file Au coeur de l'agonie

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il y a 11 ans 8 mois #18266 par sudhy
Au coeur de l'agonie a été créé par sudhy
** Ce sujet traite du contenu de l'article: Au coeur de l'agonie **

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il y a 11 ans 8 mois #18267 par Mr. Petch
Réponse de Mr. Petch sur le sujet Re:Au coeur de l'agonie
Le forum est calme en ce moment, mais un nouveau texte à commenter est toujours intéressant. Alors allons-y.

Au passage sudhy, n'hésite pas à venir te présenter sur ce sujetce sujet comme la tradition le veut.

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Alors... Ce qui m'a le plus dérangé dans le texte, c'est la déconnexion entre les deux parties, "à l'agonie" et "Maylee Twirkin". Je m'explique : la première partie vient présenter l'univers général. Fort bien : une terre à l'agonie, des habitants qui fuient pour une hypothétique Terre Promise.
Mais quand vient la seconde partie, j'ai la sensation que tout ce qui arrive à Maylee, la description du personnage, ses mésaventures, etc., pourrait très bien arriver dans n'importe quel autre monde, et c'est là qu'il y a un problème. Le fait de se trouver sur une terre à l'agonie n'a pas vraiment d'impact sur l'histoire, et du coup l'aventure de Maylee tourne assez vite au cliché adolescent. Maylee a des problèmes d'une ado de l'an 2012, pas d'une ado de la fin du monde, et cela donne l'impression d'un décor de SF plaqué sur une histoire sentimentale. Ce qui fait, même s'il s'agit surtout là d'une impression personnelle, que quelques incohérences apparaissent. Par exemple, j'ai du mal à concevoir que sur une Terre à l'agonie les conventions sociales et esthétiques (le physique Maylee, l'intégration au groupe) soient restées les mêmes. Ou alors il faut les mettre un peu plus en contexte.
Il y a deux seuls liens que l'on comprend à demi-mots et qui "contextualise" la seconde partie dans la première, et ils vont me donner l'occasion de te suggérer des pistes :
- Maylee fait plutôt partie de la classe dirigeante semble-t-il.

A l’abri de ce fléau horrifiant, vivait la famille bourgeoise des Twirkin.

Or, cet aspect là n'a finalement assez peu d'importance dans ce qui lui arrive, alors que, dans la première partie, le mensonge des dirigeants était une des caractéristiques suggérées de l'univers. A la rigueur, je serais plus intéressé par savoir comment la famille Twirkin fait pour être à l'abri, que par les hésitations adolescentes de l'héroïne. Ou alors que l'un ait un lien avec l'autre.
- tu suggères un mode de vie décadent, avec des rites sexuels un peu étrange (quoique finalement pas si éloigné des nôtres...), mais là encore sans trop développer. ça pourrait être une piste intéressant : donner davantage d'étrangeté à ces rites, peut-être insister sur l'organisation sociale de Solaris

Le contraste est d'autant plus fort que ta première partie est très explicative : elle aborde tous les sujets, comme si tu voulais te débarrasser dans un premier temps du contexte en dévoilant tout d'un coup au lecteur. Là, les informations sont trop nombreuses et viennent trop d'un bloc. Le style s'en ressent : dans cette première partie, les phrases manquent un peu de respiration, alors que tu arrives à en placer dans la seconde partie.
Une première partie cosmique, où le destin de la terre est en jeu, et une seconde partie assez égocentrée sur un personnage qui se soucie surtout de lui-même, et peu du monde extérieur qui nous aura pourtant été présenté en détail. Finalement, on se retrouve avec une première partie sans personnage principal énonciateur, où il est parfois difficile de se sentir impliqué, et une seconde partie trop centrée sur le personnage et où le contexte n'intervient pas vraiment. D'où le déséquilibre. Peut-être faut-il mieux cibler les explications données au départ, les réduire, pour mieux les réintroduire dans l'aventure de Maylee.

