Critique de l'Avatar, de Lorindil, par Gulix
- Gulix
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Ayant lu l'Avatar, et ayant pris des notes durant cette lecture, je vais ici vous livrer ma critique de ce texte. Pour commencer, je parlerai rapidement de la forme. Je poursuivrai ensuite par l'expression, puis je développerai ma critique de l'histoire elle-même. Enfin, je conclurai par mon avis global sur le texte.
1 - La Forme
AU niveau de la mise en forme du texte, et de sa disposition, je trouve que les paragraphes sont très bien construits. Ils sont tous assez courts, ce qui permet de garder un rythme soutenu à l'histoire, et améliore la clarté du texte. Cependant, je trouve que les paragraphes contenant du dialogue auraient mérité un peu plus d'attention, car les guillemets ne sont pas toujours présents, et n'encadrent pas bien le texte parlé. Par exemple, dans le chapitre 1 :
"Hé! Et Mon or! lui cria le mage.
-Oh oui, j'allais oublier..."
A mon avis, pour plus de lisibilité, il aurait fallu rajouter des guillemets après "Et mon or!", puis en rouvrir au début de la ligne suivante, pour isoler l'attitude du mage. Et on retrouve cela tout au long du texte.
Par contre, il y a un élément que j'ai beaucoup apprécié dans la disposition du récit, et que je pense réutiliser . Il s'agi du prélude à chaque chapitre, à partir du deuxième. Ces préludes permettent de voir ce qui se passe là où ne se trouvent pas des deux protagonistes principaux, Gareth et Texalathil. L'intrigue se dévoile ainsi petit à petit, et on découvre la conspiration qui est en place par ce biais.
2 - L'Expression
L'expression générale n'est pas mauvaise. Je n'ai pas décelé, après deux lectures, de fautes de style flagrantes, ni même de répétitions, mais une chose m'a tout de même énormément gêné dans ma lecture : Warhammer !
En fait, je reproche surtout l'utilisation trop importante de termes "warhammeriens" (entendez par là empruntés au jeu de figurines). Skink, saurus, prêtre-mage slaan, elfe noir, skavens, coureur d'égouts, Haute Magie, ... Pour un lecteur qui connaît le monde, cela permet il est vrai de voir tout de suite de quoi il s'agit, mais des termes appropriés au jeu ne le sont pas, je pense, à l'écriture d'une histoire.
Premièrement, les personnages n'emploient pas forcément ces termes dans leur vie de tous les jours, et même, ils ne doivent pas les connaître. Je doute fort que tous les peuples utilisent les termes skinks ou saurus pour parler des hommes-lézards (plus approprié déjà, ce dernier). De même, je ne pense que Texalathil parle de "Hauts Elfes", ou "d'Elfes Noirs". Enfin, à propos des Sangs Froids, il est presque impossible que les 2 personnages utilisent le même mot pour parler de cette créature, même s'ils la connaissent tous les deux !
Deuxièmement, je trouve que cela casse l'ambiance du récit que d'employer certains termes (lancer une malédiction du Rat Cornu, une Cloche Hurlante... ). Il aurait mieux fallu décrire ces éléments. L'usage des termes Champions et Héros aussi me gêne. JE trouve que cela ne colle pas avec le récit. Des termes comme sergents, capitaines, ou chefs sonnent mieux dans ma tête quand je les lis. Tous ces termes, qui correspondent trop au jeu Warhammer, cassent l'ambiance posée par le récit.
Troisièmement, et dernièrement, un emploi trop fréquent de tels termes limite la portée du texte. Bien que de nombreux lecteurs de ce texte connaissent l'univers présenté, il se peut que des étrangers à ce jeu tombent dessus. Comment identifieront-ils alors les skavens, les saurus, les skinks ? J'ai parfois le même problème, lorsque j'écris dans un univers qui possède des créatures caractéristiques avec un nom bien spécifique. Je pense qu'il est alors bon de décrire cette créature une première fois, puis de la nommer. Le lecteur pourra peut-être ainsi découvrir la créature en même temps qu'un des personnages...
Pour terminer ma critique de l'expression, voici une phrase qui ne m'a vraiment pas emballé à la lecture :
- Hélas, Grand Prêtre Crapta, un héros skink inconnu est venu à leur secours... et nous a tous massacrés.
Tout d'abord, les héros sont le plus souvent connus, c'est même une de leurs caractéristiques communes .J'aurais plutôt parlé d'un "grand skink", ou d'un "puissant skink". Même si, dans Warhammer, Texalathil est un héros skink, ce terme ne colle pas avec le récit.
