file Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]

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il y a 18 ans 6 mois #8236 par Krycek
Allez ! J'engage les hostilités, j'ai un peu de temps devant moi.

Iliaron écrit: Il ouvrit alors ses yeux, pour voir avec horreur son ami Pierre allongé de tout son long à côté de lui, une flèche verte plantée dans le dos.[...] il se laissa aller à son chagrin.

Bah c'est des guerriers ou quoi ? Pourquoi il ne s'est pas tout de suite lancé vers lui pour le toucher ou jeter un coup d'oeil alentour, ou bien prendre son arme....

Iliaron écrit: et lorsqu’ils furent assurés que nul chevalier ne les poursuivait

Quels chevaliers ? j'pensais à des Gobs moi avec la flèche verte... J'ai bien lu la suite ou on se rend compte que les compagnons savent qui c'est, mais le style narratif ne pouvait prétendre dire que c'était des chevaliers. Je ne sais pas pourquoi mais je le sens comme ça !

Iliaron écrit: Sont-ce les assassins de la dernière fois ?

Je conçois que cette tournure soit correcte mais je crois que l'on dit Est-ce tout le temps... c'est un détail, mais on est ici pour parler écriture non ? ;)

A la fin du premier chapitre j'ai eu la sensation que ces compagnons étaients plus que ça... disons que je les croyais... amants. Tu vois ce que je veux dire ? Le sentiment que tu as fait passé, je l'ai interprété comme si les compagnons étaients des tapettes (je ne parle pas d'homosexuels mais de chochottes)... Oui les guerriers peuvent éprouver ces sentiments, mais le fait d'insister et de tenter dès le début de nous le montrer... pour moi ce sont des gars d'environ 17ans, puceaux et un peu fofolles. :D
C'est pas méchant ! C'est ce que j'ai ressenti.

Iliaron écrit: à cette épée de Damoclès

Tiens ! C'est rare d'avoir de tels liens avec la réalité dans un récit de fantasy !

Iliaron écrit: légèrement tremblants, vers les deux cadavres.

Dans l'église on parlerait plutôt de corps non ?

Iliaron écrit: Alors survint le drame : heureux de trouver aussi vite un lapin j’arma mon arc en tirant trop fort sur la corde, qui céda.

Drame c'est un peu fort non ? Même dans son cas... le drame je l'appliquerais plus à des personnes...

Pour le deuxième chapitre, à part la messe d'enterrement que je trouve un peu longue (en même temps, une messe c'est long), j'aurais plutôt passé sur certains aspects de cette messe en imbriquant les pensées de Mav (je crois) après s'être levé...

Au final, je trouve que tu as bien réussi à lancer ta quête même si les perso sont encore un peu flous. Je n'arrive pas à les distinguer... D'ailleurs on ne connait l'âge que de ceux qui sont morts...

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il y a 18 ans 6 mois #8239 par Iliaron
Réponse de Iliaron sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]

Bah c'est des guerriers ou quoi ? Pourquoi il ne s'est pas tout de suite lancé vers lui pour le toucher ou jeter un coup d'oeil alentour, ou bien prendre son arme

Pas Kev, il a 16 ans... Mais il est vrai que je ne l'indique nul part...

J'ai bien lu la suite ou on se rend compte que les compagnons savent qui c'est, mais le style narratif ne pouvait prétendre dire que c'était des chevaliers. Je ne sais pas pourquoi mais je le sens comme ça !

D'accord, faudra que je revoie un peu ça alors!

c'est un détail, mais on est ici pour parler écriture non ?

Bizarrement j'ai toujours dit "Sont-ce" pour un pluriel... Je dois avouer qu'il faudrait que je me renseigne, c'est du 50/50 en fait quand j'écoute des gens parler...

Tu vois ce que je veux dire ?

Je vois parfaitement, c'est d'ailleurs un peu ce qu'on me dit toujours... J'ai un peu de mal à montrer qu'ils sont très liés l'un à l'autre (comme des amis intimes en clair), mais en même temps seulement amis, pas amants. Arrf, l'amitié et l'amour sont quand même si proches...

pour moi ce sont des gars d'environ 17ans, puceaux et un peu fofolles.

Pour Kev oui :lol: .
Pour les autres, ils agissent quand même: Gontrand s'est de suite mis à tirer les flèches, Richard à tirer sur le col des autres...
Enfin, faudra aussi que je reprenne un peu alors.

Tiens ! C'est rare d'avoir de tels liens avec la réalité dans un récit de fantasy !

Sûrement une mauvaise habitude de ma part, alors que le monde n'a aucun rapport avec notre monde... Bon, je sens qu'il faudra que je découvre une nouvelle façon d'en parler...

Dans l'église on parlerait plutôt de corps non ?

C'est surtout que à force, j'avais peur de faire des répétitions, donc je me suis dit que les corps étaient aussi cadavres, donc j'ai utilisé les deux termes. Je ne pensais vraiment pas que cela puisse gêner, surtout que là c'est le narrateur qui parle, pas le prêtre.

Drame c'est un peu fort non ? Même dans son cas...

Ca s'applique aussi à une personne... Après tout, sans arc, il meurt (et paf, l'effet de style que je déteste, je l'implante... On se refait pas :oops: Bon, faudra que je pense à reprendre cela alors, peut-être qu'il hurle à la mort, là ça sera déjà un peu mieux...)

à part la messe d'enterrement que je trouve un peu longue (en même temps, une messe c'est long),

Horreur, j'ai passé plus de deux heures à rédiger cette messe. Avant j'avais une version courte (trois paragraphes avec enterrement compris :? ); maintenant j'ai sûrement une version trop longue... Que de problèmes...
Pourtant, je pense que le discours est assez important, il donne une vision du monde que je m'étais efforcé dans mes deux précédentes moutures de cacher... J'ai essayé un peu, grâce à la messe, de modifier le monde manichéen que j'avais construit, comme ces deux chapitres s'opposaient à ceux suivants... Faut donc que j'y reréfléchisse.
Sinon, tout simplement enlever la louange... Ca m'embêterait un peu comme j'y ai passé un certain temps... A voir.

