je tente un nouveau roman.
- louve
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il y a 19 ans 1 semaine #8290
par louve
je tente un nouveau roman. a été créé par louve
voilà mon nouveau roman. Il est loin d'être terminé mais je voudrais savoir d'abord si les gens vont accrocher. Je poste donc le début en espérant que vous donnerez vos opinions. merci.
Spike, héros malgré lui.
Au commencement de la vie, les Dieux ne créèrent qu’une seule planète : la Terre. Cela ne faisait que deux sphères dans tout le système solaire. La terre ne comportait qu’un seul continent entouré d’eau et d’îles. Les peuples de la Terre ne sortaient jamais de leur continent et de toutes façons, ils n’en avaient pas les moyens. Par fantaisie, les Divinités donnèrent naissance à différentes communautés : les humains étant les plus nombreux sur Arkania, les elfes, ou sylphes, vivant en parfaite harmonie avec les Hommes, les centaures, les sirènes, les loups-garous, les vampires, les croques mitaines et d’autres créatures vivant bien souvent cachés. Ils créèrent aussi le mal sous deux apparitions bien différentes : l’une se caractérisait sous l’apparence d’êtres sanguinaires et violents sans aucune moral et qui sèment la mort partout où ils passent. L’autre apparence du mal est plus cocasse, plus banale. C’est sous la forme de petits êtres malicieux qu’il existe. Or ces petits êtres ne font que voler, blesser, chahuter les autres. Rien de bien méchant quand on considère l’autre aspect du mal. Et c’est pour lutter contre lui que naquirent des héros. Ils furent cinq au commencement, quatre hommes et une femme. Seuls leurs descendants légitimes pourraient à leur tour devenir des héros. Mais deux des héros moururent sans avoir d’enfants connus. La terre se retrouva alors face à une horde de démons maléfiques. L’un des héros crus bon de donner un enfant de lui à chaque femme qu’il croiserait. Mais les Dieux l’avaient fait laid et seule une femme accepta d’avoir en son ventre sa descendance. Elle mit au monde un fils. Et les Divinités firent que chaque descendant des deux héros hommes soit du sexe masculin et que chaque descendant de l’héroïne soit une femme. L’héroïne avait hérité de la force, de l’intelligence mais elle était aussi maladroite et pas d’une beauté exceptionnelle. Intéressons nous maintenant au dernier héros. Il était beau, fort et courageux. Il n’avait peur de rien. Ses descendants furent tous comme lui : un parfait héros. Mais Spike son cinquième descendant lui avait beaucoup plus encore. Il était beau, fort et courageux mais aussi avare, égocentrique, pervers et arrogant. Les héros en tant normal ne se font pas payer pour leurs services. Spike, lui, si. Pourtant il n’était pas un mercenaire. Les mercenaires se font payer pour aider les gens sans qu’on sache s’ils méritent bien l’argent. Les héros eux non. On ne se pose pas la question de savoir s’il mérite l’argent puisque sa force lui vient directement des Dieux. Spike était ainsi, il était unique.
1.
Le soleil n’était pas encore levé. Le vent continuait de faire balancer les branches des arbres alentours. Le coq se mit à chanter sans attendre l’aube. Il n’était que quatre heure du matin. A horsa, seul le coq de Spike chantait de bonne heure. Ainsi, son maître était debout avant tout le monde. Horsa ressemblait plus à une ville qu’à un village. Il possédait une grande place, entourée de plusieurs boutiques et de la maison du maire : madame Packet. Celle-ci avait plus de soixante ans mais avait gardé toute sa tête. Elle était gentille et respectée mais froide surtout quand il s’agissait de Spike.
