Chansons

Je sait pas ce que ça vas donner, mais étant donné que je ne chante pas très bien je ne les poste pas en fichier audio. Le rhythme est à trouver car je ne sait pas comment vous le donner.
Ce post sera dédié uniquement à mes chants (et à vos commentaires bien sur)

Le bonheur noir:


C'est un ciel grisâtre qui s'ouvre à ma vue

Passé la nuit noirâtre le plaisir je n'ai plus

De voir le bleu ciel se découvrir non plus

Et j'ère... Et j'ère



Une pluie argentée tombe sur la ville

Crevant les parapluies des gens marchants tranquilles

Couvrant les routes noires de son eau couvrant les rues

Martelant le trottoir d'un doux bruit incongru



Et en cette morne ville je chante je ne tiens plus

Marchant, errant, fuyant une lassitude inconnue

Et mes jambes me portent où veut bien me porter la rue

Passant devant les portes de milles maisons inconnues



Devant les lumières éteintes je m'assied et je songe

Songeant aux pèlerins et songeant à leurs songes

Moi aussi je veut marcher sur les chemins enneigés

Moi aussi je veut marcher et non vivre emprisonné



Mais si je ne suis pas on dit j'vais rater ma vie

Finir sans diplôme et finir sans envie

Mourir dans un coin d'rue et souffrir sous la pluie

Des pauvres j'en ai vu et parfois j'envie leur vie



Se soucier de personne ne se soucier que de sois

Pas de règles qui résonnent, la liberté d'un sans toit

Pas industrialisé socialisé ni quoique ce soit

Pas guidé comme un mouton pour finir à l'abat



Moi aussi je veut apprendre et être libre ça vas de sois

Apprendre à être libre de refuser ce que je vois

Apprendre ce que je veut et non ce que l'on m'impose

Apprendre à faire un vœux car je sait déjà faire une prose.



Une prose pour ceux qui vivent, et un vœux pour ceux qui meurent

Un vœux pour ceux qui survivent, le vœux de leur bonheur

Mais un vœux fait pas tout, il-e-donne juste l'espoir

Mais un vœux fait pas tout, ll éclaire juste le noir



Une lampe pour s'guider dans les gouffres de malheur

Une lampe pour avancer malgré toute notre douleur

J' pourrais toujours prier y'aura toujours des problèmes

J'pourrais toujours prier, faudra toujours des poèmes



Des poèmes pour dénoncer, des poèmes pour avancer

Des poème pour penser, pour penser et faire penser

Des poèmes à satiété, pour pouvoir dénoncer

Une injustice grandissante et une justice mourante



Mais bon seul je peut rein faire, ma douleur est votre enfer-



Mais bon seul je n'peut qu'chanter, et au nom d'la liberté

Et au nom d'légalité, et au ,nom de la justice

Et pour la fraternité, je vous la demande la justice

Je vous la mendie aux hospices, et je vous la mendie malade

J'aimerais un autre monde, un monde ou les gens chanteraient

Ou ils chanteraient leur joie, au lieu d'chanter leur péchés

Ou ils bâteraient le blé, au lieu d'battre leurs alliés

Ou la paix nait-e-rais, ou le monde serais

Idyllique havre de paix, idyllique espoir

Idyllique lueur, au milieu d'un monde noir

Moi je veut vont îlot, mon îlot de bonheur

Mon îlot de paix, mon îlot sans douleur

Mais tant qu'autours de moi, sera le malheur des autres

Le malheur sera de moi, et je ne trouverais la paix

Mais quand viennent ces bons apôtres, aux milles-e-mais de sagesse

Pour qui l'homme à prié, bien longtemps avant ma jeunesse

Mais je me perds en sachant ce qu'est le monde

Mais je me perds dans cette masse de vies immondes



Alors moi je chante et je chante ma peine

Je chante mon dégoût et je chante ces chaines

Alors moi je crie j'crie au nom de la vie

Au nom d'la liberté et au nom d'la beauté

Alors moi je crie, et je crie l'infini

Alors moi je pleur, et je pleur ma peur

La peur de la douleur, mais pas d'la douleur de moi

La peur de celles des autres, la peur de mon émoi



Je veut, rêver, je veut, penser, et par dessus tout, je veut chanter...