Au final, je trouve que tu as bien réussi à lancer ta quête même si les perso sont encore un peu flous. Je n'arrive pas à les distinguer... D'ailleurs on ne connait l'âge que de ceux qui sont morts...

Je sais, et malgrè tout ce que je fais, tous mes personnages restent flous, absolument tous. Je n'arrive pas à trouver d'opportunité pour les décrire. Je n'arrive pas à me trouver une bonne situation dans laquelle je peux décrire et l'apparence, et un peu le mental... En fait, sur tout mon récit, c'est ce qui m'embête le plus: cette absence totale de description des personnages, pas que des héros d'ailleurs...
Pourtant, quand je lis tous les autres récits, je me dis que c'est si simple, mais je n'arrive pas à copier cette manière...

Peut-être dans la scène du début, avant même la première répartie de Pierre, faire une sorte de "vol d'hélicoptère", le narrateur décrit les personnages, et enfin, quand Pierre se met à parler... Ca peut être une option, car dans l'action je sais que j'en serais incapable, et cette partie n'étant un peu qu'un gros rush (à part l'enterrement, mais j'imagine mal une description lors de l'enterrement...), je ne pourrais plus jamais décrire...
En même temps, je me dis qu'introduire d'un coup sept personnages, ça risque de faire un peu lourd... Ou bien les introduire un à un au fur et à mesure des réparties, mais est-ce que ça ne cassera pas l'action?

En fait, je sens qu'il faudra que ce week-end je fasse des essais. En un mot que je tente ces deux choses et les compare, à moins qu'une brillante troisième idée ne vienne éclairer ma lanterne.



Iliaron

PS: merci Krycek de la critique ;) !

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il y a 18 ans 6 mois #8242 par Krycek
Réponse de Krycek sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]

Iliaron écrit: Pour les autres, ils agissent quand même: Gontrand s'est de suite mis à tirer les flèches, Richard à tirer sur le col des autres...

Alors fais nous vivre la scène à travers les yeux de ceux qui sont actifs et lorsqu'il le prend par le col, tu passe à ce personnage... Un truc sympa à utiliser c'est le style du "Témoin du Mal" avec Denzel Washington, oùle Diable passe par le toucher... tu peux faire la même chose pour ta narration, passer d'un perso à l'autre au fur et à mesure qu'ils se regardent, se bousculent, se touchent...

Iliaron écrit: Pourtant, je pense que le discours est assez important, il donne une vision du monde que je m'étais efforcé dans mes deux précédentes moutures de cacher...

C'est bien vu... mais essaie de profiter de ce moment un peu longuet pour nous faire découvrir les personnages au fur et à mesure de la messe... tu sais en prendre un et voir à travers ses yeux le symbole de ce qui se passe, peut-être des souvenirs intimes (Pas trop hein ! Surtout pas Kev !!!) avec les morts. Ainsi la messe passera un peu plus vite.
Le fait d'avoir les pensées du perso quand il se lève est biz z arre, malgré que ses pensées soient interessantes et apportent au récit...

Iliaron écrit: Sinon, tout simplement enlever la louange... Ca m'embêterait un peu comme j'y ai passé un certain temps... A voir.

J'ai eu le même problème avec Pandemonium... au pire tu gardes ce passage pour un autre moment fort dans la suite. Peut-être les persos pourraient-ils chanter en coeur, la voix brisée de larmes, ça nous rapprocherait un peu d'eux.
Pour l'épée de Damoclès ce n'était qu'une simple remarque.

Iliaron écrit: En même temps, je me dis qu'introduire d'un coup sept personnages, ça risque de faire un peu lourd... Ou bien les introduire un à un au fur et à mesure des réparties, mais est-ce que ça ne cassera pas l'action?

Je t'ai donné mon idée (avec le Témoin du Mal) mais je vois que tu en as plein aussi... je ne pense pas que tu auras de mal... ou fais en part dans les travaux d'écriture !

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il y a 18 ans 5 mois #8362 par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]
1er chapitre

Bon, je le décompose en 3 temps:

1- Le bilboquet: j'avais déjà lu la première (?) mouyture du text"e. Cette scène a été considérablement rallongé. Comme je l'avais déjà signalé, l'idée est très original et j'aime bien ces moments de non action qui laisse le temps aux personnages de vivre. Sur ce poin, c'éest réussi.
Par contre, elle est peut-être trop longue, ou dumoins tu la surcharges de beaucoup d'explication. En fait, ta difficulté, c'est d'avoir autant de protagoniste en même temps; Tu dois les faire intervenir pour nous les présenter mais, 7, ça fait trop; Quoi qu'il arrive, on cale, du moins je n'ai pas réussi à retenir qui est qui (bon, j'ai une mauvaise mémoire pour les noms, mais je pense qu'il n'y a pas de scènes qui les mettent suffisemment en valeur chacun, et si c'était le cas, ce type de scène n'est pas fait pour non plus).
En fait , après avoir lu tes chapitres, je me suis dit qu'il serait peut-être plus facil pour tout le monde que cette scène n'est pas tout le monde, que tu scindes ton groupe en 2 ou trois. Par exemple, tu as ton groupe avec le bilboquet, puis un autre qui attend au chateau. Et tu créées ainsi 3 petites scènes de ce genre: celle-là, une autre au chateau et celle des retrouvailles.