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Je finis sur les notes positives. Je trouve qu'il y a des passages intéressants, où tu arrives à faire respirer un peu plus les longues plages d'explication, par exemple en faisant intervenir le narrateur :

Et même si la chance souriait aux voyageurs, oui, ils auraient fui la planète de la mort mais… pour quelle genre de vie ? Vaudrait-elle le coût de la fuite ? Et vivre avec cela sur la conscience serait-ce même humainement possible ?


Là, j'ai l'impression que tu engages un style un peu différent, moins sec que ce qu'il y a autour. Même chose dans la lettre de Maylee à ses parents qui est une bonne façon d'introduire une écriture plus orale, et du coup plus vivante.

Mr Petch

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il y a 11 ans 8 mois - il y a 11 ans 8 mois #18268 par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re:Au coeur de l'agonie
Quelques comentaires:
Premier paragraphe: On al'impression de lire un résumé, je ne pense pas que ce soit une bonne chose de commencer ainsi une histoire. On veut pas un réusmé, on veut l'histoire. . Autre point qui renforce ce sentiment: tes phrases sont longues. Et évite les participes présents, c'est souvent source de phrases lourdes. J'avais lu dans un site littéraires qu'il fallait carrément les proscrire? je n'irais pas jusque là, mais depuis, qaund j'en utilise, je le fais sciemment et j'évite de les multiplier. Bref, pour être explicite:

Mais cela, à part les quelques intellectuels essayant tant bien que mal de se faire entendre et se faisant peu après exécuter pour avoir osé parler contre ce que les politiques avaient ordonné aux laboratoires de recherche de déclarer, tout le monde l’ignorait

.
Cette phrase concentre presque tout ce que je viens de dire.

Donc, moi je commencerais carrément par le 2eme paragraphe. Essaie du coup d'intriguer le lecteur en ne lui expliquant pas tout, et surtout pas tout de suite.Laisse deviner certaines choses. Tu as tout le temps pour "expliquer". Montre-nous carrément les choses à l'intérieur d'une scène visuelle du quotidien. Et fais nous nous poser les bonnes questions. Tu verras que tu arriveras à expliquer beaucoup de choses de manière plus douce et plus digeste.
En fait, je verrais même carrément ton texte commencer par une scène dans un centre d'euthanasie. Il faudrait que tu mélanges ta descripton avec une scène de vie. Cela dynamisera ton récit (qui du coup commence mollement). En l'état, c'est soit trop (donc à supprimer pour commencer directement sur Maylene) soit ps assez, et là il faut que tu développes vraiment davantage sous l'angle du vécu et en intriguant le lecteur sans forcément tout lui expliquer. Il vaut mieux que le lecteur en sache moins et qu'il ait envie d'en savoir davantage que tout lui donner ainsi et qu'il ne sache pas quoi en faire (ou qu'il oublie)


En fait ton histoire commence vraiment avec l'extrait du journal intime. Et là, il commence à se passer des choses intéressante. Ton héroîne a au déaprt un côté cliché, mais ce morceau de journal la rend beaucoup plus profonde que sa description. Juste une remarque: tu aurais dû aérer la présentation du journal. Là, d'un bloc, c'est un peu dur à rentrer dedans.

Donc, tu montres une capacité à décrire intéressante (Maylee notamment). Mais ce premier morceau me parait mal construit. Pars directement sur Maylee. Et comme le disait Petch, pour l'instant, le personnage n'est pas connecté à ta première partie, donc ça me fait dire que cette partie serait à quasi supprimer (ou du moins tu devrais repenser à ton histoire en te demandant comment faire rentrer ton personnage dans ton univers pour que tu puisses nous donner les informations que ton début contient sans les expliquer).

Donc difficile de te conseiller vraiment sans savoir où va ton récit, mais il y a de bonnes choses mais elle ne sont pas mise suffisamment en valeur et, surtout, il manque pour l'instant ce qui lancerait vraiment l'histoire dans sa s^écificité. Je retiens une background intéressant mais pas exploiter (ou de manière un peu ennuyeuse, même si les phrases sont dans l'ensemble bonne, ça manque de vie!!!) et une romance qui débute mais aucun lien entre les deux. Donc quand on termine ce chapitre, on est toujours en mode "j'attends de voir" et non "je veux lire la suite parce que ça y est, je suis accroché".

