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Iliaron - Les sept compagnons, part2, chap2 [septembre 2006]
- Monthy3
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- Hors Ligne
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Le chapitre précédent m'avait laissé dans l'expectative, et j'attendais pas mal de celui-là. Qu'en est-il finalement ?
J'évoque rapidement la forme : hélas, le texte contient un bon nombre de fautes d'orthographe, voire de français (pour certaines expressions). J'ai relevé les plus importantes à la fin de ce message. Mais bon, ces fautes ne sont pas vraiment choquantes, et ne gênent en rien la lecture !
Au niveau du fond, une fois de plus, c'est assez mitigé. Pour être honnête, j'ai l'impression qu'il ne se passe vraiment pas grand-chose. Pourtant, le chapitre est assez long Bon, je ne fais pas de plan, je laisse Impe s'en charger
Tu cherches clairement à donner une véritable personnalité à tes personnages-clefs, mais peut-être que tu t'attaches à un peu trop de détails de la vie quotidienne. L'avantage, c'est que l'on se sent plus proches des persos ; l'inconvénient, c'est que je suis beaucoup plus détaché de l'intrigue. Et tu ne me donnes pas suffisamment de raison, d'avancement pour remédier à cela.
Alors, que faire ? Je ne sais pas. Pour tout dire, j'ai beaucoup aimé la fin du chapitre, le moment où l'aide des autres elfes arrive. Là, on s'attend à des renseignements intéressants. Hélas, c'est déjà la fin du chapitre :_:
J'ai bien apprécié le retour, également, à nos amis les compagnons
Pour résumer grossièrement : ce chapitre n'est pas assez prenant. Il prend son intérêt surtout vers la fin. Je dois également avouer que, pendant une grande partie du texte, j'ai trouvé l'attitude d'Iliaron vraiment disproportionnée par rapport à l'événement subi (tu en expliques assez tard la raison).
Bref, il manque encore une petite étincelle pour aiguiser mon intérêt. Je compte sur toi pour la provoquer
Et, comme promis, voici quelques soucis de forme que j'ai relevés.
Subjonctif.Une chance qu’il n’avait rien rangé la veille !
Se détachait de la lumière (ou simplement du clair de lune, tu évites ainsi la redondance).une ombre se détachait nettement d’entre la lumière du clair de lune...
"pour qui le malaise..." (dont = de qui).« - Que t’arrive-t-il ? » s’enquit inquiet Iliaron, dont le malaise de l’elfe n’était pas passé inaperçu.
Un peu biz z arre. On dit "je songe à", pas "je songe que", je pense. Donc, ça ne m'a pas l'air correctQuoiqu’il songe
Là, ça ne va pas parce que tu associes un singulier à un pluriel. Tu as deux possiblités :au contraire chaque flamme était perçue comme autant de griffures qui glaçaient les entrailles.
"les flammes étaient ("perçues comme", mais ce n'est pas nécessaire, et même un peu lourd) autant de griffures..."
"chaque flamme était perçue comme une griffure..."
Je relève cette phrase pour te montrer un point qui me gêne : je trouve que tu utilises trop de "!" dans tes dialogues, là où des "." seraient bien plus agréables pour le lecteur (enfin, pour moi ).« - Tu ne le pouvais pas, ne t’en veux pas ! Dans quelques jours, il sera à nouveau calme. Il faudra alors oublier ta rancune et lui pardonner ! »
"Au grand dam" (ça picote, là ).au grand damne de Kirla.
"sans qu'il ait" (pas de négation, là).sans qu’il n’ait le courage de trahir sa nation
Et, pour finir, un autre "dont" malvenu. C'est un complément d'objet, on utilise donc "qu'"Le grand chambardement dont avait craint Alith ne se produisait donc pas
Voilà, ne t'en fais pas, comme je l'ai écrit plus haut, ça ne gêne franchement pas la lecture.
Bonne continuation !
Edit
En me relisant, et en relisant des bouts des chapitres précédents, je trouve mon commentaire beaucoup plus dur que je ne le voulais... Après tout, cette espèce de "lenteur mesurée" dans le texte fait partie de ton style. C'est même ce qui fait son originalité.
Alors, prends cette critique avec des pincettes
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- Krycek
- Hors Ligne
- Messages : 2935
On reconnait dans le texte des tournures typiques d'Iliaron (je parles de toi PJ) une façon de voir les choses qui tournent vite au tout beau tout rose, ça c'est ta patte ainsi que de superbe description, bien détaillées et qui donnent un très bon point de vue et un ressenti aux décors.
Je vais passer sur les 2, 3 fautes dans le texte ce qui ne serait pas constructif (et puis j'suis peut-être ma placé pour ça)
Reste que côté Screenplay si je puis dire, on se mélange un peu parfois, il y a des passages où l'on ne comprends pas trop ce qui se passe, les persos se retrouvent ensemble, se mettent à courir on ne sait où et pour quoi... disons que côté décors c'est ok, côté utilisation c'est pas trop ça :
En dehors ou dans le contexte on ne comprends pas, il vise une ombre, tire, loupe son coup et se fait attaquer par derrière, que devient l'ombre ?!!!Malgré cette certitude, l’angoisse de mourir engourdissait ses membres, et ses doigts gourds lâchèrent le trait mortel, qui alla se planter sans dommage dans le sol. Avant même d’avoir tiré une dague, un colosse lui avait tiré la nuque en travers et pressait résolument une arme contre sa nuque.
« - Kirla ! » fit une voix surprise.
Lorsqu’il reconnut Iliaron, l’elfe diminua aussitôt de taille. La peur avait biaisée ses sens.
« - Que s’est-il passé ? » questionna Kirla, encore sous le choc.
« - Je ne le sais pas encore... Mais tous les autres dorment... Suis moi ! »
Une flèche, Deux bêtes ?!!! Il est fort lui...Mais qui bloquera alors la fureur de mon ami, soupira pour lui Kirla, en lâchant avec confiance son trait. Les deux bêtes s’effondrèrent, mortes.
Je ne sais pas si on peu parler d'anachronisme, mais Lapalisse fait partie de l'histoire de France... je doute qu'il fasse partie de celle de la Loriath... Ainsi cette remarque ne peut pas être faite en discours indrect libre que l'on attribue à Iliaron.La simple expression d’elfes vertueux avait toujours été une lapalissade !
Pour le passage avec Geoffroy, tu nous décris un bon paragraphe le mur, le plafond, le décors quoi mais on ne sait pas/plus où il est et une bref rappel de qui est Malak du genre "Le chef ennemi assaillant leur château" serait le bienvenue. Après ce détail des lieux, Geoffroy se fait torturer et là rien.
