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Le dernier des Tchoutchoucans - une légende indienne
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il y a 6 ans 9 mois - il y a 6 ans 9 mois #21469
par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Le dernier des Tchoutchoucans - une légende indienne
Ca fait plaisir que tu te lance dans un texte aussi long. Et je vais te dire, tu avais même de quoi faire une petite saga mais j'y reviendrais.
D'abord, je vais te donner mes impressions générales et je reviendrais dans la semaine sur un vue plus détaillée.
D'abord, le monde me plait parce que je suis toujours rester fan des western et, enfant, j'étais fan des indiens et des films de Winetou. Et également de Yakari. Et j'ai pas mal repenser à Yakari en te lisant parce qu'il y a cce monde un peu animiste et une douceur un peu enfantine (ce n'est pas des reproches). Bien sûr, y a des gros trics pour les adultes aussi.
Donc la première chose qui se dégage de ton texte, c'est une impressionde bien-être. on y est bien. Il y a cette douceur beinveillante qui fait qu'on est un peu dans un petit cocon. Bien sûr, le monde que tu décris n'est pas exempt de noirceur, de violence, mais tu la places très hors-champ. C'est à la fois bien et pas bien.
- Bien parce que tu est cohérente avec ton univers.
- Pas bien parce qu'à chaque fois que tu introduis une dimension dangereuse, angoissante etc., on a du mal à la vivre sérieusement.
Par exemple, l'incendie, on y croit pas vraiment. On se dit qu c'est un incendie de rien du tout. La preuve, tout le monde le regarde sans s'inquiéter. Même chose avec la soif. Au départ, je t'avoue que j'y croyais pas qu'on puisse avoir soif dans un forêt. Et puis, je me suis rappelé d'un reportage en Papouasie où effectivement, l'expédition avait des soucis avec l'eau et était obligé de couper des lianes pour boire parce qu'il n'y avait qu'il n'y avait quasiment pas de source dans les environs. Dans ton texte, on n'a pas le temps de t'inquiéter que des loups arrivent pour les sauver (un peu comme dans Yakari ).
Il y a un point que je trouve dommage, c'est ton refus de creuser la psychologie des personnages Ah oui, les personnages. J'oubliais. Bon, tous ces noms sont sympas, amusants (je suppose qu'il y a plein de clin d’œil à ton entourage), mais on a trop de perso. J'ai du mal à retenir un personnage. En gros, ce ne sont que des noms. Ils n'ont aucune personnalité (bon certains ont quelques penchants bizarres mais c'est tout ce qu'on a pour les distinguer). Je trouve que c’est vraiment dommage car tu te prives du meilleur moyen d'immerger le lecteur.
Tiens, par exemple, ton héros est le seul survivant de son peuple. Certes tu dis de lui qu'il est malheureux, mais je trouve qu'on ne le vis pas. A aucun moment tu nous fais partager ce qu'il pense. Tu te limites à nous décrire ses émotions. Or, pour faire vivre une émotion, il ne faut pas se contenter d'écrire "tiens, mon perso, là, il est vachement triste". Une émotion se crée à partir d'autre chose. Donc si tu veux faire vibrer le lecteur et qu'il est un peu d'empathie pour tes perso, il faut aller plus loin.
Un autre point. Ton texte est long, mais, comme je te l'ai dit, tu as une trame qui aurait pu donner lieu à une petite saga. Tu sais, moi, mon Chant des Pierres n'a pas beaucoup plus d'éléments narratifs que ton histoire (et bien moins de perso). Or je trouve que ton histoire souffre d'un point très important si tu veux immerger le lecteur encore plus, c'est que tu ne travaille pas assez en "scènes".
Je veux dire qu'à plusieurs reprises, ton histoire ouvre de très belle possibilité de créer des temps forts ou de jouer avec des temps faibles pour laisser vivre tes personnages. Quand je te parle d'une scène, pour moi, cela veut dire qu'elle doit durer entre 1 et 3 pages.. C'est pourquoi le Chant des Pierres a eu 10 chapitres (et dont certains ont été très longs sur la fin). J'ignore si tout le monde est comme moi, mais, en tant que lecteur, j'ai besoin de temps pour sentir des choses et partager des émotions, des angoisses, des joies, ou d'être pris par une scène au point d'oublier le temps. Si on m’enchaîne les scènes tous les 5 ou 10 lignes, je glisse dessus.