Il se leva tranquillement, fis son lit et s’étira. Quatre heure du matin déjà. Péniblement il alla dans la salle de bain. Il se lava soigneusement et une fois sortit de son baquet d’eau, s’essuya le corps. Puis il se brossa les cheveux tout en s’admirant dans le miroir dont le cadre était fait de chêne. C’était sa mère qui le lui avait offert le jour de ses seize printemps. Et depuis, chaque matin, il restait dix bonnes minutes à se contempler sans lassitude. Ce matin-là, il se regarda plus longtemps, et, chose étrange, se mit à se parler :
« Oh Spike ! Que des cheveux sublimes ! Ils sont si doux. Ils rendraient folles n’importes quelles jeunes filles du monde. Mais Aujourd’hui est un jour spécial : tu as vingt printemps et la vieille Packet veut absolument te voir dans la journée pour on ne sait quelle raison. Peut-être nous a t’elle trouvé une épouse ? - il se sourit à lui-même- et ce regard ferait fondre le cœur de la reine des glaces ! Bon, bel apollon, il est temps de faire taire ce maudit coq ! »
Il se dirigea dans le garde manger et prit un œuf. Le coq contrairement à son habitude ne s’était pas arrêté de chanter et il risquait de réveiller le voisinage. Spike trouva cela étrange. Cela faisait aujourd’hui quatre ans qu’il avait ce magnifique coq. Quatre ans que sa défunte mère était partie dans le royaume des morts, le laissant seul face à lui-même. Il avait toujours aimé sa mère et celle-ci l’avait toujours considéré comme un homme. Il se rappela qu’à treize ans, peu de temps après que son père ai disparu sans laisser aucune trace, sa mère tomba gravement malade. Les magiciens, sorcières et chamans eurent tous le même pronostic : c’était la disparition de son époux qui lui avait causé un choc émotionnel bloquant la partie de son cerveau qui lui permettait d’utiliser ses jambes. Le pauvre garçon passa alors les trois années suivantes les plus douloureuses de sa vie. Il devait habiller sa mère, la porter pour la déplacer. Celle-ci parlait très rarement. Elle restait dans son lit à longueur de journée regardant par la fenêtre dans l’espoir de revoir apparaître l’homme qu ‘elle aimait. Elle ne se souciait plus de son fils de treize ans qui pour elle était un homme. Un jour, se disait-elle, tu reprendras le rôle de ton père.
Mais Spike, lui, ignorait tout de son père. Il avait eu un père courageux et fort, certes, mais toujours absent pour les besoins de son travail. Mais chaque fois qu’il revenait, il avait de l’or, des bijoux et divers objets pour sa femme et son fils. Un jour, Spike aperçut son père qui enlevait son pull ? Il remarqua alors une énorme cicatrice sur l’omoplate droit de celui-ci ainsi qu’un magnifique tatouage représentant un tigre. Il se plaça devant son père et hasarda :
« Dis, pa' ? C’est quoi dans ton dos ?
-Oh ! Cette cicatrice ? Voyant l’air approbateur de son fils, il répondit, c’est quand je me suis battu contre un tigre. Quand j’ai tué l’animal, le chaman de mon village natal m’a crée ce tatouage et à l’aide de la griffe de l’animal il m’a blessé. C’était une preuve formelle de mon courage et de ma force dans mon village.
-Et moi aussi je devrais faire comme toi ? Prouver ma force ? Parce que maintenant je suis fort déjà !
-Je sais fiston, on l’est tous à sa manière.
-Non. La dernière fois, j’ai réussi à soulever les bouts de bois pour les mettre dans la cheminée !
-Je sais que tu es fort, fiston. Mais il n’y a pas que la force physique qui compte. La force mental est tout aussi importante.
-Je ne comprends pas.
-Ce n’est rien. Quand le moment viendras, tu comprendras - il lui mit la main sur la tête et lui ébouriffa les cheveux- ce moment venu tu seras enfin fort et prêt. »
Etrangement, des années après, Spike se souvenait de chaque parole, chaque geste, chaque détail
Spike, héros malgré lui.
