[Décembre 2009] La chasse au phoenix - Feurnard
il y a 14 ans 2 mois #16539
par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re:[Décembre 2009] La chasse au phoenix - Feurnard
Feurnard, tu as fait un très beau texte sur le fond.
Maintenant, fouillons un peu. Le départ me parait un peu laborieux. Le terme n'est pas tout à fait adapter. Disons que tu le lances sans vraiment capter le lecteur alors que tu avais le potentiel de t'amuser avec cette fameuse quête, de surpendre le lecteur et de jouer encore plus avec ta symbolique. Tu aurais en outre put développer les cins d'oeil avec notre communauté, notamment sur un univers commun plus "imaginaire".
Au départ, on te sent un peu piéger par ton dispositif narratif en voulant présenter tes différents personnages. D'ailleurs moi-même je m'y perdais un peu. Du coup, c'est un peu redondant, et à vrai dire un peu austère. C'est le mot que je cherchais: austère. Alors que tu as tout pour rendre cette montée plus palpitante.
Puis peu à peu, pour ma part, j'en commencer à piger le truc et où tu voulais en venir (en fait dès que le titre, je me doutais que tu allais écrire sur nous, mais j'avais du mal à m'y retrouevr). Peu à epu également, j'ai iddentifié qui était qui (bon, je me suis immédiatement douté que 'jétais le vieillard
).
Le récit bascule en fait dans la 2eme moitié. Et encore plus dans le dernier quart. Car àon arrive pas complètement à s'intéresser à cette quête car on sent qu'elle ne t'intéresse pas non plus. Par contre, une fois que la petite communauté s'arrête et allume le feu, il se passe quelque chose. Mais je crois que même là, il manque une petite étincelle. Cette étincelle, tu l'as sur ton dernier quart car on sent une émotion, une certaine mélancolie. A vraie dire, sans trop pouvoir te l'expliquer, peut-être parce que je suis partie prenante de ton récit, on sent un grand respect sur ce que tu cherches à exorimer, beaucoup plus que dans ton démarrage. Ma foi, je trouve également que tu nous as bien "croqué" (y compris toi même, et connaissant ton habitude à te dévaloriser, j'ai tout de suite su qui te étais ), à la fois avec un certain humour mais aussi avec un respect.
La fin m'a touché car tu as exprimé ce que je resentais depuis longtemps. Je dois avouer que je te voyais te démener ici, écrire, lancer des sujets, alors que notre petite communauté était de plus en plus moribonde. Et j'aurais voulu m'associer à ce que tu lançais avec tant de ferveur et voir à chaque fois ces trucs tomber alors que les idées étaient bonnes me faisait un peu mal pour toi. Seulement, je sais que je ne retrouverais certainement plus le temps dont je disposais il y a .. il y a... finalement bien longtemps...
Au final, je dirais que ton récit repose sur une ecellente idée. En fait, c'est un texte que j'aurais finalement eu plaisir à écrire avec toi. Le mieux que je pourrais faire, ce serait de le réecrire (si j'avais le temps) non pour te critiquer mais pour donner vie à ce que ton texte à fait naitre en moi. Car tu as réussi à pluseiur reprises à me donner envie de te répondre, de travailler sur ce que tu as suggeré. Un texte qui serait une variation du tien sur mon imaginaire des chroniques.
En tout cas, c'est tout à fait ce que je voyais comme texte où nous pourrions développer notre truc. Seulement c'est un petit peu là où il y a un manque car la partie "imaginaire" me parait insuffisante, mais chacun a "sa" vision des Chroniques.
Mais tu as par contre très bien exprimé la blessure du renard et j'espère qu'il arrivera à se soigner dans un prochain récit... En tout cas, j'aimerais le lire un jour...
Voilà, j'ai finalement pas trop parlé du texte en lui-même, mais de mes impressions. Encore une fois, je sais pas si ça t'aura servi.
Maintenant, fouillons un peu. Le départ me parait un peu laborieux. Le terme n'est pas tout à fait adapter. Disons que tu le lances sans vraiment capter le lecteur alors que tu avais le potentiel de t'amuser avec cette fameuse quête, de surpendre le lecteur et de jouer encore plus avec ta symbolique. Tu aurais en outre put développer les cins d'oeil avec notre communauté, notamment sur un univers commun plus "imaginaire".
Au départ, on te sent un peu piéger par ton dispositif narratif en voulant présenter tes différents personnages. D'ailleurs moi-même je m'y perdais un peu. Du coup, c'est un peu redondant, et à vrai dire un peu austère. C'est le mot que je cherchais: austère. Alors que tu as tout pour rendre cette montée plus palpitante.
Puis peu à peu, pour ma part, j'en commencer à piger le truc et où tu voulais en venir (en fait dès que le titre, je me doutais que tu allais écrire sur nous, mais j'avais du mal à m'y retrouevr). Peu à epu également, j'ai iddentifié qui était qui (bon, je me suis immédiatement douté que 'jétais le vieillard
).Le récit bascule en fait dans la 2eme moitié. Et encore plus dans le dernier quart. Car àon arrive pas complètement à s'intéresser à cette quête car on sent qu'elle ne t'intéresse pas non plus. Par contre, une fois que la petite communauté s'arrête et allume le feu, il se passe quelque chose. Mais je crois que même là, il manque une petite étincelle. Cette étincelle, tu l'as sur ton dernier quart car on sent une émotion, une certaine mélancolie. A vraie dire, sans trop pouvoir te l'expliquer, peut-être parce que je suis partie prenante de ton récit, on sent un grand respect sur ce que tu cherches à exorimer, beaucoup plus que dans ton démarrage. Ma foi, je trouve également que tu nous as bien "croqué" (y compris toi même, et connaissant ton habitude à te dévaloriser, j'ai tout de suite su qui te étais
), à la fois avec un certain humour mais aussi avec un respect.La fin m'a touché car tu as exprimé ce que je resentais depuis longtemps. Je dois avouer que je te voyais te démener ici, écrire, lancer des sujets, alors que notre petite communauté était de plus en plus moribonde. Et j'aurais voulu m'associer à ce que tu lançais avec tant de ferveur et voir à chaque fois ces trucs tomber alors que les idées étaient bonnes me faisait un peu mal pour toi. Seulement, je sais que je ne retrouverais certainement plus le temps dont je disposais il y a .. il y a... finalement bien longtemps...
Au final, je dirais que ton récit repose sur une ecellente idée. En fait, c'est un texte que j'aurais finalement eu plaisir à écrire avec toi. Le mieux que je pourrais faire, ce serait de le réecrire (si j'avais le temps) non pour te critiquer mais pour donner vie à ce que ton texte à fait naitre en moi. Car tu as réussi à pluseiur reprises à me donner envie de te répondre, de travailler sur ce que tu as suggeré. Un texte qui serait une variation du tien sur mon imaginaire des chroniques.
En tout cas, c'est tout à fait ce que je voyais comme texte où nous pourrions développer notre truc. Seulement c'est un petit peu là où il y a un manque car la partie "imaginaire" me parait insuffisante, mais chacun a "sa" vision des Chroniques.
Mais tu as par contre très bien exprimé la blessure du renard et j'espère qu'il arrivera à se soigner dans un prochain récit... En tout cas, j'aimerais le lire un jour...
Voilà, j'ai finalement pas trop parlé du texte en lui-même, mais de mes impressions. Encore une fois, je sais pas si ça t'aura servi.
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Modérateurs: San, Kundïn, Zarathoustra