2- L'attaque: je la trouve très abstraite. Il y a des flèches et puis c'est tout. On ne sent pas le danger. La rupture d'ailleurs esnt ta scène intime et les flèches est trop peu marqué (c'est volontaire, j'ai l'ilpression), mais, pour ma part, j'ai lu, puis à un moment j'ai été obligé de relire 2 ou 3 phrases plus haut car j'avais l'impression d'avoir loupé un truc. La rupture n'existe pas. Certes, ça fait un bel essai de style, mais j'e me demande si tu devrais pas la souligné après un peu plus avec des "soudain" ou un cri ou un dialogue, style: des flèches! On nous tire dessus!". C'est un peu bateau mais ça te permet de garder ta transition quasi poétique et l'irruption de la violence.
Par contre, je trouve la scènede la fuite bien traité. Cerets on ne sent pas vraiment la menace trop abstraite mais tu décris très bien ce qu'il ressente.

3- Le chateau:
Une scène clasique. J'ai juste eu l'impression dene pas en savoir assez. Pourquoi vont-ils dans ce chateau? Quels sont lesliens? On ne sait pas assez de leurs objectifs. Bon, ils sont ensemble mais pourquoi? Quelle est leur mission?
En fait, je pense qu'il manque une scène avant le bilboquet qui fasse vraiment présnetation, qui fixe un peu plus la toile de fond. Pour l'instant on n'a pas de vue d'ensemble.

J'ai pas lu les commentaires avant, je vais voir s'il m'inspire d'autres remarques.

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il y a 18 ans 5 mois #8363 par Iliaron
Réponse de Iliaron sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]
Merci Zara du commentaire.

la première (?)

Sixième :lol: , mais "seulement" deuxième monture du dialogue.

dumoins tu la surcharges de beaucoup d'explication.

Aïe, et dire que j'y ai intégré aussi les descriptions des personnages dans la dernière monture (dans Travaux d'écriture)

je pense qu'il n'y a pas de scènes qui les mettent suffisemment en valeur chacun

J'ai un peu décrit dernièrement, mais ça ne met pas vraiment en valeur.

En fait , après avoir lu tes chapitres, je me suis dit qu'il serait peut-être plus facil pour tout le monde que cette scène n'est pas tout le monde, que tu scindes ton groupe en 2 ou trois. Par exemple, tu as ton groupe avec le bilboquet, puis un autre qui attend au chateau. Et tu créées ainsi 3 petites scènes de ce genre: celle-là, une autre au chateau et celle des retrouvailles.

J'aime bien l'idée, malheureusement ça briserait une partie de l'intrigue que j'affectionne, tout du moins c'est illogique: les 7 sont très liés (amicalement, hein^^), et pour la première soirée qu'ils passent ensemble, ils tiennent à être les 7.

(c'est volontaire, j'ai l'ilpression),

Pour répondre, je vais reprendre à la base le récit: ce récit est le tout premier que j'écris, celui qui m'a vraiment fait découvrir l'écriture (avant c'était juste en cours).
A la première intro, c'était vraiment très court: en une page il y avait et les flèches et la fuite et la rentrée dans le château (rapide :lol: ).
Il y a eu une troisième monture (moins d'un mois après la première monture) avec le passage grâce à la pensée du rêve à la réalité, mais ce n'était même pas voulu: j'étais limité par mes capacités, donc je n'écrivais pas ce que je voulais, mais ce que je voulais. Cette version a perduré jusqu'à cette MAJ, puis j'ai tout modifié suite aux conseils de Krycek. (Travaux d'Ecriture).
Résultat, il n'y a plus de transition, car je voulais rendre une rupture brutale, qui n'apparaissait pas dernièrement.

Par contre, je trouve la scènede la fuite bien traité. Cerets on ne sent pas vraiment la menace trop abstraite mais tu décris très bien ce qu'il ressente.

De menace, il n'y a en fait plus :lol: .
Sinon, merci des compliments pour les sentiments, d'ailleurs grâce aux Chroniques qu'ils y sont!

Pourquoi vont-ils dans ce chateau? Quels sont lesliens?

C'est là où ils habitent, tout simplement.

Bon, ils sont ensemble mais pourquoi? Quelle est leur mission?

Ce sont des amis qui cherchaient à passer un bon moment, c'est tout.
Mais je pense avoir un peu mieux réussi la toute dernière monture, je pense qu'il est alors simple de comprendre que les amis cachent un secret en leur coeur.

En fait, je pense qu'il manque une scène avant le bilboquet qui fasse vraiment présnetation, qui fixe un peu plus la toile de fond. Pour l'instant on n'a pas de vue d'ensemble.

Ca par contre, c'est un peu voulu: je tenais à ce que l'on en apprenne vraiment sur le passé des compagnons bien après.
A mon avis, il n'y a pas pour l'instant besoin de savoir qui sont les hommes, disons que ça sert de prologue à l'histoire ;) .


Merci de la critique Zara!



Iliaron

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il y a 18 ans 5 mois #8533 par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]

A cette allusion, il s’en souvenait comme si c’était hier, Gontrand avait approuvé avec un franc sourire, puis avait continué à apprendre à Richard à se servir lui aussi de son arc.

Souvenir un peu trop disproportionné au vue du détail minime. Il s'agit vraiment d'un micro évènement dans une vie. Il manque quelque chose pour que cela soit crédible.

Il voulut se lever et rentrer finalement chez lui, mais la pensée de ses jeux avec Pierre le replongea dans une abîme de tristesse. Ces simples amusements qui avaient rendu le sourire à son ami après le meurtre. Il repensa aux jeux d’adresse auxquels ils avaient consacré tant d’heure


Par contre, là tu as quelque chose de plus crédible mais tu ne l'exploites pas tout à fait. La scène du bilboquet est certes dans cet esprit, mais je dirais qu'elle est trop anecdotique, au sens premier. Tu aurais dû utiliser d'autres souvenirs qui auraient justement renforcé les impression laissées par le bilboquet. Tu as une bonne intuition, mais je trouve que la réaction attendue avec ce que tu donnes au final est disproportionnée. Ol faut un évènement ou une scène qui marqueplus une vie, qui montre plus fortement le lien. Si tu fais ça, encore une fois, ta scène de début viendra à l'esprit du lecteur d'elle-même (ou aolors tu l'évoques juste légèrement).

