file Eponyme

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il y a 18 ans 9 mois #8907 par Anonymous
Eponyme a été créé par Anonymous
voila ce que j'écris en ce moment je compte faire 5-6 tomes d'environ 50-100 pages : (me contacter : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. )

Eponyme :
Et les roses seraient noires…


« Quelle ironie du sort…Plus le fumier est pourrissant, plus les fleurs y germant sont magnifiques… »


Chapitre I

Que la lune est belle vue d’ici, pleine, d’un blanc pur que l’Homme n’a pas encore souillé de son envie de conquêtes. Allongé là, je restais au milieu de cette clairière, a l’abri des autres, à écouter le silence planer sur cet endroit merveilleux, survivant encore à la destruction de la nature, engendré par l’Homme. Rare était le bruit venant troubler ce silence, mais des plaintes se firent entendre non loin de là, semblable au couinement d’un chiot apeuré, je me hâtais de voir d’où venait ce son plaintif, me déchirant le cœur… Pourquoi accordais-je une telle passion envers les animaux, et une telle haine envers l’humanité ? Je ne le savais pas…
Peut-être le découvrirais-je dans l’avenir, cet avenir incertain qu’était ma destinée…

A tâtons, camouflé par un buisson, je découvris une pureté de la nature que je n’avais jamais aperçue auparavant… Un loup d’une fourrure argentée mourant et agonisant dans les derniers instants de ce qui lui avait probablement semblé être une vie. Je ne pouvais rien faire… Ne rien faire d’autres que de rester aux cotés de l’animal jusqu'à son dernier souffle expiré. La fourrure étais douce et chaude au toucher, le poil luisant et propre, l’œil emplit de tristesse et d’une profonde haine confondue… De sa blessure, le sang coulait à flot, se déversant à mes genoux, ne s’arrêtant que lorsque l’animal quittera ce monde. J’approchais ma main de la gueule pour y apercevoir et toucher des dents parfaitement aiguisées et tranchantes, telles des lames de rasoir, d’une blancheur semblable a celle de la lune… Je ne sus ni comment, ni pourquoi, mais j’arrivais à ressentir la douleur de l’animal, cette atroce souffrance causée par le perfide être qu’est l’Homme. Peu à peu je sentais l’animal s’éteindre, sa respiration de plus en plus lente diminua pour s’arrêter, et la bête me jeta un dernier coup d’œil avant de s’éteindre à jamais.

Je ne pouvais m’empêcher de verser une larme, larme qui dévala ma joue, larme qui plongea de mon menton, larme qui atterrit sur la plaie du cadavre qu’à présent, j’avais sous mes yeux… C’est à cet instant précis que ma vie changea à jamais. Je sentis le cadavre s’évaporer au vent léger qui venait de se lever sur cette clairière apaisante… Je me sentais plus léger, plus agile aussi, prêt à pouvoir courir sur des distances immensément longues, sans jamais m’arrêter pour me reposer… J’aperçus alors dans ma tête une femme, d’une beauté flagrante… La chevelure d’une noirceur volée dans le ciel au gré du vent, l’œil doux et calme, le visage aussi raffiné et doux que celui d’un ange…

Je me mis à m’enfuir… Ne sachant où aller, je courus, encore et encore… Les arbres défilaient sous mes yeux a n’en plus finir… J’atteignis enfin un lac… Il me fallait me désaltérer… Je m’approchais et vis dans cette sombre et profonde eau la silhouette de ce majestueux loup… Je me mis a voir flou, la silhouette disparut dans les profondeurs abyssales, les ténèbres m’engloutissant… Je m’évanouis…

Le chant des oiseaux… Chant pur et délicat… Si seulement ce chant pouvais être éternel… Chant majestueux qui guida mon esprit pour me reposer, et ne plus avoir à me soucier de quoi que ce soit… Il s’arrêta… Je me réveillais… J’avais retrouvé mon apparence d’origine, mais assurément je ne devais pas rester là… A présent, je compris que je n’étais plus seul…


Chapitre II

La place du marché… Je n’avais jamais apprécié cet endroit, avec tous ces pitoyables humains, cette ambiance sonore assourdissante… Pauvres humains à crier à tue tête pour débattre prix sur de la volaille cadavérique… Malheureusement je me devais de prendre des provisions, avant de partir en exil… Je ne pus m’acheter seulement que quelque vivre juste pour quelques jours tout au plus. C’est alors qu’un cri se fit entendre. Une jeune demoiselle était en train de se faire agresser, mais nul ne réagissait. Je me jetais à l’assaut de ses agresseurs, personnes sans scrupule qui ne trouvaient d’autres plaisirs qu’en tuant, détroussant, pillant, violant… Alors que j’écartais le premier avec une force déconcertante, et pourtant si familière, le second s’enfuit dans une sombre ruelle, emportant une babiole quelconque, mais qui semblait de valeur… Je me lançais à sa poursuite, mais je n’étais plus sur mes jambes… La vitesse ne me manqua pas et je plongeais sur l’agresseur, lui déchirant ses haillons, lui broyant la nuque avec violence, le sang gicla parmi mes crocs tranchants…