Au commencement de la vie, les Dieux ne créèrent qu’une seule planète : la Terre. Cela ne faisait que deux sphères dans tout le système solaire. La terre ne comportait qu’un seul continent entouré d’eau et d’îles. Les peuples de la Terre ne sortaient jamais de leur continent et de toutes façons, ils n’en avaient pas les moyens. Par fantaisie, les Divinités donnèrent naissance à différentes communautés : les humains étant les plus nombreux sur Arkania, les elfes, ou sylphes, vivant en parfaite harmonie avec les Hommes, les centaures, les sirènes, les loups-garous, les vampires, les croques mitaines et d’autres créatures vivant bien souvent cachés. Ils créèrent aussi le mal sous deux apparitions bien différentes : l’une se caractérisait sous l’apparence d’êtres sanguinaires et violents sans aucune moral et qui sèment la mort partout où ils passent. L’autre apparence du mal est plus cocasse, plus banale. C’est sous la forme de petits êtres malicieux qu’il existe. Or ces petits êtres ne font que voler, blesser, chahuter les autres. Rien de bien méchant quand on considère l’autre aspect du mal. Et c’est pour lutter contre lui que naquirent des héros. Ils furent cinq au commencement, quatre hommes et une femme. Seuls leurs descendants légitimes pourraient à leur tour devenir des héros. Mais deux des héros moururent sans avoir d’enfants connus. La terre se retrouva alors face à une horde de démons maléfiques. L’un des héros crus bon de donner un enfant de lui à chaque femme qu’il croiserait. Mais les Dieux l’avaient fait laid et seule une femme accepta d’avoir en son ventre sa descendance. Elle mit au monde un fils. Et les Divinités firent que chaque descendant des deux héros hommes soit du sexe masculin et que chaque descendant de l’héroïne soit une femme. L’héroïne avait hérité de la force, de l’intelligence mais elle était aussi maladroite et pas d’une beauté exceptionnelle. Intéressons nous maintenant au dernier héros. Il était beau, fort et courageux. Il n’avait peur de rien. Ses descendants furent tous comme lui : un parfait héros. Mais Spike son cinquième descendant lui avait beaucoup plus encore. Il était beau, fort et courageux mais aussi avare, égocentrique, pervers et arrogant. Les héros en tant normal ne se font pas payer pour leurs services. Spike, lui, si. Pourtant il n’était pas un mercenaire. Les mercenaires se font payer pour aider les gens sans qu’on sache s’ils méritent bien l’argent. Les héros eux non. On ne se pose pas la question de savoir s’il mérite l’argent puisque sa force lui vient directement des Dieux. Spike était ainsi, il était unique.
1.
Le soleil n’était pas encore levé. Le vent continuait de faire balancer les branches des arbres alentours. Le coq se mit à chanter sans attendre l’aube. Il n’était que quatre heure du matin. A horsa, seul le coq de Spike chantait de bonne heure. Ainsi, son maître était debout avant tout le monde. Horsa ressemblait plus à une ville qu’à un village. Il possédait une grande place, entourée de plusieurs boutiques et de la maison du maire : madame Packet. Celle-ci avait plus de soixante ans mais avait gardé toute sa tête. Elle était gentille et respectée mais froide surtout quand il s’agissait de Spike.
Il se leva tranquillement, fis son lit et s’étira. Quatre heure du matin déjà. Péniblement il alla dans la salle de bain. Il se lava soigneusement et une fois sortit de son baquet d’eau, s’essuya le corps. Puis il se brossa les cheveux tout en s’admirant dans le miroir dont le cadre était fait de chêne. C’était sa mère qui le lui avait offert le jour de ses seize printemps. Et depuis, chaque matin, il restait dix bonnes minutes à se contempler sans lassitude. Ce matin-là, il se regarda plus longtemps, et, chose étrange, se mit à se parler :
« Oh Spike ! Que des cheveux sublimes ! Ils sont si doux. Ils rendraient folles n’importes quelles jeunes filles du monde. Mais Aujourd’hui est un jour spécial : tu as vingt printemps et la vieille Packet veut absolument te voir dans la journée pour on ne sait quelle raison. Peut-être nous a t’elle trouvé une épouse ? - il se sourit à lui-même- et ce regard ferait fondre le cœur de la reine des glaces ! Bon, bel apollon, il est temps de faire taire ce maudit coq ! »
Il se dirigea dans le garde manger et prit un œuf. Le coq contrairement à son habitude ne s’était pas arrêté de chanter et il risquait de réveiller le voisinage. Spike trouva cela étrange. Cela faisait aujourd’hui quatre ans qu’il avait ce magnifique coq. Quatre ans que sa défunte mère était partie dans le royaume des morts, le laissant seul face à lui-même. Il avait toujours aimé sa mère et celle-ci l’avait toujours considéré comme un homme. Il se rappela qu’à treize ans, peu de temps après que son père ai disparu sans laisser aucune trace, sa mère tomba gravement malade. Les magiciens, sorcières et chamans eurent tous le même pronostic : c’était la disparition de son époux qui lui avait causé un choc émotionnel bloquant la partie de son cerveau qui lui permettait d’utiliser ses jambes. Le pauvre garçon passa alors les trois années suivantes les plus douloureuses de sa vie. Il devait habiller sa mère, la porter pour la déplacer. Celle-ci parlait très rarement. Elle restait dans son lit à longueur de journée regardant par la fenêtre dans l’espoir de revoir apparaître l’homme qu ‘elle aimait. Elle ne se souciait plus de son fils de treize ans qui pour elle était un homme. Un jour, se disait-elle, tu reprendras le rôle de ton père.
