[Huin 2009] Chimio' 1: Mon sang .......... - Feurnard
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De [jauteur:2h2dhn4k]Feurnard[/jauteur:2h2dhn4k]
Okay, pas dans mes habitudes, mais on va faire un rapide commentaire du texte de Feurnard .
Première, beaucoup d'allusions, et probablement plus que je n'en ai vu, mais déjà pas mal qui m'ont sauté aux yeux.
À commencer par:
Lui empêchaient de voir? Au contraire, ça repose...Il portait en conduisant d’épaisses lunettes qui lui empêchaient de voir
tandis que la voiture corrigeait sur sa route un nouvel écart.
À quoi le capitaine haussa les épaules, avant de parler de brouillard : il obtenait alors toute l’attention du général.
Là, ça pourrait être une allusion à l'accident de la Jungfrau...l se penchait à présent sur une pacotille, plus diverse encore que le cuirassé, qui était un incident de montagne en passe de s’enliser.
Bref, j'ai dû en sauter beaucoup.
Certaines choses ont retenu mon attention, comme:
Je ne peux pas m'empêcher de trouver la description un peu maladroite, surtout dès le "dont parfois les lumières"... À toi de juger.Autour d’elle deux dizaines d’ordinateurs tournaient dans un ronronnement lancinant, sans écran, seulement des tours épaissies de câbles dont parfois les lumières sur leur boîtier changeaient de couleur.
Premièrement, je n'avais pas noté le "un homme s'y tenait", du coup je ne savais pas à qui "l'homme" faisait référence. Et désolé, mais après la longue description, l'information ne m'a pas semblé pertinente, voilà tout.Et ainsi de suite. « C’est une blague, » lança l’homme, avec la voix du général des armées Larsens, « une blague à vingt milliards. » Il rejoignit le journaliste, qui photographiait déjà, qui s’écarta légèrement avant de serrer la main tendue. « Une mauvaise blague » trouva seulement à dire le général, droit, la nuque raide, pour ce tas de ferraille.
Du coup, j'ai eu un mal fou à savoir qui disait quoi, avant de me rendre compte que c'était tout du cru du général.
Probablement qu'on avait déjà parlé de Larsens dans un chapitre précédant (y a eu un chapitre précédant?) vu qu'il semble connu.
Le concept d'erreur est ici un rien vague. Je suis parti du principe qu'il y avait là la bonne vieille critique faite au médias qui tiennent absolument à pouvoir rapporter du sensationnel ou du fracassant... mais il semblerait que l'idée d'erreur s'applique au cuirassé même comme étant une vérité absolue ou un élément objectif caché.D’où vient l’erreur ? » Le public ne s’intéressait qu’à cela. « Il n’y a pas d’erreur, » répondit Larsens, avant son subordonné.
Bref, ça reste jusqu'à la fin et je n'ai toujours pas compris.
***
Pour le reste, l'humour est sympa, léger encore mais sympa. Je note le coup du brouillard, le dénigrement total pour le cuirassé et la fuite précipitée après avoir oublié la collègue.
Même si j'ai mis un moment avant de comprendre ce qui se passait, d'autant qu'au départ:Il réagit à ce nom, Rhages se mordit la lèvre, il jeta à sa montre un regard sauvage. En quelques mots, le journaliste s’excusait ;
J'en étais presque arrivé à la conclusion que Taquenard était journaliste, alors que le départ indique précisément le contraire. Chapitre précédant non lu en cause je suppose. Quoi qu'il en soit, il semblait franchement peu intéressé par la possible rencontre avec Taquenard.Sur le coup, rencontrer une inconnue comme Taquenard ne l’intéressait plus. Mais plus il regardait l’horloge et plus il se répétait « je peux le faire ». Lui, au contraire, professionnel, il l’était trop.
Honnêtement, purement excellent. Ce genre de pique est largement répandue, mais ****** ce que ça fait du bien et tellement réaliste à la fois. Le genre de truc qui donne corps à un personnage.« Vous êtes madame Taquenard ? »
« Mademoiselle. »
Elle avait attendu toute la soirée, à se promener sur les quais, pour lui dire cela.
Pour le moment, je peux difficilement en dire plus, du moins pas sans que tu ne précises tes attentes, mais de ce que j'en sais tu es largement dans le bon chemin, même si ce passage fait pas mal transition.
Chose amusante, tu n'as pas essayé de faire sortir la grosse surprise façon découverte spectaculaire (première entrée dans le QG des men in black comme exemple) ou de faire transparaître tout l'extraordinaire du navire. C'est au contraire extrêmement fade, le cuirassé est une sorte de vaste "truc" inutile au fond d'une cale qu'on traverse en discutant d'autre chose.