A la pensée de ces deux objets et de leurs deux propriétaires, de nouvelles larmes affluèrent et tombèrent au sol

Ca alourdit. On a compri quelle était le sentiment, inutil de le resouligner par une phrase entière, éventuellement, un adjectif ou un adveerbe permettrait de le reprendre pour le même e effet, sans alourdir.
Idem plus loin:

Jamais je n’ai compris comment j’avais fait pour ne pas remarquer que j’étais si près de la route


Pour la scène de l'église, j'avoueâvoir été surpris par le réalisme du traitement. Tu vas jusqu'au bout. Et le prêche du prêtre est très crédible. Certes, ça surprend dans un récit comme celui-là où on s'attend à un traitement succint, mais, je pense que du coup, tu obtiens bien ce que tu souhaitais. Peut-être un peu long, comme le disait Krycek. Ou alors, trouve un élément de suspense? Par exemple, l'un des compagnons est en train de réfléchir sur ce qui s'est passé et commence à entrevoir des pistes. Ou gamberge (bon, tu l'a fait, mais tu pourrais fragmenter plus cette scène en plaçant l'église et le prêtre plus en arrière plan, les phrases qu'il prononcerait flottant dans leur es^prit en quelque sorte). Ou un petit évènement viendrait casser la scène.

Lorsque j’étais jeune, je m’hasarda lors d’un automne dans une forêt très loin, à une quarantaine de lieues :

=> hasardai. Tu as fat plusieurs fois la faute. Le passé simple de la première pers du singulier n'est "a" mais "ai"

Lorsque je me réveillai j’étais sur un cheval, au dos du père de Richard, et à ma gauche se tenait le futur père de Pierre. Surpris, je leur demandai comment ils avaient pu me retrouver, et ils répondirent qu’ils étaient partis demander au Roi des Mormundes si ce dernier n’avait trouvé un enfant d’une vingtaine d’année, mais il avait répondu sincèrement que non. Ensuite il leur avait proposés de passer la nuit en sa ville, puis à l’aube ils étaient repartis. Ils m’avaient ensuite retrouvé par hasard en s’aventurant dans une forêt aux abords de la Grand Voie, et m’avaient recueillis, étonnés de me trouver en vie après deux mois d’absence.

Ce passage est vraiment pas terrible. Tu pourrais faire beaucoup plus court pour dire la même chose et lui donner plus de rythme. Il est très plat. J'ai mis en rouge des trucs qui me paraissent alourdir le récit ou du moins lui ôtent tout rythme.

De même, le monologue du Duc s'enchaine peut-être au mauvais moment, d'une certaine manière puisque c'est un second passage très peu rythmé. Peut-être aurais-tu le placer dans le chapitre suivant , question de rythme?
Tu réesquisses sur la fin ton intrigue. En fait, pour proposer des passages très descriptifs ou d'introspection comme tu le fais, je pense que tu aurais du poser davantage l'histoire. En tant que le lecteur, tu nous places trop en position d'attente. Il faudrait qu'on est plus à manger en quelques sorte.

Par contre, globalement, je trouve que tu commences à bien fouiller tes personnages. Il faudrait idéalement que tu y arives en intégrant plus ton intrigue, que les deux fassent davantage corps.
Donc au final, un texte pouvant être plus concis en l'allégeant un peu de ce que le surcharge parfois mais qui réussit également à s'attarder sur des aspects très concrets et réalistes (l'église, les remarques à la fin sur l'ambiguité du duc en tant que puissant...). Mais ce qui est remarquable, c'est que tu es maintenant capable d'écrire un long passage dans lequel il ne se passe pas grand chose en soit, ce qui est loin d'être donner à tout le monde car il est généralement plus simple de remplir un texte avec de l'action. Maintenant, il te faut apprendre à mieux équilibrer l'ensemble, de mieux mesurer le rythme que tu veux donner.

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il y a 18 ans 5 mois #8534 par Iliaron
Réponse de Iliaron sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]
Merci de la critique, Zara, sans rire ;) !

Ce qui m'amuse assez, c'est que là où j'ai le plus de défauts, le récit n'a pas encore beaucoup été retouché, alors que ce que tu préfères a été retouché très récemment (juste avant la MAJ, en somme). Ce ma fait bien plaisir, ça me rassure quand à ma progression :) .

Souvenir un peu trop disproportionné au vue du détail minime. Il s'agit vraiment d'un micro évènement dans une vie. Il manque quelque chose pour que cela soit crédible.

En fait, il faut se dire que Gontrand n'est que très peu loquace et expressif, donc voir un vrai sourire sur son visage est très rare, ce qui peut marquer. (remarque bien que quand j'avais écrit ce passage, je n'y avais pas vraiment songé à ce point, ma ligne de conduite quand aux sentiments était plus "light"). Mais je pense que le préciser alourdirait encore plus le texte. Qu'importe, je n'ai qu'à réécrire le début du deuxième chapitre (à vrai dire, il date un peu donc ça lui fera le plus grand bien).