Or toi, tu as plusieurs idées qui, moi, m'aurait intéressé de voir développer.
D'abord, j'aurais voulu connaitre un peu plus de l'histoire de ce peuple. Comment il en est arrivé là. Et ça, ça aurait pu prendre des pages. Ensuite, j'aurais voulu voire comment cet homme aurait vécu ça le jour J et comment, au fil des jours, il aurait évolué par rapport à ça.
Mais la plus belle scène que tu as foiré (à force de ne pas vouloir la traiter), c'est la scène du buisson quand ils vont chasser les bisons. En l'état, je vais te dire, ça ne servait à rien de faire aussi explicite, au contraire, tu aurais pu te contenter d'un peu d'ambiguité, parce qu'ici, ça débarque sans trop crier gare, et surtout ça glisse sur ton héros. Pfffiout, on passe tout de suite à autre chose et on le développe deux ou trois fois plus, alors que c'est nettement moins intéressant. Moi, cette scène, je me dis qu'elle aurait mérité au moins 2 ou 3 pages. Déjà en l'introduisant un peu par petite touche, puis en jouant avec le lecteur le moment voulu. Et puis surtout, tu as là une merveilleuse occasion de nous montrer ton personnage se poser des questions, de plonger dans ses pensées, dans son éventuel trouble etc. Là, on sait rien. Ils vont tous avoir soif, et on oublie ce qui vient de se passer.
Maintenant, l'histoire. En soi, je la trouve un peu construite bizarrement. D'abord, je n'aime pas trop tes personnages féminins. Je les trouves très asservis aux hommes et finalement toutes trop monolithique. Ces femmes sont transparentes et interchangeables. Elles agissent toutes de la même façon. Certes, tu nous dis que ça se dispute, ça se chamaille etc., mais 1- c'est quand même très cliché, 2- ça ne veut pas dire qu'elles ne fonctionnent pas pareilles. Même chose avec le combat de boue. Je trouve ça hyper machiste et hyper avilissant que des femmes se battent pour avoir un homme... Surtout que ton chef, on peut pas dire que tu nous le montre comme un type extraordinaire.
Donc en résumé, c'est l'histoire d'un homme seul à qui on confie un harem et une fois qu'il l'a préfère être avec des hommes et vivre des trucs avec eux, mais c'est pas grave, parce que les femmes de leurs côtés sont très heureuses d'être ensemble (et l'histoire ne dit pas ce qu'elles font la nuit alors qu'elles n'ont que 3 tentes pour dormir alors qu'elles sont bien plus nombreuses, mais bon, si les hommes s'occupent de leurs côté, on peut supposer qu'elles ne s'ennuient pas non plus... Je sais pas si on se comprend...
Par contre, il y a un point que je trouve bien (et auquel je m'étais également confronté avec le Chant des Pierres), c'est la notion de logistique du quotidien. Souvent, quand on a une communauté, on ne la voit pas vraiment vivre, or ici, je trouve que tu te soucies bien de le montrer et en soulevant des difficultés qu'on aurait tendance à très vite négliger parce que pas forcément sexy à raconter. Et puis, tu as aussi pris soin à montrer la vie des indiens. J'ignore si tout est de ta fantaisie mais je trouves que tu as créé quelque chose de cohérent.
Donc au final, j'ai passé un bon moment dans le sens où j'étais bien dans ton petit monde où on se sent protégé et où plane une belle bienveillance, avec un humour un peu tendre et enfantin. Mais en même temps, j'ai été un peu frustré parce que tu semblais ne pas vouloir me donner ce qui m'aurait fait plaisir et j'ai toujours un peu de mal avec ta façon assez désinvolte de traiter tes personnages.