Rien dans le sens où il ne crie pas, la torture on en voit qu'un petit morceau, on a pas les questions et les réponses. Disons que ces passages là méritent d'être long pour donner l'impression d'angoisse, mettre le lecteur mal à l'aise et là tu passes le plus important.
D'ailleurs au cours de ce chapitre on passe 2 fois sur une autre scène avec Arthur et Geoffrey mais on ne comprends pas. Tu sais c'est du genre, "Et pendant ce temps à Vera Cruz", il n'y a pas d'enjeu pour ces scènes, elles ne sont pas mises en parrallèle du siège par exemple ce qui aurait pu donner une autre tournure, on ne voit pas non plus les autres compagnons qui s'inquiètent... j'y reviendrai à la fin.
Là il manque une liaison, on croit qu'Iliaron est juste à côté d'eux... tu vois ce dont je parlai à propos du screenplay, il a plusieurs passage de ce genre, revenons un peu au début :Les bêtes étaient effectivement présentes, au grand damne de Kirla.
Pendant que celui-ci engageait un bras de fer acharné pour marchander la moitié de son repas, Iliaron restait couché à terre, perdu dans ses pensées.
Là les héros courent... où ??????????? Après quoi, ils se cachent contre des troncs par la suite, Kirla tire sur quelquechose, Iliaron le ceinture... on est perdu, que se passe-t-il ? Dans des scènes du genre poursuites éperdues, il faut toujours que le lecteur puissent avoir un oeil sur ce qui se passe devant, les poursuivis, et derrière, les poursuivants... ici on ne suit que les poursuivants du coup on ne sait pas après quoi ils courent. Tu nous as parlé d'une ombre que distinguait Kirla mais où ?Une bise matinale caressa le visage de Kirla lorsque ce dernier s’engagea à la suite de son ami. Les racines et les ornières ne freinaient aucunement sa course, et ses pas assurés comblaient la peur qui l’imprégnait.
Puis vient le passage avec Arthur, tu décris quelque peu l'endroit à grand renfort de métaphores mais au final on ne sait pas où il se trouve géographiquement. Bien sûr il ne le sait peut-être pas mais il peut faire des hypothèses, en avoir une idée, pour que le lecteur s'en fasse une aussi, quitte à ce que ce soit faux et infirmé par la suite...
Pour la "torture" là encore on ne voit pas la scène...
Au final tu as passé du temps à raconter beaucoup de choses sans grand intérêt (les discussions entre le trio d'elfes) et tu as zappé ce que nous voulions savoir : Arthur et Geoffrey que l'on a suivit dans tout le premier cycle et que l'on retrouve en de minuscules passages...
Je reprends ton plan :
- Vol des sangliers
- Poursuite de Kirla et Iliaron
- Conseil des Elfes
- Départ à la chasse/recherche des voleurs
- Geoffrey se fait interroger (où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?)
- deboires du trio d'elfes
- chasse
- "torture" d'arthur (où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?)
- Retour d'Imladrick de la chasse
- Réponse à l'appel au secours par une tribu d'elfes
Au final, dans ce chapitre tu nous as décris les décors en détail et montré ce qui se passait entre le trio d'elfes.
Ce que le lecteur voulait c'était :
- une description de la "poursuite"
- un état de la gravité des choses (y a-t-il déjà eu un vol de cet ordre, quel gravité cela a que les gardiens se fassent passer...)
- une torture détaillée de Geoffrey (quitte à passer sur le sadisme par l'aveuglement de Geoffrey dû à la peur/souffrance), les questions/réponses donc
- passer sur le moment de chasse des elfes qui casse le rythme du texte avec le départ
- des explications sur la torture d'arthur (où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?)
Voilà voilà... je ne pense pas qu'il faut le prendre mal, je vais jeter un oeil à la critique de Monthy3 voir de quoi il retourne pour sa part... mais c'est mon avis sur ce chapitre. Il nous manque les points essentiels, tu nous caches ce que l'on aurait voulu lire et nous abreuve de relations dans le trio d'elfe qui ne nous importe peu pour le moment...
Bien sûr la critique est pas positive parce que je n'ai parlé que du scénar/screenplay. n'hésite pas à me le dire si tu me trouves trop dur.
EDIT : Je vois que Monthy3 partage mon point de vue et complète mes idées...
Krycek, qui espère ne pas être trop hautain... en attendant la réponse d'Iliaron
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- Iliaron
- Hors Ligne
- Messages : 427
Et bien, il faut que je me fasse greffer un Bescherelle !J'évoque rapidement la forme : hélas, le texte contient un bon nombre de fautes d'orthographe, voire de français (pour certaines expressions). J'ai relevé les plus importantes à la fin de ce message. Mais bon, ces fautes ne sont pas vraiment choquantes, et ne gênent en rien la lecture !
Pour le fond, comme l'on m'avait reproché de ne pas introduire de femme, j'avais décidé d'en introduire une, mais que, pour qu'elle n'appartienne pas seulement au décor (vous inquiétez, ça ne se résume pas à une simple dispute entre elfes, c'est plus profond quand même^^), lui donner un rôle dès le départ (sinon elle serait apparu brièvement, puis ensuite après... longtemps après en fait)
Et comme ce chapitre était le premier du genre que j'écrivais, avec relations 'hommes' femmes, j'en ai peut-être fait trop, ou tout du moins été maladroit. Déjà en axant une trop grande partie du chapitre sur ce trio!
En bref, ces 'relations' sont trop éloignés de l'intrigue (ou du moins le semblent) pour aiguiser l'intérêt; soit il faudrait que je raccourcisse, mais surtout que je rapproche de l'intrigue (et certains passages, comme la chasse, seront certainement supprimés, tout du moins pas mal remaniès).
Remarquez, que le plan initial était: chapitre II: attente du chapitre III (vraiment, disons que dans ce chapitre je construis la partie II, je pose les éléments importants (le vol, les Gardiens qui ne réalisent pas leur rôle, le passé mystérieux des trois héros et leurs capacités...), seulement voilà, vous l'avez dit, j'ai beau poser les bases, il manque quelque chose, "une étincelle de vie". (et quand on s'appelle Iliaron et que l'on a tendance à délayer un peu trop, c'est encore plus dur^^)
Là, c'était le général, passons aux critiques particulières:
Effectivement, en relisant, cela est plutôt, comment dire... minable (ça me rappelle certains passages de la première partie, qu'après critique, j'avais complètement réécrit (faudra que je les mette sur le site d'ailleurs^^)). Bref, à trop vouloir donner un style saccadé, on réalise n'importe quoi... Surtout que j'ai du mal à bien décrire (et même imaginer comment décrire), ces scènes très intenses en peu de mots, tout en restant clair (c'est là tout le défi, vous allez me dire!)En dehors ou dans le contexte on ne comprends pas, il vise une ombre, tire, loupe son coup et se fait attaquer par derrière, que devient l'ombre ?!!!
