Zarathoustra - Mai 2004
- dude
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« Les deux révélations ». Effectivement, le titre n?est pas mensonger soit vous relisez toute l?histoire (ce que je vous encourage à faire) soit vous pouvez toujours consulter le post consacré à ce récit dans la rubrique « Travaux d?écriture » qui présente entre autre un résumé.
Si vous n?avez pas encore lu le chapitre, arrêtez ici la lecture de cette critique au risque de voir les révélations dévoilées?
Première remarque, le style est toujours égal à lui-même et au bout de 7 chapitres, il n?a pas baissé. D?ailleurs, quand on relit l?histoire, il n?y a pas de chapitre plus faible qu?un autre?
« Retrouver Grienlyce et découvrir sa réaction en me voyant sera mon premier test ».
Cette phrase m?a un peu interloqué car il me semble que dans le chapitre précédent, Allarielle avait déjà revu son amie?Je me demandais aussi si il y avait un lien avec la Grienlyce de ton autre récit « La voie du maître Tao Lin » ?
Le début de ce chapitre illustre la profondeur que tu as apportée à ton héroïne. A chaque nouvelle màj, on découvre un peu plus sur Allarielle, de la même façon qu?elle se découvre elle-même. La berceuse et ce côté enfantin refoulé par Allarielle sont autant de faux indices qui empêchent le lecteur d?être prêt à encaisser le choc des révélations sanglantes qui vont suivre !
« Soloris est une elfe noire ! »
Si cette première phrase fait l?effet d?un électrochoc, la suite n?est pas en reste ! Puisque Allarielle se révèle elle aussi être une elfe noire ! D?ailleurs, c?est aussi une révélation pour Allarielle elle-même qui l?ignorait jusqu?alors. Pourtant je n?ai rien vu venir alors que les indices (Slaanesh bon sang !) étaient évidents ! Pas très concentré sur ce coup là le Dude C?est aussi à cause du fait qu?on présente toujours les elfes noirs comme un peuple différent des hauts elfes alors qu?ils sont issus du même peuple et que c?est justement à cause du culte de Slaanesh que les elfes noirs ont vu le jour !
La scène culmine en intensité dramatique avec l?assassinat de cette pauvre Treviline par Allarielle ! Cette fois, l?histoire a vraiment basculé?
J?ai particulièrement apprécié tout ce passage, surtout que le choc de cette révélation se répercute douloureusement sur le tragique passé de Treviline, dont le visage porte encore la marque de cette dure épreuve. Tout cela rend la scène très émouvante, surtout après avoir autant insisté sur les liens d?amitié très forts qui unissaient les trois elfes !
Tiens, ça me donne une idée quant à l?origine du titre de l?histoire, d?ailleurs Allarielle le dit elle-même à propose de Treviline « Toujours tu continueras de vivre en mon sein » et même « combien elle a laissé son empreinte en moi ». Ainsi, on peut penser que les trois elfes finiront en quelque sorte réunies en Allarielle et ses souvenirs comme l?expliquent les notes du traducteur? D?où les trois noms d?Allarielle : Soloris, Treviline, Allarielle. Pas mal non ?
« Je n?ai pas beaucoup pensé à mon amie durant toutes ces décennies ». C?est un détail intéressant qui indique au lecteur que les évènements relatés par Allarielle sont finalement assez anciens et qu?Allarielle n?est pas à proprement parler une toute jeune elfine (c?est un point sur lequel je n?étais pas très sûr jusqu?à ce que Zarathoustra en parle sur le forum, là au moins, on est fixé )
Sinon, j?ai repéré une mini erreur, quand Treviline s?exclame « Soloris est une elfe noire ! », ne s?agirait-il pas plutôt d?une elfine noire ? A moins que le mot « elfine » ne soit employé que par le traducteur ?
