Dude Janvier - Fevrier (avec retard)
- Zarathoustra
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Un chapitre en deli teinte, d'une part parce qu'on se situe dans un chapitre de transition et aussi parce que certaines choses manquent parfois de opuissance.
La première moitié: il manque un vrai fil conducteur. La tension du texte est aussi affaiblit par des phrases un peu plates. Exemple:
"
- De même la découverte du nom a lieu quelques phrases après qu'il ne se pose la question. Du coup, le paragraphe sur les interrogations sur son identité devient un peu inutile. Il aurait fallu les espacer davantage. Justement en travaillant davantage le paragrape que j'ai cité: ce lieu lui dit-il quelque chose? Ces visages autour de lui? Peut-il avoir confiance? Bref, tu aurais pu faire tout un travail sur la paranoia de l'amnésique au milieu de gens qui le connaissent.L'aubergiste haussa les épaules et alla s'installer à la table après avoir passer commande à un de ses serveurs de quoi boire et manger. Le brave homme? Une fois le repas servi, il se mit à parler.
En fait, tu aurais pu jouer sur de fausses pistes, sur des mystères du quotidien. Pourquoi sait-il certaines choses et pourquoi a-t-il oublié d'autres?
Il y a aussi un problème de style. Tu insères systématiquement une machin truc de circonstance(le nom grammaticale m'échappe ) du coup, le rythme de tes phrases est trop similaire et crée un côté un peu "mécanique".
Exemple:
Etc.Amer, je digérai bien mal cette frustration. Mais peut-être que le contenu de mes bagages recèlerait quelques indices?
Je m'aperçus que Laars me fixait, il devait s'interroger lui-aussi sur les motifs de ce départ. Encore et toujours ces interrogations! La colère m'enserrait la gorge. Les nerfs durement éprouvés, je sentis le besoin de me retrouver seul.
Une fois le souper terminé, je décidai d'aller me coucher, ce qu'avait déjà fait la plupart des autres clients. Prenant congé de Laars et de Maître Kerst, je fus conduit à ma chambre qui se situait à l'étage, tout au bout d'un couloir aux tapisseries élimées.
Ainsi, j'allais retrouver la chambre que j'avais prise lors de mon précédent séjour à Fiirsburg.
La main sur la poignée, j'appréhendais ce moment. La porte close qui se dressait devant moi semblait me narguer, me mettant au défi de l'ouvrir. L'instant de Vérité. Une fois encore? Mais étais-je prêt à y faire face?
Tiraillé jusqu'au bout entre la crainte de voir mes espoirs à nouveau déçus et la peur de ce que j'allais découvrir, je tournai le bouton de cuivre.
La 2eme partie par contre est très bonne: en gros, à partir di tableau. D'ailleurs l'idée de cette scène est excellente: c'est le genre complètement gratuit pour l'histoire mais qui créée vraiment un esprit, une ambiance.
A partir de là, tout se densifie, on rentre dans le coeur de l'histoire. J'ai l'impression aussi que tu es toi-m^rmr plus à l'aise avec ce type de passage, on sent plus de naturelle.
Je note deux effet de scénario un poil facile:
- La cahe du livre qu'on trouve "comme ça"
- Le bourgmestre qui se livre devant un inconnu, alors que sa mission semble très importante et sans doute confidentiel car "assez politique", je dirais.
Si je devais chercher des noises, je diraiségalement qu'il manque de scènes qui auraient mise en valeur le lien qui unit Laars à ton héros, surtout vu ce qui va suivre. J'avais un peu l'impresson d'un rapprochement de circonstances, mais il n'en est rien. Je dis pas que ce n'est pas traité, mais il manque sans doute des scènes unpeu intilistes qui aurait permi de sentir encore plus cette amitié. Surtout que ce type de chapitre de transition est l'occasion rêvé de jouer avec ce type de scènes. On est pas dans le registre de l'action, on peut donc se laisser aller à disgresser à côté sur des points péripheriques à l'intrigue mais qui renforcent la personalité des perso.
Voilà en gros ce que j'avais noté (il y avait aussi quelques fautes parfois grossières).
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- dude
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Pour ce qui est des rapports entre Laars et Lothar, le chapitre 4 vient renforcer leur lien et j'espère que de cette façon, la suite paraîtra un peu plus cohérente.
Merci pour tes critiques pertinentes Zarathoustra!
dude
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- Zarathoustra
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C'est justement le but de ma remarque. On voit dans le chapitre 4 que le lien est très fort. Je trouve qu'il manque quelques scènes pour souligner son importance et que ce chapitre aurait été l'occasion d'en tirer partie. Je trouve qu'il manque une transition entre le gars qu'on rencontre et qu'on trouve sympa et l'ami pour lequel on est prêt à sacrifier sa vie. Je trouve que le crescendo n'est pas marqué.Pour ce qui est des rapports entre Laars et Lothar, le chapitre 4 vient renforcer leur lien et j'espère que de cette façon, la suite paraîtra un peu plus cohérente.
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- Zarathoustra
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Excellent chapitre que voilà! Sans doute parmi les meilleurs que j'ai lu de Dude.
1- En le lisant j'ai presque rien noté car tout est profonfément fluide. La montée de la tension est également très bien faite. J'ai juste noté que l'apparté sur la société des loups faisait un peu scolaire, trop démonstratif. Peut-^tre aurait-il mieux valu illustrer la démonstration dans l'histoire plutot que de l'enoncée ainsi. Quitte à le souligner un peu.
2- Quelques phrases inutilement com^pliquées à mon gout.
Dis-je, conscient qu'en ces glaciales contrées, aucun autochtone sensé ne cesserait d'entretenir la principale source de chaleur de son foyer, alors que les températures pouvaient chuter extrêmement vite.
Ou parfois un peu inutile, donnant effet assez plat, voire redondant:
!Un hennissement strident retentit soudain. Il se passait quelque chose dehors
=> C'est à mon avis complètement inutile.De quoi est-ce que tu parles ? Lui demandaai-je.
Bref des broutilles vu la longueur de l'ensemble.
3- Si je devais faire des remarques, elle serait au contraire très positives!
J'adore l'omniprésence mysterieuse et fascinante des loups
Le développement du cadre de la forêt donne une ambiance très attractive car mysterieuse et chargé de symbolique. Tout ça renforce le coté fascinant.
- Mais je retiens surtout le traitement magistral de la scène d'action. 2 ou 3 pages! Moi qui est du mal ) faire plus de 20 lignes! Tu arrives à rendre vivante la scène en multipliant les détails, les impressions, les tensions, jusqu'à la rendre très concréte et fréquemment de manière très originale. Tout sonne juste: le ryhtme de sphrases, le vocabulaire...
J'ai remarqué des similitude appuyée au 13eme guerrier, je me trompe? Homme loup et Homme ours?
A cela , des noms de personnages sont introduits comme autant de portes mysterieuses à ouvritr.
Bravo!
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- dude
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Et bien vu pour la référence. C'est une scène magistrale de ce film de Mc Tiernan que j'ai voulu ici reprendre et je suis ravi que tu ais apprécié le traitement.
Je me suis lâché sur les passages d'action car il faut bien dire que le récit dans son ensemble n'en comporte pas énormément. C'est un chapitre pour leque j'ai eu le plus de plaisir à réécrire. D'une part, parce que je n'ai quasiment rien gardé de l'original, j'avais donc une bonne marge de manoeuvre, et d'autre part, le chapitre sans retouche était vraiment parmi les plus faibles, donc je n'avais pas à faire trop d'effort pour obtenir un meilleur résultat .
dude
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