[Juin 2009] La fierté d'Ishtar - Imperator
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Au moins, je l'ai lu et en partie analysé .
Plus simplement, je voulais juste donner quelques pistes et anticiper certaines questions.
***
En écrivant ce texte, j'ai poursuivi les objectifs suivants:
- tenter une introduction directe avec le lecteur pour pousser à lire
- faire de la narration en "il" (que je déteste employer) en faisant de la narration en "je" avec une explication à la fin.
- décrire un truc super puissant et parler de choses over bourrines
- écrire quelque chose!
C'est surtout le dernier point qui a prévalu. Je voulais impérativement me remettre à écrire et après "le nationaliste", franchement, y avait de quoi désespérer. Ce texte est beaucoup moins ambitieux (en fait, il n'a aucune ambition) et me permet de me replonger lentement dans le bain.
Ses principaux défauts sont son manque de fond (l'histoire est banale, on a rien appris, ça ne sert à rien, il n'y a quasiment pas de morale, pas de rebondissements, etc...) et son manque de forme (pas de belle figure de style ni d'effet particulier employé).
En somme, c'est un simple divertissement dont la seule prétention est de ne pas être "mauvais" sans être "bon".
Pour les anecdotes, j'ai eu bien des problèmes à inventer un univers avec un empire et des "rebelles" qui ne fasse pas directement référence à starwars (et je suis certain que malgré tout on y pense en le lisant) tout autant qu'à ne pas tomber dans l'impérium de 40K (dont je me suis pourtant beaucoup inspiré, jouant à BFG).
Le texte aurait franchement mérité d'être poussé, avec la vie entière du cuirassé, l'étude de la situation dans son entier, au niveau politique, idéaliste, dans les espoirs, dans les doutes, etc... La trahison aurait pu être explicitée, ses motifs, la personnalité du traître.
J'aurais au moins pu donner un nom .
Mais voilà, c'est un texte qui a été fait pour pouvoir montrer qu'il m'arrive encore d'écrire (à défaut d'encore savoir écrire ) et au fond, sa force réside dans ses faiblesses, à savoir qu'il ne se prend franchement pas la tête.
Au passage, si, peut-être un moment sympathique dans le texte, c'est celui où je passe de la salle de l'ordinateur à la passerelle (et inversement) pour décrire les réactions et l'enchaînement des catastrophes. À nouveau, c'est bâclé, mais bon... doit y avoir un petit côté "oh nom de..." dans tout ça.
Impe, je sais pas trop, mais je tenais à m'expliquer un brin.
ps: oui, le départ c'est pour m'excuser d'avance de n'avoir pas écrit un truc super .
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- Vuld Edone
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Écrit par [jauteur:66n9avrn]Imperator[/jauteur:66n9avrn]
Il y a une première incohérence, de taille.
Si le saboteur voulait détruire le navire, pourquoi l'avoir d'abord désactivé ? Il aurait immédiatement surchauffé les réacteurs, puis quitté le navire à bord d'une nacelle de sauvetage - ou serait mort.
Si l'empire voulait récupérer le navire, pourquoi l'avoir ensuite détruit ? L'état des réacteurs ne changeait rien à l'accès à l'ordinateur. CE traître n'était pas très au clair avec son plan.
Un point à propos de ce traître : on ne savoure pas un sabotage. Tout comme un combattant combat et un commandant commande, un saboteur sabote. C'est un travail, rien d'autre. Quand on est prisonnier d'un cercueil de métal en compagnie de mille à dix mille ennemis potentiels et désarmé, le sentiment le plus probable serait plutôt la peur.
Dans la même mesure, tu connais sans doute cette histoire : les artilleurs dans les tourelles, ne pouvant pas évacuer assez vite si le cuirassé coulait, avaient chacun un pistolet à un coup sur eux. Un équipage de combat, tu aurais dû le deviner, est admirablement bien préparé face au pire.
Du reste et c'est une légère erreur de conception, s'il est possible d'aborder le navire alors il est parfaitement possible de le démolir à l'artillerie. Je me serais plutôt attendu à un résultat à la Bismarck.
Il aurait effectivement fallu développer au moins le côté confédéré, en justifiant la construction du cuirassé : doctrine, tactique, mission. Au moins, tu nous avais averti.
Je ne sais pas bien quel besoin tu as eu d'ajouter ce cadre narratif, du narrateur qui raconte une histoire avec le lien le plus ténu qui puisse être au récit. La première personne serait vraiment à justifier. Qu'est-ce qui changerait, dans ce texte, sans ?
Autres détails, sur la forme :
Répétition de "littéralement".Car à cet instant, tout en se riant des tirs qui ricochaient littéralement sur son blindage, il écrasait littéralement la zone de combat sous les lasers...
