Songe- Mort

J'ai lu ce texte avec plaisir, même si plusieurs passages me semblent peu évident dans le déroulement temporel. Je me permet cette remarque, puisque je sens le même problème dans certains de mes textes : ainsi, le passage entre le crachat de grégoire et l'arrivée des chevalier me laisse perplexe. Par la suite, comment sait-il où sont les elfes ?

Le passage sur la mort des combattants est bon. J'aime le bout d'histoire de chacun.

Enfin, le Gaston est pour la paix, et il part en courant. Mais on a plus l'impression qu'il aimerait bien se les faire tous (c'est comme ça que je l'ai ressenti, en tout cas). Et le dialogue final, effectivement, n'est pas très... elfique.

Merci à tous pour vos réponses!

Concernant les critiques :

"les elfes sont trop vicieux" : certes, mais si je les ai choisis, c'est parcequel malgré tout, ils sont une race profondément bonne, et donc apte à émouvoir un peu sur le passage du champ de bataille. J'aurais eu plus de mal à faire passer de l'émotion en relatant l'histoire de cadavres orques ou elfes noirs....
Concernant leur langage parlé, c'ets vrai que quelque chose cloche un peu, je pense en fait remplacer les elfes par des humains.. mais bon...


"Comment fait-il pour trouver les elfes?"
En partant du campement humainp, il prend la direction du champ de bataille, puis tout droit. Ceci me araît être un raisonnement logique, de se dire que le champ de bataille est entre les deux factions... non? :

ries écrit: le passage entre le crachat de grégoire et l'arrivée des chevalier me laisse perplexe

Euh... ah bon? je ne comprends pas.. qu'est-cequi te chagrine, au juste?

Voilà, encore merci à tous pour vos réponses et vos encouragements!

je préfère le thème de "Ah, si..."

héhé...

On est dans un passage de voyage ; Grégoire crache. Puis, la pluie arrive : c'est en continuité. "le jour se levait" : l'emploi de ce temps suggère encore la continuité. Et là, la corde de son arc, les tentes, des élements complètement nouveaux, sont utilisés comme si ils avaient toujours été là.
Puis, il explique qu'il suffit de crier, que les épées des chevaliers suffiraient... Quels chevaliers ? Ils ne me semblent pas qu'ils aient été introduits avant...

Voilà mes problèmes de compréhension

J'ai déjà commenté pas mal de fois ce texte, je ne le ferais donc que très rapidement: l'idée est très bonne et l'on sent bien là toute l'innocence du garçon, intouchable tant qu'il est innocent.
Mais cette plus grande force est sa plus grande faiblesse, et il va basculer du mauvais côté et mourir.


Un joli one-shot donc.



Iliaron

Une bonne surprise que ce One-Shot, malgré une fin que je trouve un poil "bâclée". Ca va en fait un peu trop vite sur la fin. Néanmoins, la meilleure scène reste la description des morts sur le champ de bataille. Toute cette série d'anecdotes rend le texte "vivant".