Bref, des maladresses que tu dois arriver à corriger en te mettant davantage dans la peau du lecteur, soit tu lui ouvres les yeux un peu plus pour intriguer pour qu'il voit plus loin, soit tu lui en mets plein la vue d'entrer (au risque de le décevoir ensuite). C'est le début de ton histoire, il faut la soigner.
Pour l'instant, j'attends de voir, il y a indéniablement un imaginaire prometteur, mais cet imaginaire n'est pour moi pas exploité. Et il y a un personnage qui a un bon potentiel si tu évites les clichés (là ce n'est pas toujours le cas, mais pas facile d'avoir une adolescente qui ne fonctionne pas comme une adolescente... ;) ). Tu es disons, sur le fil, il y a des choses qui t'en éloigne quand tu lui fais dire :"Me scarifier, cela m’apaise", et il y a des choses où tu t'en rapproches (la fuite avec Luke)

En tout cas, bienvenu! Au fait, Solaris, ce nom est une réference au film de Tarkovski ou de Soderberg ou un autre chose?

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il y a 11 ans 8 mois - il y a 11 ans 8 mois #18272 par Ignit
Réponse de Ignit sur le sujet Re:Au coeur de l'agonie
Bonjour à toi, d'abord, puisqu'il s'agit je crois du premier texte que tu présentes ici. Puisses-tu trouver de l'intérêt aux commentaires que nous faisons (et surtout, ne t'en offusques pas ; le but est simplement et toujours de t'aider à améliorer ton texte ,) ).

J'ai pris soin de ne pas lire les critiques de mes camarades histoire de ne pas être influencé par leurs opinions, aussi voici, sans ordre particulier, mes commentaires sur ton texte.


Première remarque, après lecture du texte : celui-ci est divisé en deux sous parties, chacune ayant un titre en gras. Bon. Ma première question serait : pourquoi ces deux sous-parties ? Suivi immédiatement de : une suite est-elle prévue ?
Si je m'interroge ainsi, c'est d'abord parce que la fin est très abrupte, et surtout qu'elle ne semble rien accomplir. Et du coup, je ne comprends pas l'intérêt de la première partie. Tu plantes un univers dans une première très (sans doute trop) descriptive (1) ; après cela, tu passes sur une histoire plus personnelle, d'une jeune fille dans cet univers... sans te servir de l'univers ! (2).


(1)
Le premier problème concerne à mon sens toute la première partie "A l'agonie" : c'est écrit de manière très impersonnelle, très distante, un peu à la manière d'une quatrième de couverture. C'est un problème d'abord parce que ce n'est en soi pas très passionnant à lire, mais surtout parce qu'on ne se sent pas concerné ! Le début d'un texte est important car il implique de happer le lecteur, lui donner envie de lire ton texte en entier et d'en vivre les enjeux. Là, tu nous décris une situation dramatique, et même apocalyptique, mais on ne se sent pas concerné parce que cela donne l'impression d'un résumé sorti de nulle part ! Je comprends parfaitement qu'il faille planter l'univers, en montrer les tenants et les aboutissants, mais il faut intégrer cela dans une logique de récit. Dans toute la première partie, tu ne nous racontes pas vraiment une histoire. Du coup, on n'est pas impliqué et on passe un peu à côté de tout ça.

Comment remédier à cela ? Garde cette description, garde cet univers, mais intègre tout cela à un récit ! Mets déjà en place un personnage (que ce soit la fille de la suite ou un autre !) qui vive dans cet univers et qui en voit la dégradation ! Si l'univers nous est décrit par son biais, le désespoir par son expérience, on va tout de suite se sentir beaucoup plus proche de ce monde à l'agonie.