Par contre, là tu as quelque chose de plus crédible mais tu ne l'exploites pas tout à fait. La scène du bilboquet est certes dans cet esprit, mais je dirais qu'elle est trop anecdotique, au sens premier. Tu aurais dû utiliser d'autres souvenirs qui auraient justement renforcé les impression laissées par le bilboquet. Tu as une bonne intuition, mais je trouve que la réaction attendue avec ce que tu donnes au final est disproportionnée. Ol faut un évènement ou une scène qui marqueplus une vie, qui montre plus fortement le lien. Si tu fais ça, encore une fois, ta scène de début viendra à l'esprit du lecteur d'elle-même (ou aolors tu l'évoques juste légèrement).

Là je ne comprends pas vraiment. Tu veux dire qu'au final il faudrait simplement que j'évoque, voire pas, les loisirs, pour augmenter le sentiment d'amitié. En renforçant ce sentiment, alors on pourrait penser au moment du bilboquet, simplement grâce au bonheur qui caractérise ces moments.
Ou alors tu signifies parler d'autres amusements qu'ils ont eu entre eux et qui feraient penser à celui du bilboquet?
(j'essaierai de toute façon de réécrire le début de ce chapitre, ça se voit que je ne l'ai pas réécrit récemment, il ne me plaît pas trop

Ca alourdit. On a compri quelle était le sentiment, inutil de le resouligner par une phrase entière, éventuellement, un adjectif ou un adveerbe permettrait de le reprendre pour le même e effet, sans alourdir.
Idem plus loin:

ok, c'est noté: réécrire le passage en gardant les bonnes intuitions (plus simple à dire qu'à faire, quoique ces derniers temps je me sens plus motivé pour réécrire que pour avancer l'intrigue, profitons-en :D .

Jamais je n’ai compris comment j’avais fait pour ne pas remarquer que j’étais si près de la route

J'essaierai de reformuler, mais ça a son importance

Pour la scène de l'église, j'avoueâvoir été surpris par le réalisme du traitement. Tu vas jusqu'au bout. Et le prêche du prêtre est très crédible. Certes, ça surprend dans un récit comme celui-là où on s'attend à un traitement succint, mais, je pense que du coup, tu obtiens bien ce que tu souhaitais. Peut-être un peu long, comme le disait Krycek.

Je ne me rappelle pas si tu avais lu jusque là dans les Travaux d'Ecriture (nullement un reproche, je tiens à préciser!), mais si oui (si non, je t'explique de suite :) lol: ).
Là j'ai tenu à faire ce discours peut-être plus pour moi-même que les autres, pour casser cette idée (d'ailleurs pour ça que je réécris tant, j'ai mieux fixé mes idées qu'à mes débuts).
Sinon, le discours est long pour une autre raison: je compte, grâce à lui, un peu nuancer les hommes, ils y repenseront (bien) plus tard (en fait, au moment où ça m'arrange, au moment le plus logique pour s'en souvenir d'ailleurs; je pense que vous avez compris quel sera ce moment là d'ailleurs :lol: ).
Ensuite, dans ce discours, il y a aussi des allusions, et comme elles n'apparaîtront qu'à ce moment-là, et disparaîtront pour un bon bout de temps. Je tiens à ce que le lecteur ait une chance de s'en souvenir, pour l'induire (peut-être) en erreur plus tard.
Enfin, je tenais aussi à me prouver que je pouvais faire quelque chose où il ne se passe rien et pour lequel je sois fier de moi... et je dois avouer, ô orgueil, que plus je relis ce passage, plus il me plaît, à tel point que ça me ferait vraiment mal de le retirer... Peut-être simplement parce que je trouve que c'est le meilleur passage (à mon avis) pour l'instant de ce chapitre, si ça se trouve, dans un an, si j'ai encore le temps d'écrire régulièrement, je le trouverais médiocre (c'est tout ce que je me souhaite :) )

Ou alors, trouve un élément de suspense? Par exemple, l'un des compagnons est en train de réfléchir sur ce qui s'est passé et commence à entrevoir des pistes. Ou gamberge (bon, tu l'a fait, mais tu pourrais fragmenter plus cette scène en plaçant l'église et le prêtre plus en arrière plan, les phrases qu'il prononcerait flottant dans leur es^prit en quelque sorte). Ou un petit évènement viendrait casser la scène.

Rien ne doit casser cette scène, car ce serait la briser pour la briser: l'évènement n'aurait absolument aucun impact sur le futur.
Sinon, je devrais essayer de faire réfléchir les compagnons, mais je dois avouer avoir un mal fou à jongler entre les points de vue, à revenir sur un personnage... Il faudrait vraiment que je tente de le faire, mais je pense que certaines choses méritent plus d'être réécrites dans ce passage.
De plus, je crains que pour la réflexion, ça ne fasse redondant avec ce qu'il y a avant et après... Enfin, il faudrait que je relise un jour deux fois d'affilée cette première partie, comme elle posséde des morceaux très récents avec d'autres anciens, ça permettrait de tout égaliser, et j'opterais pour un choix (en clair, je n'ai pas eu envie de trop en dire pour l'instant sur le fameux événement d'il y a quatre ans, je vais réfléchir jusqu'où je peux faire des allusions, ça permettrait de donner une meilleure unité à cette partie).

=> hasardai. Tu as fat plusieurs fois la faute. Le passé simple de la première pers du singulier n'est "a" mais "ai"

Faut vraiment que je relise mon Bescherelle!!!
J'ai toujours cru que les "ai" c'étaient des exceptions, en parlant, j'ai toujours utilisé les "a" et jamais on m'a repris, et il me semble qu'en lisant j'ai rarement vu de "a"... Alors que chaque fois que je regarde un verbe je trouve "ai", mais il y en a tant dont j'en étais persuadé...Arg, faut que je corrige tout mon texte :shock: .
(autant j'aime corriger et réécrire pour améliorer, autant pour enlever des fautes, je n'aime pas, on passe plus de temps à trouver la faute qu'à la corriger...)

