[Mai 2007] Flammes - Feurnard
- gilfuin
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Ya des formules que j'aime bien et celle de ta première phrase me plait beaucoup.
Une puis deux puis quatre puis six et dix forteresses aux cinq enceintes de la cité, les vingt-trois citadelles et les mille et six cents tours des murailles crénelées encerclaient les habitations
L'effet de cascade fait entrer directement dans la description. Une très bonne accroche à mon avis.
La suite est toujours bien écrite...j'ai juste remarqué que tu passais de la vue générale à l'apercu de Tsarra un peu trop rapidement. Du moins, peut etre que la cascade gigantesque nous mettez en droit d'attendre une description plus progressive.
M'enfin, j'ai senti qu'ici la description n'était qu'un outil à...à quoi?
On verra après.
Hop, j'ai noté :
"L'habitante"
Je comprends qu'à travers tes multiples descriptions, tu ressentes le besoin de désigner tes personnages par d'autres termes...mais me vient une question : "Pourquoi habitante???"
C'est cet aspect là le plus important du personnage? ou du moins le trait qu'il faut faire remarquer? Toi qui n'aime pas t'embarrasser avec ces futilités...pourquoi aller chercher l'habitante pour représenter une guerrière fanatique et candidate au sacrifice divin.
Alors certes, c'est p'tet aussi pour la progression mais bon...
raides de même qu'immobile
Ca sonne comme une répétition ca.
Ah ben là, d'un coup on apprend que c'est une jeune dame. Pourquoi ne pas l'avoir utilisée plus tôt.jeune dame
Ok, tout ceci n'est qu'accessoire et ca passera pour du chipotage, mais je crois que ce coté "accessoire" de certains des éléments de ton histoire, font que parfois tu n'y prêtes pas plus d'attention. Ca n'enlève rien au fait que tu écrives bien, mais on se dit "Oué, ben ca en gros, il s'en fout complet".
Toutes riantes quand elles se tenaient les mains
J'avais déjà dû mal à m'imaginer le contexte, la scène et l'univers...renforcée par le fait qu'on apprend plutard que ces dames "s'entrainent", et ont donc un aspect guerrier.
Mais alors...j'imagine vraiment mal, même après relecture, comment elles en viennent à jouer les "précieuses ridicules" dans le prologue d'une réunion qui...on verra ca tout de suite.
Si l'interet était de renforcer une certaine "innocence" de la part de ces "cousines, cousins"...je trouve que le mélange avec l'entrainement et autre coté assez guerrier est assez contradictoire. Mais c'est peut être simplement mon esprit étroit qui a dû mal à faire le mélange.
la féline
A quel moment c'est devenu une féline?
la plaine de diamants
P'tet une tite majuscule à mettre...histoire de montrer que ca a de l'importance...au moins pour les personnages. Meme si le lecteur doit s'en foutre et que toi aussi.
M'enfin ce sont des détails.
Soudain
Le soudain qui annonce le silence, cachait dans un paragraphe plein de commentaire. C'est fait exprès? ou alors ya un saut de ligne oublié ici?
Est ce que c'est important? dans l'absolu non...mais je l'ai noté.
Après ca j'ai plus trop noté grand chose, je voulais profiter de l'histoire. Enfin j'ai juste coincé sur le :
la farouche habitante
A la limite de l'oxymore...encore une fois l'habitante...décidément, je vois pas l'interêt de cette désignation.
Après fini.
Et j'avoue que j'ai trouvé l'histoire confuse. L'univers en tout cas. Les éléments commencaient pourtant à s'introduire doucement, je pensais même que la part de mystère était voulue...mais elle dessert au final l'histoire car il n'y a pas beaucoup plus d'information après.
Certes, l'objectif était de décrire la dernière journée d'une sacrifiée. Il fallait donc expliquer le contexte dans lequel elle pouvait se trouver pour en venir à l'acte irrémédiable du sacrifice. Un univers médiéval et basé sur des superstitions, des guerres, une maladie (il me semble), bref...la déchéance d'un royaume.
