Dvzk, Mars 2004
- Elfiriond
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Je n'ai lu que les début de Drulcheapoc 4 et Mortelune 4, donc je parlerais juste de Terre d'Exil.
Et je dis Bravo, c'est le meilleur texte de Dvzk que j'ai lu jusqu'à présent!
Cette alternance prose/récit est mené avec beaucoup d'harmonie et les textes sont beaux. La mélancolie qui s'en dégage est éttonante, et le héros, dont on a quasiment aucune information, nous est très proche. On comprend parfaitement son état d'esprit, et on se sent totalement solidaire. Ca me rapelle (peut être à raison) le film Starsheep Troopers qui dénoncent le massacre de la pietaille, organisé par des généraux sans états d'âmes. Chapeau!
Seule critique négative: une fin trop rapide et légèrement confuse.
Elfi
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- Gulix
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Une très bonne superposition récit/poésie, qui colle parfaitement au texte. On éprouve de la compassion pour le personnage, on comprend sa haine. On comprend sa détermination.
Contrairement à Elfi, je trouve que la fin est bien maîtrisée, car plus de longueur aurait nui au récit. De plus, quand on relit une seconde fois le texte (attention SPOILER), on remarque justement l'ambiguité de certains passages, et l'état d'esprit du personnage (suis-je mort, suis-je vivant ?). Je trouve que ce texte montre parfaitement l'état d'esprit que peuvent avoir les morts-vivants, les vrais (pas les vampires, ou les nécromanciens).
Génial !
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- Dvzk
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on peut s'amuser à chanter la chanson...si c'est vrai!
essayer sur du renaud, mon HLM, ça passe pas mal...
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- Lomerandin
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La Dame de Mortelune
Frustrant
L'introduction est bien mystérieuse et soulève plus de questions qu'elle ne fournit de réponses. C'est dans l'air de l'?uvre, qui est dans l'ensemble sombre et mystérieux.
La Dame retourne subitement à la réalité en mentionnant sa vie passée. Lorsqu'elle avait été "nécromantisée", je m'attendais à ce qu'elle devienne une personne différente, sans aucun lien avec ce qu'elle avait été auparavant. Je suis donc un peu pris par surprise, d'autant plus que cet éveil est brusque, sans une gradation préalable. Il n'y a pas d'éveil progressif à la conscience, ce qui finalement rentre dans le cadre de l'histoire. (Oula, c'est pas trop confus ?)
Sa décision de franchir la ligne arrive un peu rapidement à mon goût. Ne prendrait-elle pas plus de temps avant d'arriver à cette conclusion ? Ou bien cherchait-elle déjà le repos dans les chapitres précédents ? (auquel cas, j'ai loupé quelque chose).
Les évènements se précipitent vers la fin. C'est dommage, car il y avait de la matière. Finalement, on n'en sait pas plus qu'au premier chapitre. Le personnage demeure aussi énigmatique qu'au début. Ca nous fait une belle jambe ! Dvzk se serait-il gulzanisé ?
Je me permet d'espérer une suite, comme le laisse entendre la conclusion. C'est un texte qui me laisse sur ma faim, et je n'ai pas l'impression d'être plus avancé qu'au début.
Je rappelle l'existence du C , dans le but de le relancer plus que pour critiquer l'orthographe de l'auteur.quel issue reste t?il à son c?ur aride [sic]
Euh, techniquement, ils ont pas déjà morts ? Je dis ça comme ça? Nooon ! Pas les scorpions, pas les scorpions !!!!Elle était arrivée à la frontière des pouvoirs nécromantiques de Nekheara, là où nul mort ne pouvait s?aventurer sans périr.
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- Elfiriond
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Une impression en demi teinte pour cette fin de texte.
Pour le chapitre en lui, même, ceraines choses ont du m'échapper... Comment la plaque de la raison se retrouve t'elle entre les mains des dieux du chaos?
Le manicheisme n'ai pas ce qui me fait vibrer... Donc "d'un mal nait un bien" n'a pas vraiment l'impact voulu sur moi.
Sinon, je tiens à préciser que les dieux du chaos ne sont pas que 4, ils sont une infinité (je suis sûr qu'il y a le dieu de la mousse sur les cailloux ). C'est dommage de ne faire la pare belle qu'aux quatres qui possèdent es armées dans warhammer. Mais c'est un détail.
pas grand chose d'autre à reprocher. On sent un peu l'influence de Gulzan (en tant qu'auteur ), non? ^_^
Pour la série toute entière, elle est agréable dans l'ensemble, et assez originale, mais pas vraiment épique, et on a toujours du mal à s'identifier au personage, malgré la première personne. Ni mauvais ni excelent, ça vaut tout de même le détour.