En tout cas, c?est un très bon chapitre et je trouve que l?histoire devient plus captivante au fur et à mesure. Bien sûr, ce récit ne m?accrocherait pas autant sans la finesse des descriptions des états d?âme d?Allarielle qui nous amène avec elle dans les méandre de sa mélancolie, de son désespoir parfois mais aussi de ses joies et ses amours. Bravo !
dude
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- Dvzk
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le texte est écrit petit, mais il est très aéré, et on a tout de suite envie d'en savoir plus...
le préambule est....tout à fait inutile en fait...on ne sait pas trop ce que tu voulais y dire....mais tu l'as dis c'est l'essentiel...
on trouve un peu plus de fautes d'orthographe (qui a dit d'inattention?) que dans tes autres textes, rien d'alarmant bien entendu, c'était juste une remarque fortuite
On y retrouve dès le départ ns deux amis snotlings et les furies (tiens...ça me rappelle un texte présenté pareil ça...)
bon, pour en revenir à l'orthographe, parce que c'est au moins la cinquième fois que je le trouve en lisant...y'a pas de E à la fin de ennemi...
on dit ennemi, pas ennemie quand on en parle en général...
pour conclure..un texte bien écrit (sauf les fautes, qui étaient bien plus nombreuses que ce que j'aurai imaginé)
mais qui manque cruellement de la profondeur que Zara a donnée par exemple aux trois noms d'Alarielle...
je suis un peu déçu...
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- Zarathoustra
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L'autre objectif était malgré tout de ne pas rester à la surface des choses, que les personnages existent, qu'une toile de fond existe, bref que certains éléments dpéassent le caractère "exercice de style", mais sans être très ambitieux pour autant. Que ce soit facile à lire par tous. A vous de me dire. D'autant que la suite n'est pas vraiment écrite...
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- Dvzk
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revois ça....
Ensuite, le texte s'éclaircit et les fautes disparaissent (sauf les confusions ces/ses) ...c'est une bonne chose.
On retrouve la profondeur habituelle des pensées d'Alarielle, tout en remarqunt curieusement les similitudes de prénoms
entre tes deux textes...manque d'inspiration ou lien? est-ce le même personnage qui deviendra plus tard une furie?
l'action est beaucoup plus hachée, beaucoup plus disloquées que dans les autres chapitres, et la compréhension en pâtit un peu...
Alarielle parle de quelque chose, repart sur autre chose et revient à son sujet initial..
Les elfes noirs font leur première apparition en tant que personnages....mais ils n'ont pas été du tout annoncés, il n'y a pas à cela de préparation, et ça fiche un sacré choc en fait...
on se demande vraiment ce que tu entend par elfe noir...pas la Race de Naggaroth, je me doute bien...mais "elfe noir" désigne normalement une affiliation à ces familles de pirates, pas à un caractère de meurtrier....
de plus la fin est très ambigue....c'est fini ou y a t'il une suite?
ça pourrait finir là, mais il manquerait alors un mot de la fin par le traducteur....j'en déduis qu'il y aura une suite, mais quelle sera t-elle?
je ne le sais ni.....et que Dieu nenni
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- Zarathoustra
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Résumé du résumé de Dude:
C'est l'histoire d'Alareille (ou Allariel mais c'est la même, ça dépend de mon humeur...), donc dans l'histoire, il y a une certaine Allarielle (c'est la même que les deux précédentes...)
Elle a un copain: Kaerion, quand je dis copain, ils sont vraiment super copain, si vous voyez ce que je veux dire...
Elle avait 2 gentilles copines: Soloris qui a été engrossée par un malotru ou un gentleman (on sait pas trop) et Treviline qui décède prématurément, mince, pas de chance, elle était super gentille. Mais tout ça, c'était il y a lontemps.
On découvre une connaissance qui est dans son histoire au présent: Grienlyce. On sait pas grand chose sur elle sauf qu'elle a l'air intelligente et dégourdie...
Et pis c'est tout!
Voili voilou! Je tourne avec ça depuis 7 chapitres! Ca va? C'est plus clair pour les étourdis?
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- dude
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Ce texte m?a quelque peu dérouté tant il est éloigné des thématiques des Trois Noms d?Allarielle. Ce qui fait que j?ai eu tendance à lire ce récit plus comme une récréation/exercice de style entre deux chapitres d?Allarielle que comme un « vrai » récit de Zarathoustra.
J?ai trouvé que l?histoire manquait de partis-pris tant sur la forme que sur le fond, et je crois que j?ai ressenti ce manque d?originalité en grande partie à cause de son ancrage très fort dans le monde de warhammer et aussi à cause de la comparaison inévitable avec «les trois noms d?Allarielle ».
Toutefois, le texte a des qualités indiscutables. L?introduction mettant en scène Petit Louis (presque plus un hobbit qu?un humain, si ce n?est ses compétences à l?arc ) est très réussie, que ce soit l?impression de danger qui plane sur tout le passage ou la joie de l?éclaireur à se fondre dans la nature.