"Principaux" modes.Il put enfin pénétrer au cœur de l'ordinateur et s'assit devant la trentaine d'écran qui indiquaient le déroulement des principales modes de la machine.
Il n'y a pas grand-chose de plus que je puisse te dire, surtout compte tenu de l'ambition du texte. Une anecdote encore : en situation de combat, je doute très sérieusement que quiconque se promène librement à bord.
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- Imperator
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Le saboteur voulait:Si le saboteur voulait détruire le navire, pourquoi l'avoir d'abord désactivé ? Il aurait immédiatement surchauffé les réacteurs, puis quitté le navire à bord d'une nacelle de sauvetage - ou serait mort.
Si l'empire voulait récupérer le navire, pourquoi l'avoir ensuite détruit ? L'état des réacteurs ne changeait rien à l'accès à l'ordinateur. CE traître n'était pas très au clair avec son plan.
- s'en sortir vivant
- que le vaisseau soit détruit (capturé, c'est un symbole de défaite, détruit un symbole de rébellion)
L'empire voulait:
- gagner la bataille
- capturer le cuirassé
Dès lors, l'empire et le saboteur avaient intérêt à désactiver le vaisseau pour pouvoir enfin s'approcher et aborder. Le saboteur pour être évacué, l'empire pour s'emparer du navire.
Le saboteur, en somme, ne travaillait pas totalement pour l'empire (je n'ai pas développé ce point pour ne pas donner de moral à mon texte).
Tiens, ma conception était différente. Quand la victoire est assurée, j'avais tendance à penser qu'on prenait son pied. Tant qu'on ne risque pas d'être tué ou qu'il n'y a pas présence d'un danger imminent, l'adrénaline devrait fournir sa dose d'excitation. Du reste, s'il s'amuse au départ, son état d'esprit change doucement pas la suite.on ne savoure pas un sabotage. Tout comme un combattant combat et un commandant commande, un saboteur sabote. C'est un travail, rien d'autre. Quand on est prisonnier d'un cercueil de métal en compagnie de mille à dix mille ennemis potentiels et désarmé, le sentiment le plus probable serait plutôt la peur.
Non, celle-là je ne la connaissais pas. Sinon, j'en reviens à l'habituel "crédible mais pas vraisemblable, et pas vraisemblable parce que sinon plus crédible".Dans la même mesure, tu connais sans doute cette histoire :
J'ai imaginé ce cuirassé (en plus grand) un peu sur le modèle de cuirassés impériaux de BFG avec un mix des vaisseaux de last-exile et un rien d'Albator. Bref, presque des "plaques cuirassées" plus qu'une armure intégrale. Dans tous les cas, la principale défense du vaisseau consistait surtout dans sa capacité à désintégrer les adversaires avant qu'eux ne soient en mesure de s'approcher suffisamment ou de concentrer assez de puissance de feu. Sitôt privé de sa puissance de feu, le cuirassé ne pouvait plus empêcher qu'on l'approche et qu'on l'aborde, ni que les tirs adverses, la distance décroissant, ne se fassent plus précis.Du reste et c'est une légère erreur de conception, s'il est possible d'aborder le navire alors il est parfaitement possible de le démolir à l'artillerie. Je me serais plutôt attendu à un résultat à la Bismarck.
Ben... je l'aurais pas écrit . Du reste, toute la justification de ce texte, vu que j'ai évité de faire la moral, tient en cela que le type veut raconter ce que son grand-père lui a déclaré sur son lit de mort.Je ne sais pas bien quel besoin tu as eu d'ajouter ce cadre narratif, du narrateur qui raconte une histoire avec le lien le plus ténu qui puisse être au récit. La première personne serait vraiment à justifier. Qu'est-ce qui changerait, dans ce texte, sans ?
On aurait pu raconter à la troisième personne, mais du coup ce récit aurait vraiment été fait dans le vide.
Moi moins . S'il y a un truc que j'ai appris à l'armée, c'est que tout le monde se contrefout un peu de ce que font les autres. Mais bon, à nouveau, question de vraisemblance c'est vrai. Reste que beaucoup de personnes, surtout en situation de combat, doivent se déplacer dans le vaisseau. Après, y a les zones sensibles, mais vu que le saboteur est aussi celui qui était en charge de l'ordinateur...Une anecdote encore : en situation de combat, je doute très sérieusement que quiconque se promène librement à bord.
M'enfin, j'en ferais un mieux la prochaine fois (ce texte était stylistiquement plus cohérent que "le nationaliste", non?).
Impe.
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- Zarathoustra
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- Vuld Edone
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Erreur corrigée (avec le texte de Dude ça fait beaucoup).
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- Monthy3
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Je passe immédiatement aux points qui m'ont interpellé.