Ce passage est vraiment pas terrible. Tu pourrais faire beaucoup plus court pour dire la même chose et lui donner plus de rythme. Il est très plat. J'ai mis en rouge des trucs qui me paraissent alourdir le récit ou du moins lui ôtent tout rythme.

C'est le seul passage que je n'ai, je crois, absolument pas touché (à part la correction de quelques fautes) sur les derniers cinq mois. Ca se voit... Il est absolument pitoyable, comment n'ais-je pu m'en rendre compte? Vraiment il faut que je le réécrive, c'est le plus "choquant"!

De même, le monologue du Duc s'enchaine peut-être au mauvais moment, d'une certaine manière puisque c'est un second passage très peu rythmé. Peut-être aurais-tu le placer dans le chapitre suivant , question de rythme?

C'est vrai que j'ai l'habitude de faire une fragmentation: description-introspection/action/...
En pleine action, j'abhorre les pauses qui brisent l'action, mais c'est vrai que dans ce deuxième chapitre il manque vraiment quelque chose... C'est le chapitre le plus calme de toute la partie, peut-être même de tout le récit; ça redémarre après dans le chapitre suivant, où tout s'enchaîne assez rapidement, ne laissant pas aux compagnons le choix de pouvoir arrêter leur destin (dit comme ça, ça sonne bien, mais ça veut dire aussi qu'il faut que je le réécrive entièrement :lol: ).
C'est vrai qu'il manque un petit quelque chose, et que peut-être je n'insiste pas assez sur les éléments de l'intrigue.
D'ailleurs, petite question pour me permettre de mieux analyser ce qu'il faut que je retouche: quel est pour toi l'élément crucial de l'intrigue dans ce deuxième chapitre (pour info, il y en a trois de bien importants) (pour expliquer: j'aime bien ne pas donner trop d'allusions au lecteur pour qu'après il se dise: "tiens, je n'avais pas fait gaffe". Mais si pendant les premiers chapitres le lecteur pense qu'il n'y a aucun élément d'intrigue, c'est raté... Il faudrait peut-être que j'insiste plus sur certains, pas forcément les vitaux (comme la flèche, par exemple), comme ça ça donne au lecteur une impression d'intrigue et un mystère, et finalement il se rend compte que le mystère est plus compliqué que prévu, ou tout du moins pas comme il l'avait appréhendé.
Enfin, ça me réconforte encore dans l'idée que quand je réécris une partie d'un chapitre, ne soyons pas radin dans le temps, réécrivons tout :D .

Par contre, globalement, je trouve que tu commences à bien fouiller tes personnages. Il faudrait idéalement que tu y arives en intégrant plus ton intrigue, que les deux fassent davantage corps.

Tu as trouvé mon point faible. A un seul chapitre j'ai eu l'impression d'y parvenir (d'ailleurs, ce moment-là est biz ).

Donc au final, un texte pouvant être plus concis en l'allégeant un peu de ce que le surcharge parfois mais qui réussit également à s'attarder sur des aspects très concrets et réalistes (l'église, les remarques à la fin sur l'ambiguité du duc en tant que puissant...).

J'essaierai d'alléger. Merci vraiment du compliment de la fin, un compliment nuancé d'une critique me touche toujours plus qu'un sans contrepoids, je ne peux m'empêcher de penser que quand à côté il y a une critique franche, alors le compliment n'est pas là pour des prunes et pour ne pas démoraliser l'"auteur". Merci beaucoup donc :oops: .

Mais ce qui est remarquable, c'est que tu es maintenant capable d'écrire un long passage dans lequel il ne se passe pas grand chose en soit, ce qui est loin d'être donner à tout le monde car il est généralement plus simple de remplir un texte avec de l'action.

Ca a été une évolution logique: quand il y a trop d'actions, tout s'enchaîne trop vite et donne un aspect bâclé. Mais je suis passé d'un extrème à l'autre, de deux chapitres qui originellement faisaient moins de deux pages Word à maintenant une quinzaine de pages Word, et peut-être moins d'actions :lol: . Il faut que je retouche un peu ce chapitre II donc.
Sinon, je pense que écrire un passage où il ne se passe rien est donné à tout le monde pour peu qu'il y travaille. Il y a moins de 9 mois, mon niveau était désastreux et je ne savais pas du tout le faire le moins du monde, mais quand on prend son temps et que l'on est pas tenté d'abréger le tout, on y arrive. Ce qui est important est simplement de ne pas vouloir qu'il se passe beaucoup de choses dans quelque chose qui dure, sinon c'est beaucoup trop long et on se lasse trop...
(enfin, quand je suis motivé, je ne trouve pas cela d'une difficulté horrible, à d'autres moments, oui, ça dépend :D )

Maintenant, il te faut apprendre à mieux équilibrer l'ensemble, de mieux mesurer le rythme que tu veux donner.

Oui, faut que je brise ces chapitres d'attente seulement d'attente pour créer un peu d'action aussi.



Merci beaucoup de la critique Zara, ça fait vraiment plaisir d'avoir des retours (tu peux très bien me dire que c'est normal dans le cadre de la MAJ, mais n'empêche une critique autant construite ne peut que me réjouir!

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il y a 18 ans 5 mois #8535 par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]

En fait, il faut se dire que Gontrand n'est que très peu loquace et expressif, donc voir un vrai sourire sur son visage est très rare

C'est un peu la difficulté d'avoir autant de protagonistes, le lecteur ne le différencie pas.

Ou alors tu signifies parler d'autres amusements qu'ils ont eu entre eux et qui feraient penser à celui du bilboquet?

Oui, c'est ça. Il faudrait un souvenir plus fort quand ême. Le bilboquet a un côté très simple, cette scène est une sorte de non action, avec lequel tu batis ta présentation mais elle n'est pas suffisemment forte, à mon avis, pour retranscrire l'émotion. Disons qu'on voit avecqu'il y a des liens qui existent déjà, mais on ne voit pas comment ces liens se sont construits, or c'est ce type de scène qui serait nécessaire ici, il me semble.