Il était mort, je récupérais cette babiole… C’était une opale d’un vert émeraude si magnifique… Je la ramenais à sa propriétaire, elle m’avait déjà rejoint, elle me fixa, ne sembla aucunement apeurée. Elle possédait une magnifique chevelure d’un noir pur, ces yeux gris semblaient transparents tel un cristal… Je m’inclinais et déposa l’opale à ces pieds, elle se baissa pour la récupérer, et me caressant la tête elle se mit à m’enlacer et je pus entendre un merci délicatement glissé dans le creux de l’oreille. C’est alors que deux hommes passant par là se mirent à crier en m’apercevant et il ne fallut pas longtemps avant qu’une horde de crétins armés de faux, de hache, de torche et de tout autre objet servant à tuer se mit à ma poursuite… Pourquoi tant de violence ? Ne pouvant m’empêcher de penser à elle, je me devais de fuir au plus vite. Ce qu’est au bout de plusieurs heures que je parvins enfin à semer ces imbéciles… Apparemment j’allais devoir rester caché souvent. Cela dit, j’ai pu noter qu’à présent je n’avais aucune pitié à tuer ces pathétiques humains… Pitoyables êtres que vous êtes… Vous semez le vent et bientôt récolterez la tempête pour finir en un chaos apocalyptique vous menant tous à votre perte… Il était tard, la lune brillait déjà hautement dans le ciel… Je m’endormis en pensant à elle…

Chapitre III

Un noir si intense, baigné par cette odeur de mort, de sang, de pourriture, donnant l’envie de vomir sa haine et sa rage… Plongeant dans un chaos total ou seul la terreur et l’effroi régnaient en tant que temps, que maître… Des larmes pouvaient se percevoir, ruisselant sur ces joues, pour atterrir dans cette marre de sang, ondulant silencieusement sur cette terre défraîchie sans trace de vie. La brume s’épaississait, je la perdais, s’engouffrant dans cette ombre machiavélique, elle se volatilisait, me laissant seul dans cette atmosphère, ce néant sans âme… Des cris se firent entendre, je voulus me mettre à courir, mais mon corps n’obéissait plus… Une goutte me réveilla…

J’étais allongé là, dans l’herbe à proximité d’une cascade… La rosée du matin s’accentuait pour finir, pour se terminer par un déluge… L’eau tombait avec fracas contre le sol pour simplement s’évanouir… Je ne pouvais rester, je me devais de retrouver cette fille. J’étais sûr qu’elle étais différente des autres… À se demander si elle était humaine… Pourquoi cette passion soudaine pour une inconnue aperçue seulement pendant quelques instants ? Peut-être pouvait-elle m’aider… Mais à quoi ? Je ne savais plus ou aller, plus que faire…

Je me hâtais de retourner dans cette ville, avec ce nouveau corps, je pouvais y arriver facilement. Je sentais l’herbe fraîchement humidifiée se plier sous mes pattes, l’odeur de la terre humide étais si forte que je n’avais aucun mal à me repérer… Même en fermant les yeux. Pourquoi avais-je été choisit ? Pourquoi moi et pas lui ? Etait-ce ma destinée ? Sûrement car depuis peu j’ai l’impression de devenir enfin quelqu’un…