D'abord, la narration en "je". Feurnard estime que c'était assez inutile ; je le pense aussi, mais pas de façon absolue. En effet, je ne vois aucun mal à cela si tu le places dans un contexte, même très réduit, ce qui n'est pas du tout le cas ici. Je ne sais pas, tu aurais pu évoquer un vieux conteur racontant l'histoire à des enfants, peut-être un général rebelle essayant de regonfler le moral d'une rébellion anémique (la fin, d'ailleurs, irait bien dans cette hypothèse : on n'a pas retrouvé les restes de ce vaisseau, donc peut-être n'a-t-il pas été réellement été détruit et reviendra-t-il un jour pour nous aider, ou encore peut-être est-ce un des objectifs majeurs des dernières forces rebelles que de retrouver l'épave pour la remettre en fonction... Les idées ne manquent pas !).
En l'occurence, dans le récit, c'est trop impersonnel - un comble, avec l'utilisation de la première personne !
Deuxième point : le manque total d'explication. Tout ce que nous proposes, c'est un :
Vil, perfide, spoliateur de vérité ! C'est trop facile !Sur son lit de mort, il ne voulut pas m'expliquer les raisons qui l'y avaient poussé. Il me déclara simplement que la notion de bien et de mal était trop vague pour s'appliquer à cette histoire.
Bon, je plaisante et je sais bien que tel n'était pas franchement le rôle de cette nouvelle, que tu ne comptais pas te prendre la tête. Reste que, du coup, je suis resté assez dubitatif devant les événements là où j'aurais éventuellement pu prendre parti et m'impliquer un peu plus dans ma lecture. C'est dommage.
Pour le reste, la progression est bonne, à la fois prévisible - car logique - et irrémédiable (tout à fait mon genre de progression, donc ) et je trouve l'atmosphère de fatalité à bord du vaisseau bien rendue. La lecture en a été agréable. J'aime particulièrement la phrase que tu as bien mise en évidence :
Je sais où je vais aller reproduire cette phrase, moiLa fierté d'Ishtar était à tout point de vue invulnérable et comme tout objet invulnérable voué à être détruit.
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- Imperator
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En effet, et pourtant j'avais essayé:Je ne sais pas, tu aurais pu évoquer un vieux conteur racontant l'histoire à des enfants, peut-être un général rebelle essayant de regonfler le moral d'une rébellion anémique
Théoriquement, l'histoire était racontée par le petit-fils du saboteur.Contrairement à ce que mon grand père avait espéré, tout du moins me l'avoua-t-il ainsi,
En fait, au départ, l'idée était que le saboteur avait accepté de trahir la fédération parce qu'il voulait que la guerre cesse. Si le conflit devait s'éterniser, des millions et des millions de personnes allaient mourir et, à terme, la fédération perdrait son âme dans l'espoir de gagner en efficacité pour la guerre.on n'a pas retrouvé les restes de ce vaisseau, donc peut-être n'a-t-il pas été réellement été détruit et reviendra-t-il un jour pour nous aider, ou encore peut-être est-ce un des objectifs majeurs des dernières forces rebelles que de retrouver l'épave pour la remettre en fonction... Les idées ne manquent pas !).
La révolution devait venir de l'intérieur de l'empire parmi ses citoyens, pas de l'extérieur. Le saboteur voulait mettre fin à la guerre.
Mais pas donner le cuirassé à l'empire, car celui-ci y aurait gagné en puissance, mais aussi y aurait donné un signe de sa toute puissance. Le fait de détruire le cuirassé donnait à celui-ci un aspect mythique, toute sa puissance de symbole.
En y repensant d'ailleurs, c'est un rien stupide, à voir...
Enfin, pour mettre une fin ouverte un rien plus mystérieuse, j'ai ajouté cette histoire d'aucune traces du vaisseau, histoire de donner cet aspect incroyable et fantastique à l'histoire.
Impe.
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- Monthy3
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Ouaip, mais ça manque quand même pas mal de "mise en ambiance". En même temps, je suis bien conscient que l'intérêt du texte ne se situe pas là, mais quelques lignes de plus n'auraient pas fait de mal !Théoriquement, l'histoire était racontée par le petit-fils du saboteur.
Non non, ça se tient complètement et c'est ce que j'avais compris des conséquences, de l'issue du récit. Cela dit, je prenais de telles considérations pour un moindre mal - c'est-à-dire que les rebelles étaient soulagés de voir le vaisseau détruit uniquement parce que cela signifiait que l'Empire ne l'avait pas en sa possession - mais non pour le but d'origine du saboteur, parce que dans ce dernier cas, bon, c'est effectivement idiot.En y repensant d'ailleurs, c'est un rien stupide, à voir...
En fait, il manquait juste dans le texte la raison du sabotage telle que tu nous la livres ici :
A moins que ce ne soit dit de manière implicite et que je sois passé à travers ?La révolution devait venir de l'intérieur de l'empire parmi ses citoyens, pas de l'extérieur. Le saboteur voulait mettre fin à la guerre.