Je ne me rappelle pas si tu avais lu jusque là dans les Travaux d'Ecriture

Je sais plus trop non plus mais j'avais lu le bilboquet (et j'avais même du lire le début sur wafo)

Je tiens à ce que le lecteur ait une chance de s'en souvenir, pour l'induire (peut-être) en erreur plus tard.

Avec le contexte Chroniques, compte tenu de l'espacement entre les lectures, je dirais que ça ne peut pas fonctionner à moins de le relire après coup en entier. c'est ce qu'avait fait Dude sur Les 3 noms d'Allariel au moment où un événement depus longtemps préparé éclatait pour justement redécouvrir toutes les pistes qui avaient été oubliées.

Peut-être simplement parce que je trouve que c'est le meilleur passage (à mon avis)

Je le pense aussi. C'est celui o^on sent que des choses importantes qui sont dites et qui pourrait avoir une portée plus tard, mais malheureusement, en y repensant là maintenant, je t'avoue avoir déjà oublié ces choses. J'ai le souvenir qu'il y en avait mais pas du détail. Et puis, on y trouve une ambition, inattendendue qui plus est, plus forte qu'ailleurs, et je dirais que tu remplie une bonne partie de ce quetu t'étais fixée.

Il faudrait peut-être que j'insiste plus sur certains, pas forcément les vitaux (comme la flèche, par exemple), comme ça ça donne au lecteur une impression d'intrigue et un mystère, et finalement il se rend compte que le mystère est plus compliqué que prévu, ou tout du moins pas comme il l'avait appréhendé.

Pour la flèche, ça marche, on le retiens et on sait que c'est important. Mais il manque pour moi un peu de mystère. Pour qu'il existe, il faut quand même donner des explications, là, nous n'en avons pas qui nous permette de vraiment construire un mystère, on a plus une histoire qui se déroule en ayant l'impression qu'on ne veut pas nous expliquer des choses parfois simple. Un mystèe c'est un mélange d'explcit et de non dit. Il manque le premier volet. Tu peux très bien introduire des scènes d'action ou des évènements qui le fasse naitre. Pour moi, c'est le principal reproche.

quand à côté il y a une critique franche, alors le compliment n'est pas là pour des prunes et pour ne pas démoraliser l'"auteur".

Je ne pense pas avoir été méchant (du moins, c'était pas mon intention), je me place dans la situation où j'essaie de dire ce qui peut être fait pour améliorer le texte. C'est vrai que je ne me suis pas apesenti beaucoup dsur ce qui était réussi. Mais certaines critiques montrent en creu les qualités que j'aime. Ce sont des critiques ni positives ou ni négatives, selon moi. C'est t'apporter mon regard subjectif, à toi de voir si tu perçois la même chose à travers ta subjectivité.

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il y a 18 ans 5 mois #8536 par Iliaron
Réponse de Iliaron sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]

Je ne pense pas avoir été méchant (du moins, c'était pas mon intention), je me place dans la situation où j'essaie de dire ce qui peut être fait pour améliorer le texte. C'est vrai que je ne me suis pas apesenti beaucoup dsur ce qui était réussi. Mais certaines critiques montrent en creu les qualités que j'aime. Ce sont des critiques ni positives ou ni négatives, selon moi. C'est t'apporter mon regard subjectif, à toi de voir si tu perçois la même chose à travers ta subjectivité.

Rassure toi, tu ne l'as pas été, au contraire j'applaudissais ta franchise!
J'ai vraiment apprécié tes deux messages!

C'est un peu la difficulté d'avoir autant de protagonistes, le lecteur ne le différencie pas.

Je pense qu'après un certain temps il y parviendra, mais au début, oui, j'ai un peu de mal. Tout du moins j'ai un peu plus insisté au niveau de mon intro refaite (pas dans la MAJ), sinon je ne vois pas vraiment comment faire sans alourdir le texte à le repréciser à chaque fois.

Oui, c'est ça. Il faudrait un souvenir plus fort quand ême. Le bilboquet a un côté très simple, cette scène est une sorte de non action, avec lequel tu batis ta présentation mais elle n'est pas suffisemment forte, à mon avis, pour retranscrire l'émotion.

ok, je comprends où tu veux en venir, le bilboquet n'est qu'un pan de l'amitié, il faut que j'aille donc à l'essentiel, à l'amitié donc. Du travail en perspective, mais quand je comprends où aller et que je vois bien à quoi ça peut se servir, ça me réjouit même!

Disons qu'on voit avecqu'il y a des liens qui existent déjà, mais on ne voit pas comment ces liens se sont construits, or c'est ce type de scène qui serait nécessaire ici, il me semble

Je risque quand même d'avoir un peu de mal, moi même je ne comprends pas pourquoi avec certaines persones on devient très rapidement ami, et avec d'autres non, alors que parfois on a très peu de point commun avec l'ami. Enfin, je vais essayer quand même, au pire si c'est moins bien, je ne modifierais pas, et c'est tout.

(et j'avais même du lire le début sur wafo)

ok, ça remonte à loin sur le WarFo :lol:

Avec le contexte Chroniques, compte tenu de l'espacement entre les lectures, je dirais que ça ne peut pas fonctionner à moins de le relire après coup en entier.

Certes, mais j'essaie aussi d'imaginer le texte lu dans sa totalité en une seule fois, c'est là, je pense, qu'il est le meilleur, du moins au niveau de son intrigue. C'est pour ça que je travaille par petites touches, peut-être trop petites d'ailleurs :P .

