Lorindil, Mars 2004
Très beau texte. La bataille est d'une très grande intensité, et, c'est vrai, on sent l'influence du film Les Deux Tours. La trame est un peu classique (les renforts arrivent au moment où tout était presque perdu, et les gentils gagnent), mais la prose est grandiose (belle rime, non ?
), et le destin des personnages arrive à terme.A part cette trame somme toute classique, je regrette aussi la fin classique de la Vipère (sous les coups du démon), et le fait que personne ne semble y porter d'attention.
Et aussi, les deux mots de la fin (A suivre). Je trouvais que ce chapitre clôturait parfaitement l'histoire.
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Et aussi, les deux mots de la fin (A suivre). Je trouvais que ce chapitre clôturait parfaitement l'histoire
Au passage tu es tombé sur le récit du mois prochain
Encore cette fameuse erreur (lecture directement sur ma liste de récits sans passer par les nouveautés ?) Mais c'est pas grave.Moui, ça se défend. Mais il reste encore une mission à effectuer à Tor Roseänae, et le dénouement quant au véritable destin de Lorindil (avis aux sentimentaux). Enfin bref, sur le dernier chapitre, ce sera histoire de répondre plus à la question: que devient-il ?
Lor, putain que j'en ai ramé pou achevé ce chant inachevé...
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Dvzk écrit: chroniques du ponelion :
on change du style elfique....
pour apsser dans la barabarie...
j'ai du mal à visualiser un throgg.. c'est une sorte d'humanoïde primtif?
c'est cruel de chasser comme ça...
on se demande si on doi vraiment être sympathique au héros...
on ne sait pas trop non plus où tu veux en venir avec un rythme assez brisé
(qui me rappelle un peu lovecraft) et une ambiance mystérieuse, j'attend de lire la suite
avant de juger plus complètement...
Arf si la suite devient un peu plus héroïc fantasy sur les bords, je crains que ce récit ne te déçoive, quant à sa richesse future en passages difficiles (dans le scénar', pas dans le style, rassurez-vous !)
Mais j'aime la dark fantasy. J'ai voulu lui donner une grande place dans mon récit; je sais que certains chroniqueurs n'apprécieront pas forcément !
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Comme toujours avec toi Lori, c?est bien écrit? Impeccable?
Si ce n?est quelques petites choses qui m?ont chatouillé ici ou là. Par exemple, là où j?ai vraiment tiqué, c?est quand ton personnage principal va jusqu?aux monolithes.
« Peut-être une année s?était écoulée, lorsqu?il était enfin parvenu jusqu?à ces lugubres alignements, au bout de son errance à travers les steppes désolées. Il avait alors perdu tout espoir de retrouver sa route, et maraudait sans fin sur ces étendues désertes. De temps à autre, il croisait quelques Throggs. Devenu expert dans la chasse de ces créatures, il n?avait aucun mal à les surprendre, profitant de la moindre inattention de leur part, jettant (petite faute au passage? jetant, c?est avec un seul ?t?) le trouble et la confusion dans leurs meutes. Il se complaisait à traquer les groupes isolés jusqu?au dernier, et connaissait maintenant une centaine de hordes différant par la couleur de leur pelage, leurs îcones (arf, autre fautounette, l?accent circonflexe est sur le ?o? et non le ?i?) barbares et leurs armements archaïques. »
C?est le paragraphe que tu as rédigé pour ?étayer? un peu son voyage. Même si tu as fait l?effort de pondre ces lignes de façon à ne pas créer une vilaine cassure au sein de ton texte (du genre : et paf, un an plus tard, il est aux monolithes, et j?écris ça comme ça parce que j?ai pas envie de me péter le cul à décrire son voyage), il n?en reste pas moins que je trouve que c?est quand même insatisfaisant. Peut être qu?une description un peu plus approfondie des décors aurait sonné plus juste à mon sens (en plus de ton truc sur les throggs).
Cela dit, tu nous sers quand même la description en question mais seulement sur les derniers jours avant les monolithes (enfin, c?est comme ça que tu le présentes en écrivant « durant des jours ») et là, c?est parfait ! Le décor prend forme dans la tête du lecteur en même temps qu?il lit tes mots, et je dois t?avouer que j?ai été carrément sous le charme. Un des passages les plus réussis du récit (à mon humble avis).
A propos de description, les throggs justement ! A ce stade du récit, je crois que tu aurais déjà du en faire une description précise au moins physique. Là, on a une fusion entre un homme et une chèvre et that?s all. Du coup, on pense tous à des hommes bêtes made in wh battle).
-« attisé par la faim dévorant ses entrailles » ; paradoxe amusant. C?est fait exprès ou pas ?