Après, on se fout un peu de savoir si Londant est un type honnete, ou si il fait ca pour manipuler les gens...en fait, on est concentré uniquement sur Tsarra et sa manière de réagir face à cette terrible situation. La fin n'était pas surprenante, mais après coup...je me suis dit que le début péchait finalement car il ne renforce en rien le déroulement psychologique du personnage.
Ya une claire volonté de mettre en opposition le calme et le désordre. Mais ca semble en meme temps très accessoire puisque seul Tsarra nous interesse.
J'ai noté quand même que le passage où elle va à la salle d'entrainement (le trajet), ya une progression très bien faite entre des ruelles très calmes, vers une zone pratiquement sinistrée.
Tsarra y reste totalement indifférente. Quelque soit le décor, elle ne réagit pas.
Du coup le seul moment où elle réagit vraiment, c'est à la fin, lors de la scène avec son amant et la conclusion tragique. Et moi j'avoue que j'ai eu du mal à adhérer. Même si le décors autour (pourtant accessoire) avait été construit pour arriver à cette conclusion.
Après pour les passages hors scène, racontant les événements de "l'histoire" (à la manière de Tolkien), je trouvais l'idée excellente (meme si j'étais perdu un peu en lisant le premier paragraphe) mais il faudrait que je me repenche dessus, car j'en garde un assez mauvais souvenir finalement. Enfin mitigé.
Ca t'aide pas, je sais...
J'arrête là, car il est minuit, et j'ai d'autres commentaires à finir avant...demain.
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- Vuld Edone
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A rien.... la description n'était qu'un outil à...à quoi?
Parce que si elle n'habitait pas cette ville, elle penserait autrement. Je voulais développer ça avec la cousine j'sais-plus-qui et son mari paumé dans un village paumé de schmockland mais élagué."Pourquoi habitante???"
La maladie du double adjectif, sûrement. Faute d'accord avec ça.Ca sonne comme une répétition ca.
Parce que c'est un comparatif social, "jeune" ne devant servir que de distinction, et qui donc ne prend de valeur qu'avec autrui.Pourquoi ne pas l'avoir utilisée plus tôt.
Et on n'aurait pas tort."Oué, ben ca en gros, il s'en fout complet"
Ce sont des précieuses ridicules. Au début, elles devaient se donner des "hugs" (oublié le nom en français), mais avec la maladie, c'était inconcevable.comment elles en viennent à jouer les "précieuses ridicules"
Juste le bonheur de découvrir que l'autre n'est pas mort durant la nuit, angoisse de chaque matin, mais comme dit plus haut, on n'aurait pas tort.
Au moment où "féline" a pu désigner une humaine aux allures de chatte. Substantivé ici, "of course".A quel moment c'est devenu une féline?
Non. Ce n'est pas un toponyme.ca a de l'importance...au moins pour les personnages.
Oui.... caché dans un paragraphe plein de commentaire. C'est fait exprès?
Apparemment tu mets un trait [+ pacifique] à "habitante". J'essaie de supprimer ce trait.décidément, je vois pas l'interêt de cette désignation.
Non, dans mon plan, j'avais écrit : "Une ville en flammes." Si ça avait été "la dernière journée de un tel", alors j'aurais lancé le sacrifice comme présupposé.Certes, l'objectif était de décrire la dernière journée d'une sacrifiée.
Tu appelles ça "la déchéance d'un royaume", et c'est ce que je voulais.
Exact, mais je n'empêche pas la réflexion, bien au contraire.Après, on se fout un peu de savoir si...
Tu réagis, toi, quand les arbres perdent leurs feuilles en automne ?Quel que soit le décor, elle ne réagit pas.
Traduction : elle considère tout cela normal.
Pas vraiment. Il s'agit d'une des quatre histoires (ou cinq) mélangées pour ce texte. Dans une version, je voulais que les passants, au fur et à mesure qu'on remonte les enceintes, annoncent à grands cris ce qui se passait là-haut.mais il faudrait que je me repenche dessus
Et puis j'ai perdu toute motivation et choisi les solutions de facilité.
