file [Juillet 2008] L'Echiquier, chapitre 10 - Monthy3

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il y a 16 ans 3 mois #14643 par Vuld Edone
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il y a 16 ans 2 mois #14672 par Monthy3
Bonjour, et merci pour ton commentaire :)

Intéressons-nous donc au passage que tu mets en avant, l'entretien avec N'Mephe. Je dois avouer que j'ai un peu de mal à comprendre ce que tu me reproches : en gros, il y a trop de retournements en trop peu de temps, c'est ça ? Bon, alors il faudrait qualifier ce que tu traites de retournement.
La scène commence avec une N'Mephe qui est déjà au bord des larmes - ou en tout cas particulièrement affectée par ce qui vient de se passer. C'est le début de la scène, elle ne passe pas d'un état à un autre. Dès lors, difficile de qualifier cela de retournement, à moins que tu n'invoques la fin de la scène précédente, où elle leur dit de la suivre. D'accord, dans ce cas.
Ensuite : Therk l'envoie balader. On s'y attendait un peu (enfin, je suppose) vu le personnage. Donc, là, N'Mephe change d'attitude, il y a effectivement un retournement, qui s'accompagne de la venue de Sybèle. Ce n'est pas un autre retournement, c'est exactement le même. Son changement d'attitude implique la venue de Sybèle.
Dès lors, qu'y a-t-il à retenir ? N'Mephe doute (doute qui reviendra par la suite), mais elle se reprend sans trop de souci et, mieux, réagit très rapidement puisqu'elle leur colle quelqu'un dans les pattes en profitant de la situation. Est-ce vraiment insurmontable, comme scène ? :?

D'une manière ou d'une autre, l'information passe mal, les retournements sont introduits presque uniquement dans le dialogue (en fait tout passe dans le dialogue) et les dialogues peinent à faire passer cette information sans paraître artificiels. Tu aurais pu dire beaucoup de choses par la narration, ne serait-ce que l'histoire de conserver sa fureur.

Je regroupe ça avec :

J'aimerais surtout insister sur les dialogues. Il y en a toujours trop, démesurément trop. Les incises de narration qui les séparent, comme des didascalies, ne servent pratiquement à rien.

Tu n'aimes pas mes dialogues, c'est un fait :P
Effectivement, beaucoup, beaucoup de choses/renseignements/sentiments passent par les dialogues. Que veux-tu ? J'ai des personnages, nombreux, et ils communiquent, c'est aussi simple que cela. En fait, un de mes objectifs en écrivant ce récit était de montrer la personnalité de mes personnages par leurs paroles, pas par des descriptions narratives. J'entends par là que je préfère que la fureur (par exemple) transpire des paroles d'un personnage plutôt qu'elle ne soit décrite par un autre. Alors, du coup, cela fait énormément de dialogues, je te l'accorde, sans doute trop parce que mon dosage n'est pas encore parfait. Je tente tant bien que mal d'intercaler certains passages narratifs là où je le peux.
Mais encore une fois, j'ai besoin de ces dialogues pour développer les relations entre mes personnages et pour les faire évoluer (à tel point d'ailleurs que le chapitre 7 de ma deuxième partie est écrit à la façon d'une pièce de théâtre : il n'y a donc que des dialogues).

Quant aux incises, c'est pour éviter la froideur d'une page où les "-" se succèdent sans interruption. Et puis, encore une fois, c'est une façon de montrer comment les personnages réagissent. Et puis :

Je ne sais pas ce qui à ce point de l'histoire compte vu qu'il n'y a aucune narration pour nous le dire mais j'aurais apprécié même un simple paragraphe pour donner et l'état de Cytise et celui de Sybèle, leur affrontement et donc un vague enjeu tel qu'il se dessine dans le dialogue.