Mais Spike, lui, ignorait tout de son père. Il avait eu un père courageux et fort, certes, mais toujours absent pour les besoins de son travail. Mais chaque fois qu’il revenait, il avait de l’or, des bijoux et divers objets pour sa femme et son fils. Un jour, Spike aperçut son père qui enlevait son pull ? Il remarqua alors une énorme cicatrice sur l’omoplate droit de celui-ci ainsi qu’un magnifique tatouage représentant un tigre. Il se plaça devant son père et hasarda :
« Dis, pa' ? C’est quoi dans ton dos ?
-Oh ! Cette cicatrice ? Voyant l’air approbateur de son fils, il répondit, c’est quand je me suis battu contre un tigre. Quand j’ai tué l’animal, le chaman de mon village natal m’a crée ce tatouage et à l’aide de la griffe de l’animal il m’a blessé. C’était une preuve formelle de mon courage et de ma force dans mon village.
-Et moi aussi je devrais faire comme toi ? Prouver ma force ? Parce que maintenant je suis fort déjà !
-Je sais fiston, on l’est tous à sa manière.
-Non. La dernière fois, j’ai réussi à soulever les bouts de bois pour les mettre dans la cheminée !
-Je sais que tu es fort, fiston. Mais il n’y a pas que la force physique qui compte. La force mental est tout aussi importante.
-Je ne comprends pas.
-Ce n’est rien. Quand le moment viendras, tu comprendras - il lui mit la main sur la tête et lui ébouriffa les cheveux- ce moment venu tu seras enfin fort et prêt. »
Etrangement, des années après, Spike se souvenait de chaque parole, chaque geste, chaque détail
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- Lomerandin
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- Messages : 409
il y a 19 ans 1 semaine #8302
par Lomerandin
Réponse de Lomerandin sur le sujet Re: je tente un nouveau roman.
C'est tout ce que tu as fait jusque là ? Je veux pas dire que c'est pas beaucoup, mais pour savoir si tu as a suite en tête.
Un très bon point pour commencer : tes héros sortent pour le moins du cadre classique ! Mettre ensemble des caractéristiques divines (beauté, force, identité de Héros) et moins appréciables (égocentrique, avare...), c'est très fort. On s'attend à une sorte de antihéros qui serait obligé d'effectuer des actions qu'il préférerait ne pas faire.
Par contre, ouille sur l'introduction. Ce petit condensé ressemble plus à un résumé que tu pourrais utiliser pour rédiger ton histoire. En Fantasy, on aime bien qu'un personnage raconte la genèse du monde, par un conte ou un chant. Ici, ça fait catalogue et c'est pas agréable à lire.
Bon point sur Spike qui parle à son reflet : c'est marrant sans être caricatural. Procédé à réutiliser plus tard dans le récit.
Question de champ lexical : pull, cerveau, choc émotionnel... Ce sont là des mots modernes, a priori anachroniques. Es-tu sûre qu'ils sont appropriés dans l'univers que tu a créé ?
Enfin, ce début est assez décousu : on passe de l'histoire du personnage à des considérations narcissique.
Un très bon point pour commencer : tes héros sortent pour le moins du cadre classique ! Mettre ensemble des caractéristiques divines (beauté, force, identité de Héros) et moins appréciables (égocentrique, avare...), c'est très fort. On s'attend à une sorte de antihéros qui serait obligé d'effectuer des actions qu'il préférerait ne pas faire.