Iliaron tire aussi, mais ce n'est pas dit. Je pensais que ce serait compréhensible, et bien non .Une flèche, Deux bêtes ?!!! Il est fort lui...
Oups, erreur de culture. Bon, je modifierais.Je ne sais pas si on peu parler d'anachronisme, mais Lapalisse fait partie de l'histoire de France... je doute qu'il fasse partie de celle de la Loriath... Ainsi cette remarque ne peut pas être faite en discours indrect libre que l'on attribue à Iliaron.
ok pour le début: en tant qu'auteur, cela m'apparaît logique, j'oublie toujours que les lecteurs n'ont pas la même connaissance de mon récit (bizarrement )Pour le passage avec Geoffroy, tu nous décris un bon paragraphe le mur, le plafond, le décors quoi mais on ne sait pas/plus où il est et une bref rappel de qui est Malak du genre "Le chef ennemi assaillant leur château" serait le bienvenue. Après ce détail des lieux, Geoffroy se fait torturer et là rien
Quel gaffeur je fais! Je craignais que ce soit ennuyeux, car répétitif (toujours la même question posé en un leitmotiv cassant pour Geoffroy), et à côté je vous bourre avec une histoire à l'eau de rose avec les elfes... Ah mais, soyons sadiques, on demande du sang, donnons-en ! En plus, cela me permettrait de bien agir par contraste avec Gontrand, entre Geoffroy qui souffre mais qui parvient à résister en serrant les dents, et Gontrand qui se déconnecte littéralement de la réalité.Rien dans le sens où il ne crie pas, la torture on en voit qu'un petit morceau, on a pas les questions et les réponses. Disons que ces passages là méritent d'être long pour donner l'impression d'angoisse, mettre le lecteur mal à l'aise et là tu passes le plus important.
N'empêche, j'avais longtemps hésité à réaliser ces passages, puis je me suis dit que rappeler un peu la partie I ne serait pas un mal. Bon, je suis déjà content, j'ai eu une idée pas trop mauvaise. D'ailleurs, ça m'aurait étonné que dès le départ ce soit parfait (enfin, disons plutôt, suffisamment bien), et j'agis beaucoup par réécriture!
Je note je note! Bon, ces minis intros étant en plus un de mes gros défauts (je peux passer plus de temps sur le premier paragraphe, même la première phrase, que sur deux pages Word ensuite), ça me permettra de revoir un peu cela! Et puis, c'est toujours un petit défi de faire passer l'essentiel et de capter l'attention!D'ailleurs au cours de ce chapitre on passe 2 fois sur une autre scène avec Arthur et Geoffrey mais on ne comprends pas. Tu sais c'est du genre, "Et pendant ce temps à Vera Cruz", il n'y a pas d'enjeu pour ces scènes, elles ne sont pas mises en parrallèle du siège par exemple ce qui aurait pu donner une autre tournure, on ne voit pas non plus les autres compagnons qui s'inquiètent... j'y reviendrai à la fin.
C'est là que je vois que ce passage est vraiment, mais alors vraiment trop confus! Ce ne sont pas une ou deux phrases qui posent problème, mais bien la structure même de la poursuite qui gêne. Il faut vraiment que j'envisage la poursuite d'un autre point de vue, que je trouve une autre idée de narration; et surtout que je simplifie au maximum les phrases et le style, quitte à améliorer ensuite (et pas faire du très lourd très indigeste trop ampoulé).Là les héros courent... où ??????????? Après quoi, ils se cachent contre des troncs par la suite, Kirla tire sur quelquechose, Iliaron le ceinture... on est perdu, que se passe-t-il ? Dans des scènes du genre poursuites éperdues, il faut toujours que le lecteur puissent avoir un oeil sur ce qui se passe devant, les poursuivis, et derrière, les poursuivants... ici on ne suit que les poursuivants du coup on ne sait pas après quoi ils courent. Tu nous as parlé d'une ombre que distinguait Kirla mais où ?
Ma prétention d'auteur qui sait tout sur son récit me perdra :o ! Diantre, encore des précisions à ajouter!Puis vient le passage avec Arthur, tu décris quelque peu l'endroit à grand renfort de métaphores mais au final on ne sait pas où il se trouve géographiquement. Bien sûr il ne le sait peut-être pas mais il peut faire des hypothèses, en avoir une idée, pour que le lecteur s'en fasse une aussi, quitte à ce que ce soit faux et infirmé par la suite...
Pour la "torture" là encore on ne voit pas la scène...
Tu ne peux savoir à quel point cette décomposition m'aide!!! Sans rire, cela me permet de bien voir les défauts et choses à améliorer! Et puis, je découvre aussi ce qui 'accroche' le lecteur, et ce qui le laisse plus froid.Au final tu as passé du temps à raconter beaucoup de choses sans grand intérêt (les discussions entre le trio d'elfes) et tu as zappé ce que nous voulions savoir : Arthur et Geoffrey que l'on a suivit dans tout le premier cycle et que l'on retrouve en de minuscules passages...
Je reprends ton plan :
- Vol des sangliers
- Poursuite de Kirla et Iliaron
- Conseil des Elfes
- Départ à la chasse/recherche des voleurs
- Geoffrey se fait interroger (où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?)
- deboires du trio d'elfes
- chasse
- "torture" d'arthur (où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?)
- Retour d'Imladrick de la chasse
- Réponse à l'appel au secours par une tribu d'elfes
Idem pour là, au moins je sais ce que je ferais ce soir (si je trouve le temps, mais, ô joie, j'ai un week-end de deux jours, je peux bien écrire un peu! )Au final, dans ce chapitre tu nous as décris les décors en détail et montré ce qui se passait entre le trio d'elfes.
Ce que le lecteur voulait c'était :
- une description de la "poursuite"
- un état de la gravité des choses (y a-t-il déjà eu un vol de cet ordre, quel gravité cela a que les gardiens se fassent passer...)
