[Mars 2009] L'école Alquières - Feurnard
- Vuld Edone
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Si l'arrière-fond peut paraître prise de tête (un monde où on crée des mondes ?), le texte lui-même veut surtout être simple.
Je l'admets, il y a un "message" (au sens où Monthy l'entend) : c'est justement que ce texte ne dit rien d'important.
Mon but est simple : que le lecteur reste accroché pour au moins la durée de quatre pages.
Plus simple encore : qu'on puisse me lire, qu'on prenne enfin plaisir à me lire.
J'ai donc puisé dans toutes les stratégies, tous les artifices que je connaissais pour enchaîner les "événements" (ou à la Zelda, les "eh ! Listen !")
L'apparition de Jade ; l'intérêt pour le silo blanc ; le chien, le devoir...
Pourquoi commencer mon texte par "les Anges avaient sauvé le monde" et pas "c'était la rentrée pour Xavier" ? L'un est plus accrocheur que l'autre.
Je n'avais jamais pensé à introduire des personnages juste pour varier la lecture.
Et je ne parle même pas de discours que n'aurait pas dédaignés un certain capitaine Durand.
Bref, tout en conservant la patte "Feurnard", j'ai voulu me rapprocher d'un texte plus normal, plus lisible et donc plus agréable à lire.
Et j'ai besoin de savoir si :
1. Je vais dans la bonne direction,
2. C'est suffisant ou s'il faut que j'aille plus loin.
Il faut que la clarté soit vraiment au point avant que je puisse reprendre les sujets qui m'intéressent vraiment, à savoir l'écriture de la contradiction.
J'attends votre feu vert.
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- Krycek
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Alors, voyons votre cas, sieur Goupil.
Alors pour répondre à tes deux questions, il va falloir considérer l'interprétation qui ressort de ma lecture, voir si je suis en tort et auquel cas pourquoi, non ?
Du coup ici je ne te rejoins pas : j'ai beaucoup apprécié lire "Métal contre Métal" même si une fois encore je ne voyais pas où tu voulais en venir (tiens pendant que j'y suis, je vais le noter sur le site).Feurnard écrit: Mon but est simple : que le lecteur reste accroché pour au moins la durée de quatre pages.
Plus simple encore : qu'on puisse me lire, qu'on prenne enfin plaisir à me lire.
C'est donc avec plaisir que je tente à nouveau de débattre de ton style.
Passons au texte du coup :
Première ligne, Neon Genesis Evangelion, on parle du "monde" et de le sauver. Déjà j'en tire 2 choses :Feurnard écrit: Les Anges avaient sauvé le monde[...]
- Feurnard fait de la SF !! Un terrain que je préfère à la littérature pour le débat.
- Feurnard oublie une de ses règles d'or qui est, je cite :
Ici bien sûr je rapporte le tout au monde.Feurnard écrit: Ecrivez au sujet d'événements humbles, n'essayez pas toujours de protéger l'univers. L'univers se portera mieux si vous le laissez tranquille.
Mais bon, voyons la suite...
Note : il y a un passage qui déc*nne dans le texte, au niveau du douzième paragraphe. Je pourrais le corriger, retirer le code qui s'est malicieusement introduit, mais peut-être manque-t-il une phrase ou deux, non ?
2-3 paragraphes avant la fin :
Feurnard : 0 - les guillemets : 1Feurnard écrit: «[...]Et puis école Michelet. « Des gens qui vénèrent un lac parce qu’ils ne savent pas nager. » Eh, c’est mieux que tes monstres ! » Lança-t-elle au voisin de devant.
Je suis un peu perdu ici, je devine à peu près le sens de la phrase, mais des guillemets ont l'air "à l'envers", non ?
Bon, voici pour la revue de base et strictement non constructive.
