, tour à tour les chroniqueurs fêtent les dix ans avec leur texte sur les Chroniques et ce mois, de loin, n'y coupe pas !

      Ne le dites pas mais une tâche nous attend, une tâche tout simplement écrasante : il faut dire qui nous sommes. Et votre serviteur est obnubilé par la question autant qu'on peut l'être. Ce n'est pourtant pas la tâche la plus grande car derrière se profile une mission plus effrayante encore : il faut le dire à d'autres ! Oh cauchemar, nous voilà publicitaires, promoteurs timides et discrets dans notre phare d'ébène et qui ne savons pas par où commencer. Pourtant notre site est bien fier et nos cartons rangés, nous pourrions présenter notre site sans rougir et même nous enorgueillir d'être en petit nombre. Est-ce simplement que, de juste fait, nous en sommes contents ?

      Mais non, voir de nouvelles têtes fait plaisir et même si Ignit était déjà connu avant son arrivée, ah, cela nous ramène loin en arrière, aux Jours Anciens : quel plaisir de le reconnaître ! Et quel plaisir de retrouver ce mois-ci nos dinosaures pour l'accueillir ! Non pas seulement Zara' ou Iggy', même pas Impe' entre deux hibernations mais oui, vous l'avez bien vu, Gilfuin en personne ! Oui décidément s'il n'avait tenu qu'à nous décembre ne serait jamais arrivé mais nous avons cette chance de ne plus avoir à nous demander où nous emmènera le temps. Il faut l'avouer, le moment ne serait pas mieux choisi mais qui osera commencer ? Difficile, difficile... et si laborieux quand il est si simple de lire :

      La chasse au phoenix : Le mythe de Sysiphe est un thème fantasy comme un autre, et qui vaut bien nos Atlas. Feurnard tourne et retourne son sujet, piétine et traite de son petit Olympe à lui. Avec un renard, bien sûr.

      Parce que pleurer ne suffit pas... : Attention aux squelettes dans les placards, l'ambiance est tout de suite posée pour ce texte en suspension que nous délivre Imperator. Ce vieux dragon a encore du souffle !

      Les bonnes surprises ne finissent pas là puisqu'eLiZ a fini son texte : les Masques trouvent une conclusion que nous n'osions plus attendre. Vous ne vous rappelez pas ? Colline verte, masques blancs, ce texte était un petit bijou ! À consulter désormais sur le site de son auteur mais que dire, l'achèvement d'un texte est toujours un événement. Merci.