Tu les as, non, leurs réactions ? Surtout celle de Cytise, d'ailleurs, puisque toute la fin lui est consacrée et on la voit errer comme une âme en peine dans la taverne, avant de sortir suivre Fadamar. Tu as même non pas un, ni deux, mais trois paragraphes :P

Un point qui avait retenu mon attention, pour moi qui n'ai toujours pas lu avant le chapitre sept (si mes souvenirs sont bons), c'est la visite à Mederick. On les a fait voyager un chapitre entier, à la rencontre Mederick pose des questions et ne reçoit aucune réponse, la seule conclusion qui en ressort est "nous vengerons Thorlof" et ils repartent.
A quoi cette visite a-t-elle servi ?

En plus de développer encore la relation Cytise-Fadamar, elle fera considérablement avancer l'enquête... Mais cela, tu le verras au chapitre suivant. Et puis la scène met en avant la personnalité instable de Mederick, qui semble avoir perdu la raison - suite logique, finalement, de tous ses sentiments/remords sur lesquels j'ai tellement insisté au cours des chapitres précédents.


Un mot pour conclure : comme tu le vois, je parle énormément de mes personnages, et j'évoque sans cesse relations et évolution. Tout le récit est centré sur eux, et je tente sans cesse de faire évoluer mes personnages. Je ne veux pas d'un Fadamar qu'il reste aussi froid et indifférent jusqu'à la fin, je ne veux pas d'un Kjeld aussi raisonnable ni d'un Arandir aussi lisse et enjoué. Et ces changements dans les personnages, c'est vraiment un travail de tous les instants, ce qui implique qu'un grand nombre de scènes ne sont là que pour marquer cette évolution, ou en grande partie en tout cas. C'est pourquoi tu peux avoir l'impression que pour l'histoire, certaines scènes sont facultatives ; mais toutes les relations évoluant au fur et à mesure ont au contraire un rôle essentiel dans l'enchaînement des événements, et ce particulièrement dans la deuxième partie, ou finalement pas mal de sentiments atteignent leur apogée.

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il y a 16 ans 2 mois #14719 par Xlatoc
Voilà du bon Echiquier comme je l'aime !

Tes dialogues sont vraiment mieux faits et plus intéressant que ce que j'ai vu ailleurs, le rythme ne s'essouffle pas, l'intérêt perdure.

La seule chose que j'ai trouvée un peu obscure, c'est le dénouement du piège dans lequel est pris Aldrick...d'où vient la douleur alors, si le poète est incapable de concevoir un piège de la sorte ? Comment peut-elle lui donner la solution ?

Bon, le retournement de situation face à la capitaine de la garde est un peu classique, et j'ai toujours trouvé ce genre de passage un peu capillotracté, mais tu as maîtrisé la forme de cette tournure, donc, cela me va.

Ce texte m'a vraiment plu, j'ai vraiment senti les personnages plus proches de moi, plus vivants, plus vrais. Une vraie réussite à mon goût.

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il y a 16 ans 1 mois #14723 par Monthy3
Content que le chapitre t'ait plu, après ton avis plus que mitigé sur le précédent :D

La seule chose que j'ai trouvée un peu obscure, c'est le dénouement du piège dans lequel est pris Aldrick...d'où vient la douleur alors, si le poète est incapable de concevoir un piège de la sorte ? Comment peut-elle lui donner la solution ?

La douleur vient du fait que non seulement Alrick a préjugé de ses forces, mais qu'en plus il s'est tout bonnement cogné dans les murs de sa chambre. Mais je préfère me taire là-dessus, les prochains chapitres sont éloquents.
Et ce qui lui donne la solution n'est pas la douleur elle-même, mais le fait que du vent provienne du cadre blanc, ce qui lui fait comprendre que cette figure n'est en réalité que la fenêtre ouverte de sa chambre ;)

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il y a 16 ans 1 mois #14725 par Xlatoc
J'avais bien saisi le coup des murs en fait. Je m'imagine juste mal avoir aussi mal et me retrouver par terre en me cognant dedans.