Et puis la fin de la phrase ne me va pas du tout. S'il les avait tous massacrés, le skink ne pourrait pas en parler ! "Il nous a mis en déroute", "Nous n'avons pas pu poursuivre le combat" : cela aurait été plus judicieux. En plus, les subalternes édulcorent le plus souvent la vérité quand elle est en leur défaveur !
3 - L'Histoire
Un skink, un elfe noir, plusieurs possibilités ... Quand j'ai commencé à lire ce texte, je ne savais pas bien vers quoi je m'aventurais. Je savais qu'il y était question d'Hommes-Lézards (eu égard à la Lustrie), et d'elfes noirs (d'après le début du texte). J'ai donc été assez surpris (en bien) par la tournure que prend le texte, par l'amitié qui se noue lentement entre les deux héros, par la conspiration de Kreetch, qui se dévoile au fur et à mesure (un dosage savant ).
Les sentiments de Gareth sont pour moi une des composantes majeures de l'histoire. Alors qu'il ne pense au début qu'à se débarasser du skink, il évolue de chapitres en chapitres jusqu'à laisser sauve à Texalathil à la fin, et il éprouve même de l'amitié. En plus d'être important, cela est très bien écrit, et restranscrit. Chapeau !
Le passage à Skeggie aurait peut-être mérité plus de traitement, mais il s'intègre bien au récit, qui est assez rapide à lire. D'autres passages auraient pu être étoffés, afin de montrer plus la vision qu'à Gareth de ce Nouveau Monde. Mais cela n'est pas l'objectif de ce texte, et on peut rester concentré sur l'intrigue.
Deux petits défauts cependant se glissent dans l'histoire. Des défauts "fluffiques", qui concernent le monde de Warhammer tel que je le connais. Tout d'abord, la tour du mage de Skeggi n'est pas à sa place. Skeggi est une colonie nordique, où la magie est plus d'ordre chamanique. S'il existe des lieux semblables à une tour du mage à Skeggi, je pense qu'ils sont beaucoup plus "obscurs", et mieux cachés. La deuxième erreur fluffique (j'aime bien le terme ) concerne une des apparitions des saurus. Lorsqu'ils sont à la recherche de Gareth et de son compagnon, ils découvrent des traces, et le chef part à leur suite. A mon avis, les saurus sont encore plus limités que les orques au niveau cérébral. Je les vois mal découvrir des traces dans la boue, et même prendre des initiatives ! Il ne s'agit que de bêtes mchines à tuer. Avce un deux skinks comme guides, cela aurait pu passer, mais là, non.
Conclusion
En conclusion, je dirais qu'il s'agit là d'un bon texte, avec une très bonne intrigue, montrant les relations entre deux être opposés qui vont devoir s'allier. Le récit se lit rapidement, et possède un rythme soutenu, mais l'emploi de certains termes le rend parfois malaisé à lire. Je pense qu'une révision, où les termes cités plus hauts seraient moins utilisés, où il y aurait plus de descriptions, et où certains passages seraient plus remplis, apporterait un grand bonus à ce bon texte. Il deviendrait alors un très bon texte !
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- Kundïn
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... sauf si l'histoire en question est publiée sur un site exclusivement dédié aux nouvelles situées dans l'univers de Warhammer, comme c'était le cas pour les Chroniques au moment ou le texte a été écrit, si je me souviens bien !En fait, je reproche surtout l'utilisation trop importante de termes "warhammeriens" (entendez par là empruntés au jeu de figurines). Skink, saurus, prêtre-mage slaan, elfe noir, skavens, coureur d'égouts, Haute Magie, ... Pour un lecteur qui connaît le monde, cela permet il est vrai de voir tout de suite de quoi il s'agit, mais des termes appropriés au jeu ne le sont pas, je pense, à l'écriture d'une histoire.
A mon avis, pour plus de lisibilité, il aurait fallu rajouter des guillemets après "Et mon or!", puis en rouvrir au début de la ligne suivante, pour isoler l'attitude du mage. Et on retrouve cela tout au long du texte.
Alors selon les regles de la typographie francaise (il serait d'ailleurs bon que nous nous y interessions en tant qu'ecrivains amateurs, je vais lancer un post sur le sujet) le dialogue peut etre ouvert avec des guillemets ou un tiret, mais pas les deux. Exemple :
Notre diligence endormie ressemblait à une voiture enchantée, figée par la baguette des fées, à quelque carrefour de clairière, dans la forêt de la Belle-au-Bois dormant.
- Le fait est, dis-je, que pour un homme d'imagination, cette fenêtre a de la physionomie.
- Je ne sais pas ce qu'elle a pour vous, reprit le vicomte de Brassard, mais je sais ce qu'elle a pour moi. C'est la fenêtre de la chambre qui a été ma première chambre de garnison. J'ai habité là... Diable! il y a tout à l'heure trente-cinq ans! derrière ce rideau... qui semble n'avoir pas été changé depuis tant d'années, et que je trouve éclairé, absolument éclairé, comme il l'était quand...