Mais si tu veux me faire plaisir, essaie de prendre une scène de ton texte et de la traiter quasiment comme un seul chapitre, tu vas voir qu'on découvre des ressources insoupçonnées pour écrire et découvrir un onde enfoui qui donne un peu plus d'ampleur. Il manque à ton texte das moments vraiment forts. Tu ne gères à mon sens pas assez bien le rythme de ton récit en mettant un peu tout sur le même niveau, l'important comme l'accessoire (voire même parfois en développant l'accessoire plus que l'important, y a plusieurs exemples flagrants).
D'abord, je vais te donner mes impressions générales et je reviendrais dans la semaine sur un vue plus détaillée.
D'abord, le monde me plait parce que je suis toujours rester fan des western et, enfant, j'étais fan des indiens et des films de Winetou. Et également de Yakari. Et j'ai pas mal repenser à Yakari en te lisant parce qu'il y a cce monde un peu animiste et une douceur un peu enfantine (ce n'est pas des reproches). Bien sûr, y a des gros trics pour les adultes aussi.
Donc la première chose qui se dégage de ton texte, c'est une impressionde bien-être. on y est bien. Il y a cette douceur beinveillante qui fait qu'on est un peu dans un petit cocon. Bien sûr, le monde que tu décris n'est pas exempt de noirceur, de violence, mais tu la places très hors-champ. C'est à la fois bien et pas bien.
- Bien parce que tu est cohérente avec ton univers.
- Pas bien parce qu'à chaque fois que tu introduis une dimension dangereuse, angoissante etc., on a du mal à la vivre sérieusement.
Par exemple, l'incendie, on y croit pas vraiment. On se dit qu c'est un incendie de rien du tout. La preuve, tout le monde le regarde sans s'inquiéter. Même chose avec la soif. Au départ, je t'avoue que j'y croyais pas qu'on puisse avoir soif dans un forêt. Et puis, je me suis rappelé d'un reportage en Papouasie où effectivement, l'expédition avait des soucis avec l'eau et était obligé de couper des lianes pour boire parce qu'il n'y avait qu'il n'y avait quasiment pas de source dans les environs. Dans ton texte, on n'a pas le temps de t'inquiéter que des loups arrivent pour les sauver (un peu comme dans Yakari ).
Il y a un point que je trouve dommage, c'est ton refus de creuser la psychologie des personnages Ah oui, les personnages. J'oubliais. Bon, tous ces noms sont sympas, amusants (je suppose qu'il y a plein de clin d’œil à ton entourage), mais on a trop de perso. J'ai du mal à retenir un personnage. En gros, ce ne sont que des noms. Ils n'ont aucune personnalité (bon certains ont quelques penchants bizarres mais c'est tout ce qu'on a pour les distinguer). Je trouve que c’est vraiment dommage car tu te prives du meilleur moyen d'immerger le lecteur.
Tiens, par exemple, ton héros est le seul survivant de son peuple. Certes tu dis de lui qu'il est malheureux, mais je trouve qu'on ne le vis pas. A aucun moment tu nous fais partager ce qu'il pense. Tu te limites à nous décrire ses émotions. Or, pour faire vivre une émotion, il ne faut pas se contenter d'écrire "tiens, mon perso, là, il est vachement triste". Une émotion se crée à partir d'autre chose. Donc si tu veux faire vibrer le lecteur et qu'il est un peu d'empathie pour tes perso, il faut aller plus loin.
Un autre point. Ton texte est long, mais, comme je te l'ai dit, tu as une trame qui aurait pu donner lieu à une petite saga. Tu sais, moi, mon Chant des Pierres n'a pas beaucoup plus d'éléments narratifs que ton histoire (et bien moins de perso). Or je trouve que ton histoire souffre d'un point très important si tu veux immerger le lecteur encore plus, c'est que tu ne travaille pas assez en "scènes".