A présent, je me lancerai bien dans une étude approfondie du sens, de là où tu as peut-être vendu la mèche un peu tôt, etc, etc... mais pour cela je dois inexorablement passer par le moment où je me ridiculise en paraphrasant le texte, espérant, une énième fois, avoir compris le sens global... à tort. Hem, allons-y :
Si je puis résumer ce texte, sans aucune connotation volontaire : on rencontre ici l'école des Dieux, façon Weber (pardon pour l'insulte s'il y a).
J'ai à dire sur ce texte, à développer et discuter, mais je doute que ce soit utile si je me fourvoie sur son contenu. Je te serais donc gré de m'indiquer la porte si tel est le cas.
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- Imperator
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1) le texte m'a paru court, complet mais court dans la mesure où je l'ai descendu d'une traite, et le coup du devoir qui revient sans arrête fait une bonne continuité dans l'ensemble.
2) Le niveau de ce texte est largement celui que j'attendrais d'un livre. Il me faudrait du temps et de la volonté pour parvenir à le critiquer correctement (ce que je ferais peut-être).
Mais l'ambiance est très bien rendue, ce côté "rentrée de classe", tes personnages ont une personnalité très marquée, je n'ai rien vu d'inutile dans le texte, tout au plus de possibles digressions qui, en vérité, et même si je n'en crois rien, devraient rester comme telles, notamment le fameux silo/tour blanc/che.
Enfin, et juste pour moi:
Voilà ce que, moi, j'aurais dû faire pour mon propre texte .Ils parlèrent des Anges. D’abord Xavier, une simple question, parce qu’il savait combien Rita les admirait. Ensuite Rita : qu’il s’agissait d’un « loop », selon le journal ; que le puits, selon elle, aurait pu exploser ; qu’elle aurait voulu être de ceux qui étaient descendus tout au fond « neutraliser » le module bertha. Rita connaissait jusqu’au nom de l’explosif.
Bref, pour une analyse plus fine, attendre le week-end que j'aie du temps.
Impe, tiens, moi ça me faisait penser un peu au début de "strate-à-gemme" de Pratchett, vu que je ne connais pas Weber.
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- Vuld Edone
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J'ai retiré le code.
C'est tout à fait vrai, je romps volontairement avec ma propre règle pour ce que j'appelle un récit "événementiel" : sauver le monde, on est tous amis et recycler les déchets.
"Les Anges avaient sauvé le monde" est tout sauf ce dont parle le texte, il s'agit d'une accroche mensongère qui montre bien l'esprit dans lequel j'ai écrit le texte.
Effectivement, les parenthèses posent problème. Elle se cite elle-même lisant la phrase. J'aurais pu modifier vaguement, quelque chose comme : "... et puis école Michelet. Bla bla bla." Son voisin de devant se mit à rire. "Eh, c'est mieux que tes monstres !" lança-t-elle.
Au passage, de comment donner sa personnalité à un personnage qui virtuellement n'existe pas.
Je ne connais pas le cycle des dieux de Weber et j'avoue ne pas aimer cet auteur mais sans doute as-tu raison. Pour une fois, dans un de mes textes, quand je dis A c'est A, un chat est un chat.
Imperator :
J'attends l'analyse fine pour la partie "... mais" du commentaire.
Les digressions sont à souligner, il faut voir si elles posent problème ou si d'une quelconque manière elles aident le texte.
Le silo, pour l'exemple, servait presque uniquement à justifier que je passe une heure à compter le nombre d'arcs-boutants de l'école. Le silo est lié aux Anges mais les Anges étant eux-mêmes une digression... voire un hors-sujet complet, ils ne le justifient pas vraiment.
Mais si vous me dites que c'est lisible alors je peux entraîner ça.
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- Krycek
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Champagne ?Feurnard écrit: Pour une fois, dans un de mes textes, quand je dis A c'est A, un chat est un chat.