Par contre, ouille sur l'introduction. Ce petit condensé ressemble plus à un résumé que tu pourrais utiliser pour rédiger ton histoire. En Fantasy, on aime bien qu'un personnage raconte la genèse du monde, par un conte ou un chant. Ici, ça fait catalogue et c'est pas agréable à lire.
Bon point sur Spike qui parle à son reflet : c'est marrant sans être caricatural. Procédé à réutiliser plus tard dans le récit.
Question de champ lexical : pull, cerveau, choc émotionnel... Ce sont là des mots modernes, a priori anachroniques. Es-tu sûre qu'ils sont appropriés dans l'univers que tu a créé ?
Enfin, ce début est assez décousu : on passe de l'histoire du personnage à des considérations narcissique.
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- Monthy3
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- Messages : 673
il y a 18 ans 11 mois #8578
par Monthy3
Réponse de Monthy3 sur le sujet Re: je tente un nouveau roman.
Bonjour
Je reprends les critiques de Lomerandin pour les appuyer : le début fait vraiment "résumé" plus que prologue. C'est inutile : si tu veux vraiment raconter le passe, fais-le pas des souvenirs : non seulement cela te permet, si tu le souhaites, d'ajouter un peu de mystère à ton texte, mais c'est aussi plus agréable (je trouve) à lire.
Je me souviens avoir débuté quelque chose comme toi l'année dernière : j'ai tout effacé (je ne dis pas que tu dois faire de même ).
Le vocabulaire, idem ; mais je citerais aussi quelques répétitions et fautes d'ortho.
Enfin, je termine par une question : est-ce un récit humoristique que tu nous prépares là ?
Je reprends les critiques de Lomerandin pour les appuyer : le début fait vraiment "résumé" plus que prologue. C'est inutile : si tu veux vraiment raconter le passe, fais-le pas des souvenirs : non seulement cela te permet, si tu le souhaites, d'ajouter un peu de mystère à ton texte, mais c'est aussi plus agréable (je trouve) à lire.
Je me souviens avoir débuté quelque chose comme toi l'année dernière : j'ai tout effacé (je ne dis pas que tu dois faire de même ).
Le vocabulaire, idem ; mais je citerais aussi quelques répétitions et fautes d'ortho.
Enfin, je termine par une question : est-ce un récit humoristique que tu nous prépares là ?
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- Lomerandin
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- Messages : 409
il y a 18 ans 11 mois #8642
par Lomerandin
Réponse de Lomerandin sur le sujet Re: je tente un nouveau roman.
(Bienvenue à toi Monthy !)
Louve n'a pas l'air de répondre, ce qui est bien dommage. Je vais essayer de la débusquer
L'humour, pour ce qu'on en voit, a bien l'air présent, mais je le vois plus comme quelque chose de léger qui appuierait le texte, en soutien de l'intrigue. Un peu comme le fait Eddings.
Louve n'a pas l'air de répondre, ce qui est bien dommage. Je vais essayer de la débusquer
L'humour, pour ce qu'on en voit, a bien l'air présent, mais je le vois plus comme quelque chose de léger qui appuierait le texte, en soutien de l'intrigue. Un peu comme le fait Eddings.
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- louve
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il y a 18 ans 7 mois #9525
par louve
Réponse de louve sur le sujet Re: je tente un nouveau roman.
désolée de ce long moment sans répondre. Vous avez le droit de me fouetter...
Hé Ho!! je plaisantais...
bon en fai je pensais donner une suite à ce texte mais non... je n'y arrive pas. Ce n'est guère mon genre. Mais ne vous en faites pas j'ai trouvé mon futur roman!! et oui pendant cette longue absence j'ai travaillé très dure!!
allez je vous fais une morsure en guise de gratitude pour avoir donner vos opinions sur mon début de texte qui pour le moment restera dans les oubliettes
Hé Ho!! je plaisantais...
bon en fai je pensais donner une suite à ce texte mais non... je n'y arrive pas. Ce n'est guère mon genre. Mais ne vous en faites pas j'ai trouvé mon futur roman!! et oui pendant cette longue absence j'ai travaillé très dure!!
allez je vous fais une morsure en guise de gratitude pour avoir donner vos opinions sur mon début de texte qui pour le moment restera dans les oubliettes
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Modérateurs: San, Kundïn, Zarathoustra