Il y a quand même des éléments originaux et intéressants, notamment le mystère qui plane autour de l?armée de La Main de la Justice, les Draags, et j?ai bien aimé le coup de la furie Dolorès (!) qui sait surmonter la douleur (!), ce qui explique par la même occasion la signification du titre de l?histoire. Je suis plus partagé concernant le strabisme dont est affligé l??il de Dieu car ce détail plein d?humour affecte le côté héroïque du personnage.
L?opposition furies/bretonniens, si elle tient plus de l?escarmouche que de la bataille rangée, est bien décrite et l?idée de rendre les bretonniens autant frénétiques que les elfes noirs apporte un plus indéniable, même si je vois plus les furies se battrent jusqu?à la mort plutôt que de se rendre.
Je pense que le reproche que je ferais à ce récit concerne son intrigue qui n?est pas encore très claire, et le rassemblement d?autant d?armées (même si on ne fait que les mentionner pour l?instant) renvoie un peu au scénario de campagne à grande échelle.
J'attends la suite pour me faire une idée plus précise...
dude
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- Anonymous
Soloris => Solaris de Stanislas Lem ?
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- Zarathoustra
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Lorindil, tu auras compris que je te taquinais...
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- Anonymous
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- Kundïn
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Le texte compte un peu trop de fautes d'orthographes ! Il n'en est pas rempli, mais il y en a suffisamment pour que cela soit noté et gêne quelque peu la lecture... Surtout les participes passés confondus avec les infinitifs ! Arghhh... A part ça une faute récurrente chez beaucoup d'auteurs : on dit que quelqu'un est sensé lorsqu'il est avisé, intelligent, plein de bon sens... mais par contre rien à voir avec le mot "censé" qu'on utilise lorsque l'on dit que quelqu'un est censé faire quelque chose... Voilà pour l'orthographe.
Le texte en lui même se serait bien passé de ce préambule assez maladroit et volontairement flou. Comme entrée en matière c'est pas terrible et je dois dire que ça ne donne pas envie de lire la suite... Ce qui est dommage étant donné que le texte en lui-même m'a bien plu. Petit-Louis et son groupe d'éclaireurs fournissent une introduction au texte tout à fait valable et plutôt originale. Les personnages collent à leur background et l'univers de Warhammer est parfaitement illustré, et l'on sent que l'auteur se l'approprie pour en tirer le meilleur. Les personnages des furies sont peut-être un brin trop concilliantes mais cela s'inscrit sans doute dans un plan plus vaste.
Le style est assez plaisant, fluide et aisé, laissant une bonne place à la psychologie des personnages. Les combats ne sont pas lassants, et l'on a envie de connaître la suite, et ce tout au long de la lecture (sauf le premier paragraphe mais je me répète).
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- Kalth
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Ce que je nŽai pas aimé tout dŽabord : le prologue, qui me laisse plutôt indifférent, tu en fais soit trop soit pas assez, un peu á la maniére du film "chevalier", qui tente dŽallier parodie et grands sentiments.
Les furies ! Je dois être emrpis dŽun carcan GW, mais je les vois pas du tout comme ca. Je sais bien que libre á lŽauteur de recréer tt persos, mais des furies qui négocient, se rendent, font des sentiments... ben berk.
Je préfère largement la vision psychopate qui leur donnent une vraie personalitée.
Mais surtout, jŽai été très décu par la fin. Le coup des hommes qui se mettent á rire et limite a fraterniser alors quŽil viennent de combattre de véritables démons ( avec la dimension psychologique de la tentation qui rend le combat tellement plus dur qu Žun autre), vraiment je trouve ca...
en fait, pas digne de ce que je te crois capable de faire.
Ce qui mŽa plu : La premiére partie et lŽapproche de lŽeclaireur, bien faite, background sympa.
Le capitaine, contrairement á Dude je crois, jŽaime beaucoup lŽidée de lŽoeil déviant, qui rend tout a fait humain et personnalise cet homme qui pourrai être un capitaine comme 1000 autre dans 1000 autres histoires. Ca cŽest vraiment bien. Mais á mon goût, tu saborde cet interêt en faisant rire tout le monde de ce défaut... dommage!
Tu me pardonnera mon manque de tact, je suis réputé pour pas être tendre en critique ?
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- Elfiriond
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Alarielle:
Bon, c'est dans la veine des chapitres précédents.