- une torture détaillée de Geoffrey (quitte à passer sur le sadisme par l'aveuglement de Geoffrey dû à la peur/souffrance), les questions/réponses donc
- passer sur le moment de chasse des elfes qui casse le rythme du texte avec le départ
- des explications sur la torture d'arthur (où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?)
Merci à vous deux pour ces critiques constructives: voilà ce qui me pousse à écrire encore: une critique et non simplement des compliments: je me dis que je peux améliorer des passages, et cela me donne vraiment envie d'essayer et de persévérer!
Iliaron, qui devrait imprimer les textes de MAJ pour critiquer à son tour!
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- Krycek
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- Messages : 2935
Tu remarqueras que j'ai eu beaucoup de critiques de ce genre pour Pandémonium concernant les personnages. Ce pourquoi je me permet de le relever pour monthy3 et toi, maintenant que j'ai cerné la chose.Iliaron écrit: ok pour le début: en tant qu'auteur, cela m'apparaît logique, j'oublie toujours que les lecteurs n'ont pas la même connaissance de mon récit (bizarrement Sourire
Le peuple demande toujours du sang.Iliaron écrit: Ah mais, soyons sadiques, on demande du sang, donnons-en Maléfique !
Ici la torture sont les seuls passages qui nous semblent faire avancer l'histoire, autant en profiter !!! Je ne sais pas si tu as lu Terry Goodking et "La pierre des Larmes", le héros subit une torture pendant 3 chapitres et je peux te dire que ça te fous vraiment les boules. Bon ici ce n'est pas le but, mais rien n'est ennuyeux si ça apporte quelquechose à l'histoire.
Non en fait les dialogues entre persos sont très agréables à partir du moment où le lecteur a déjà eu le temps de s'y attacher, à ce moment là inclus les dans les temps morts, les temps d'attente irrévocables. De plus ce sera encore mieux vu du fait que l'on se dit que tu trouves toujoursle moyen de combler ces passages à vides... toute une alchimie en somme.
J'ai beau avoir enregistré les topics web avec vos critiques sur Pandémonium, j'ai du mal à me motiver pour modifier les 4 derniers chapitres. ( en plus on me demande la suite et en ce moment j'ai surtout des idées pour Le Roi Phoenix, je me demande comment je vais faire quand je vais avoir un job !).Iliaron écrit: Idem pour là, au moins je sais ce que je ferais ce soir (si je trouve le temps, mais, ô joie, j'ai un week-end de deux jours, je peux bien écrire un peu! Très content )
Merci à vous deux pour ces critiques constructives: voilà ce qui me pousse à écrire encore: une critique et non simplement des compliments: je me dis que je peux améliorer des passages, et cela me donne vraiment envie d'essayer et de persévérer!
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- Monthy3
- Auteur du sujet
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- Messages : 673
Comme je l'ai écrit, ce n'est pas si gênant. C'est juste que pour un récit de cette qualité, c'est dommageEt bien, il faut que je me fasse greffer un Bescherelle Embarassé !
Bah, euh, moi, j'avais comprisCitation:
Une flèche, Deux bêtes ?!!! Il est fort lui...
Iliaron tire aussi, mais ce n'est pas dit. Je pensais que ce serait compréhensible, et bien non Roulement des yeux .
Ca, c'est surtout dû au fait que les chapitres ont été publiés de façon très espacée. Je suis sûr que si nous les avions lus les uns à la suite des autres sans interruption, nous nous en serions rappeléCitation:
Pour le passage avec Geoffroy, tu nous décris un bon paragraphe le mur, le plafond, le décors quoi mais on ne sait pas/plus où il est et une bref rappel de qui est Malak du genre "Le chef ennemi assaillant leur château" serait le bienvenue. Après ce détail des lieux, Geoffroy se fait torturer et là rien
ok pour le début: en tant qu'auteur, cela m'apparaît logique, j'oublie toujours que les lecteurs n'ont pas la même connaissance de mon récit (bizarrement Sourire )
Très bonne idée, à mon avis !En plus, cela me permettrait de bien agir par contraste avec Gontrand, entre Geoffroy qui souffre mais qui parvient à résister en serrant les dents, et Gontrand qui se déconnecte littéralement de la réalité.
@ Krycek
Là encore, je pense que l'espacement entre les chapitres y est, sinon pour tout, du moins pour quelque chose dans cette "perdition" du lecteur. C'est étonnant, quand même, ça arrive à tout le mondeTu remarqueras que j'ai eu beaucoup de critiques de ce genre pour Pandémonium concernant les personnages. Ce pourquoi je me permet de le relever pour monthy3 et toi, maintenant que j'ai cerné la chose.
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- Zarathoustra
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- Messages : 2081
Je rejoints les autres en disant que tu te distrais beaucoup trop sur des micros évéènement qui finissent par être plus développé que les vrais évéènements.
Je pense que tu as le défaut de vouloir trop analyser lemoindre fait et geste. Il faut certainement plus d'equilibre. Du coup, je trouve des scènes très maladroitement construits.
Il y a, un peu en conséquence de ce qui précède, aussi une impression que les dialogues ne sont pas toujours utiles. Je te donnerais des exemples si j'ai le temps.
Bref, si je devais faire un conseil: apprends à couper! Il faut apprendre à savoir développer ce qui est important mais aussi couper ce qui ne l'est pas forcément ou du moins ce qui peut affaiblir une scène. Pour ma part, il m'arrive parfois de couper mais de recoller des passages plus loin. Il est difficile de jouer sur tous les niveaux en même temps: le psychologique, l'action, les descriptions, les interactions, le background. J'ai l'imprssion que tu n'as pas fait de choix et que tu as tout voulu mettre. J'en reviens à cette notion d'equilibre. Ce chapitre ne l'est pas parce que, lorsque je l'ai terminé, je n'ai pas eu de passages vraiment marquants. J'ai à peine retenu ce qui s'était vraiment passé.
Donc quand tu fais une scène, fais des choix. Si c'est de l'action, ne mets pas trop de psychologie et de background ou de descriptions. Parce que sinon l'action est complètement desincarné. Tu peux mélangé mais ne mets pas tout, or j'ai eu à plusieurs reprises cette impression.
Je tacherais de revenir te faire des commentaires plus précis mais je n'ai pas mes notes sous la main.
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- Zarathoustra
- Hors Ligne
- Messages : 2081
Iliaron, que Kirla considérait comme valeureux après l’avoir sauvé, comme un être contre lequel venait s’échouer doutes et peurs sans l’amoindrir, découvrait ancré dans le timbre de sa voix une note de terreur. Plus que le hurlement strident qui l’avait réveillé, cela lui fit comprendre le danger, et il raffermit sa prise sur son arc, presque au point de le briser.