'Vala quoi.
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- Zarathoustra
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Donc j'ai lu avec plaisir cette histoire, surtout la première moitié au cours de laquelle tu laisses (un peu) vivre tes perso. C'est vraiment quelque chose qui fait défaut à tes textes. Les perso sont trop des objets, ils ne sont là que pour l'aspect fonctionnel ou symbolique que tes idées exigent.
Or, là, tu te donnes de faire vivre une famille, tu sèmes des indices. Et puis il y a Tsara (c'est marrant mais phonétiquement, en allemant on pourrait l'écrire autrement ) que t'es donné la peine de décrire de manière attachante. D'abord femme, puis peu doté d'un statut social, puis après d'une fonction narrative. A pusieurs reprises, tu te permets des (petits) écarts sensuels qui donnent la chair qui fait défaut à tes autres perso. J'ai lu que tu étais très froid lorsque tu lis et que tu écris, ça se sent, et ce n'est pas forcément un compliment. C'est toute la difficulté qu'offre tes textes: des phrases soignés avec du vocabulaire choisi et des tournures etudiés. Tout ça forme une sorte de corcet à tes textes qui couircircuitent la relation affective que l'on peut avoir, et je dirais que l'on aime avoir. Au final, tes textes inspire un respect,une certaine admiration, mais... Tout est dans le mais. Je te dis ça encore une fois pour essayer de t'éclairer (mais en lisant tes commentaires, on peut voir une étrange lucidité (parfois calimeroesque )
Pour revenir au texte, il manque à la 2eme moitié un élément surpise. Mais c'est aussi la force de tes textes: une démarche (trop?) rigoureuse. Tu campes ton décor, les indices sont semés , suffisment précis pour dire ce qu'ils ont strictement à dire mais suffisemment discrets et anodins pour ne pas être insistants, mais la 2eme moitié du texte manque d'un moteur qui troublerait l'ensemble.
Cela dit, je trouve encore une fois ton sujet très intéressant, d'autant plus qu'il y a pas mal de points communs avec mon texte actuel: l'interrogation sur une puissance superieur et sur ce qu'il attend de ses serviteurs. Tu développes des aspects que je n'ai que rarement vu développer aussi précisément et de manière convaincantes.
Maintenant, le plus intéressant dans tout ça, c'est les à-côtés que tu vient (enfin! pourquoi tout ce cuivre...
Je dois dire que ce que tu batis est passonnant une fois qu'on a quelques clés. Je dirais que d'un coup ton travail s'éclaire. Et plus qu'un texte vu en tant que nouvelle, les mettres dans leur ensemble crée effectivement des interactions (que j'avais un peu soulignées) des plus intéressantes.
Ce qu'on ne trouve parfois pas dans un texte, on le comprend mieux dans son ensemble; Par exemple, tu évoques souvent dans tes réponses ta vision morale de la société. Force est de constater qu'un de tes textes prit isolément ne permet pas cette compréhension. Maintenant, nous avons plusieurs tetxtes et peu à peu des choses se dessinent qui ne sont pas forcément stricto sens u dans les textes mais que nous commençons à comprendre. Donc, plus que le plaisir de lire ton texte, c'est le plaisir de saisir l'éclairage sur tout ce que nous avons lu qui prévaut.
Maintenant que je peux cerner cette vue d'ensemble qui fait si cruellement défaut aux premiers textes qu'on a pu lire, il est probable que notre regard sur eux change. En fait pour être intéressant pour toi, il faudrait presque relire les textes et te faire un commentaire rétroactivement sur ce que nous savons maintenant.
Pour revenir à ce que je diais au début, je pense que, malgré tout, tes textes manque un peu d'affect. on te sent trop détaché. Et le lecteur aurait sans doute besoin de quelques éléments qui flatte sa curiosité. Mais pas facil de conciler cet aspect à ton exigence. Je ne pense pas qu'il y ait de réponse ou du moins, elle n'est pas dans mes pouvoirs.