Eh bien non, pas vraiment. Parce qu'au final, si j'ai bien aimé le principe qu'à notre école les Dieux peuvent se permettre de ne pas remplir leur devoir (ce qui expliquerait ainsi tant de haine et de cruauté), j'ai surtout l'impression que tu t'es égaré dans la définition du chat. Oui, tu peux appeler un chat, un chat. Mais quitte à ce faire, je doute que parler de sa gamelle de croquette, puis de la chatière, la litière, les arrêtes de poissons et les ordures nous amènent à savoir de quelle race est ledit chat.
Vois-tu, dans cette médiocre métaphore j'essaie de dire que tu as parlé de tout (surtout d'architecture) sauf de ton sujet principal, si je le cerne bel et bien. Et puis, tu vends la mèche beaucoup trop tôt avec les professeurs qui parlent de la création des mondes. Argh ! Au spoiler ! Si tu avais continué sur le devoir à faire, si Xavier s'était posé des questions philosophiques autour de cette question, alors ç'aurait été plus percutant.
Mais était-ce vraiment là l'objectif ? Après tout si tu voulais juste être lu, alors il n'y a pas besoin de faire ça (bien que je ne puisse définir le "ça"). Après tout j'ai apprécié "Métal contre Métal", certains on aimé "la flûte" (tu remarqueras que, de suite, je m'exlue ), de même pour le banquet, etc...
Feurnard, il va falloir jouer cartes sur table une bonne fois pour toute ! Quel est ton but avec ces textes ? J'ai l'impression d'être un boulet fini à ne jamais comprendre où tu veux en venir... Et puis les dieux normalement se prénomment Zeus, Mars, Aphrodite ou Morphée non ? (ne réponds pas à ça, je t'en prie)
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- Vuld Edone
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Je fais l'expérience d'un monde constitutivement contradictoire.
Reprenons le chat.
Imagine qu'il y a un chat. Tu le sais, les autres le savent, le chat le sait, tout le monde le sait : il y a un chat.
Soudain, c'est un fait qu'il n'y a pas de chat.
Pas d'explication, pas de cause, c'est comme ça. Il y a un chat et il n'y a pas de chat.
Tu es si soudainement et à ce point convaincu qu'il n'y a pas de chat que même si le chat te griffait le visage, tu y trouverais encore à redire.
Il n'y a pas de contradiction au sens où la question est vite réglée : le chat est là. Il y a contradiction au sens où même si le chat est là, pour toi, il n'est pas là.
Crois-moi sur parole, tu peux essayer très très très très fort de te persuader qu'il y a un chat, tu peux le démontrer par A+B ou lui faire des petits, c'est peine perdue.
Et tu ne peux même pas donner ta langue au chat.
Voilà ce que j'essaie d'écrire dans mes textes. Simple, hein ?
Du coup forcément qu'il est plus facile de cerner la litière.
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- Krycek
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Cling ! Cling !
La foule est en délire, une voix de stentor hurle dans le micro :
Feurnard vainqueur par KO en 2 rounds !
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- Monthy3
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Différent de ce que tu écris habituellement, à n'en pas douter. Bien plus léger, en apparence du moins, que d'habitude, malgré la possibilité de mener de belles réflexions sur la création d'un monde (mais en 4 autres pages, cela risque d'être difficile).
Quand j'ai vu que tu parlais d'une école, au début, j'ai un peu pesté. C'est quand même vu et revu, et je ne parle pas uniquement d'Harry Potter (au pif, je pense au Livre des étoiles). Mais bon, soit. La nature de l'école elle-même m'a intrigué, ainsi que les discours des professeurs dont la personnalité est tout de suite reconnaissable.
C'est d'ailleurs le cas de tous tes personnages, qui ont tous un trait appuyé. A la fin de la lecture, sans regarder de nouveau le texte, je me souviens des yeux couleur de poivre de Rita (beuh, je ne suis pas fan du nom), de l'impertinence de Jade et des... boutons de "Fakt". Bon, en même temps, les personnages paraissent du coup stéréotypés, mais il est ardu de faire autrement en quelques lignes.