-La description de la cité est toptiptop? Je suis obligé de dire que j?ai été conquis, et le plaisir du lecteur atteint son apogée au moment où le spectre fait ?! bouh !? (je schématise), là, tu as rédigé ce qui est désormais à mon sens un passage culte des chroniques ! Bravo !
Sinon, n?as-tu pas ressenti le besoin de couper le récit juste avant d?attaquer : « Bien des printemps s?étaient écoulés depuis son périple dans l?est lointain. Halërn était devenu un bûcheron d?âge mûr, mais à l?esprit harcelé par le souvenir de la cité maudite. Aucune fille n?avait voulu d?un époux taciturne, au regard sombre de rapace. » ? Je trouve qu?un sous titre, un changement de chapitre, bref, une coupure aurait été plus que bienvenue.
Le coup du craquement sur la droite arrive aussi de façon un peu impromptue, comme si tu commençais à fatiguer sérieusement sur la fin !
D?une façon globale, ce récit est un très bon exemple de style agréable à lire, c?est fluide, c?est beau, c?est bien, c?est Lorindil? Mais, et je suis navré de te le dire, ça peine sur les transitions (c?est comme ça que je l?ai personnellement ressenti). Je me demande si toi-même, après relecture, tu ne tiques pas un peu sur les passages que j?ai pu citer en exemple ?
Perso, chaque fois que j?écris un texte? Je laisse couler un bon moment avant de le relire (et inévitablement le retoucher) et je ne peux m?empêcher d?y trouver des imperfections de ce style. Parfois après plusieurs relectures !
Quoiqu?il en soit, je prends toujours grand plaisir à découvrir un texte de toi.
Zephyr Vendest
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Moi je trouve ça bien. Comme je l'ai dit, tout n'est pas révélé d'un seul coup, et l'imagination s'en mêle. En distribuant les informations au fur et à mesure, notre représentation des Throggs va évoluer et s'affiner. C'est un point que je trouve important, et que je voudrais retrouver plus tard dans le récit.Zephyr écrit: A propos de description, les throggs justement ! A ce stade du récit, je crois que tu aurais déjà du en faire une description précise au moins physique. Là, on a une fusion entre un homme et une chèvre et that?s all.
Edit : Et quelqu'un va-t-il enfin m'expliquer comment fonctionne ce µ€%$ de système de citation ? J'arrive pas à dire qui je cite !
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(Comme ça on est sûr de savoir de quoi on parle !)
Eh bien très beau texte, comme d'habitude. Effectivement le lien avec la Prophétesse fait plaisir, on y retrouve un univers intéressant plein de belles (et sombres) promesses, donc vu qu'on sait qu'il y aura plusieurs livres et que ce texte n'est que le prologue, on se régale à attendre la suite !
Le ton est en effet très sombre, on sent la présence maléfique de la cité de basalte qui imprime au texte ce caractère torturé et hanté. Le héros, en proie au doute, à la peur et à toutes sortes d'émotions complexes à décrire se révèle être un personnage très fouillé, avec un passé qui le hante... Très bon.
Quelques remarques de forme : l'orthographe, comme on l'a dit, coule un peu l'effet recherché dans la beauté des tournures de phrase, c'est dommage. Par ailleurs, le mot "rachétique" existe-t-il ou n'est-il qu'une déformation néologiste de "rachitique" ? Vous m'excuserez je n'ai pas de dico sous la main... Sinon le découpage du texte est agréablement présenté, rendant la lecture aisée et fluide.
Vivement la suite !
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Signé Celui qui ne voulait point se taire.
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Zephyr Vendest écrit: « Peut-être une année s’était écoulée, lorsqu’il était enfin parvenu jusqu’à ces lugubres alignements, au bout de son errance à travers les steppes désolées. Il avait alors perdu tout espoir de retrouver sa route, et maraudait sans fin sur ces étendues désertes. De temps à autre, il croisait quelques Throggs. Devenu expert dans la chasse de ces créatures, il n’avait aucun mal à les surprendre, profitant de la moindre inattention de leur part, jettant (petite faute au passage… jetant, c’est avec un seul ‘t’) le trouble et la confusion dans leurs meutes. Il se complaisait à traquer les groupes isolés jusqu’au dernier, et connaissait maintenant une centaine de hordes différant par la couleur de leur pelage, leurs îcones (arf, autre fautounette, l’accent circonflexe est sur le ‘o’ et non le ‘i’) barbares et leurs armements archaïques. »
C’est le paragraphe que tu as rédigé pour ‘étayer’ un peu son voyage. Même si tu as fait l’effort de pondre ces lignes de façon à ne pas créer une vilaine cassure au sein de ton texte (du genre : et paf, un an plus tard, il est aux monolithes, et j’écris ça comme ça parce que j’ai pas envie de me péter le cul à décrire son voyage), il n’en reste pas moins que je trouve que c’est quand même insatisfaisant. Peut être qu’une description un peu plus approfondie des décors aurait sonné plus juste à mon sens (en plus de ton truc sur les throggs).