Exemples de scènes où dialogues et textes se courcircuitent:
On a l'impression que les dialogues sont artificiels et que tout est un peu trop surligné. Au final, je suis sûr que tu gagnerais en efficicacité en coupant dedans. Par exemple, le terme "à cette réplique" me parait inutil. A toi de t'appuyer sur le dialogue, à l'utiliser pour faire comprendre ce que tu veux passer plus que d'expliquer lourdement. Du coup, ton dialogue n'est pas dynamique, alors que c'est leur fonction que de rendre vivant un texte.Alors qu’ils s’approchaient de l’échelle de corde, Kirla pressa le bras d’Iliaron, et murmura :
« - Imladrik, il doit savoir... »
« - Pas de temps à perdre ! »
A cette réplique, Kirla sentit son sang affluer dans chacune de ses veines, et des vagues de terreur se déchaînèrent à nouveau. Il avait appris à obéir à l’autorité, à lui rapporter chaque fait suspect. Et en cette nuit, il devait bafouer toutes ses habitudes ancestrales. Mais surtout, il s’apprêtait à s’élancer face à un danger inconnu !
« - Viens, et ne baisse jamais ta garde ! »
Les deux elfes sautèrent lestement dans la clairière, et se collèrent aussitôt contre les trois troncs. Des hennissements se faisaient entendre dans la profondeur de la forêt.
« - Surtout, ne panique jamais, tu m’entends ! Jamais ! »
Et il bondit en avant.
Autre exemple de dialogue qui me parait assez terne:
Je suis certains qu'on peut faire passer tout ce que tu souhaite plus simplement et en faisant plus court. Je dirais que c'est très bien sur le fond parce que tu veux faire passer pas mal de choses mais que la forme n'est pas adapté. Il faut que tu apprennes à faire plus sobre et plus simple.Kirla permit aux deux amis une minute de calme, avant d’interrompre leur étreinte.
« - Il faut prévenir la tribu. Une chance que nous nous soyons réveillés ! »
lith opina du chef, puis essaya de calmer l’atmosphère tendue.
« - C’est bien la première fois que je considère un réveil intempestif par des maux d’estomacs comme chanceux. »
« - Pour ma part, un cauchemar s’en est chargé. »
« - Vous appelez cela de la chance ? Se réveiller en plein tourment ? »
« - Allons prévenir Imladrik ! » coupa Alith, évitant de nouveaux sanglots inutiles.
Kirla les précéda. Iliaron se pencha vers sa fiancée, et souffla :
« - Tu avais vraiment tant mangé que cela hier ? »
Une expression résignée apparut sur le visage de la femme, qui nia finalement.
« - C’est tout autre chose, comme toi j’imagine. »
Puis elle se tut et monta à l’échelle de corde.
Tiens, encore un passage où les dialogues sont bof:
« - Je cherche les coupables, un peu comme tout le monde. »
« - Sois-en sûr, ce sont des humains. Reste à trouver lesquels. Mais cela, Imladrik s’en charge, et lorsqu’il part en chasse, il ramène toujours sa proie ! »
« - Alors nous n’avons pas à nous inquiéter. »
« - Non, nous n’avons nulle bile à sécréter. Il ne reste plus qu’à aiguiser nos armes et polir nos armures. Nous vaincrons le temps venu. »
Kirla opina, aucunement rassuré. Si un sanglier le terrorisait, comment se tiendrait-il face à un homme armé et prêt à le tuer
C'est sans doute sévère. Mais je crois que ces dialogues et parfois ces excès de style ont contribué grandement à l'impression que ce chapitre manquait de souffle.
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- Falc'hun
- Hors Ligne
- Messages : 402
J'ai lu le récit dans les premiers jours après la MAJ et si je me souviens bien, j'ai dû relire le chapitre pour bien tout comprendre. J'ai trouvé que c'était assez confus et je me suis retrouvé un peu perdu. Mais point de jugement hatif, penchons nous de plus près sur le texte.
Toutd'abord le cauchemard, je l'ai trouvé assez intéressant, pas mal fait du tout et un peu dérangeant comme le sont les cauchemards.
Puis vient la première partie avec la découverte de ce qui se passe et une scène d'action assez confuse. Tout d'abord lorsque Kirla aperçoit une ombre puis se retrouve avec une dague sur la nuque. J'ai tout d'abord cru qu'il y avait trois protagonistes dans cette scène. De plus même si je me représente à peu près l'habitat, j'ai eu du mal à me représenter où dans l'habitat se passe cette scène, dans un couloir? Une chambre? Une pièce commune?
Puis les deux Elfes sortent (Où est passé le troisième, ou alors il n'étaient que deux?)
Puis là on à l'impression qu'ils se mettent à courir un peu partout comme deux poulets effrayés par un renard. Puis intervient le troisième personnage, qui, bonne surprise est une femme. en fin c'est ce que j'ai cru comprendre au début puis après j'ai été un peu perdu parceque comme elle n'est pas nommée dès le début, on peu croire qu'Alith et la femme elfe sont deux personnes bien différentes. Je reviendrai sur son cas un peu plus tard.
Autant les scènes d'actions de la première partie des "septs compagnons" m'avaient enthousiasmé, autant là je me suis perdu en route.
Que dire des réactions des personnages dans cette partie, sinon qu'elles sont assez cohérentes et plutôt bien rendues. Dans ce contexte d'urgence Kirla domine sa peur même si elle lui tenaille l'estomac. Iliaron que je soupçonnait un tantinet fragile montre qu'il aurait bien besoin d'un psy, et je dis pas ça parceque je suis en fac de psycho. Le comportement d'Iliaron peut paraitre biz z arre, mais les explications que tu donnes par le rendent très cohérent. Quant à Alith, quand on réussi à comprendre qu'elle est la petite amie d'Iliaron, sa réaction face à la "crise" de son compagnon est logique et naturelle.
Par contre:
J'arrive pas à savoir si ils se sont engueulés ou s'ils on fait une partie de jambes en l'air... D'un côté Iliaron semble assez complice, et de l'autre Alith est distante. Du coup le contraste entre les deux rend la chose assez confuse.Iliaron se pencha vers sa fiancée, et souffla :
« - Tu avais vraiment tant mangé que cela hier ? »
Une expression résignée apparut sur le visage de la femme, qui nia finalement.