Je veux dire qu'à plusieurs reprises, ton histoire ouvre de très belle possibilité de créer des temps forts ou de jouer avec des temps faibles pour laisser vivre tes personnages. Quand je te parle d'une scène, pour moi, cela veut dire qu'elle doit durer entre 1 et 3 pages.. C'est pourquoi le Chant des Pierres a eu 10 chapitres (et dont certains ont été très longs sur la fin). J'ignore si tout le monde est comme moi, mais, en tant que lecteur, j'ai besoin de temps pour sentir des choses et partager des émotions, des angoisses, des joies, ou d'être pris par une scène au point d'oublier le temps. Si on m’enchaîne les scènes tous les 5 ou 10 lignes, je glisse dessus.
Or toi, tu as plusieurs idées qui, moi, m'aurait intéressé de voir développer.
D'abord, j'aurais voulu connaitre un peu plus de l'histoire de ce peuple. Comment il en est arrivé là. Et ça, ça aurait pu prendre des pages. Ensuite, j'aurais voulu voire comment cet homme aurait vécu ça le jour J et comment, au fil des jours, il aurait évolué par rapport à ça.
Mais la plus belle scène que tu as foiré (à force de ne pas vouloir la traiter), c'est la scène du buisson quand ils vont chasser les bisons. En l'état, je vais te dire, ça ne servait à rien de faire aussi explicite, au contraire, tu aurais pu te contenter d'un peu d'ambiguité, parce qu'ici, ça débarque sans trop crier gare, et surtout ça glisse sur ton héros. Pfffiout, on passe tout de suite à autre chose et on le développe deux ou trois fois plus, alors que c'est nettement moins intéressant. Moi, cette scène, je me dis qu'elle aurait mérité au moins 2 ou 3 pages. Déjà en l'introduisant un peu par petite touche, puis en jouant avec le lecteur le moment voulu. Et puis surtout, tu as là une merveilleuse occasion de nous montrer ton personnage se poser des questions, de plonger dans ses pensées, dans son éventuel trouble etc. Là, on sait rien. Ils vont tous avoir soif, et on oublie ce qui vient de se passer.
Maintenant, l'histoire. En soi, je la trouve un peu construite bizarrement. D'abord, je n'aime pas trop tes personnages féminins. Je les trouves très asservis aux hommes et finalement toutes trop monolithique. Ces femmes sont transparentes et interchangeables. Elles agissent toutes de la même façon. Certes, tu nous dis que ça se dispute, ça se chamaille etc., mais 1- c'est quand même très cliché, 2- ça ne veut pas dire qu'elles ne fonctionnent pas pareilles. Même chose avec le combat de boue. Je trouve ça hyper machiste et hyper avilissant que des femmes se battent pour avoir un homme... Surtout que ton chef, on peut pas dire que tu nous le montre comme un type extraordinaire.
Donc en résumé, c'est l'histoire d'un homme seul à qui on confie un harem et une fois qu'il l'a préfère être avec des hommes et vivre des trucs avec eux, mais c'est pas grave, parce que les femmes de leurs côtés sont très heureuses d'être ensemble (et l'histoire ne dit pas ce qu'elles font la nuit alors qu'elles n'ont que 3 tentes pour dormir alors qu'elles sont bien plus nombreuses, mais bon, si les hommes s'occupent de leurs côté, on peut supposer qu'elles ne s'ennuient pas non plus... Je sais pas si on se comprend...
Par contre, il y a un point que je trouve bien (et auquel je m'étais également confronté avec le Chant des Pierres), c'est la notion de logistique du quotidien. Souvent, quand on a une communauté, on ne la voit pas vraiment vivre, or ici, je trouve que tu te soucies bien de le montrer et en soulevant des difficultés qu'on aurait tendance à très vite négliger parce que pas forcément sexy à raconter. Et puis, tu as aussi pris soin à montrer la vie des indiens. J'ignore si tout est de ta fantaisie mais je trouves que tu as créé quelque chose de cohérent.
Donc au final, j'ai passé un bon moment dans le sens où j'étais bien dans ton petit monde où on se sent protégé et où plane une belle bienveillance, avec un humour un peu tendre et enfantin. Mais en même temps, j'ai été un peu frustré parce que tu semblais ne pas vouloir me donner ce qui m'aurait fait plaisir et j'ai toujours un peu de mal avec ta façon assez désinvolte de traiter tes personnages.