(2)

Après nous avoir décrit ce monde, tu réduis le champ et nous présentes ce qui sera, je suppose, le personnage principal. Une jeune fille, avec ses problèmes, etc.. La partie en elle-même a sans doute des choses à améliorer, mais mon principal problème c'est que je ne vois pas le lien avec la première partie... Oh, effectivement, tu nous dis d'abord que ça se passe dans le même univers, mais à part la mention d'un pilote spatial, qui nous indique un univers un peu futuriste, rien dans la deuxième partie ne me semble rappeler la première au lecteur. Pourquoi élaborer tout un univers si ce n'est pas pour le réutiliser ensuite ? Je veux dire, concrètement, ce qui se passe dans la deuxième partie peut être placé dans n'importe quel univers, y compris le notre, sans rien changer (si ce n'est la référence au pilote spatial).
La fin abrupte gêne aussi un peu, d'autant qu'il n'y a pas de mention "à suivre" ; on ne sait pas trop où on en est. Si une suite est prévue, cela expliquerait l'absence de référence immédiate à l'univers présenté : tu en prépares pour la suite. Mais dans ces cas-là, le découpage pêche. En tant que lecteur, j'ai lu tout le résumé en me demandant quand ça allait commencer, j'ai commencé la lecture de la deuxième partie en me disant "ah, on va enfin mettre pied dans ce monde", pour être abandonné devant une fille fuyant devant un type lui ayant fait un compliment. Bon. C'est un petit peu frustrant. ;p


Ceci étant dit, des remarques en vrac sur le texte :

- La première partie joue entre plusieurs tons et on peine à s'y retrouver. Par moments, tu décris simplement. Par moment, le narrateur fait quelques réflexions. On ne sait pas trop où donner de la tête.

- L'histoire de la fille est un peu... perturbante. En soi, c'est une histoire classique de "bullying", avec la fille incomprise qui se réfugie dans les livres, etc.. Pourquoi pas, mais encore faut-il le rendre passionnant ! Tant que tu restes sur un fil conducteur maigre comme celui-ci, j'avoue avoir un peu de mal à suivre ce personnage et à compatir avec sa souffrance, parce que celle-ci fait un peu "déjà vu". Le seul twist, à la fin, c'est sa fascination pour sa souffrance. Avant ça, on suit un peu les déboires en sachant ce qui va suivre. La lettre, particulièrement, me pose problème. D'abord, parce qu'une lettre d'une jeune fille en mal de vivre, ça n'a rien de très exaltant, mais surtout parce que la lettre ne nous apprend rien ! Ce qui est dit dans la lettre, tu nous l'a fait comprendre auparavant. Fais de la lettre ton point de départ, ou mentionne simplement une lettre, mais si tu nous décris son état, puis nous redit la même chose via un média différent, c'est un peu redondant.

- Il y a un twist, comme je l'ai mentionné. Mais on ne sait pas à quoi il sert. Encore une fois, je vais supposer qu'il y a une suite mais il y a vraiment un problème de découpage. Tu commences par une description de l'univers, qui ne sert pas dans la suite de ce texte. Puis tu décris l'état de cette petite fille malheureuse et maltraitée, avec une mention au début de son plaisir coupable quant à l'idée que tout le monde meurt, puis le détail de sa fascination pour son sang et sa douleur, et tu enchaînes sur elle, adolescente, en proie à des envies sexuelles, qui s'enfuit devant un type. Du coup, à la fin du texte, je me demande un peu où tu veux en venir...

Détails :

Cent ans... Voici le temps qu'il restait à la totalité de la vie humaine pour fuir la planète Terre. Après, il n’y aurait plus aucun vol intergalactique assurant la liaison entre la Voie Lactée abritant la Terre et la Voie Cloutée, galaxie découverte par les hommes il y a quelques centaines d’années dont Céomède assurait l’équivalent du Soleil mourant de la Voie Lactée.