Mais la lacitude me gagne un peu. Manque de rebondissement assez fort dans ce chapitre, mise à part la question elfes noirs.
J'ai été moins interessé donc. Mais ça reste très bon et impressionant!
Elfi
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- Zarathoustra
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Elfiriond écrit: J'ai pas lu les autres critiques
Alarielle:
Bon, c'est dans la veine des chapitres précédents.
Mais la lacitude me gagne un peu. Manque de rebondissement assez fort dans ce chapitre, mise à part la question elfes noirs.
J'ai été moins interessé donc. Mais ça reste très bon et impressionant!
Elfi
Ton argument est curieux car c'est sans doute le chapitre dans lequel il y a le plus de rebondissements (les 2 révélations, un meurtre, une annonce de départ)! Par le passé, il n'y en avait aucun de cette nature. Pour ce qui est de la assitude, je te peux comprendre, mais je pense que tu donnes là certainement de mauvaises raisons, la lassitude provient certainement d'autres choses, et ce serait justement ce qui m'intéresserait de connaître.
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- Elfiriond
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En fait, je ne sais pas si c'est de la lassitude ou de l'antipathie pour Alarielle (le personnage) ^_^
Après tout, rien n'est réellement fait pour la rendre sympatique au lecteur.
Enfin, voilà, j'ai vraiment lu ce chapitre de façon plus froide. Le passage où elles s'échangent leur robe pour rentré dans la peau de l'autre, j'ai trouvé ça un peu cliché.
Le meurtre m'a laissé de glace, et j'ai absoluement pas ressenti d'émotion pour euh... Euh... Enfin, celle qui est morte. ^_^
Elfi
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- Zarathoustra
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Tiens, elfi n'aime plus les elfes noires?Elfiriond écrit: En fait, je ne sais pas si c'est de la lassitude ou de l'antipathie pour Alarielle (le personnage) ^_^
Après tout, rien n'est réellement fait pour la rendre sympatique au lecteur.
Elfi
Tu poses une question intéressante que je ne m'étais pas posée. Mon but, au départ, était un brin subversif: montrer une victime qui ne méritait pas forcément la pitié. D'ailleurs, c'est ce qui a fait décroché certain au début (Gulzan, zeph' et peut-être d'autre): encore une histoire d'elfe gentille tout plein face à des vilains.
Maintenant est-elle sympatique ou pas? Mon intention est-elle de vous la faire appréciée? J'avoue ne pas avoir de réponse. En tout cas, ton ressentiment mérite réflexion.
Tu dis que rien n'est fait pour la rendre sympathique, ça me parait un peu fort mais si c'est ce qui passe dans le texte, c'est que j'ai à la fois réussi et echoué sur certaines choses.
Allez, j'ose une seconde question: qu'est-ce qui te la rend antipathique?
Mon but n'est pas de te faire changer d'avis mais de comprendre ce qui peut se passer dans la tête d'un lecteur.
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- Anonymous
Eh oui, j'ai lu le récit de Zara (ben non je ne boude pas les récits de Zara, j'accroche pas à Allarielle au style pourtant travaillé, c'est tout ! )
Et je l'ai trouvé bien sympathique; très réaliste dans sa conception, avec beaucoup de détails rendant ses personnages vivants. C'est souhaitable car les récits warhammeriens classiques, on en a vite soupé !
Après, j'ai encore un peu de mal à voir où tout ceci va nous mener, voilà un prologue qui s'arrête après un combat très animé et vivant (encore )
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- Gulix
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Une nouvelle incursion dans le monde de Warhammer, par Zara. On sort du registre intimiste d'Alarielle pour se plonger dans une guerre. L'histoire est facile à suivre, et intéressante qui plus est. Tu proposes une vision originale des elfes noirs et des bretonniens, loin du stéréotype Bien/Mal. C'est un bon point. Chaque chapitre est bien défini, aveecc son déroulement propre, et on avance ainsi à une bonne allure dans le récit. Un seul regret, les fautes de grammaire (surtout ces et ses). Ca gâche un peu. A part ça, un récit à suivre de près pour son originalité.