Elfi
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- Dvzk
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pour ce qui est de l'influence de gulzan...
il n'a absolument pas écrit la moindre ligne de mes textes (sauf novelles horizons en coécriture)...
cependant, il n'est pas mon parrain pour rien, et si je l'ai élu comme tel, c'est que je me trouvais des affinités avec ses textes.
cd'où une probable ressemblance dans l'ambiance...
les quatres dieux du chaos ne sont pas les seuls, mais ce sont les divinités majeures...
pkoi je me suis centré sur les 4 uniquement, l'explication vient dans un texte ultérieur...
justement , tu parles de manichéisme...
ke paragraphe de fin se bat contre et la formule d'un mal naît un bien, entraine que le bien et le mal ne peuvent qu'être mêlés
pas de "tout blanc tout noir!"
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- Elfiriond
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C'est sûrement ce que tu veux dire dans ton texte, mais çapeut êtremal interprété dit comme ça.
Elfi
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- Dvzk
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frustrant, hein?
niark niark....je suis un sadik'...;
mais ne vous inquiétez pas, c'est une fausse fin...
elle réapparaîtra plus tard, elanore, et vous aurez la réelle conclusion de la chanson de Mortelune...
pour le moment...il faut bien avouer que vous n'en savez en effet pas bokou plus qu'au début...
l'ambiance du récit est en effet toujours très cassée, on passe brutalement d'un passage à un autre, sans état de transition stationnaire, en gardant une ambiance mystérieuse et mystique...
comme le passage de la vie à la mort...
là encore, il paraît que je me gulzanise...
même explication qu'au dessus..;
oui, j'aime les fins tordues!
Citation:
quel issue reste t?il à son c?ur aride
où est la faute?
je m'excuse bien bas si il y en a une, je soigne la plupart du temps mo orthographe, je sais combien c'est désagréable...
pour les morts vivants qui meurent...
dans mort vivant, il y a vivant, ils sont dans un état transitoire!
et puis zut!
direction le coffre à bobos toi!
petite précision pour elfi, soit j'ai pas été très clair, soit t'as pas lu attentivement, c'est un démon de tzeetch (dont l'apparition reste très trouble, ce qui explique peut être ton erreur) qui vient prendre la plaque de la raison
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- Kundïn
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"Quelle issue reste-t-il[...]"quel issue reste t?il à son c?ur aride
où est la faute?
Deux fautes en une ! Enfin la première est une simple coquille et la deuxième (l'apostrophe à la place des tirets) est assez peu importante. Dvzk possède une excellente orthographe de façon générale.
Pour le texte Une Terre d'exil : bon texte, quoiqu'un peu court, partant d'une situation assez peu exploitée et donc bienvenue dans un one-shot. En général les auteurs se consacrent beaucoup à l'écriture des différents exploits durant la bataille, mais assez peu au troufion de base qui n'en mène pas large avant l'ouverture des hostilités.
Le chant récurrent est une très bonne idée (quoique le chanter sur l'air du HLM... bof... c'est un peu blème) qui sous-tend le récit et véhicule les peurs et les colères de la troupe. La fin est trop peu développée et assez confuse comme le dit Elfi, le texte aurait gagné un peu de clarté si elle avait été développée.
Le style est irréprochable. Le texte gagnerait juste à s'allonger un peu. Bon one-shot cependant, vite lu et qui fait mouche.
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- Elfiriond
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Hum, dommage que la trahison du liche soit si prévisible, sinon, ça aurait été du tout bon. Pas vraiment de critiques à faire. Les descriptions sont très bonnes je trouves.
Elfi
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- Gulix
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J'ai trouvé ce texte très agréable à lire, autant au niveau du style que de la présentation. J'ai bien aimé la fin (qui vient à renommer Dvzk le skink), même si la fin des plaques, menée par les Dieux du Chaos, m'a un peu laissé sur la faim (j'ai du mal à voir les 4 dieux majeurs s'associer ainsi...).
J'aurais également aimé en savoir plus sur Jolrael, mais peut-être est-ce pour plus tard ?
En bref, un texte sympa, qui s'inscrit bien dans la continuité de la série, et qui est agréable à lire. De plus, si l'on considère la série dans son intégralité, il faut tirer un coup de chapeau, car chaque chapitre montre une évolution dans la vie de Dvzk, associée au vent de la plaque.
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- Dvzk
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la fin d'une terre d'exil vous pose problème?
pourkoi?
le but n'était absolument pas de traîner en longueur sur une bataille sans intérêt mais de se centrer sur l'état d'esprit du soldat avant la bataille...
et puis je voulais finir sur un couplet...