« - C’est tout autre chose, comme toi j’imagine. »
Puis elle se tut et monta à l’échelle de corde.
Puis vient la scène dans l'habitat, pas grand chose à redire. Ici la scène se déroule fluidement et assez logiquement. Le chef est relativement charismatique, les réactions de la foule sensées.
Ensuite Iliaron emmène Kirla chasser. Par contre je pense que tu aurais pu étoffer le passage où Iliaron envoie ballader sa copine. Par un dialogue et une véritable dispute on aurait mieux compris par la suite le malaise et le ressentiment d'Iliaron quand celui ci voit que Kirla et Alith s'entendent bien.
Pendant l'épisode de chasse, la tention entre les personnages descend d'un cran, comme quoi une occupation ça aère l'esprit. Les quelques petites touches d'humour sont bien vues et lèvent un peu la noirceur qui dominait jusque là.
Pour ce qui est du comortement des personnages lors de cette partie l encore rien à redire. Le tout me semble assez logique: Alith fait preuve de caractère, mais pour suppporter cette tête à claque d'Iliaron, il en faut. La tête à claque en question qui était furieux contre les humains devient encore plus furieux envers lui même car il se rend compte qu'il agit comme un vrai con. Kirla quant à lui essaie de garder son propre cap dans les remous causés par Iliaron
Ensuite nous voici dans la salle de torture qui ressemble très bien à une salle de torture. Je trouve que ce passage et l'idées sont vraiement intéressants. D'une part pour nous rappeler que d'autres personnages sont dans une situation plus que difficile. De plus cela éveille notre curiosité et m'a fait dire. Oula, dans quel état on va le retrouver. Ceci dit il aurait pu être judicieux de replacer le contexte par une phrase du style: "Voilà deux jours quele jeune homme avait été remis au roi..." Sinon je trouve que ce flash assez court est très cinématographique, en quelque lignes on prend conscience de la situation sans qu'il y ait pou autant besoin de s'attarder sur la torture. Y rester plus longtemps aurait peut être faussé le fait que cette deuxième partie semble avant tout basée sur le elfes. Ceci dit il ne faudra pas oublier de revenir sur les conséquences psychiques et physiques de la torture. Peut être même réaliser une vraie scène plus longue par la suite.
Pour ce qui est de la partie de chasse entre Kirla et Alith je n'ai pas grand chose à redire. Les relations entre les personnages passent bien et grâce à de la bonne volonté des deux côtés la crise émotionelle passe. Néanmoins il serait bienvenu qu'Iliaron s'excuse au moins auprès de sa chère et tendre.
Le seul petit truc qui m'a pedu dans ce passage est:
Les bêtes étaient effectivement présentes, au grand damne de Kirla.
Tu saute directement de la forêt aux alentours de l'habitat. Du coup on met un moment à se ressituer.Pendant que celui-ci engageait un bras de fer acharné pour marchander la moitié de son repas, Iliaron restait couché à terre, perdu dans ses pensées
La deuxieme scène avec un "vieux" personnage renforce l'effet de la première: Vivement la suite!
Et finalement l'arrivée des alliés qui laisse en suspend l'histoire jusqu'au chapitre suivant.
Je crois que l'une des grande raison de la confusion dans ce texte tient beaucoup à la première partie: Il y avait trois personnes dans le couloir, ou seulement deux. Puis arrive Alith, mais c'est qui? Il/Elle était la troisième personne lors de l'altercation dans l'habitat? Apparemment c'est une proche d'Iliaron. Même si après tout s'éclaire à peu pres, cette partie laisse une impression de confusion qui reigne lors du reste de la lecture.
Je crois qu'Alith aurait mérité une introduction un peu plus travaillée et détaillée pour qu'on puisse vraiment la situer et comprendre son rôle à la fois dans l'histoire et aupres d'Iliaron.
Ceci dit les relations entre les personnages et les peronnages eux même me paraissent bien pensés, naturels et cohérent. C'est vraiment le point fort du texte, une fois qu'on à compris le rôle et l'influence de chacun.
Quelques petits trucs qui m'ont frappés.
La phrase ne colle pas avec le reste et un plus que parfait (enfin je crois) "ça aurait été stupide" irait mieux.Et ce serait stupide de s’élancer seuls contre des dizaines d’agresseurs.
Petite répétition de "suite"Je pars de suite avec mes fidèles gardes à leur suite.
Et une autre qui me plaît particulièrement.
Pas mal du tout je trouve.d’assourdissants chuchotements,
pour conclure, je dirai que même si la forme laisse à désirer, le fond quant à lui et nottament les relations entre les personnages sont excellentes. Ceci dit j'espère que tu as encore une certain nombre de chapitres à faire, parceque se donner tant de mal pour détailler des personnages mérite que l'histoire dure un petit moment.
Je crois que c'est tout, ceci dit il y a un vrai potentiel et j'ai hate de connaitre la suite.
PS: Pour ce qui est du prologue que tu as également publié, il apporte certains éléments de réponses mais en pose de nouvelles. On entraperçoit un lien entre les deux histoires, mais du coup on se demande pourquoi tant de haine. Un ajout ma fois bien intéressant.
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Et bien, je vois que tout le monde s'accorde sur la confusionde la scène, il faudra donc tailler dans le lard pendant les vacances! Cependant, je remarque qu'entre Zara et Falc'hun, les nuances sont importantes (et intéressantes!).
Pour Zara: en fait, je me suis vraiment perdu dans l'attente du chapitre 3, où ça va (enfin) se mettre à bouger dans le petit monde tranquille des elfes, avec aussi du background pour mieux comprendre le monde (ça permettra déjà de saisir la haine entre elfes et hommes...).
Et puis, comme j'aime vraiment écrire sur la personnage et développer la psychologie, je me suis attardé. Seulement, j'ai laissé sûrement trop de sous-entendus qu'en l'état de l'intrigue vous ne pouvez pas comprendre, et donc qui vous embrouillent... Surtout que les sous-entendus sont souvent tellement sous-entendus que d'un, il faut les voir, d'autre part, il faut les comprendre...
Et puis, c'est vrai qu'il ne se passe pas grand chose, en revoyant rapidement, je vois à quel point je me perds dans des longueurs. D'ailleurs, avec les chapitres que tu as cité, je vois aussi les grandes erreurs que j'ai fait. De même avec la scène du début, où c'est criard: Iliaron est à la fois devant et derrière. Impressionnant comme capacité, si c'était voulu...