Dans la ville, je pouvais apercevoir quelques lumières instables. Probablement des personnes éclairées à la bougie venant de se tirer d’un sommeil profond. Je ne pouvais garder cette forme de loup, pourtant pure et agréable, je devais me hâter… La trouver était mon seul but présent… Je m’engouffrais dans les sombres ruelles de la ville me dirigeant vers l’endroit où je l’avais aperçu… La place semblais déserte, seul le léger chant des oiseaux au crépuscule se faisait entendre… Comment pouvais-je la retrouver ? Sans aucune trace, aucun indice par où commencer. C’est alors que, par je ne sais quel miracle, je la vis apparaître au coin d’une ruelle… Une capuche lui cachant le visage, visage camouflé par une incroyable chevelure d’une beauté comme on en avais jamais vu… Je m’approchais d’elle, sous ma forme animale, je prenais un énorme risque. Elle allait peut-être se mettre à hurler, ou appeler quelque secours aux alentours. Mais, au lieu de cela, elle s’accroupit pour me fixer dans les yeux… Sa chevelure d’une noirceur infinie s’écarta pour laisser apparaître de somptueux yeux d’un gris si triste, mais tellement magnifique. On pouvait y lire une profonde mélancolie. Face à elle je me trouvais totalement incapable de me mouvoir… Devais-je reprendre ma forme humaine ? Comment réagirait-elle ? Je ne savais que faire… Pourtant je sentais mon corps changer… Je retrouvais une taille dites « normale »… Elle ne réagissait pas… Ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’elle se mit à se déplacer, s’engouffrant dans une sombre ruelle. Je la suivais, ne sachant où elle me mènerait… Je n’avais pas peur, j’étais seulement curieux… Curieux de découvrir tous les mystères entourant cet être tout droit sortit d’un rêve… Nous arrivions dans une ruelle encore plus étroite. Au bout de cette ruelle, un mur nous barrait la route. Elle me tendit la main, je la pris… Sa peau était douce et si légère au toucher, me tenant la main, elle s’avance en direction du mur comme s’il n’existait pas. Je la suivais sans crainte, en toute confiance, je la suivais. Une intense lumière blanche, éblouissante, nous entoura et disparut pour laisser place à une somptueuse plaine emplie de fleurs resplendissantes… De ces fleurs, émanait un parfum. Un parfum vous faisant rêver pendant des jours entiers, je m’enivrais de ce parfum. Et elle paraissait plus belle que jamais, ces cheveux ondulant au gré du vent, elle me tenait les mains puis elle sourit, sembla heureuse.

Mais quel était cet endroit féerique ? Moi qui pensais qu’un endroit pareil ne pouvait en aucun cas exister. Soudain son sourire s’effaça, le vent s’arrêta, et le chant des oiseaux se tut… Il ne se passa plus rien… Je sentis alors une chaleur intense, émanant de la terre. Le parfum, à présent, n’était que songes oubliés, remplacé par l’odeur du sang, jaillissant du sol, la terre tremblait, des flammes dansaient sous mes yeux. Je pus apercevoir un immonde démon sortir des entrailles de la terre… Et je vis cette fille accompagnée d’une autre personne… Il semblait que l’autre personne fut un vampire… Armé d’une faux, et orné d’une cape d’un noir néant, le regard rouge sang, et le teint livide et pale, vidé de toute vie. Ils faisaient face au démon… Je pus entendre plusieurs noms… Lakos semblait être le nom de cette… Créature, tandis que la jeune fille que je connaissais déjà se nommait Sakura, et le vampire Damante…

Le combat faisait rage, ni l’un ni l’autre ne lâchait, et chacun s’efforçait de tenir sans faiblir… On ne voyait ni signe de fatigue, ni signe de peur, ni signe de défaite dans leurs regards… C’est alors que Damante se tourna vers Sakura et l’élimina d’un coup bref, net et précis… L’image se noircissait, me laissant seul dans le néant… Je recouvris la vue peu à peu et pus apercevoir qu’elle se tenait face a moi… Elle pleurait, les larmes ruisselaient sur son visage… Je compris alors ce qu’il me restait à faire…

Chapitre IV

Je me devais de retrouver ce vampire et lui faire payer ce qu’il avait fait… Mais par où commencer… C’est alors que ma main effleura ma poche et je sentis un objet dedans… Je le sortis, et vis un magnifique ocarina gravé « Sakura »… En quoi allait-il me servir ? C’est alors que j’entendis une voie me dire de jouer le requiem… Mais quel requiem ?

Je commençai à souffler dans l’instrument et les notes sortaient toutes seule comme si on jouait a ma place… Alors le vent se tut, les oiseaux ne chantèrent plus, plus rien, aucun bruit… Le vide absolu… Et une sombre voie me commanda de me guider à la lisière des bois sombres pour trouver sens à ma quête… Fallait-il que je me fie à cette voie, totalement inconnue et surgie de nulle part… Certes… Je n’avais aucun autre choix s’offrant à moi de la sorte que je puisse éviter à me fier a cette voie… Je me mis en marche alors. Sur le chemin, apercevant le coucher de soleil, du rouge sang, mêlé aux rayons éclatant faisait du paysage une totale merveille qu’il aurait été bon de regarder n’a tout jamais… Le soleil se couchait… Peu à peu le ciel, semblable à un voile doré, se dissipait pour laisser place à un néant bleuté, illuminé par d’innombrables étoiles logées a plusieurs milliers d’années de là où je me tenais…

Je marchais… Je marchais… Je marchais, me laissant guider par le doux vent berçant lentement les branchages des quelques arbres environnants… La terre était fraîche sous mes pieds… Il me traversa l’esprit de ne plus garder ma forme humaine pour le voyage… Peu à peu des poils me poussèrent tout le long du corps, des poils d’une lumière argentée tellement magnifique… Je me sentis plus prés du sol, pouvant sentir l’odeur de cette belle terre légèrement humide… Et je m’ engageais, sur ce sentier ou la terre avait été fraîchement retournée… La pluie commença à tomber, quelques gouttes, une averse, un torrent, une tempête… Le tonnerre grondait dans le ciel devenu noir où d’énormes nuages avaient élu domicile, de nombreux flash pouvaient s’apercevoir là-haut…