(je me suis trompé au fait, c'est pas le HLM sur lekel fallait trouver l'air, c'est ausi de Renaud mais j'ai oublié le titre... me reste plus qu'à réécouter les alums pour le trouver...)
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- Gulix
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- Elfiriond
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Elfi
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- Gulix
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Frustrant, comme l'a dit Lom'. Espérons qu'on en sache un peu plus sur l'homme qui la recueille plus tard. Et puis la trahison du liche, c'est vrai, est assez facile à deviner. Sinon, l'histoire est assez prenante, bien racontée, avec de bonnes descriptions. Il me semble que quelques présents se soient glissés parmi les imparfaits et les passés simples, mais bon, c'est pas trop grave.
Et, en effet, elle passe la ligne un peu trop rapidement je trouve (elle était blonde avant ? )
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- Zarathoustra
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J'ai pas comlètement accroché. C'est très original, mais question poésie, au risque de passer pour un puriste, mais quel est l'intérêt de mettre des rimes si on ne respecte pas la métrique? Celà dit l'effet produit par l'alternance récit/chant est bien vu et fini par produire l'effet recherché. Mais je ne suis pas toujours sûr que le fond du texte n'évite pas certains petits clichés.
Les Quatres vents de la vertu, chapitre 4
Un texte un peu trop riche. Un peu comme les précédents chapitres. J'attendais beaucoup car j'avais souvenir de plein de points en suspension... Je t'avais déjà dit que tu étais très ambitieux avec ce texte. Globalement, il y a plein de bonnes choses, mais la sauce ne prend pas toujours, car tu en fais sans doute un peu trop.
Et puis, si on repense aux chapitres précédents et à certaines choses qui restaient confuses, je ne suis pas certains que cette fin rétablissent l'équilibre. Mais, il y avait une part de défis dans ce texte, et magré tout, tu as relevé la plupart. Parfois en flirtant avec la prétention mais en montrant aussi beaucoup de talent. L'autre point surprenant est ta façon d'adopter des styles et de développer des histoires très différents des uns des autres.
Mortelune, chapitre 4
Là, tu m'as vraiment surpris. Je n'attendais pas forcément grand chose du texte, bon, j'avais de la curiosité mais sans plus. Et là, j'ai vraiment aimé.
Petite remarque préalable: y a plusieurs fautes dans ce texte (un peu plus que dans les autres)... Mais rien d'handicapant pour la lecture.
Tu as des passages que je trouves très inspirés et quasi poétiques. La fin est magnifique, tu arrives à donner une réelle grandeur à ce personnage. Par contre, je ne suis pas sûr que le départ en Bretonnie soit une bonne chose, au contraire, je trouve que ça ôte du charme. On t'avait déjà dit que le départ et le changement de personalité de l'héroine passait pas toujours très bien. Je trouve que ton début ôte finalement de la puissance à ton final. En la plaçant dès le départ comme une natif du désert, tu oterais le cote incadabrant du début de l'histoire.
Pour ma part, J'aime bien aussi la part de mystère qu'il reste dans le texte. Je n'ai vraiment pas de reproche à faire sur ce chapitre à proprement parlé. Bref, c'est mon récit number one de la MAJ. Bravo!
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- Dvzk
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quant à Terre d'exil, non, je ne suis pas un puriste de la poétique, loin de là...
et puis ce chant n'est jamais qu'un chant populaira, pas le genre de trucs écrit par les intellectuels de l'époque...
de plus ..pourquoi mettre des rimes?
ben, juste pour donner plus de musicalité à l'ensemble
pour les quatres vents, c'est là que le dialogue devient intéressant, en effet les flous des premiers chapitres sont pour la pluspart levés (mais pas tous! pas encore) à savoir :
*transitions peu nettes, évènements très saccadés au début, et bien plus fluides sur la fin : ce ne osnt que souvenirs...
*titres biz z arres : ben...plus rien à dire, juste à remarquer l'acrostiche...
*personnage trop...humain... : ben, d'un côté, ça me rassure un peu : ce personnage skink, mon avatar sur kronik', est censé avoir la même mentalité, les même idées que moi...ce qui prouve ien que je suis pas encore tout à fait ork...
enfin, je flirte avec la prétention?
précise un peu ton idée...si il s'agit du fait que je réunis les quatres dieu du chaos et la destinée du monde dans le même texte....
ben, en fait, j'aime écrire de grandes épopées aussi bien que des petits textes plus humbles...
pour les quatres vents, je voulais quelque chose d'assez imposant tout en respectant certaines conventions warhammeriennes, ce que je ne ferai pas toujours...car si c'est dans ce sens que tu vois la prétention, alors j'ai commencé à faire pire... bien pire....
mais c'est une autre histoire...