Cependant, à la réflexion, si je marchais tout droit avec assurance dans un mur dont j'ignorais la présence....j'aurais peut-être très bobo en fait. :D

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il y a 16 ans 1 mois #14727 par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re: [Juillet 2008] L'Echiquier, chapitre 10 - Monthy3
Bon, je vais essayer de me replonger dans mes notes sur ce texte quer j'ai lu il y a plus d'un mois.
D'abord, tout comme le précédent chapitre, tu ouvres le récit sur une partie faiblarde. Je sais que tu veux respecter la chronologie des différentes scènes, mais il n'empêche qu'on a parfois l'impression que ça alourdit ton récit. Sachant comment tu l'exploites par la suite (de manière plus habile), je ne peux m'empécher que ce n'est pas satisfaisant comme début, insuffisant pour nous plonger avec ce personnage, insuffisant pour nous ré-intéresser. Je ne pense pas pour autant que tu sois obligé de nous faire démarrer tes chapitres sur les chapeaux de roues. Mais, là, à peine recolle-t-on avec l'intrigue du perso, que c'est terminé. Il faut que tu trouves une vraie idée pour ce début. Là, tu fais ce paragraphe comme si tu te sentais obligé de le faire. Du coup, si tu trouvais cette idée, tu pourrais ralonger de manière à ce qu'on vive avec ce personnage.
C'est la fifficulté de ton texte. Beaucoup de protagonistes, donc beaucoup de séquences à gérer. Surtout avec ta volonté de respecter la chronologie. Du coup, on te sent plus ou moins concerné. La preuve, ce début n'est pas très travaillé stylistiquement, on le sent baclé.

Le second "récit" part mieux. Tu arrivent à placer une belle description (quoiqu'un un peu redondante sur la fin).Mederick bascule donc dans une sorte de folie. Idée pas mal traité. Sa peine prend une tournure ambiguê, on en vient à se poser des questions sur la nature des sntiments, qui font presque penser à une relation homo.
Par contre, tu petit à petit, tu crée une magnifique tension dans cette scène. Le délire monte, c'est pas mal fait, même si je pense que tu peux encore retravaillé la scène, il lui manque une petite étincelle, une progression moins brutale qui aurait suscité plus de mystère, ça va un peu trop vite pour être imprévisible, en ténat plusprogressif tu aurais donné plus d'inquiétude. Je pense que tu n'exploites pas tout le potentiel de la scène, Tu expliques trop les choses, là où tu aurais pu exploiter la mise en scène pour faire comprendre les entiments.
Autre chose, tu réussis quand même à faire monter la tension, tu mets tes personnages en danger de manière excitante, mais on dirait que que tu t'es fait peur de tomber dans une situation que tu étais incpapble de gérer alors que c'est bien là que tu avais donné envie aux lecteurs d'aller. Les mercenaires auraient été capturés, tu transformait d'un coup ton intrigue, je veux dire qu'on l'aurait senti vraiment bousculer, là, pile au moment où tu obtiens ce que tu voulais, du suspense, de la tension, tout retombe. Mederick retrouve ses esprits et les libère.
Enfin, je pense que la scène aurait fait un meilleur début de chapitre. Elle commence lentement, joue sur la longueur tout en nous replongeant bien dans le bain.

La suite se lit plutôt bien. On avance dans dans ta toile d'arraignée avec consentement! :D Vient ensuite la scène de la capitaine N'Mephe. D'abord, la réaction de la femme parait pas très crédible avec sa fonction. Du coup, tu te sents obligé d'expliquer, d'ailleurs tu le dis toi-même ("Elle essaie de se justifier", comprit Therk). Cela montre que tu n'es pas sûr de toi. Tu soulignes et sur-soulignes les choses. Une réaction un peu moins excessive aurait apporté tout autant d'humanité,plus de crédibilité et moins de besoin de l'expliquer. Essaie de jouer sur les émotions contenues, plutôt que sur ce débordement. Les justifications que tu donnes sont logiques, et ma foi crédible, mais tu mélanges l'affect (les esntiments) et la raison (les explications), résultat, on n'est pas dedans, on ne rentre pas dans l'émotion.
Ctte scène sent la nécessite d'humaniser ton personnage à tel point qu'on ne comprend pas trop le fait qu'elle ne tue pas les mercenaires. Cela aurait dû être l'issu logique pour qu'elle s'affirme en chef.