Je le pense aussi. C'est celui o^on sent que des choses importantes qui sont dites et qui pourrait avoir une portée plus tard, mais malheureusement, en y repensant là maintenant, je t'avoue avoir déjà oublié ces choses. J'ai le souvenir qu'il y en avait mais pas du détail.

Ce n'est pas forcément le détail qui est important, mais le leitmotiv de la paix.

Et puis, on y trouve une ambition, inattendendue qui plus est, plus forte qu'ailleurs, et je dirais que tu remplie une bonne partie de ce quetu t'étais fixée.

Ambition... C'est vrai qu'à partir du moment où on cherche à écrire, on est ambitieux, au vu du temps que ça prend. Merci vraiment du commentaire, ça fait vraiment plaisir qu'un passage qu'on se dit réussi est globalement considéré comme tel.

Pour la flèche, ça marche, on le retiens et on sait que c'est important.

Ce n'est en plus pas vraiment le plus important, ça donne juste le nombre de protagonistes :lol: .

Mais il manque pour moi un peu de mystère. Pour qu'il existe, il faut quand même donner des explications, là, nous n'en avons pas qui nous permette de vraiment construire un mystère, on a plus une histoire qui se déroule en ayant l'impression qu'on ne veut pas nous expliquer des choses parfois simple.

Tu viens de m'éclairer ma lanterne! Là je remarque que mon texte gagnerait à avoir quelques explications plus claires, surtout sur la mort d'il y a quatre ans. Là je l'évoque trop rapidement, je pense que si j'en parle plus, mais sans non plus trop en dire, ce sera mieux... Encore quelque chose à refaire (décidemment, le planning de mon mois de décembre est déjà plein :D ).

Un mystèe c'est un mélange d'explcit et de non dit. Il manque le premier volet. Tu peux très bien introduire des scènes d'action ou des évènements qui le fasse naitre. Pour moi, c'est le principal reproche.

Je vais essayer, mais malheureusement pas ce week-end (ce n'est pas l'envie qui me manque, mais le temps).


Encore merci Zara, et ne t'inquiète pas, je n'avais absolument pas été vexé à un seul moment, au contraire!

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il y a 18 ans 4 mois #8803 par Gulix
Réponse de Gulix sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]
Désolé, mais vu la quantité de remarques, j'ai pas eu le courage de lrie tout ce qui a au-dessus :oops:

Voici néanmoins ma critique :

Premier chapitre

Comme l'ont souligné Zara et Krycek, j'ai un peu de mal à identifier les compagnons. Qui est qui ? Qui est mort ? etc...

La scène fatale (l'attaque) est pour ma part arrivée trop brusquement. Un sifflement qui réveillerait Kev, avec une scène presque au ralenti, comme dans bcp de film de guerre, me paraissait une meilleure idée.

Et puis, mourir d'une seule flèche dans le ventre, c'est pas assez réaliste à mon sens. Tu aurais pu le faire souffir et agoniser :twisted:

Au final, malgré une bonne histoire, ce chapitre pèche surtout par le flou entretenu autour des 7 compagnons (qui ne sont plus que 5, maintenant)

Deuxième Chapitre

Bien meilleur est ce chapitre. La cérémonie m'a beaucoup plu, et est parfaitement décrite. On y ressent l'atmosphère lourde, et elle nous permet de bien découvrir l'univers. Le seul point faible de ce chapitre concerne le Duc, qui semble se confesser trop rapidement aux compagnons, qui ne me semblent pas pour autant être des nobles...

Voila

C'est concis, mais je dirais que c'est un premier avis positif. Si on en apprend plus sur les compagnons restants, la suite devrait être bien meilleure !

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il y a 18 ans 4 mois #8809 par Iliaron
Réponse de Iliaron sur le sujet Re: Iliaron - Les 7 Compagnons [Halloween 2005]

Comme l'ont souligné Zara et Krycek, j'ai un peu de mal à identifier les compagnons. Qui est qui ? Qui est mort ? etc...

Pas de problème, un prologue est rédigé et relu, avec la description de tous les personnages!

Un sifflement qui réveillerait Kev, avec une scène presque au ralenti, comme dans bcp de film de guerre, me paraissait une meilleure idée.

Ne t'inquiète pas nn plus, j'ai rerédigé complétement la scène de l'attaque. Mais il faut que j'adapte le début du chapitre I au prologue (forcément, il y a des choses qui sont dans les deux, les descriptions par exemple)

Et puis, mourir d'une seule flèche dans le ventre, c'est pas assez réaliste à mon sens. Tu aurais pu le faire souffir et agoniser

Non, je ne suis pas sadique^^
Et puis, dis-toi qu'ils n'ont malgré tout pas d'armures (même s'ils ont peur d'une attaque, c'est une veillée censée être amicale).

Au final, malgré une bonne histoire, ce chapitre pèche surtout par le flou entretenu autour des 7

Je risque d'avoir du mal à le gérer...

Le seul point faible de ce chapitre concerne le Duc, qui semble se confesser trop rapidement aux compagnons, qui ne me semblent pas pour autant être des nobles...

Déjà je compte réécrire tout son discours... Et c'est noté quand à la confession trop rapide!
Mais disons qu'il se confessera quand même, même s'ils ne sont pas des nobles, le duc est un personnage déchiré entre ses obligations pour la cité et entre... entre autre chose.
Comme tu as dit, il se confesse, il s'enlève un poids de sa conscience, c'est quand même un homme (bon, j'essaierai de voir ce que je peux faire quand même).

Si on en apprend plus sur les compagnons restants, la suite devrait être bien meilleure !

Ca risque d'être le prologue qui t'apportera ces réponses :lol: . Pas tellement la suite.


Faudra vraiment que je me décide à mettre les espaces entre paragraphes, que je puisse poster sous SPIP (sinon ça va être du zoli pavé :lol: )

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Modérateurs: SanKundïnZarathoustra
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