file Poëme AbyssBIS

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il y a 20 ans 7 mois #1843 par Abyss
Poëme AbyssBIS a été créé par Abyss
Amazone

Femme sans peur
Dont le noir habille la pâleur
Le dessein ultime de la vengeance dans le regard
Elle avance sûre de sa lame et de son art

Elle qui devine l'hiver dans le c?ur de ses s?urs
Dont le froid abîme la vie fragile qui s'y meurt
Ne dort plus ne rit jamais
La vie semble s'y être arrêtée

La haine pour répondre au chagrin
Comme un point ultime à une vie dérisoire,
Que la faim de survivre fait avoir.

Amazone seule la nature entend tes pleures
Ce silence dans tes larmes qui glisse le long de tes éternels douleurs
Faisant perdre chaque fois l?espoir d?un aurore sans haine au matin

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  • Anonymous
  • Portrait de Anonymous
il y a 20 ans 7 mois #1848 par Anonymous
Réponse de Anonymous sur le sujet Re: Poëme AbyssBIS
Joli poème; je n'en attendais pas moins de ta part !

Encore bravo

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il y a 20 ans 7 mois #1918 par Elendil
Réponse de Elendil sur le sujet Re: Poëme AbyssBIS
Je pars une semaine... et quand je reviens, tout plein de poésie... héhéhé quel bonheur !!!

Tout est très très bien !!! c'est aussi bien que les dernières, je n'imaginais pas les amazones aussi tristement que ca, ca me fait mal au coeur pour elles :D

Bravo !
A+++

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il y a 20 ans 6 mois #2195 par Abyss
Réponse de Abyss sur le sujet Re: Poëme AbyssBIS
Souillure

Brèche du silence
L'océan élance sa renaissance
En une simple cadence
O certe infernale mais dans l'élégance

Cette beauté venue de haut
Fait chavirer l'éther du ciel
Dans l'immensité des ses eaux
Et son charme spirituel

O mer pourquoi te traite dont d'infidèle
Quand même la mouette ne siffle plus que ta romance !
Et bien plus ton chagrin éternel
D'être si indélicatement souillé du noir de l'ignorance

Voilà je te rends ce qui est pour toi, mon humilité
D?être si peu souciante de la vanité que déverse l?humanité

Mon océan de tristesse
Que déverse par ces noirs écumes.
Finissent toutes dans l?abîme de nos détresses
Où rime seule ma solitude !

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  • Anonymous
  • Portrait de Anonymous
il y a 20 ans 6 mois #2204 par Anonymous
Réponse de Anonymous sur le sujet Re: Poëme AbyssBIS
Aïe ! Deux fautes vraiment dommage: l'emploi incorrect d'un Ô à la place d'un oh suivi d'un certes sans le s... Bon, je sais c'est un peu facile de dénoncer les fautes d'orthographe, surtout quand on en fait soi-même un sacré paquet, mais celle-là m'a choquée...

Autre détail, ha oui la mouette qui siffle, dans une poésie ça passe mal ! Car dans la série cris railleurs, la mouette y'a pas mieux :) D

Enfin comme je suis à fond ornitho, ce genre de détails ça passe mal ;) Mais c'est pas méchant. Faut faire gaffe des fois, car à trop vouloir faire bien, on fait des grosses bourdes.

Sinon ce poème continue dans ton style, ça fait plaisir de suivre peu à peu ton évolution ! On sent une réflexion derrière ce texte, un constat de l'auteur qui exhorcise (orthographe là j'en sais rien !) ses angoisses et ses doûtes par l'écriture...

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il y a 20 ans 5 mois #2496 par Kalth
Réponse de Kalth sur le sujet Re: Poëme AbyssBIS
JŽaime beaucoup AMAZONE ! Pas de critiques particuliere qui me viennent á lŽesprit.

On pourrait le mettre dans lŽencyclopédie, non ?(la page sans nom)

Elfi ? :roll: lol

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il y a 20 ans 5 mois #2695 par Abyss
Réponse de Abyss sur le sujet poeme de jours de d
Noir dessein que ceux de la nuit
Qui furieusement vous assaillit
La vie plongée dans l?horreur
Prise au tourment de la stupeur

Qui ne voit pas s?écouler ses larmes sèches
Ridicule écrasée par notre intense folie
Qui nous bascule dans l?antre de cette brèche
Infernale? futile mais nous emporte, nous détruit

Que faire quand l?hiver
Vous broie de ses sers
Souffle une envie
Qui crie ça et là Ô vide !

Que n?y pouvait rien après tout
Que n?y pourrait rien après ses coups
Brusque est notre colère insoumise
Au grand soir souffle sa redoute bise

Comme voler à l?envie
De n?être que la plume éteinte d?un parchemin sans hymne
Que je te souffle Ô ma douce souffrance mon crie
Que pleurent mes yeux, le papier et l?encre qui s?y écrit

Ainsi va ma douleur
En cette fin de jour
En cette fin d?espoir et d?amour
De n?être rien que la plaie qui se ronge en douceur

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