Mais je suis très content que tu t'es un peu devoilé. Je suis certains que nos commentaires pourront t'éclairer davantage. Finalement, je ne t'ai pas beaucoup parlé de ton texte précisément. En fait, c'est aussi parce que je le trouvais bien pour ce que tu voulais en faire. Comme je te l'ai plus ou moins dit, c'est pus sur ce qu'on ne trouve pas qu'il pêche. Tu parles de passion dévorante, d'exaltation, mais on reste exterieur. Pourtant, les choses sont dit de belles façons, mais il te manque cette dimension humaine qui rendrait vraiment ton texte saisissant. Tu restes trop exterieur à tes perso.
Voilà, pour moi, le point d'amélioration principal de ton texte.
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- eLiZ
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Le soleil faisait étinceler le pavage comme les murs marbré des habitations.
Ca manque pas d'un petit "s" ?
Soudain allait retentir, à la suite du massacre au palais, de l’année de fléau, du conseil des Cent, des milliers de suppliques et de la plainte de Johann, la célèbre phrase de Londant, glapie avec violence et qui fit tressaillir et sombre la foule dans un délire nouveau.
Sombre heu... sombrer peut-être ? Ou un truc m'échappe.
Bon, ça c'est fait, la suite.
Intuitivement, mon caractère impertinent te dirait : allons, mon brave, vous savez, il n'y a aucune honte à être humain. A se faire plaisir quand on écrit. A se faire plaisir tout court. ^D^ ^ Non parce que cette froideur, comme je suis une fille psychanalytiquement intensément perturbée, mais qui croit quand même aux ravages de l'inconscient et à quelques pensées de Freud, bref, cette froideur, je ne peux m'empêcher de l'associer à une certaine forme de frigidité - mais attention, on vire toute connotation sexuelle physique là-dedans, je parle d'Eros, de passion, de plaisir, la jouissance de la vie psychique, bref...
Non en plus je sais même pas trop de quoi je parle. On passe. *jète son verre de vodka par-dessus son épaule*
En vrac :
- Quand j'ai lu "rhinocéros" ça a fait tilt je me suis dit "Trop claaaaasse rhinocéros ah ouais et tout et tout et oui et bien sûr et ouais et..." Donc la Nota Bene finale a été pour moi inutile. Oui, j'avais juste envie de dire que ma culture littéraire avait noté ce détail. Bon, j'arrête de me la jouer.
- Mais bon quand il s'agit de Feurnard on pense forcément à la Littérature. Alors, évidemment, les piailleries familiales, moi, j'ai pensé à Proust et les salons de Mme de Guermantes, forcément... Bon, c'est sûrement un raccourci facile.
- Je n'ai même pas lu les chiffres du départ car je me suis dit : bon, c'est de la blague. C'est pas pour se moquer un peu du lecteur des Chroniques ça ? ^D^ ^ Genre : "quoi, oui, ce qui vous fait tripper, là, ces bavasseries de descriptions et bien moi, je vous dis : caca prout. D'ailleurs ça me gonfle en tant qu'auteur de devoir m'attarder sur ça."
Oui bon. Moi je serai presque d'avis de supprimer carrément ces lignes qui n'apportent rien. Ton texte est parfaitement intelligible sans ça.
- Idem pour ce "je bâcle"... Oui, c'est souvent assez désespérant, je le constate trèèès régulièrement, mais ce sont bien les morceaux d'écriture les plus rapidement écrits qui ont, souvent, le plus de succès. Ainsi soit-il. C'est qu'on est sur le ouèbe, et que forcément, l'écran, tout ça, le papier, l'anonymat, nous amène à privilégier l'efficacité avant toute chose. Ou alors c'est bien la spontanéité qui atteint le plus facilement les coeurs. Va savoir. Donc oui, moi, j'ai été séduite par le passage du bain, même si une ou deux phrases supplémentaires ne m'auraient pas chagrinées. Les armes, en revanche, je m'en fichais déjà un peu plus.