Autant c'est déroutant pour le lecteur, autant le coup est réussi dans le dénigrement.
Reste que le lecteur a toujours besoin de sa dose d'émotion pour aimer le texte. à voir.
Impe, en passant .
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- Vuld Edone
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Quand je veux te répondre, soit je fais un pavé, soit je ne sais pas quoi dire.
Le héros de l'histoire est le cuirassé. Il est central, plus que central, il pullule dans toutes les conversations. Il y aura même une maquette du cuirassé dans le bureau du président.
Au premier chapitre, le lecteur aura pu difficilement s'intéresser à quelque chose d'autre qu'à lui. Les deux sujets à côté, vague annonce de "crise" et le nom plus qu'éludé de Frédéric, semblent des anecdotes, à côté de la masse de dialogues et d'agitation sur la "canonière".
J'espérais donc qu'arrivé au second, le lecteur soit dans un état "montrez-moi le monstre". Il devait donc découvrir le "tas de ferraille" que je lui préparais. Dans le but bien sûr d'un contraste fort qui l'oblige à y réfléchir plus avant et c'est aussi un peu à ça que sert Larsens.
Toute la présentation est un long jeu de "cherchez l'erreur" qui est commun à tout le texte (un peu toutes les situations ont quelque chose d'anormal). J'ai même cru en faire trop avec Larsens qui demande ce qu'est le secteur interdit - système fournaise. Apparemment, ça passe.
Un point encore d'importance. J'ai décrit le cuirassé mais pas sa mission - et sa mission est primordiale. J'espérais le faire avec la rencontre Rhages-Taquenard mais à ce niveau de l'histoire, je n'ai simplement pas su comment le mettre.
Aujourd'hui, je pense que j'irais au plus simple, et que je donnerais sa mission telle qu'elle apparait au chapitre cinq.
J'ai relevé les erreurs et les commentaires, beaucoup réfléchi et continué à écrire. Maintenant, pour ce chapitre, je voulais d'une part décrire le navire sans tomber dans la lourdeur excessive des termes, d'autre part que ce navire paraisse médiocre. Il s'agissait aussi d'introduire ou de développer les personnages.
Mais en général, c'est le chapitre le plus problématique, ayant le moins de tension, et le plus à même d'être critiqué.
Au fond je crois que je n'avais pas spécialement d'attentes.
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- Imperator
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Il aurait fallu que je lise le premier chapitre.
Quelque part, tu l'as fait. Même si tu ne l'a pas explicitée, tu as cité sa mission sous des termes relativement exploitables.Un point encore d'importance. J'ai décrit le cuirassé mais pas sa mission - et sa mission est primordiale.
Un petit élément de mystère, mais qui est passé comme étant une forme de dénigrement supplémentaire (peut-être dû au "qu'y a-t-il au troisième niveau?".)J'ai même cru en faire trop avec Larsens qui demande ce qu'est le secteur interdit - système fournaise. Apparemment, ça passe.
Mais le "où est l'erreur" est effectivement lourd comme je l'ai mentionné.
Impe.
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- Monthy3
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J'ai cru remarquer qu'Impe n'avait relevé, tout compte fait, que des broutilles, et je serais fort en peine d'en faire plus. C'est un début de saga franchement accrocheur, plutôt atypique, et le ton très neutre que tu emploies, loin de m'éloigner du récit, a au contraire attisé mon intérêt. D'ailleurs, couplé aux nombreuses pointes d'humour qui jalonnent le texte, cela donne l'impression d'un narrateur supposé objectif, mais railleur. En tout cas, le détachement dont tu fais preuve pour narrer des événements que d'aucuns auraient tenté de magnifier ou de dissimuler derrière un voile de mystère grossier est franchement appréciable.
Ces considérations générales valent pour tout ce que j'ai lu, donc a fortiori pour ce chapitre-là. L'ensemble donne une impression de subtilité et d'absurde réunis. Je parle d'absurde dans le sens où les personnages, loin de "s'enflammer", se comportent presque trop naturellement, jouent leur rôle sans aller plus loin - sans jouer au héros, en somme. Le journaliste pose les questions de base, la scientifique ne connaît pas grand-chose au cuirassé (elle parle même de "bateau", le terme le plus basique qui soit), le général même se voit refuser l'accès d'une pièce... Cela crée comme un décalage entre la découverte du navire (découverte très fermée, puisque permise à seulement deux journalistes à l'origine) et l'attitude de tous.
L'ambiance, du coup, est parfaite, et j'imagine parfaitement le mélange de silences et de questions, interrompues ou non, planant dans l'air.