Je ne sais toujours pas comment je vais réécrire, mais il est certain que je vais prendre en compte les commentaires et bien revoir point par point les erreurs! (en espérant améliorer, mais visiblement il est dur de faire pire^^)
Pour revenir sur les passages cités, oui, c'est assez minable pour certains... Ca se traîne, et mon habitude de délayer me perdra un jour!
Pour Falc'hun:
Je ne reviens pas vraiment sur ce qui te va, mais sur le reste.
Alors, au début, la scène se passe dans un couloir, où Kirla essaie de se cacher (disons que, dans ma vision, un couloir dans un arbre n'est pas très droit et il y a des recoins nombreux. Et il n'y a que deux elfes (donc, si tu n'as pas compris ça, j'ai vraiment mal écrit, et en plus tu ne peux que saisir biz z arrement la suite...)
Pour l'action confuse, je ne savais pas vraiment comment faire: ce chapitre est un peu de la non-action, car les elfes savent dès le début qu'ils ne peuvent rien faire, et ils essaient quand même, mais sans y croire... Je pense qu'il faudrait que j'insiste plus sur ce caractère désespéré, poussé par la haine au début...
Ensuite, passons à Alith. Déjà, je vois qu'il faut que je précise vite qu'elle la petite amie d'Iliaron, ou du moins tout comme... Et puis, il faudra que je la présente, mais sûrement pas la première fois (les personnages n'ont pasl'envie de se regarder), mais par la suite, par le regard d'Iliaron ou de Kirla, c'est selon.
C'est quasiment impossible à comprendre tant il y a de sous-entendus qui concernent l'intrigue et la relation des deux personnages. Je pense garder l'idée, mais changer la présentation, histoire de bien faire comprendre au lecteur que ce passage est important et recéle plus qu'il n'en donne l'air, mais que pour l'instant il ne peut pas comprendre (ça serait pas drôle si dès le deuxième chapitre je révèle ce qui intervient dans une dizaine de chapitres^^).J'arrive pas à savoir si ils se sont engueulés ou s'ils on fait une partie de jambes en l'air... D'un côté Iliaron semble assez complice, et de l'autre Alith est distante. Du coup le contraste entre les deux rend la chose assez confuse.
Pour la chasse, je compte réécrire de nombreuses choses, tout en gardant, ou du moins en imitant ce que tu trouves bon. Du moins, je vais essayer, chose nouvelle, de faire un plan pour l'évolution de tension entre les personnages, là je l'avais fait, disons, à l'inspi et sur le moment, en une demie-journée, d'où un résultat plus qu'aléatoire.
Ensuite, la torture. Au début, je vais clairement préciser, histoire de remettre les idées en place. Quand à allonger, quand je compare ta critique à celle de krycek, je vais y réfléchir. En même temps, je ne suis pas sûr de réussir à développer de manière intéressante une scène de torture, et comme elles sont assez nombreuses (cinq en tout dispersées sur le chapitre 2 et 3), si je développe trop, ça risque justement d'être... trop (si si, j'vous jure!))
Oui, c'était très maladroit de ma part!Tu saute directement de la forêt aux alentours de l'habitat. Du coup on met un moment à se ressituer.
Ce début, je vais le réécrire entièrement (le problème, c'est qu'avec ta critique j'ai une furieuse envie de m'y atteler dès maintenant, mais en même temps, le spectre du DS de physique loupé et de l'interro de maths où j'émerge difficilement à 7 me refroidit un peu...)Je crois que l'une des grande raison de la confusion dans ce texte tient beaucoup à la première partie: Il y avait trois personnes dans le couloir, ou seulement deux. Puis arrive Alith, mais c'est qui? Il/Elle était la troisième personne lors de l'altercation dans l'habitat? Apparemment c'est une proche d'Iliaron. Même si après tout s'éclaire à peu pres, cette partie laisse une impression de confusion qui reigne lors du reste de la lecture.
Franchement, c'est ce que je préfère dans un texte, faire intéragir les personnages au sein d'une intrigue pas forcément complexe. Je pourrais tenir longtemps, seulement ce ne serait pas vraiment passionnant. Ensuite, le problème sera de ne pas s'y perdre... (ou alors, tuons en la moitié, ce sera plus simple... )Ceci dit les relations entre les personnages et les peronnages eux même me paraissent bien pensés, naturels et cohérent. C'est vraiment le point fort du texte, une fois qu'on à compris le rôle et l'influence de chacun.
Je précise quand même que c'est voulu, celle-là (mais pas la répétition de suite, par contre )d’assourdissants chuchotements,
Je n'ai pas encore fini et j'en suis à bien un million de caractères, et quand je réécris, immanquablement j'allonge. Alors tu n'as pas de soucis à te faire de ce point de vue là. J'espère juste que ça te plaira encore !pour conclure, je dirai que même si la forme laisse à désirer, le fond quant à lui et nottament les relations entre les personnages sont excellentes. Ceci dit j'espère que tu as encore une certain nombre de chapitres à faire, parceque se donner tant de mal pour détailler des personnages mérite que l'histoire dure un petit moment.
Le prologue sert justement de lien entre les deux histoires qui pourraient sembler sinon très distantes. Et puis, je me suis bien amusé à introduire des personnages pour les tuer aussitôt après (bon, j'ai du l'écrire trois fois pour réaliser un résultat 'convenable', mais bon, si ça plaît, ça me convient ).PS: Pour ce qui est du prologue que tu as également publié, il apporte certains éléments de réponses mais en pose de nouvelles. On entraperçoit un lien entre les deux histoires, mais du coup on se demande pourquoi tant de haine. Un ajout ma fois bien intéressant.
Et puis, pour la haine, c'est, à peu de choses près, l'intrigue principale ('fin, beaucoup beaucoup de choses se mêlent dans l'intrigue, les actes en impliquant d'autres...)
Iliaron
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- Falc'hun
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De rien, j'avais peur d'y être allé un peu fort.Tout d'abord, merci à vous deux
Je pense qu'une description avec un ou deux caractères spécifiques serait assez interessante pour bien se la représenter.Ensuite, passons à Alith. Déjà, je vois qu'il faut que je précise vite qu'elle la petite amie d'Iliaron, ou du moins tout comme... Et puis, il faudra que je la présente, mais sûrement pas la première fois (les personnages n'ont pasl'envie de se regarder), mais par la suite, par le regard d'Iliaron ou de Kirla, c'est selon.
De plus, tu pourrais même dans le cadre d'une réécriture l'introduire pendant la banquet qui suit la chasse.