La 2eme scène avec Alrick est par contre tout à fait réussi, et on comprend vraiment pas le besoin que tu as eu de la couper en deux. En fait, si, on comprend, et c'est vrai que ça met en perzspective de manière intéressante la deuxième scène, mais tu as réussi avec la 2eme scène ce que tu as loupé avec la première, en partie gràce à la faiblesse de la prmeière. Je sais pas si je suis clair... :lol: Disons qu'on sent un désequilibre. Il faudrait arriver à muscler cette première scène.

Donc au final, ton chapitre tient ses priomesses, mais on sent que tu es un peu piégé par ton dispositif narratif "temporel". Il y a toujours également des cassures de style un peu dommage.
Feurnard évoque les dialogues. Ca ne m'a pas choqué. Mais c'est vrai qu'on y trouve beaucoup d'explications. Tous ne sont pas hyper naturels. En fait, je pense qu'il faut que tu arrives à expliquer les choses sans forcément direlittéralement ces choses. De même sur les sentiments de tes personnages. Tes lecteurs peuvent deviner beaucoup de choses sans les dire explicitement, surtout sur les sentiments.

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il y a 16 ans 1 mois #14730 par Monthy3
Bonjour et merci à toi pour ton (long !) commentaire :)

Il faut que tu trouves une vraie idée pour ce début. Là, tu fais ce paragraphe comme si tu te sentais obligé de le faire. Du coup, si tu trouvais cette idée, tu pourrais ralonger de manière à ce qu'on vive avec ce personnage.

Bon, je ne cite que cela, mais ça reprend ta critique de la première partie. En fait, j'ai constaté que la plupart de mes chapitres commençaient doucement, comme si j'écrivais une introduction pour situer le reste du chapitre - ce qui n'est pas forcément une bonne chose... Du coup, effectivement, c'est plutôt calme.
Dans ce chapitre, si j'écris cette scène, c'est évidemment pour préparer celle qui revient plus loin, et apparemment, vu ton commentaire sur cette dernière, ça marche ! Mais si c'est par opposition de qualité entre les deux, c'est gênant...
Bref. La scène est molle et pauvre, au moins, c'est dit :P Je sais ce qu'il me reste à faire.

C'est la difficulté de ton texte. Beaucoup de protagonistes, donc beaucoup de séquences à gérer. Surtout avec ta volonté de respecter la chronologie. Du coup, on te sent plus ou moins concerné. La preuve, ce début n'est pas très travaillé stylistiquement, on le sent baclé.

Ouaip, pas toujours concerné effectivement, avec des passages que je me force à écrire. Cela dit, beaucoup de scènes sont comme un fardeau à écrire sans que pour autant toutes ressortent aussi bâclées. J'ai juste dû faire moins attention à celle-ci. Merci d'avoir mis le doigt dessus.

Je pense que tu n'exploites pas tout le potentiel de la scène, Tu expliques trop les choses, là où tu aurais pu exploiter la mise en scène pour faire comprendre les sentiments.

C'est difficile. "Faire comprendre" les sentiments plutôt que les "expliquer", c'est vraiment ardu, je trouve. C'est aussi l'une des raisons des nombreux dialogues, comme je l'ai écrit en réponse à Feurnard. Alors je pourrais jouer avec les postures, les attitudes, comme j'ai d'ailleurs tenté de le faire avec le jeu de Cytise (pas en arrière, main de Fadamar sur son bras...), mais je dois avouer que j'ai vraiment du mal à ne pas faire ensuite du théâtre... Tout le problème est là : faire jouer les personnages sans virer au grotesque.
Dur :?