Tellement ouverte et mystérieuse que ce texte pourrait même jouer le rôle de prologue d'une histoire plus longueEnfin, pour mettre une fin ouverte un rien plus mystérieuse, j'ai ajouté cette histoire d'aucune traces du vaisseau, histoire de donner cet aspect incroyable et fantastique à l'histoire.
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- Zarathoustra
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C'est pour moi sa grande qualité. Bien qu'il parle d'un univers lointain du notre, on s'en sent proche.Cette proximité est renforcé dès le départ par ton utilisation du "je". On est pris par la main, piqué par la curiosité. Et c'est bien le style qui fait fonctionner le texte plus que le fond, plus que l'histoire elle-même. Je trouve que tu emploies des phrases très structurées, une vocabulaire riche, et tout coule de source. Tu as l'art d'avoir un style que j'avais qualifié par le passé de désinvolte, mais finalement très accrocheur.
Maintenant je regrette que tu ne te sois pas attardé sur ce traitre. C'est forvément un personnage avec un bon potentiel. Et je pense que tu as escamoté la partie la plus passionante de ton histoire. Tu en as conscience. C'est donc encore plus frustrant. Que tu aies voulu reprendre pied dans l'écriture est une bonne chose, et tu montres de vraies capacité à le faire encore une fois. Mais, justement, profites de tes facilités pour t'attarder sur un thème précis. Et pour ma part, plutôt que de me forcer à faire un exercice avec les objectifs que tu nous as donnés, j'aurais justement profité pour gliisser un truc qui me stimulerait. Ce traitre est typiquement ce qui m'aurais fait avancé dans l'écriture et qui aurait certainement bouleversé ma trame, créer des surprises. En lisant ton commentaires, on a l'impression que tu es satisfait mais que tu n'as pas pri de vrai plaisir. Même on le devine en lisant ton texte.
Bref, tu es pas si loin d'un vrai bon texte. Là, tu t'es contenté des valeurs sûrs que tu sais avoir. Un peu d'expérimentation ou d'imprévus aurait certainement stimulé ton imagination. Il manque pas grand chose, parce que la forme est des plus plaisante. Elle te permet justement de baisser notre exigence dans le résultat final. On n'attend pas grand chose, et on a un peu plus. Maintenant, tu aurais pu augmenter l'écart entre nos attentes et ce que tu nous donnerais à ton avantage.
Donc un texte rassurant pour la suite. Un texte avec plein de belles promesses pour 'avenir. A toi de te lancer vraiment!!!
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- Imperator
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Mais si je vais au coeur de ton commentaire:
L'expérimentation... j'ai essayé d'écrire "au pied de la tour d'Ohorm", racontant le périple d'un frère et d'une soeur condamné à être suivis dans de folles aventures par un être omnipotent, mais pour le moment je n'arrive à rien. J'ai voulu écrire "le nationaliste", mais les éléments sont trop confus.Là, tu t'es contenté des valeurs sûrs que tu sais avoir. Un peu d'expérimentation ou d'imprévus aurait certainement stimulé ton imagination.
J'essaie de me concentrer sur des thèmes précis. Ce texte était un exercice de style, mais j'ai deux thèmes derrière la tête qui devraient stimuler mon imagination. J'ai même deux titres:
- "Tout doit changer"
- "L'amour faux"
Le premier est très classique, puisqu'il s'agit du thème de l'entraide, de notre impact, de nos efforts pour améliorer les choses.
Quant au second, c'est une surprise, mais je doute parvenir à développer un pareil thème de manière concluante.
En somme, les idées sont là, mais la cohérence m'échappe, je ne parviens pas à introduire, à patienter pour que la suite vienne.
Mais il y a au moins un point que tu as relevé sur lequel je peux m'appuyer:
La culture, quel puissant outil. Pas besoin d'être vraisemblable quand on peut être crédible. C'est peut-être ça qui a permis à jeunesse vie et déclin de fonctionner .Un amusement convainquant sans qu'on sache trop pourquoi. Sans doute parce que toutes ces réferences sont notres et qu'elles nous parlent.
Quoi qu'il en soit, j'attends impatiemment un déclencheur pour commencer la rédaction d'une véritable nouvelle ou d'un vrai texte, mais lorsque j'ai une bonne idée, je la massacre à un point que c'en devient honteux...
Enfin bref, je parle, je parle, mais je ferais mieux de retourner à mes tentatives d'écriture .
Impe.
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- Zarathoustra
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Mais l'essentiel est effectivement de reprendre pied dans l'écriture. Donc bienvenu! Et c'est pas moi qui n'écris quasiment plus qui peut te donner des leçons!
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