Les Martyrs de la Vérité - 2.3
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il y a 10 ans 2 mois #19316
par Mr. Petch
Les Martyrs de la Vérité - 2.3 a été créé par Mr. Petch
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il y a 10 ans 2 mois - il y a 10 ans 2 mois #19317
par Mr. Petch
Réponse de Mr. Petch sur le sujet Re:Les Martyrs de la Vérité - 2.3
La publication, tardive, de cette suite de ma saga Les Martyrs de la Vérité demande sûrement un peu d'explications (surtout qu'il me semble qu'en mon absence, de nouveaux membres sont apparus par miracle ! )
Tout d'abord : une de mes règles principales est de ne jamais laisser un texte inachevé. Un texte inachevé, c'est un peu comme un orphelin (cf ci-dessous) par abandon dont les parents auraient refusé, en cours de route, de poursuivre l'éducation. C'est incomplet. Moralement, c'est donc bien injuste.
Règle numéro un : ne jamais laisser un texte inachevé.
Donc... Ce chapitre est le 9e de la saga, commencée il y a pus d'un an, dont les autres chapitres sont accessibles ici .
Pour ceux qui auraient la flemme de ne pas lire les chapitres précédents, en voici un résumé express :
Bonne lecture !
Agratius et Ophélia sont deux orphelins qui décident un jour de s'évader de leur orphelinat. Leurs capacités intellectuelles supérieures et leurs pouvoirs de télépathie les aident grandement dans cette tâche. Mais une fois dehors, ils découvrent que le monde des adultes n'est pas comme ils l'avaient imaginé : c'est un monde contrôlé par un gouvernement appelé "La Firme" qui tient la population en lui fournissant d'incessants divertissements et en entretenant leur goût du jeu. Le plus récent est une simulation de guerre organisée aux frontières en faisant croire à une invasion extraterrestre.
Ils sont d'abord recueillis par un cirque ambulant illégal qui les exhibe en les faisant passer pour des extraterrestres télépathes ; ils y rencontrent notamment le professeur Sapiens, un ancien scientifique transformé en singe savant par les hommes de la Firme, et Lucius, un jeune nain acrobate. Après plusieurs péripéties, ils se retrouvent sur le front, dans les tranchées. Là, ils sont poursuivis et capturés par Johannes, un des principaux membre de la Firme, responsable du ministère de l'Imagination qui écrit tous les romans et récits nourrissant la population de fantasmes. Grâce au robot V, un robot de guerre géant conçu par Agratius, ils parviennent à arrêter la guerre en détruisant les "ennemis".
Johannes en profite pour les faire passer pour les héros de la guerre sous le nom des "Enfants de la Dernière Chance" et commence à publier leurs aventures tout en les maintenant prisonnier dans son ministère. Agratius y voit l'occasion de découvrir les mécanismes de contrôle de la population par la Firme. A la fin du chapitre 8, il découvre que le ministère exploite les enfants de l'aristocratie comme autant de secrétaires, typographes et relecteurs pour réaliser ses romans.
Tout d'abord : une de mes règles principales est de ne jamais laisser un texte inachevé. Un texte inachevé, c'est un peu comme un orphelin (cf ci-dessous) par abandon dont les parents auraient refusé, en cours de route, de poursuivre l'éducation. C'est incomplet. Moralement, c'est donc bien injuste.
Règle numéro un : ne jamais laisser un texte inachevé.
Donc... Ce chapitre est le 9e de la saga, commencée il y a pus d'un an, dont les autres chapitres sont accessibles ici .
Pour ceux qui auraient la flemme de ne pas lire les chapitres précédents, en voici un résumé express :
Bonne lecture !
Agratius et Ophélia sont deux orphelins qui décident un jour de s'évader de leur orphelinat. Leurs capacités intellectuelles supérieures et leurs pouvoirs de télépathie les aident grandement dans cette tâche. Mais une fois dehors, ils découvrent que le monde des adultes n'est pas comme ils l'avaient imaginé : c'est un monde contrôlé par un gouvernement appelé "La Firme" qui tient la population en lui fournissant d'incessants divertissements et en entretenant leur goût du jeu. Le plus récent est une simulation de guerre organisée aux frontières en faisant croire à une invasion extraterrestre.
