Les Enfants de quoi ?
- Vuld Edone
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Roman de SF publié sur internet, je ne l'aurais pas connu si une carte format A6 n'avait pas fini dans mon train.
Publicité faite, cette personne en plus d'une liste de liens abondante offre 600 pages de lecture et demande des commentaires.
Pourquoi vous l'avoir proposé ?
(1ère partie, Prologue)Le jeune homme eut un sourire satisfait, et passa la main dans ses boucles noires.
— Le transfert est terminé, Père, annonça-t-il.
Le "père" rappelle le "comment ne pas écrire des histoires" de Solaris et cela décrit bien le roman.
Ca, c'était le début. Est-ce mieux après ?
(3ème partie, chapitreL'écran clignota, puis l'interface changea totalement. William soupira et se redressa sur son siège, regardant droit devant lui.
Tout le monde a repéré l'énorme participe présent en fin de phrase.
Qu'en est-il du drame, de la tension ?
(3ème,De toute manière, c'était également ce que son ami voulait : qui aurait eu l'envie de retourner à son domicile et regarder dans les yeux son épouse infidèle qui avait si brusquement décidé de briser sa famille ?
Un texte à notre niveau donc, je n'ai encore aucune idée de ce que nous prépare Pandore mais sans aucun doute, nous y aurions beaucoup à dire.
Voilà, je ne comprends toujours pas pourquoi ce blog s'est fait de la publicité, ni pourquoi cette publicité s'est retrouvée dans mon train, mais cette publicité s'étend maintenant aux Chroniques.
... D'ailleurs, puisqu'elle propose une bannière, songer à une place sur le site pour des partenaires ?
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- Vanessa
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J'ai découvert le lien vers ce forum en regardant mes statistiques Je suis Vanessa, l'auteur du roman les Enfants de l'Ô.
Concernant la carte postale dans le train, je ne sais absolument pas pourquoi elle s'est retrouvée là, mais tant mieux !!!
Pour les remarques, je ne sais pas comment les interpréter (je n'ai personnellement rien contre les participes présent, du moment qu'ils ne sont pas là en trop grande quantité), mais je suis toujours à la recherche de critiques qui me permettraient de m'améliorer
Je vais aller faire un tour sur le forum, ça a l'air bien sympa, par ici...
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- Vuld Edone
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Avoue que j'aurais difficilement pu inviter les gens à aller critiquer si d'emblée je leur avais dit "il n'y a rien à critiquer". Mais c'est hélas aussi vrai qu'un seul détail peut condamner tout un texte.
Je te laisse rencontrer les autres Chroniqueurs (s'ils se manifestent (et si tu restes)). Un rien me dit que je ne suis pas le plus représentatif.
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- Vanessa
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- Messages : 13
Je connais le "comment ne pas écrire des histoires", que j'ai lu avec beaucoup de plaisir il y a déjà plusieurs années et que je viens de parcourir à nouveau, mais je ne vois pas le rapport avec le "père" du début. Peux-tu m'éclairer ? (de toute façon, le prologue est nul, il disparaîtra dans la version finale, mais c'est juste par curiosité)
Bref, j'ai bien envie de proposer ce roman sur ce site, si ça peut donner envie aux gens de faire quelques critiques. Est-ce possible ?
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- Vuld Edone
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- Messages : 2178
Ce qui revient au fameux "Durand n'a pas besoin qu'on lui rappelle qu'il est capitaine".
À y voir de plus près :
On remarque en effet que l'énoncé pris en charge par le jeune homme est une première proposition "le transfert est terminé" qui pourrait effectivement se terminer là.Le jeune homme eut un sourire satisfait, et passa la main dans ses boucles noires.
— Le transfert est terminé, Père, annonça-t-il.
L'effet des virgules en incise met en avant le "père" qui apparait comme une seconde proposition, surnuméraire, un ajout tardif.
Je ne sais pas quelle sera ta perception de "Père, le transfert est terminé" mais j'y vois d'une part la première proposition "père" qui ne disant rien appelle une seconde proposition pour compléter l'énoncé, et qui théoriquement passerait donc mieux.
Maintenant, en plus de la trop grande abondance de dialogues dans ce prologue - je lis un roman, pas une pièce de théâtre - je soulignerai d'une part que "père" est connoté dans le contexte littéraire, soit pour les enfants au langage soutenu - cadre bourgeois notamment - soit justement en position "capitaine" - "monsieur" ou tout autre titre.
Il y a donc dans "père" tout comme dans le "annonça-t-il" du "déjà-vu", du ressassé plutôt commun qui pour la première impression n'est pas le bienvenu.
Je voudrais souligner autre chose, pour expliquer un autre de mes commentaires. Je ne pensais pas pouvoir l'exemplifier dans le prologue mais il s'avère que si.
Dans ce prologue, la situation est au soutenu (père), avec également les grandes listes de nombres et les nombreux sous-entendus entre les deux personnages. Il se prépare quelque chose, situation donc tendue.
Et voilà que :
Pour quelqu'un qui dit "père", dans une situation assez sérieuse, je trouve malvenu qu'il se prenne soudain à faire de l'humour - et dans cet humour remettre en question l'autorité (par son savoir) de ce "Père".— Rien ne presse, tu as encore quelques heures devant toi. Tu es sûr qu'ils ne peuvent pas la manquer ?
— Père, le champ énergétique dégagé par son bracelet est l'équivalent de l'explosion d'une bombe nucléaire. Ils ne la manqueront pas…
C'est un changement de registre mal venu pour l'atmosphère qui semblait se mettre en place.
Quand au participe présent, j'espère pouvoir l'aborder quand je commenterai réellement ton roman, plutôt que dans ce coin du forum.
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- Monthy3
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Mieux en avoir conscience lorsque l'on lit ses commentaires
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- Vanessa
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Une petite remarque, toutefois :
Si j'ai pris la peine de mettre "père" en incise et de le mettre à cet endroit dans la phrase, c'est que je le jugeais nécessaire. La relation de Lúka à son père définit presque complètement les agissements de ce personnage et est essentielle à l'histoire. Et il s'adresse toujours comme ça à son père, ce n'est pas un truc à la Star Wars ou un truc de l'armée, c'est plutôt un truc de bourgeoisie.
Mais Feurnard a tout à fait raison sur la surabondance de dialogues (et pas seulement dans le prologue, d'ailleurs) et dans le fait que le ton du prologue ne se prête pas à l'humour Mais comme je l'ai dit, toute cette partie-là va dégager, car je l'estime vraiment très mauvaise.
Il faut garder à l'esprit que ce qui est sur internet n'est qu'un premier jet, que je n'ai relu qu'une seule fois pour enlever les coquilles (il en reste, je sais, ainsi que quelques fautes de grammaire et probablement une faute d'orthographe ou l'autre). Ce récit n'a aucunement la prétention d'être de niveau éditorial, contrairement à mes textes publiés, qui, eux, ont été travaillés, lus et relus, et re-relus. Je dirais que là, j'ai encore bien 60% de travail à achever dessus. Donc les commentaires du genre de ceux de Feurnard me conviennent tout à fait, car ils me permettront de cibler les choses à enlever
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- Zarathoustra
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