Les trois noms d'Alarielle
Un très beau récit, à la première personne qui plus est. Le style est parfaitement maîtrisé, et l'histoire nous est contée avec brio. Malheureusement, je ne ressens pas beaucoup d'intérêt pour l'histoire d'Alarielle, même si ce nouveau chapitre m'a plus intéressé que les premiers, qui m'avaient presque laissé froid. Je trouve qu'il n'y a pas assez de surprise (oui, oui, vous avez bien lu), mais en même temps, le texte ne s'y prête pas trop, donc ... De plus, les passages contant le "présent" d'Alarielle ne m'accrochent vraiment pas. Je pense même qu'ils sont responsables de mon petit désintérêt pour ce texte. Autant suivre l'histoire d'Alarielle m'intéresse, autant sa paranoïa et sa folie présente m'ennuient un peu.
Un bilan mitigé vis-à-vis de ce texte, pour lequel j'ai du mal à accrocher, mais qui possède, c'est certain, de très grandes qualités.
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- Elfiriond
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Zarathoustra écrit: Allez, j'ose une seconde question: qu'est-ce qui te la rend antipathique?
Mon but n'est pas de te faire changer d'avis mais de comprendre ce qui peut se passer dans la tête d'un lecteur.
Désolé pour le retard, j'avais écrit une réponse, mais pas pu la poster ni la sauvegarder.
Bien, je dirais que ce qui me la rend (peut être) antipathique, c'est la quasi volonté d'Alarielle à se prendre la tête, se foutre dans la merde, et tout faire pour se rendre neurasténique. Je traverse une période plutôt heureuse là (^_^ *touche du bois*), et je suis peut être plus égoïste, moins sensible aux malheurs des autres (mais en fait non, au contraire, j'ai jamais été aussi sensible... Peut être qu'il y a quelque chose qui sonne faux, mais je ne serais dire laquelle).
En fait, on retombe sur le débat "faut-il faire quelque chose de sombre pour que ce soit profond?".
Ce journal donne une impression d'étouffement, de clautrophobie, on en sort plus. C'est trop uine descente aux enfers.
Je reveindrais bien aussi sur le journal en lui même (à priori, le commun des mortels aurait commencé ce journal par "je m'apelle Alarielle et je suis une elfe noire")... On sent un peu trop que ce journal n'est pas réel car il y a des mises en abîmes pour créer du suspense. Un journal n'est normalement destiné à être lu uniquement par son auteur (malgré qu'il rêve d'être lu par un lecteur anonyme, il est vrai), il n'y a donc pas de raison pour que l'auteur en fasse un exercice de style et encore moins un récit à rebondissement... (C'est peut être ça qui sonne faux)
Y a aussi le fait que je commence à languir du moment où l'on arrive à la rencontre d'Alarielle et de l'humain quoi a trouvé le journal. Parce que la vrai histoire n'est-elle pas là?
Elfi
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- Zarathoustra
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Concernant le début du journal intime, je ne suis pas d'accord, jamais quelqu'un dirait "je suis humain et français" enpremière phrase. D'autre part, si on commence par des pseudo présentation, c'est lorsqu'on est sereinet à tête reposée, pas quand on est harcellé. Enfin, c'est mon hypothèse. Il y a justement des évidences qu'on ne met pas, je pense qqi si on s'adresse à soi-même, on est beaucoup plus elliptique.Le débat est ouvert...
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- Elfiriond
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Ceci dit, je parle d'expérience. Mon journal commence par une présentation succinte et résumée de moi même, de la profession de mes parents, date et lieu de naissance... Etc...
Vient ensuite le journal proprement dit, avec la date d'écriture jour/mois/année et quelques ligne "j'ai fais ça aujourd'hui, je me sens comme ci, je pense à ça...". En le relisant, je me suis rendu compte que certains passages donnaient dans le style de Céline ^_^.
Concernant les évidences qu'on ne met pas, c'est certains. On ne se décrit pas physiquement, ou alors on parle uniquement des parties du corps sur lesqulles on complexe.
En fait, ça dépend de comment l'auteur considère le journal: comme un support, ou comme un interlocuteur. Dans Alarielle, ce n'est que le support, on ne trouve d'ailleurs pas (ou alors j'ai oublié) la formule "chèr journal".
On commence souvent un journal à cause de la solitude, et l'absence de confident, et l'auteur fait souvent de son journal une allegorie du confident parfait.
Ce n'est pas le cas dans Alarielle, et le récit fait plus Autobiographie fictive que traduction de journal intime.
Enfin voilà, pour moi, c'est trop romancé pour vraiment être un journal crédible à 100%. Mais l'introspection reste super impressionante hein!
Elfi
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