Ils sont d'abord recueillis par un cirque ambulant illégal qui les exhibe en les faisant passer pour des extraterrestres télépathes ; ils y rencontrent notamment le professeur Sapiens, un ancien scientifique transformé en singe savant par les hommes de la Firme, et Lucius, un jeune nain acrobate. Après plusieurs péripéties, ils se retrouvent sur le front, dans les tranchées. Là, ils sont poursuivis et capturés par Johannes, un des principaux membre de la Firme, responsable du ministère de l'Imagination qui écrit tous les romans et récits nourrissant la population de fantasmes. Grâce au robot V, un robot de guerre géant conçu par Agratius, ils parviennent à arrêter la guerre en détruisant les "ennemis".
Johannes en profite pour les faire passer pour les héros de la guerre sous le nom des "Enfants de la Dernière Chance" et commence à publier leurs aventures tout en les maintenant prisonnier dans son ministère. Agratius y voit l'occasion de découvrir les mécanismes de contrôle de la population par la Firme. A la fin du chapitre 8, il découvre que le ministère exploite les enfants de l'aristocratie comme autant de secrétaires, typographes et relecteurs pour réaliser ses romans.
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- Vuld Edone
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il y a 9 ans 10 mois #19734
par Vuld Edone
Réponse de Vuld Edone sur le sujet Re:Les Martyrs de la Vérité - 2.3
Je viens de finir 2.2 et à dire vrai là je ne vais pas tarder à m'effondrer dans mon lit.
La taille des chapitres, dans cette seconde partie, est beaucoup plus stable et leur taille fait qu'on enchaîne facilement.
De même, les événements sont plus "simples" et on arrive sans peine à suivre. En fait, on a complètement quitté les descriptions assez "lourdes" de l'orphelinat ou de la ferme, ou même du cirque, et à présent on est véritablement dans un texte "enfantin" où le décor est purement théâtral.
Tout va vite, tout est "caricatural", tout s'assimile rapidement.
L'ancienne version s'arrêtait à peu près là -- il manque juste une histoire de Johannes -- mais tout semble beaucoup plus solide et surtout, il y a toujours une direction. Il n'y a pas que les intentions de Johannes et le contact avec Ophélia est le véritable enjeu pour le lecteur.
On s'intéresse aussi à cet Agratius affaibli, soit pour voir comment il va vaincre, soit pour voir s'il avait tort.
Ma plus grande impression est qu'en 2.1 on nous a quasiment donné la règle des Martyrs, cette absence de logique interne ou circulaire.
Je veux dire par là que c'est ainsi que fonctionne un jeu d'enfants : on établit les règles à mesure des situations et les joueurs font avec. Soudain on fait un jeu de guerre et tout le monde l'accepte tel quel, et ainsi de suite.
Cela dit, au niveau de l'interprétation de l'histoire, ce n'est pas si utile, au sens où, au mieux, ça signifie qu'il n'y a pas de Vérité. Ce qui, bon, n'est pas très productif comme conclusion.
En tout cas le constat de Zara' est partagé : les parties 1 et 2 sont très différentes, dans la forme au moins.
La taille des chapitres, dans cette seconde partie, est beaucoup plus stable et leur taille fait qu'on enchaîne facilement.
De même, les événements sont plus "simples" et on arrive sans peine à suivre. En fait, on a complètement quitté les descriptions assez "lourdes" de l'orphelinat ou de la ferme, ou même du cirque, et à présent on est véritablement dans un texte "enfantin" où le décor est purement théâtral.
Tout va vite, tout est "caricatural", tout s'assimile rapidement.
L'ancienne version s'arrêtait à peu près là -- il manque juste une histoire de Johannes -- mais tout semble beaucoup plus solide et surtout, il y a toujours une direction. Il n'y a pas que les intentions de Johannes et le contact avec Ophélia est le véritable enjeu pour le lecteur.
On s'intéresse aussi à cet Agratius affaibli, soit pour voir comment il va vaincre, soit pour voir s'il avait tort.
Ma plus grande impression est qu'en 2.1 on nous a quasiment donné la règle des Martyrs, cette absence de logique interne ou circulaire.
Je veux dire par là que c'est ainsi que fonctionne un jeu d'enfants : on établit les règles à mesure des situations et les joueurs font avec. Soudain on fait un jeu de guerre et tout le monde l'accepte tel quel, et ainsi de suite.
Cela dit, au niveau de l'interprétation de l'histoire, ce n'est pas si utile, au sens où, au mieux, ça signifie qu'il n'y a pas de Vérité. Ce qui, bon, n'est pas très productif comme conclusion.
En tout cas le constat de Zara' est partagé : les parties 1 et 2 sont très différentes, dans la forme au moins.
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