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- Dvzk
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Terre d'exil fait un peu cliché ? (kundïn lui trouve ça original comme texte)
oui, en effet...le but n'étant pas vraiment de raconter une histoire mais de s'essayer à un autre genre : la chanson, tout en l'intégrant dans un récit....
critique qui est revenue deux fois mais à laquelle je n'ai pas répondu :
la trahison de la liche trop prévisible?
faut savoir...le mois dernier vous trouviez ça génial que je le révèle à la fin du chapitre 3...et dans le chapitre 4 vous me dites que c'est prévisible : normal c'est déjà dit!
je garde volontairement une part de mystère dans Mortelune sur l'homme qui la recueille... vous en saurez plus plus tard...
De même pour Jolrael (l'humain pas le skink débile)
patience...ça viendra, je l'ai même dit à la fin du chap' 4...
pour ce qui est de jongler selon mes textes sur des styles différents, je m'yemploie à chaque texte...et suis satisfait du fait que ça se voie...
en effet si on récapitule, j'ai donné :
dans la chanson (terre d'exil)
dans le style complainte moyenageuse (mortelune)
dans un style de récit plus classique (quatre vents)
dans le style skaven (routine à skarogne)
dans le style gob (bons baisers de Lustrie)
dans le style missives impériales (aux croisements des races)
et c'est pas fini car les textes pas publiés continuent à affluer dans des styles toujours plus différents...
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- Kundïn
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Effectivement. Où sont les clichés incriminés, Zara ? Bon il est vrai que l'originalité tient surtout à la forme du texte mais je n'ai pas relevé de platitude dans les idées... Relevez les textes des Chroniques décrivant une scène de bataille et vous verrez que l'auteur se concentre principalement sur les personnages principaux de son récit qui sont en général des héros surpuissants ou des généraux avisés (ou non) et assez peu sur les troupes, à part en quelques lignes de toile de fond. Ici on entre dans la psychologie du soldat de base, qui s'il est bel et bien le héros et narrateur du récit n'est après tout qu'un soldat semblable à ses compagnons, partageant les mêmes peurs et les mêmes chants.Terre d'exil fait un peu cliché ? (kundïn lui trouve ça original comme texte)
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- dude
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Un nouveau récit complet pour Dvzk qui va finir par devenir l?auteur le plus prolifique des chroniques et cela, même si il doit s?éloigner un peu du net pendant quelques temps
Ce que j?aime bien chez Dvzk, c?est que ses textes, s?ils ne sont pas toujours des chef d??uvres, sont souvent originaux. En tant que lecteur, je me sens moins attiré par les récits de warhammer (peut-être aussi parce que je joue beaucoup moins). L?univers me plaît toujours autant mais j?ai envie d?en découvrir d?autres facettes, moins classiques et plus personnelles. Et sur ce point, « la dame de mortelune » correspond à mes attentes.
Mais revenons au récit. En feuilletant un bouquin sur les légendes celtiques, je suis tombé par hasard sur le conte de Léanore (ou Léonore), partie à la recherche de son mari mort. Les similitudes avec Elanore m?ont paru évidentes et j?étais curieux de savoir si c?était une des sources d?inspirations de Dvzk et si d?autres connaissaient cette histoire.
Ma principale critique est que si Dvzk voulait faire une sorte de « complainte triste et monotone» à l?action diffuse, j?aurais préféré qu?il opte pour un texte plus court sous la forme d?une ballade ou d?un poème libre à la manière de ceux de Clodio (voir « l?Empire du pire » de Zephyr). Je trouve que le récit a un peu le cul entre deux chaises si vous permettez l?expression. Ce n?est ni un récit structuré et classique ni une chanson de geste ou quelque chose dans ce goût-là.
Pourtant il y a du très bon et ce dernier chapitre est vraiment réussi. Certains passages sont très poétiques et mêlent tragédie et drame pour un ensemble assez homogène. Contrairement aux deux premiers chapitres, ce dernier épisode a vraiment la forme qui convient avec des phrases courtes à la façon d?un poème ou d?un conte oral qu?on se transmet autour d?un feu. La fin est assez surprenante bien que la cohésion et les rebondissements de l?intrigue ne soient pas vraiment le principal intérêt de ce récit (l?action est assez rapide et décousue). J?ai repéré quelques fautes d?orthographe ainsi qu?une ou deux maladresses de style mais rien de vraiment gênant.
Un joli conte en définitive qui m?a bien plus accroché que les « quatre vents de la vertu ».
dude
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