Autre chose, tu réussis quand même à faire monter la tension, tu mets tes personnages en danger de manière excitante, mais on dirait que que tu t'es fait peur de tomber dans une situation que tu étais incpapble de gérer alors que c'est bien là que tu avais donné envie aux lecteurs d'aller.

Je note l'idée. Effectivement, je suis quelque peu captif de l'intrigue que j'ai créée, mais d'un autre côté c'est le seul moyen pour moi d'arriver à bon port. Cela dit, si je trouve le temps (dans le récit, j'entends) de faire emprisonner Cytise, par exemple, je le ferai. Mais j'ai cruellement besoin d'elle dans le chapitre suivant...

Tu soulignes et sur-soulignes les choses. Une réaction un peu moins excessive aurait apporté tout autant d'humanité,plus de crédibilité et moins de besoin de l'expliquer.

Encore un des mes gros doutes. J'ai toujours peu de perdre le lecteur, de le voir s'égarer dans des sentiers qui ne mèneraient à rien. Je ne veux pas qu'il passe à côté de la psychologie de Signe dont j'ai envie qu'il s'imprègne. S'il ne la voit pas douter, se poser des questions, toute "l'aventure" qui arrivera à Signe perdra tout son tragique. Alors, forcément, parfois, j'en fais un peu trop. Merci de me le signaler là où c'est flagrant.

Ctte scène sent la nécessite d'humaniser ton personnage à tel point qu'on ne comprend pas trop le fait qu'elle ne tue pas les mercenaires. Cela aurait dû être l'issu logique pour qu'elle s'affirme en chef.

Justement, elle ne parvient pas à s'affirmer. Elle ne sait pas trop où elle en est, et d'ailleurs elle se détachera progressivement de la Garde sombre... mais cela n'a pour l'instant aucune importance. J'annonce, en quelque sorte, ce qui se passera bien plus tard, pour ne pas que le lecteur tombe des nues.

Donc au final, ton chapitre tient ses promesses, mais on sent que tu es un peu piégé par ton dispositif narratif "temporel". Il y a toujours également des cassures de style un peu dommage.

Pour le dispositif narratif, c'est un piège mais surtout un excellent garde-fou. Sans ça, à mon avis, j'arriverais à un récit bourré d'incohérences. Je ne suis pas encore expérimenté pour pouvoir lâcher la bride à l'histoire, donc en attendant, j'apprends :) Et puis il me permet quelques effets sympa, notamment de parallélisme de temps en temps (je pense au chapitre "Collaboration", par exemple), et parfois je me suis lâché un peu plus par la suite, dans la deuxième partie.
Quant au style, il dépend aussi de mon état d'esprit et évidemment de mon goût pour le passage en question. Mais parfois, si je veux avancer, je n'ai d'autre choix que de me forcer, et j'y fais moins attention... En tout cas, encore une fois, je te remercie de me montrer les passages où ça coince vraiment.

Feurnard évoque les dialogues. Ca ne m'a pas choqué. Mais c'est vrai qu'on y trouve beaucoup d'explications.

Argh... J'attends avec appréhension vos critiques sur le chapitre suivant :lol: Il y a toute une scène, qui fait près de 40 % du chapitre, qui est un long monologue à propos de l'alchimie... Je n'en dis pas plus.

De même sur les sentiments de tes personnages. Tes lecteurs peuvent deviner beaucoup de choses sans les dire explicitement, surtout sur les sentiments.

J'essaierai de le retenir. 8)

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il y a 16 ans 1 mois #14732 par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re: [Juillet 2008] L'Echiquier, chapitre 10 - Monthy3

On devine aisément l'attitude de Cytise quand elle dit "tes compagnons". S'il avait fallu renforcer, vu la nature du texte, je me serais contenté d'un "T- tes compagnons ?" voire "T- tes compagnons !" selon.

Ah oui, au fait, moi j'aurais mis:
- Tes... Tes compagnons?!?!?
8)

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