Je n'ai pas vu de points négatifs, même après avoir lu trois fois le chapitre en sus des autres. Je n'ai personnellement pas vu le dénigrement du cuirassé, pas plus que sa glorification. Il y a le constat d'un navire inattendu et le questionnement sur sa raison d'être, qui a l'origine passe pour une "blague" ou pour une "erreur", et qui en définitive se révèle voulue - bien qu'encore mystérieuse. Du coup, quand je lis :
Je me dis que je ne l'ai pas trouvé si médiocre que cela, ce navire. Il est déplacé, sans doute, inattendu comme j'ai pu l'écrire, mais sa "médiocrité" dont tu parles s'est retrouvée chez moi éclipsée par l'attente, l'interrogation sur son rôle. Bref, je me suis concentré plus sur sa finalité que sur sa valeur intrinsèque pour la bonne et simple raison que tu nous pousses à nous intéresser sur cette valeur.Maintenant, pour ce chapitre, je voulais d'une part décrire le navire sans tomber dans la lourdeur excessive des termes, d'autre part que ce navire paraisse médiocre.
D'autre part, le chapitre précédent avait été bien peu élogieux vis-à-vis de ce navire, du coup, étant prévenu, je n'en attendais pas non plus des merveilles.
Enfin, le fait qu'il passe de "croiseur" à "cuirassé" a fait (re)monter mon estime pour le navire puisqu'il s'avère justement plus imposant que prévu.
Si ce n'était qu'un chapitre dit de transition, il est réussi.
Je ne me suis pas ennuyé un seul instant.
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- Vuld Edone
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Mes textes ne sont toujours pas très bons, mais ils ne sont plus mauvais.
Cela ne se voit pas mais je ronronne de plaisir (et tant pis si ce n'est pas renardien).
Le ton neutre est définitif. Je n'ai pas encore trouvé les mots pour l'expliquer, pour le justifier. Mais je ne veux pas prendre parti. Il risque surtout de devenir monotone sur la durée, nous verrons.
Je pense aux personnages et je me dis qu'ils resteront mon point faible. Impossible de leur donner vie. Ils sont comme autant de grains de sable dans mes rouages. Dans le chapitre un, particulièrement, je les trouvais "gamin".
On s'imagine difficilement les hésitations qui me prennent pour ne serait-ce qu'un point d'interrogation. D'exclamation, n'en parlons même pas. S'ils peuvent gesticuler, je passe leurs phrases au compte-gouttes.
L'attitude des personnages est particulière à chimio' mais cette attitude "naturelle", que Zara' m'a souvent soulignée et qui ne s'est pas améliorée avec le passage du guerrier au civil, est devenue la norme chez moi.
Je prendrais plaisir à expliquer en quoi le cuirassé est une blague mais ce n'est pas pertinent pour le texte. Alors je me contenterai d'une anecdote.
Le cuirassé passe aujourd'hui pour un archaïsme. Il n'est pas envisageable d'en déployer de nouveau. Idée que le missile surpasse le canon, pour caricaturer.
La même chose est arrivée au terrestre, avec l'idée que le char, et son canon qui ne tirait pas bien loin, était une espèce en voie de disparition. Certaines armées avaient donc parié sur les seuls blindés légers (environ 10mm contre les 690mm d'un vrai char). Ces pays (je pense au canada) sont entrés en guerre.
Ils ont racheté en urgence des bataillons de chars.
Je n'ai pas choisi un cuirassé pour rien. C'est quelque chose de dépassé, qui n'a plus sa raison d'être, sur lequel tout le monde crache. Il est vraiment, dans chimio', le symbole de l'humanité.
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- Monthy3
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Tu m'ôtes les mots de la bouche !Cela ne se voit pas mais je ronronne de plaisir (et tant pis si ce n'est pas renardien).
En fait, nous verrons surtout si tu parviens à donner à tes personnages une vie supérieure à celle que leur confèrent quelques répliques seulement. Pour le moment, c'est très bon parce que nous en sommes au début, que tes personnages ne sont pas forcément ceux qui comptent le plus (tu as bien dit toi-même que le "personnage" principal de ce chapitre était le navire, ce que je trouve juste).Il risque surtout de devenir monotone sur la durée, nous verrons.
Justement, je connais bien cette anecdote et c'est pourquoi je ne sous-estimais pas du tout le cuirassé lors de ma lecture. D'où le fait qu'il ne m'a pas paru médiocre, simplement intriguant, notamment par rapport à la suite des événements.La même chose est arrivée au terrestre, avec l'idée que le char, et son canon qui ne tirait pas bien loin, était une espèce en voie de disparition. Certaines armées avaient donc parié sur les seuls blindés légers (environ 10mm contre les 690mm d'un vrai char). Ces pays (je pense au canada) sont entrés en guerre.