Le style est limpide et, du coup, adapté au type de récit. Il ne pose aucun problème de lecture ou de compréhension (hormis les guillemets déjà évoqués par Krycek, qui m'ont comme lui déstabilisé ). Je noterai peut-être un manque de liant entre les paragraphes, de temps en temps, mais c'est vraiment pour pinailler. D'ailleurs, j'avais eu cette impression en lisant le texte, mais même en cherchant, je ne trouve maintenant guère d'exemple pour illustrer cette remarque, alors oublie-là, simplement.
Je ne suis pas sûr d'avoir compris à quoi ressemblait l'école. Le cylindre entourant les ailes et la cour est en hauteur, donc ? Et où sont les autres bâtiments, tel que le silo ? Au sol, je suppose ?
Les monologues et dialogues sont très réussis (notamment les présentations des professeurs et celle de Fakt), mais cela rejoint un peu ce que je disais au sujet de tes personnages, qui sont bien vivants.
Tiens, un détail, en dehors même du texte :
Je me suis toujours demandé s'il n'était pas incorrect d'employer le verbe "réaliser" autrement que dans son sens matériel, concret, c'est-à-dire "faire, construire".Son ventre se creusa encore, puis se détendit, jusqu’à ce qu’il réalise que finalement, cela n’avait pas eu d’importance.
Conclusion : un texte très différent de tes écrits habituels, frais, intriguant quant au thème de la création de monde, mais pas transcendant à mon goût car un peu trop classique. Je ne peux qu'espérer que tu me détromperas par la suite (ou tout de suite, tiens, en me montrant à quel point mes remarques sont déplacées et issues d'un esprit incapable de comprendre où tu voulais en venir ) !
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- Vuld Edone
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Je verrai pour le liant entre les paragraphes.
J'ai observé chez moi un décrochage de page en page et il est probable que le même décrochage se produise de paragraphe en paragraphe. Mais quant à lier, ce sera au contenu de le faire, moins qu'à la forme.
Le style employé dans Alquières sera le style des Larmes. Si Alquières est facile (paf, une école...), les Larmes sont une véritable prise de tête. On verra si la simplicité de lecture reste, malgré un changement de fond assez conséquent.
Les personnages stéréotypés, s'ils sont vivants, ne sont peut-être pas une mauvaise chose. Mieux vaut cela que de ne pas les comprendre.
La prochaine étape sera de les rendre originaux en quelques lignes, mais théoriquement la suite les étoffe.
La cour est à terre, le théâtre est souterrain, sous la cour, le cylindre est en hauteur et entour les ailes, enfin le silo est au sol. Mais en général, je n'ai porté quasiment aucune attention aux descriptions.
Pour la petite histoire, j'avais d'abord placé en urgence la cantine en annexe, à l'extérieur de l'école, avant de me rendre compte que d'y gérer presque deux mille élèves serait impossible.
Le premier jet à cet égard était à se tordre de rire.
Je pourrais tricher en disant que dans un récit où les gens "créent" des mondes, que Xavier "réalise" n'est pas étonnant. Mais je suis linguiste. L'usage prévaut la norme et dans l'usage, ce n'est pas incorrect.
J'aurais juste dû réfléchir un peu plus à cet aspect créationnel (sic), s'il m'avait intéressé.
Ce qui m'importait le plus donc, était bien que le texte soit "différent" et qu'il soit "frais".
Qu'il soit "classique" est un dégât collatéral tout à fait avoué et je ne te détromperai pas. En fait, je suis vraiment content que les quatre dernières pages aient été supprimées car elles étaient un peu moins terre-à-terre et la fin, particulièrement, se détachait du reste en posant des questions trop "métaphysiques".
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- Zarathoustra
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Ben on, pas tout à fait, parce que les anges l'ont sauvé ce monde! Bref, ça devait être compliqué, Feurnard nous promet que, non, cette fois c'est simple, mais finalement, non, c'est toujours pas simple parce que ta première phrase dit finalement le contraire...J'ai bien compris?