- J'ai beaucoup aimé ce texte. J'ose difficilement dire à un potentiel démon qu'il est "supérieur" à bien des choses lisibles sur Internet - mais enfin, s'il est démon, il sait déjà qu'il est au-dessus... à moins qu'il ne naisse même de l'humain ? Bon, bref, ça c'est rien comme remarques, on s'en fiche. Non, j'ai aimé ce texte.
Malgré cette froideur que tu sembles t'imposer à toi-même pour d'obscures raisons - car pour moi, elles me restent obscures... je ne vois pas pourquoi un architecte ne pourrait pas être un peu fougueux - j'ai quand même senti un peu de vivant dans ce texte, qui dépassait ici ou là, notamment dans le côté charnel dont a parlé Zara - non mais un jour, j'arrêterai de commenter tant je suis si souvent d'accord avec ce brave homme.
- J'admets que les multiples correspondances intrinsèques à tous tes textes sont fascinantes. Le foisonnement, les échos, ne peut que forcer à une certaine admiration. Maaaais... que ne donnerai-je pas pour un peu moins de cohérence et pour plus de chaleur ! Et oui, la chair est faible, et en plus je suis une fille.
- Je suis aussi de l'avis d'Aetos... Oui, c'est vrai, le talent me paraît bridé. Par cette froideur justement. Ce fantasme de l'absolue maîtrise qui est, en vérité, impossible, il faut le rappeler. On a beau anticiper toutes les réactions possibles, construire minutieusement sa petite constructions de Lego de sorte qu'elle puisse vue ainsi ou ainsi ou ainsi ou ainsi, il y a toujours de ces riens qui échappent...
- Tu fais bien de t'autocensurer, je m'étais doutée très rapidement au cours du dialogue du dénouement de l'affaire, tout en me délectant de la référence à Ionesco ; nul besoin de voir s'enfoncer la lance dans les viscères de Rhod qui déversaient sur le sol un flot bouillonnant d'hémoglobine, sous les yeux vides, presques absents, de sa belle féline... C'est du détail ça.
- Je me suis demandé si tu n'essayais pas de convenir au goût des lecteurs et que ce désir, qui contredit tes hautes aspirations, qui au fond est un désir un peu médiocre, celui de se faire aimer n'est-ce pas, ne te rend pas un peu... amer, peu enthousiaste, flemmard, et t'amène autant à te contenir ? Bon, j'arrête la psy de bas étage.
En somme, c'est foisonnant, riche, et même beau par moments. Ce n'est pas un démon qui te parle, et je ne pense pas que ce soit un démon qui écrive ce genre de textes. Un petit "hug" peut-être ? ^D^ ^ [size=75:3t7hvmf4](Ce qui veut dire câlin, ce me semble. )[/size]
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- Zarathoustra
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Hum, bon. Bon, écoute, ça me gène, tu sais, je suis marié, j'ai des enfants, dans 6 mois je suis à la retraite... T'as aucune chance ma cocotte, inutile de ma faire du pied... C'est trop tard... Beaucoup trop tard...non mais un jour, j'arrêterai de commenter tant je suis si souvent d'accord avec ce brave homme.
[size=59:xb64cz7j]Heu tu me files ton tel au cas où je sois libre vendredi soir? [/size][/img]
PS:
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- eLiZ
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Zarathoustra écrit:
Hum, bon. Bon, écoute, ça me gène, tu sais, je suis marié, j'ai des enfants, dans 6 mois je suis à la retraite... T'as aucune chance ma cocotte, inutile de ma faire du pied... C'est trop tard... Beaucoup trop tard...non mais un jour, j'arrêterai de commenter tant je suis si souvent d'accord avec ce brave homme.
[size=59:276f174b]Heu tu me files ton tel au cas où je sois libre vendredi soir? [/size]
PS:
^D^ ^ C'est du joli ça !
On floode pas chez les gens d'abord, vieux machin ! Et pis je suis pas géronto !
Je m'en vais nourrir mes 40 brebis, voilà !
Oui non parce que je vis sur une montagne en compagnie de mes brebis. Donc je n'ai pas de tel. Mais j'ai internet, oui oui... les merveilles de la technologie. ^D^ ^
(Ouais, chuis fatiguée. )
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