Il s'arrêta encore, réprimant sa pensée; mais je tenais à la faire sortir.
- Quand vous étudiiez votre tactique, capitaine, dans vos premières veilles de sous-lieutenant?
- Vous me faites beaucoup trop d'honneur, répondit-il. J'étais, il est vrai, sous-lieutenant dans ce moment-là, mais les nuits que je passais alors, je ne les passais pas sur ma tactique, et si j'avais ma lampe allumée, à ces heures indues, comme disent les gens rangés, ce n'était pas pour lire le maréchal de Saxe.
(Barbey d'Aurevilly, Les Diaboliques).
Le guillemet est plutot utilise pour commencer un monologue ou pour une phrase isolee.
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- Gulix
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Question d'habitude, de goût, ou d'autre chose ?...
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- Anonymous
Bon, je recommence... mais j'abrège. J'en ai marre de devoir tout retaper.
Tout d'abord, bravo pour cette critique, à laquelle je me dois d'apporter des commentaires. En effet il me semble bon de rappeler quelques points de l'histoire des chroniques par exemple pour expliquer le style.
Enfin, comme je le redirai par la suite, ce texte a déjà 4 ans. Il est donc assez difficile de le critiquer en s'adressant au Lorindil actuel; depuis cette époque les gouts des internautes, mon style et enfin mes attentes en terme de récits ont nettement évolué.
J'espère t'apporter quelques éléments de réponse intéressants !
AU niveau de la mise en forme du texte, et de sa disposition, je trouve que les paragraphes sont très bien construits. Ils sont tous assez courts, ce qui permet de garder un rythme soutenu à l'histoire, et améliore la clarté du texte. Cependant, je trouve que les paragraphes contenant du dialogue auraient mérité un peu plus d'attention, car les guillemets ne sont pas toujours présents, et n'encadrent pas bien le texte parlé.
C'est d'usage dans la littérature, comme l'a souligné Kundin. Je me suis résigné en 2000 à changer ça et écrire comme tu le préconises, mais je n'aime pas ça. j'ai tjrs l'impression de macher le boulot de mes lecteurs et de les prendre pour des benêts.
En fait, je reproche surtout l'utilisation trop importante de termes "warhammeriens" (entendez par là empruntés au jeu de figurines). Skink, saurus, prêtre-mage slaan, elfe noir, skavens, coureur d'égouts, Haute Magie, ... Pour un lecteur qui connaît le monde, cela permet il est vrai de voir tout de suite de quoi il s'agit, mais des termes appropriés au jeu ne le sont pas, je pense, à l'écriture d'une histoire.
Premièrement, les personnages n'emploient pas forcément ces termes dans leur vie de tous les jours, et même, ils ne doivent pas les connaître. Je doute fort que tous les peuples utilisent les termes skinks ou saurus pour parler des hommes-lézards (plus approprié déjà, ce dernier). De même, je ne pense que Texalathil parle de "Hauts Elfes", ou "d'Elfes Noirs". Enfin, à propos des Sangs Froids, il est presque impossible que les 2 personnages utilisent le même mot pour parler de cette créature, même s'ils la connaissent tous les deux !
Deuxièmement, je trouve que cela casse l'ambiance du récit que d'employer certains termes (lancer une malédiction du Rat Cornu, une Cloche Hurlante... ). Il aurait mieux fallu décrire ces éléments. L'usage des termes Champions et Héros aussi me gêne. JE trouve que cela ne colle pas avec le récit. Des termes comme sergents, capitaines, ou chefs sonnent mieux dans ma tête quand je les lis. Tous ces termes, qui correspondent trop au jeu Warhammer, cassent l'ambiance posée par le récit.
A l'époque (1998-2000) il était de bon ton de faire des récits dans un style "rapport de bataille", bref de transposer le plus fidèlement possible le monde warhammerien. Kun' tu te souviens pt des premiers récits sur le net sur warhammer qu'on trouvait alors ! Ceci est passé de monde, surtout sur les Chroniques dont l'objectif littéraire a décollé très vite. Ta critique est juste, elle met la lumière sur un vieux style passé de mode.
Troisièmement, et dernièrement, un emploi trop fréquent de tels termes limite la portée du texte. Bien que de nombreux lecteurs de ce texte connaissent l'univers présenté, il se peut que des étrangers à ce jeu tombent dessus. Comment identifieront-ils alors les skavens, les saurus, les skinks ? J'ai parfois le même problème, lorsque j'écris dans un univers qui possède des créatures caractéristiques avec un nom bien spécifique. Je pense qu'il est alors bon de décrire cette créature une première fois, puis de la nommer. Le lecteur pourra peut-être ainsi découvrir la créature en même temps qu'un des personnages...