Chapitre V

J’arrivais à la lisière de cette forêt noire… On y dit par quelques ragots de fou que celle ci était hanté par moult démons et fantômes… Qu’importe ce n’est pas ça qui allait me faire rebrousser chemin… Je ressortais l’ocarina de ma poche, il était beau, vraiment magnifique… D’un bleuté ciel azur comme on en voit rarement par les plus beau jour de printemps… Et ce nom… Sakura… Je te ressens toujours auprès de moi… Je ne sais pourquoi me suis-je tant accroché à toi…. Et pourtant… L’ocarina était tellement beau… Le nom gravé de façon très typique… On pouvait voir que c’était une écriture elfique… J’avais entendu dire que Sakura voulait dire Fleur de Cerisier… Quel nom magnifique… D’une beauté tellement rare en ce bas monde… Pourquoi si peu de belles choses et tant d’infamie dans ce paradis infernal qui pourrait devenir enfer paradisiaque… Des larmes me coulaient à présent le long du visage… Je me devais d’en finir au plus vite avec cette tache qui m’avait été confiée…

Chapitre VI

Je m’engouffrais dans cette sombre forêt… A peine avais-je foulé cette terre de mort que j’entendis d’épouvantables cris… Des cris de peur, de colère, des pleurs d’enfants, des cris de femmes apeurées, des larmes d’enfant, des cris de peur, des cris de femme apeurée…
Maudit endroit…Tant de gens y avaient perdu la vie… Je continuais mon chemin… La pourriture… Ca sentais la pourriture… Cette odeur de sang pourri mêlée à une odeur de chair complètement dépouillée… C’est alors que j’entendis ce bruit et d’une branche sortaient plusieurs créatures tapies dans l’ombre… Des revenants… Ils s’approchaient de moi, m’encerclant… Je n’allais pas me laisser faire par des êtres répugnants de la sorte… Je sautais à la gorge du premier venu… Quelle immonde puanteur et quel atroce goût… Je me devais m’en débarrasser au plus vite… Ils était en nombre énorme, plus d’une trentaine. J’en tuais un, deux autres l’avaient déjà remplacé… Ils étaient de plus en plus nombreux, ils se rapprochaient de moi… J’étais cerné, qu’allais-je devenir… Ils se rapprochaient… Je pouvais discerner de prés leurs dents pourries, leur peau partant en lambeau… Ils se rapprochaient… Je sentais leur haleine fétide, je voyais leur regard vide de tout sentiment… C’est alors qu’un faisceau surgit du ciel, me touchant, s’en suivit une énorme explosion de lumière… Je ne pouvais regarder, j’étais trop éblouit pour voir ce qui pouvait se passer… J’entendais des cris… Des cris, des pleurs, des sanglots… La folie s’emparait-elle de moi ?

Je pus enfin rouvrir les yeux et je vis que tous les revenants avaient explosé en morceaux… Des têtes, des bras, des jambes, des tripes, des cœurs, des poumons, des rotules, des crâne, et des dents pourries jonchaient le sol… Et je vis au sol une carte… Dessus était inscrit Lakos… Je la ramassais, et la garda prés de moi, elle servirait certainement pour une chose ou une autre…

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  • Anonymous
  • Portrait de Anonymous Auteur du sujet
il y a 18 ans 9 mois #8910 par Anonymous
Réponse de Anonymous sur le sujet Re: Eponyme
au fait, c'est que le début ca
c'est une version corrigé mais y'a peut-étre quelques fautes encore ^^

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il y a 18 ans 8 mois #9318 par Le Warza
Réponse de Le Warza sur le sujet Re: Eponyme
Hé bien c'est très joli. La plume est assez poétique aussi. Le début du texte est génial. La suite retombe un peu dans des clichés mais la qualité de la narration mène le lecteur jusqu'au bout.

Cependant, tout n'est pas parfait. Tu devrais peut-être essayer je pense de mieux lier les évènements au personnage. Parfois, on a l'impression qu'il ressent, qu'il voit mais qu'il ne juge pas sur le fond. On a du mal un petit peu à suivre sa pensée, ce qui le pousse vraiment à avancer. Peut-être cela t'apparait-il limpide pour toi, mais en tout cas cela ne l'est pas pour le lecteur. Essaye donc d'insister plus sur sa motivation, ce qui le pousse à cette errance étrange et fantastique. Et la façon dont il juge les choses autrement que dans l'expectative. Que son voyage initiatique ne soit pas un simple rêve contemplatif.

Le Warza ( les pierres silencieuses parfois murmurent )

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