Ils ont racheté en urgence des bataillons de chars.
Je profite aussi de ce post pour évoquer très brièvement ce qui m'a gêné dans le chapitre 3 : le début du texte est assez confus quant aux forces en présence. J'avais du mal à distinguer les bataillons et les camps. En avançant dans le texte, tout s'est éclairé, mais cela m'avait quelque peu freiné.
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- Zarathoustra
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Donc on a un chapitre où il ne se passe rien. On a tout au plus 3 perso puis ce bateau. Ces installations. Tu nous jettes dans la figure ces masses de métal, pour nous dire qu’en gros que tout est une erreur. Qu’à la limite, ce bateau n’existe pas.
Par contre, j’ai un peu eu du mal avec les tournures de phrases. Beaucoup me semblent lourdes ou artificiellement compliquées. Si bien que j’ai un peu décroché car j’avais envie de reprendre le style, couper des phrases, déplacer des mots. Et puis, la ponctuation n’est toujours pas parfaite.
L’exercice n’était pas simple. Développer aussi longtemps une description minutieuse à en devenir absurde comme principal fil rouge du chapitre, c’est un vrai défi. Mais il me semble que l’exercice est un peu forcé. Il lui manque de spontanéité. Alors on suit la description, ça monte, ça tourne ou ça descend, mais tu finis par nous perdre un peu.
Tu as, semble-t-il, chercher un ton « neutre ». Je pense que ce ton neutre s’accompagnerait mieux de structures plus simples.
Exemple :
-> Après une vingtaine de prises, il lui fit prendre un autre couloir et monta dans un ascenseur qui les emmena 7 étages plus haut.Après une vingtaine de prises, il lui fit prendre un autre couloir, jusqu’à un ascenseur dans lequel ils grimpèrent sept étages.
?Le long de la coque, dont on lui décrivait le blindage, se trouvaient (il y a en plus une répétition du verbe juste après) seize emplacements vides, destinés aux tourelles d’autocanons.
-> Puis, on lui décrivit le blindage de la coque : on y voyait etc.
Ce sont des suggestions mais tu gagnerais en fluidité. En gros, j’éviterais au maximum des structuré avec des « dont » ou « de laquelle » qui compliquent beaucoup les phrases.
Du coup, j’ai pas été emballé par ce premier chapitre. Je ne l’ai peut-être pas lu dans de bonnes conditions (entre midi et 14h au resto…), mais il m’a paru assez confu au final, en grande partie à cause du style. Donc on verra sur la suite.
Par contre, le titre est pas mal, intrigant.
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- Vuld Edone
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Je n'ai plus le contexte des phrases en tête.
Je corrigerais plutôt en "après vingt prises, il lui fit prendre un autre couloir, puis un ascenseur pour grimper sept étages." Ce qui montre au contraire trop de spontanéité dans l'écriture.
Me connaissant, je suis en train de me demander qui est ce "il". Arnevin, pas sûr...
Comme pour la seconde : "la coque creusait dans son blindage seize emplacements pour les tourelles d'autocanons". En fait, je préfère ma phrase ponctuée. Ici, dire que ces emplacements sont vides est incongru. Le blindage est traité par Arnevin, c'est Rhages qui demande pour les autocanons. Rhages le voit vide, Arnevin le voit plein. Non, ma phrase correspond beaucoup plus au dialogue que je leur imagine.
Si je devais comparer mon écriture à un angle de caméra, celui-ci virevolterait de haut en bas et de gauche à droite avec une image floue. C'est certain. Mais j'ai l'impression - faussée, c'est certain aussi - que je ne pourrais pas corriger mes phrases, d'un mot, sans corriger l'ensemble du paragraphe, du passage voire du texte.
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- Zarathoustra
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La question primordial eserait plutôt: est-ce primordial de saisir cette nuance pour la compréhension en profondeur de ton texte? De grands auteurs ne sont pas forcément super précis quand ils emploient des "il". Il ma'rrive de me poser la question. C'est pas pour autant la débandade.Me connaissant, je suis en train de me demander qui est ce "il". Arnevin, pas sûr...
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- Vuld Edone
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Mais ça, c'est pour le problème de fond. Pour la forme, je ne peux rien faire. Je compte écrire avec ce "ballottement de la caméra". C'est au fond d'assurer suffisamment de cohérence pour que la forme passe.
Parce que même si je vais l'améliorer, cette forme ne doit plus changer.
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