Hmm, je ne suis pas sûr de comprendre tout cela. Deux galaxies différentes, soit, mais dans la Voie Lactée, il y a des millions d'astres solaires... Si Céomède est l'équivalent de quelque chose, c'est l'équivalent du Soleil de la Terre, alors, pas du Soleil de la Voie Lactée. :o Ou alors, je n'ai pas compris quelque chose.

Je ne pige pas aussi l'histoire du "dans mille ans tout le monde meurt alors il ne reste plus que cent ans pour partir". S'il y a mille ans avant "l'apocalypse", pourquoi faut-il partir si tôt ?

Et vivre avec cela sur la conscience serait-ce même humainement possible ?


Grammaticalement, ça ne va pas. Soit tu mets une virgule après "conscience", soit tu remplaces "serait-ce" par "serait-il".

A l’heure qu’il est, il ne restait qu'approximativement cinq-cents mille terriens


Tout le texte est écrit au passé, à l'exception de ce "à l'heure qu'il est", il y a un problème dans la concordance des temps (l'expression elle-même renvoie trop à une idée de "présent").

afin de récolter jusqu’au dernier centime quelques pièces de monnaie nécessaires à un hypothétique mais tant espéré voyage.


"jusqu'au dernier centime quelques pièces de monnaie" me pose un problème de compréhension. :o

Bref, tout le kit indispensable pour vivre 1h ou 2 de plus que le reste de la masse lorsque le Soleil aura entamé la phase meurtrière de son extinction.


De manière générale, mieux vaut écrire les nombres en toutes lettres. ,)


Cordialement,

Ignit.


Edit :

Tiens, j'avais oublié, mais je suis un peu dubitatif également sur le jeu des enfants. C'est un jeu excessivement sexuel, sans rien pour le masquer, un jeu qui fait très "ado" et pas du tout "enfant de 8 ans". Un enfant de 8 ans n'a pas une sexualité développée du tout. Il y a certes des jeux qui ont des connotations (ex. : jouer au docteur), mais ça ne fait qu'avoir des connotations, que l'on lit en tant qu'adulte alors qu'on s'en rend à peine compte en tant qu'enfant. Donc soit le jeu me semble très étrange et déplacé, soit tu en es conscient et l'idée est de montrer une dérive de la société vers une sexualité de plus en plus précoce, mais là ça me semble même un petit peu exagéré (encore une fois, au niveau développement physique et psychologique de l'enfant, ça ne colle pas vraiment).

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il y a 11 ans 6 mois #18320 par Demosthene
Réponse de Demosthene sur le sujet Re:Au coeur de l'agonie
Je ne vai pas commenter de façon extensive, je manque un peu de temps pour ça, mais quelques points toutefois

- Bienvenue ici, c'est probablement le point le plus important. Bienvenue.

- Tu as posté un texte, très bien, continue :)


Sur le texte maintenant

Dans l'introduction (qui a eu aussi pour moi des allures de résumé, c'est dommage), tu parles d'une galaxie. N'y a t-il pas confusion entre Galaxie et Système planétaire ? Dans Science-fiction, attention, il y a Science :)

J'ai relevé la même phrase que Zara "Mais cela, à part les quelques intellectuels essayant tant bien que mal de se faire entendre et se faisant peu après exécuter pour avoir osé parler contre ce que les politiques avaient ordonné aux laboratoires de recherche de déclarer, tout le monde l’ignorait."

Tu m'as perdu dans cette phrase. Et c'est un peu symptomatique du texte. A revoir donc.

Ensuite, je me suis enfoncé dans le texte. Il y a des soucis de temps (particulièrement visibles dans le paragraphe "Un de ses souvenirs les plus marquants..."

Un soucis de positionnement du narrateur aussi, parfois inexistant, parfois prenant par à la scène (avec un "nous..." ou interpellant le lecteur "n'allez pas croire"...). Je n'ai pas accroché. Mais Mr.Petch lui, ça lui a plu. Pas de vérité établie donc ici.

Ah oui... Un astro-pilote qui s'appelle Luke... Luke... Surtout écrit comme ça... :)


Dernière chose : A quand la suite ?

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