Cela dit, tu nous sers quand même la description en question mais seulement sur les derniers jours avant les monolithes (enfin, c’est comme ça que tu le présentes en écrivant « durant des jours ») et là, c’est parfait ! Le décor prend forme dans la tête du lecteur en même temps qu’il lit tes mots, et je dois t’avouer que j’ai été carrément sous le charme. Un des passages les plus réussis du récit (à mon humble avis).
Hello Zephyr ! Je n'avais pas encore eu occasion de te répondre, c'est chose faîte !
Les descriptions, oui en effet celà peut être un point faible dans ce récit. J'ai essayé d'y remédier dans le chapitre suivant; je pense avoir décrit suffisament pour guider le lecteur, sans trop alourdir le style; on verra dans les critiques suivantes !
A propos de description, les throggs justement ! A ce stade du récit, je crois que tu aurais déjà du en faire une description précise au moins physique. Là, on a une fusion entre un homme et une chèvre et that’s all. Du coup, on pense tous à des hommes bêtes made in wh battle).
C'est assez voulu ! Désolé pour ta curiosité
Mais les Throggs sont des hybrides complexes; Halërn n'en a rencontré qu'un type relativement primitif vivant dans le nord des Steppes Maudites; il sera bien entendu détaillé au besoin, avec d'autres types d'hybrides encore et plein d'autres créatures horribles !-« attisé par la faim dévorant ses entrailles » ; paradoxe amusant. C’est fait exprès ou pas ?
La description de la cité est toptiptop… Je suis obligé de dire que j’ai été conquis, et le plaisir du lecteur atteint son apogée au moment où le spectre fait ‘! bouh !’ (je schématise), là, tu as rédigé ce qui est désormais à mon sens un passage culte des chroniques ! Bravo !
Sinon, n’as-tu pas ressenti le besoin de couper le récit juste avant d’attaquer : « Bien des printemps s’étaient écoulés depuis son périple dans l’est lointain. Halërn était devenu un bûcheron d’âge mûr, mais à l’esprit harcelé par le souvenir de la cité maudite. Aucune fille n’avait voulu d’un époux taciturne, au regard sombre de rapace. » ? Je trouve qu’un sous titre, un changement de chapitre, bref, une coupure aurait été plus que bienvenue.
Le coup du craquement sur la droite arrive aussi de façon un peu impromptue, comme si tu commençais à fatiguer sérieusement sur la fin !
D’une façon globale, ce récit est un très bon exemple de style agréable à lire, c’est fluide, c’est beau, c’est bien, c’est Lorindil… Mais, et je suis navré de te le dire, ça peine sur les transitions (c’est comme ça que je l’ai personnellement ressenti). Je me demande si toi-même, après relecture, tu ne tiques pas un peu sur les passages que j’ai pu citer en exemple ?
Perso, chaque fois que j’écris un texte… Je laisse couler un bon moment avant de le relire (et inévitablement le retoucher) et je ne peux m’empêcher d’y trouver des imperfections de ce style. Parfois après plusieurs relectures !
Quoiqu’il en soit, je prends toujours grand plaisir à découvrir un texte de toi.
Merci pour ces compliments ! Pour les transitions, elles sont un peu "sèches" dans ce prologue. Pour le moment, je pense les maintenir ainsi, mais une relecture tardive corrigera certainement les erreurs. En fait, pour le moment je me concentre sur les chapitres à venir. Vois-tu, les transitions dans les épisodes suivants sont assez simples de construction: l'intrigue se déroule par épisodes: un coup lumière sur Halërn, un coup sur l'héroïne, un coup sur le héros n°" pour changer... Un peu comme un roman feuilleton. Mais j'essaye de faire des transitions logiques, ou attendues. Enfin c'est du boulot.
Mais j'attends tes critiques avec impatience ! Et encore merci pour l'intérêt que tu portes à mes écrits !
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Wow, une bataille bien contée ! Ca fait toujours plaisir !
Belle démonstration, Lorindil !
Que dire de plus sinon que du début à la fin j'ai apprécié ?
A si : le moment qui m'a fait le plus des guiliguilis dans le ventre : le plan "je vous défi, bande de gueux !"...
Zephyr Vendest (qui aime bien les guiliguilis dans le ventre)
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