Eh non, car vois-tu ce texte n'était pas du tout destiné à des non-warhammeriens ! C'était là encore l'orientation de l'époque pour les Chroniques. Maintenant on s'ouvre plus, mais à l'époque Kun ne publiait que sur Warhammer, pas même 40k ! A ce sujet je l'avais passé à une prof de français inculte en HF qui l'avait trouvé bien écrit et clair. Comme quoi !
Tout d'abord, les héros sont le plus souvent connus, c'est même une de leurs caractéristiques communes .J'aurais plutôt parlé d'un "grand skink", ou d'un "puissant skink". Même si, dans Warhammer, Texalathil est un héros skink, ce terme ne colle pas avec le récit.
Mouais, avec ce que j'ai mis avant tu comprendras mieux ce passage. Je passe.
Deux petits défauts cependant se glissent dans l'histoire. Des défauts "fluffiques", qui concernent le monde de Warhammer tel que je le connais. Tout d'abord, la tour du mage de Skeggi n'est pas à sa place. Skeggi est une colonie nordique, où la magie est plus d'ordre chamanique. S'il existe des lieux semblables à une tour du mage à Skeggi, je pense qu'ils sont beaucoup plus "obscurs", et mieux cachés.
Pt que la 6ème edition de Warhammer est plus claire à ce sujet. Dans la 5ème pas du tout. Et à ce sujet, rien n'empêche un mage du vieux monde de fonder une tour de magie à Skeggi. C'est un lieu où se croisent beaucoup d'aventuriers, ne l'oublions pas.
La deuxième erreur fluffique (j'aime bien le terme ) concerne une des apparitions des saurus. Lorsqu'ils sont à la recherche de Gareth et de son compagnon, ils découvrent des traces, et le chef part à leur suite. A mon avis, les saurus sont encore plus limités que les orques au niveau cérébral. Je les vois mal découvrir des traces dans la boue, et même prendre des initiatives ! Il ne s'agit que de bêtes mchines à tuer. Avce un deux skinks comme guides, cela aurait pu passer, mais là, non.
Que l'on veuille donner une image négative des saurus, certes, mais si j'ai eu envie de les décrire comme des prédateurs dans cette scène plutôt que des imbéciles heureux n'est pas critiquable comme une faute. Donner un nouvel éclairage sur tel ou tel race dans ce récit est un choix personnel. D'ailleurs celà avait été très bien accueilli par les joueurs Hommes Lézards de l'époque. Les gouts et les couleurs...
Je pense qu'une révision, où les termes cités plus hauts seraient moins utilisés, où il y aurait plus de descriptions, et où certains passages seraient plus remplis, apporterait un grand bonus à ce bon texte. Il deviendrait alors un très bon texte !
Non, ce texte est devenu une archive vivante des Chroniques, témoin à la fois d'un état d'esprit et du passé de son auteur (moi-même ) Le modifier serait trahir quelque part ce témoignage vivant. Il est marqué sa date d'écriture, le lecteur jugera du progret accompli, des enseignements non tirés. Je n'ai aucunement honte de ce récit ! Il a son style, et correspond à l'état d'esprit de certains lecteurs !
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- Gulix
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Tout d'abord, il est vrai que je n'ai pas replacé le texte dans le contexte original où il a été écrit. Mais c'est une époque que je n'ai pas connue !
Pour la tour de mage, et les saurus, je pense bien avoir précisé que c'est la façon dont je vois le monde de Warhammer (je penche plus sur l'aspect sombre de WJDRF que sur celui de battle). J'aime bien avoir des surprises dans les textes sur ces mondes, mais je trouvais que ces 2 éléments là ne collaient pas trop. Question d'appréciation...
J'ai vu après avoir rédigé ma critique qu'il faisait partie des classiques ! Et c'est vrai qu'on ne s'attaque pas au classiques ! Mais la conclusion représente vraiment ce que je pense à propos de ce texte .
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- Anonymous
Et puis les visions s'entre-croisant sur tel ou tel point c'est assez intéressant. Je me souviens d'un texte de Vidkun qui m'avait un peu choqué à l'époque: un général semi-elfe dirigeait une armée de bretonniens entièrement constituée d'écuyers. C'était assez surprenant, mais après coup, j'avais juste regretté que le background n'ait as été suffisament creusé pour vraiment les introduire convenablement. L'idée seule ne suffit pas toujours !
Mais je m'égare. J'ai pensé aussi que tu n'avais pas trop fait gaffe au contexte du texte, mais ces classiques doivent souvent être pris avec réserve, après tout ils sont également le reflet d'une époque et le passé d'un auteur
Bon courage pour ton scénar'
Lor
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