Bon, soyons un plusserieux et sur le texte. J'ai été surpris sur le côté spontané et plaisant de l'ensemble. Pas de phrases sur lequel on bute en se disant que ça doit bien vouloir dire autre choses que ce qu'on lit, il y a une volonté nette pour s'attarder sur des personnages, de montrer de la vie. On est loin du poid d'un ensemble symbolique.
Cela dit, cela dit, je ne peux m'empécher de m'attarder sur la description de l'école. On sent que tu t'es donné de la peine pour la faire. Il y a la notion de cercle: élément protecteur en soi mais aussi qui enferme, on a également des éléments qui sorte de ce cercle. C'est curieux de créer une école en cercle dont le but est de créer des mondes. Créer des mondes, c'est en quelque sort sortir di cercel, fin en soi de toute école.
Il y a un mot qui fait tilt parce qu'il revient souvent: les ailes. Et on n'a pas parlé d'ange au début? Et à moment, les deux personnages sous "sous les ailes", comme s'ils étaient protégés par les anges. Et s'il y a des anges, on peut supposer qu'il y aura encore des démons. Donc l'absent pour l'instant ne sont pas les anges du débuts mais leur contrepoid: les démons. On sait que chez toi, les absents sont parfois plusimportants que les présents. Et que les démons ont une résonnance toute particulière.
Volià sur les délires métaphysique d'un lecteur déboussolé.
Bon, quand à ce qu'il y a à l'intérieur du texte à proprement parlé, on a une rentrée des classes. Bon, pour ma part, je ne peut m'empécher de penser à Harry Potter. Les rituels de la rentrées sont calqués également dessus: arrivée des élèves, recherche des éléments connus, discours du proviseurs. présentation desprofesseurs etc. Surtout qu'on a presque l'impression de le voir avec le garçon à lunette et son copain rouquin à un moment. Si c'est le cas, alors cette impression n'est pas grave puisqu'elle est fait sciemment et que c'est un peu un jeu pour toi. Si ce n'est pas le cas, c'est un peu génant. Mais je nepeux m'empécher d'y voir del'humour, les noms des profs sonnent assez ridicules comme dans HP, on y trouve même Simonne Beauvoir sans le de. Trop énorme pour être gratuit ou un manque d'inspiration calimeroesque dont tu as le secret pour te justifier
Tu as par contre une idée magnifique: le sujet de du devoir. On ne put s'empécher d'imaginer nous même ce que nous mettrions. Et puis, on a envie de savoir ce qu'à choisi le héros. Tu tiens un suspense très simple et très efficace; Et l'idée est d'autant mieux exploité que tu ne nous déçois pas en nous livrant sa phrase, très belle idée aussi.
Donc, un texte réjouissant parce qu'il allie plaisir spontané et exigence intellectuel (à la condition que quelques intuitions de ma part soient pas fausses). Donc vraiment, pas de vrais points négatifs pour ma part.
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- Vuld Edone
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Mais j'aurais réussi aussi à provoquer de la réflexion ?
Tu as réfléchi en opposant ("des anges ? alors des démons"), voire en contredisant ("école cercle fermé mais école doit faire sortir du cercle").
C'est un peu artificiel, je soupçonne les anciennes MàJ d'y être pour quelque chose. Mais en même temps, c'est ce que j'attends de mon lecteur. Je n'y aurais pas réfléchi autrement.
Et mes anciens textes sont simplement illisibles sans "ça".
Ce n'est toujours pas incrit dans la forme, cependant. Et tant que je n'aurai pas réussi à inscrire "ça" dans la forme... mais j'y travaille.
Il reste que oui, j'ai mimé HP (non pas Lovecraft), je me suis amusé sur les noms et j'ajouterais, j'ai imité des stéréotypes.
Et là-dessus, impossible de réfléchir.
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