En tout cas, ce genre de scène est très utile pour donner de la profondeur à une relation entre deux personnages. D'un coup ils passent d'amants à un couple qui se fréquente depuis un moment.C'est quasiment impossible à comprendre tant il y a de sous-entendus qui concernent l'intrigue et la relation des deux personnages. Je pense garder l'idée, mais changer la présentation, histoire de bien faire comprendre au lecteur que ce passage est important et recéle plus qu'il n'en donne l'air, mais que pour l'instant il ne peut pas comprendre
Aïecomme elles sont assez nombreuses
D'où l'avantage des partiels qui ont lieu seulement deux fois dans l'année dans le meilleur des cas.le problème, c'est qu'avec ta critique j'ai une furieuse envie de m'y atteler dès maintenant, mais en même temps, le spectre du DS de physique loupé et de l'interro de maths où j'émerge difficilement à 7 me refroidit un peu...)
Oui mais en même temps les morts ça fait pas beaucoup avancer l'intigue... Et puis zut, du pain et du sang pour le peupleou alors, tuons en la moitié, ce sera plus simple
C'est d'autant plus remarquable.Je précise quand même que c'est voulu
Euh, torture, meurtre gratuit. Tu es sur que tu ne te transforme pas les nuits de pleine lune?je me suis bien amusé à introduire des personnages pour les tuer aussitôt après
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- Imperator
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En fait, ça m'a amusé, parce que je me disais:anisé, il observait l’être se mouvoir, insaisissable, tel un nuage ballotté par des vents contraires. Soudain, une nouvelle forme apparut aux côtés de la première. Après quelques instants, les deux s’avancèrent tels des monstres mortels... ou bien comme des amis...
""Tel un nuage ballotté par des vents contraires", je trouve ça un peu lourd comme formulation, d'un style par trop amphatique."
Et juste après:
"tels des monstres mortels" et qui plus est: "comme des amis".
En gros, une répétition, un style légérement lourd et le manque de fluidité entre "monstres mortels" et "amis" (encore que ce dernier point soit plus subjectif que le reste ).
Bref, j'entame ma lecture et ma critique du chapitre 2 .
Tiens, à l'oreille j'aurais dit "qu'il n'ait rien rangé la veille" ou "il se félicita de n'avoir rien rangé..."Une chance qu’il n’avait rien rangé la veille !
La première virgule me sembvle de trop, les deux autres me semblent trop hachurer l'action (comme si le héros prenait le temps d'observer les dormeurs) qui se devrait au contraire être rapide et fluide (comme une course durant laquelle on ramrque un détail sans s'y arrêter).Il s’habilla à toute vitesse, avant de s’engager dans divers embranchements. Il longea l’écorce des couloirs, dans lesquels sommeillaient profondément les festifs elfes, avant de finalement découvrir ce qu’il cherchait.
Là, par contre, elles sont réellement utiles et bien placées à mon goût .Comme dans ses chimères maladives, la forme se détachait de plus en plus nettement, comme si, écorchée vive de ses rêves, elle venait s’écraser à ses pieds tremblants, bien réelles.
***
D'accord d'accord... Que dire? L'alternance elfes/humains est plûtôt chouette, même si la seconde torture me semble assez étrange. Pour les moins capables de pitié, ce peut même paraître amusant. Peut-être faudrait-il plus approfondir ce passage. (à vrai dire, je me demandais quel était le sens de cette torture spéciale, mais je crois pouvoir d'avance dire que tu avais simplement envie de la mettre parce qu'elle te plaisait).
La conduite des elfes est intéressante (rage animale, retour au calme, très très humanisés, comme toujours). De même les allusions avec Kirla. Beaucoup de dialogues, je ne m'y ferais sans doute jamais, mais ça donne une touche au récit et ce n'est pas plus mal.
Franchement, ce n'est pas mal. En allant chercher dans la précision, passage par passage, on pourrait relever certains moments trop peu approfondis, où l'atmosphère aurait gagné à être mieux étudiées, mais dans l'ensemble on se fait une idée.
De même, je suis parfois ennuyé par ces continues remémorations de Kirla:
Une heure, une seule petite heure avait passée. Et pourtant, en cette seule heure, Kirla avait vu plus de changement que pendant deux siècles. La forêt profanée, les réserves pillées, les éclaireurs tués... Et désormais, son père était parti en terre humaine
Deux exemples... on y apprend certes une ou deux informations supplémentaires, mais on nous rappelle aussi quelque chose qui vient de se passer, un peu comme dans ces dessins-animés (j'ai regardé tout SonicX en anglais y a pas longtemps) où le héros prend sans arrête la peine d'expliquer le pourquoi du comment pour ceux qui n'auraient pas vu tous les épisodes. Mais ici, c'est carrément sur quelque chose qui vient de se produire.Suivant l’Inath, Kirla songea à nouveau à son ami. Les humains avaient anéanti chacun de ses rêves. Sa famille avait été décimée, de même que son meilleur compagnon. Et il avait trouvé la force de résister à toutes les pulsions meurtrières qui l’avaient envahi
Ceci dit, ça a aussi son charme, mais il faudrait prendre le temps (il me faudrait prendre le temps) de l'étudier et de le comprendre. M'enfin, comme ça, en première lecture, ça m'a choqué.
Enfin, toute la question d'Iliaron... À part l'expression "je suis vanné", je n'ai rien remarqué d'étrange dans tous ces passages. J'aurais introduit les choses légérement différemment, mais franchement c'est bien à mes yeux, ça convient.
***
Donc si je me résume, un truc un peu long (sorte de transition avec arrêt sur le trio Iliaron, Kirla et Alith) mais intéressant, pleins d'indices, de détails et d'autres informations sans réelles avancées, sinon l'arrivée des autres tribues. Pour une transition, je dois même dire que c'est vraiment réussi (pas facile de faire une transition qui intéresse, surtout de cette taille).
Et je me tâte toujours sur l'utilité de cette fameuse torture . Mais je me souviens d'avoir déjà entendu parler de ces êtres qui pourrissent dans la fange...
Bref, gaffe un peu à ne pas trop en faire sur le style, n'hésite pas à être naturel plutôt que de chercher automatiquement la plus belle formulation et continue à approfondir les personnages. J'ajoute que je m'intéresse beaucoup à tes elfes et que chaque détail sur leurs moeurs est retenu (pour le moment, j'ai toujours de la difficulté à les cerner, on dirait vraiment des hommes avec une morale un peu différente, sans plus).
Impe, court mais qui manque de temps, a la dalle, déteste halloween et est carrément crevé .
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