Euh... donc c'est moi qui entame? lol
rhum.
Toujours de la même façon je ne suis pas critique. je donne donc juste mes sentiments sur le texte.
J'ai eu beaucoup de mal à comprendre le sens donné entre l'usine, les ouvrier, le patron. Beaucoup de mal à me sortir de la tête le schéma habituel et contemporain que l'on en a. Plus de mal encore à voir où tout cela allait nous mener.
j'ai eu tout autant de difficultés à me faire à ce mode de dialogue. Où le personnage principal ne parle jamais vraiment mais explique ce qu'il a dit. Alors que le personnage en face lui parle.
Et la naïveté ou l'ignorance, peut être bien les deux, qui caractérise le "héros" est presque déroutante.
Pourtant, plus on avance plus le personnage est attachant, plus on entre dans un monde nouveau. le petit passage sur l'espace visité nous oblige à enfin sortir du schéma du monde tel qu'on le connait.
C'est amené tout en douceur par un personnage charismatique par ses défauts qu'on qualifierait presque de bêtise à ce stade.
A la fin de ce texte je n'ai qu'une seule envie: lire la suite pour comprendre pourquoi j'ai l'impression d'un être neuf et conditionné qui, malgré son âge, ne connait rien. De savoir pourquoi il ne connait rien, de comprendre le mode de vie de cet autre monde.
Bref j'ai envie d'en savoir plus! Ce qui est, au final, le but je pense.
Dans la technique propre, certaines parenthèses explicatives ou ironiques m'ont dérangées. Elles donnent à mon sens un effet "msn" (on écrit comme on parle et même ce que l'on pense)qui fait brouillon.
ça correspond bien au personnage ceci dit. Mais ça m'a gênée.
La reliure est très très froide, mais elle est aussi, elle aussi, très douce.
cette phrase toute bête m'a obligée à la relire plusieurs fois. elle est aussi elle aussi... j'ai loupé le "est" plusieurs fois à cause de ce sentiment de répétition. ce qui m'a obligé à sortir du texte et à quelque peu couper ma lecture et de fait, l'ambiance.
Si le "elle aussi" fait bien référence à Alexandra, pourquoi dans ce cas ne pas tourner la phrase dans ce genre:
" La reliure est très très froide mais elle est malgré tout, aussi douce que celle qui m'a permis de la toucher" ?
C'était ma dernière lecture du soir (ou du matin vu l'heure x_x )mais je l'ai grandement appréciée.
Bonne continuation