Mais si tu veux me faire plaisir, essaie de prendre une scène de ton texte et de la traiter quasiment comme un seul chapitre, tu vas voir qu'on découvre des ressources insoupçonnées pour écrire et découvrir un onde enfoui qui donne un peu plus d'ampleur. Il manque à ton texte das moments vraiment forts. Tu ne gères à mon sens pas assez bien le rythme de ton récit en mettant un peu tout sur le même niveau, l'important comme l'accessoire (voire même parfois en développant l'accessoire plus que l'important, y a plusieurs exemples flagrants).
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- San
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il y a 6 ans 9 mois - il y a 6 ans 9 mois #21473
par San
Réponse de San sur le sujet Le dernier des Tchoutchoucans - une légende indienne
Yep, il y a des scènes et surtout du sexe que j'aurais bien détaillées davantage, mais comme j'ai des personnages très reconnaissables dans le texte, j'ai eu du mal à les mettre en scène pour ça, en fait. C'est le problème que j'ai avec mes personnages Ils ne font pas ce que je veux. Yoskoyuma détourne rapidement les yeux alors que le lecteur avide de scènes croustillantes voudrait en savoir plus. C'est chiant
J'aime beaucoup ton résumé, en fait, c'est exactement ça, c'était même l'essentiel du plan de mon texte avant que je le détaille. C'est un harem, donc oui c'est machiste, et c'est Yosko, donc oui c'est... un peu bizarre. Je note quand même tes idées sur le suçage de lianes, et sur le côté dramatique de l'incendie. Surtout le suçage de lianes quand même. Il y a sûrement matière à en faire qqch de graveleux pour rebondir sur la scène du buisson. Je me demande juste s'ils peuvent trouver des lianes là bas.
Je ne sais pas trop quoi faire de ton idée sur les émotions / pensées des personnages. Il faudra que je vérifie ce qui marche bien en lisant parce que je ne suis plus trop sûre de comment je voudrais faire.
Je me suis pas mal documentée sur les amérindiens pour écrire ce texte, donc je suis plutôt contente que ça marche bien sur ce côté là (en tout cas pour toi).
Clairement, il y a matière à en faire davantage. Je dirais que c'était déjà bien assez long (et vraiment harassant) pour moi, mais la matière me donne envie d'en faire une murder, notamment. (un scénario pour une soirée enquête en jeu de rôle grandeur nature). Il y aurait sûrement de quoi faire un roman, même. Ou un film. Mais c'est pas trop mon domaine
Merci pour tes commentaires en tout cas. Je suis contente que la lecture ait été agréable (et frustrante, je suis assez contente aussi pour ça )
J'aime beaucoup ton résumé, en fait, c'est exactement ça, c'était même l'essentiel du plan de mon texte avant que je le détaille. C'est un harem, donc oui c'est machiste, et c'est Yosko, donc oui c'est... un peu bizarre. Je note quand même tes idées sur le suçage de lianes, et sur le côté dramatique de l'incendie. Surtout le suçage de lianes quand même. Il y a sûrement matière à en faire qqch de graveleux pour rebondir sur la scène du buisson. Je me demande juste s'ils peuvent trouver des lianes là bas.
Je ne sais pas trop quoi faire de ton idée sur les émotions / pensées des personnages. Il faudra que je vérifie ce qui marche bien en lisant parce que je ne suis plus trop sûre de comment je voudrais faire.
Je me suis pas mal documentée sur les amérindiens pour écrire ce texte, donc je suis plutôt contente que ça marche bien sur ce côté là (en tout cas pour toi).
Clairement, il y a matière à en faire davantage. Je dirais que c'était déjà bien assez long (et vraiment harassant) pour moi, mais la matière me donne envie d'en faire une murder, notamment. (un scénario pour une soirée enquête en jeu de rôle grandeur nature). Il y aurait sûrement de quoi faire un roman, même. Ou un film. Mais c'est pas trop mon domaine
Merci pour tes commentaires en tout cas. Je suis contente que la lecture ait été agréable (et frustrante, je suis assez contente aussi pour ça )
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