L'ennemi intérieur - Monthy3 [Janvier 2006]
- Iliaron
- Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Messages : 427
L'intro met vraiment dans le ton, c'est à mon avis une merveille du genre! Il y a des parallélismes intéressants (commenter/contempler), et le ton mystérieux, et à la fois clair, du narrateur (?) aide vraiment à entrer dans l'histoire.
Bref, bravo, toute cette partie en italique est un délice du genre!
Cela renvoit à une qualité. Au contraire, même si le "pauvre" est dans son élément, ce serait plutôt négatif.l’autre paraissait vraiment dans son élément.
Je ne trouve pas de tournure de phrase pour bien expliciter, mais par exemple, en sport, quand quelqu'un excelle, on dit qu'il est dans son élément. Dans la pauvreté, quand quelqu'un croupit dans la misère, il y est certes habitué, mais dire qu'il est dans son "élément" m'apparaît déplacé.
(à moins que j'ai imaginé la misère, c'est ce qu'il faut croire par la suite. Mais quand même, "être dans son élément" m'apparaît bien familier pour l'ambiance de ton début de texte.)
(en fait, c'est clair que ce n'est pas un pauvre, mais je maintiens que l'expression est trop familière (je suis têtu^^))
Pas besoin de répétition.dans un fourreau noir, fourreau qui frottait contre le long manteau de l’assassin
Je trouve qu'il y a erreur de style: une virgule de trop.algré ses paroles sûres, ses doigts crispés et son visage, presque blanc, révélaient un malaise constant, un profond tourment
Là, avec tes deux virgules, tu crées deux incises, une est bien assez suffisantes.
Je dois dire que dans la partie "normale" tu as quelques phrases un peu trop saccadées.
plus qu'elle, pas plutôt (à moins que ce ne soit moi qui ne connaisse pas bien l'expression, c'est possible)ajoutait à sa honte plutôt qu’elle ne le soulageait
Je trouve le passage un peu en dessous de l'intro. Le dialogue me semble vraiment vivant et maîtrisé (un bon point, donc), mais dans les paragraphes de présentations, il y a quelques lourdeurs. Surtout au moment de passer la parole, en fait:
Par exemple celle-ci. Je n'aime pas trop le "c'est", on dirait que tu n'as pas réussi à maintenir le niveau du reste du paragraphe.C’est cette silhouette, un visage sombre engoncé dans des vêtements plus sombres encore, qui était en train de parler.
IdemC’est lui qui poursuivit.
Insiste à mon avis:nous apprendrons la mort de votre proie.
- De votre proie.
- De votre proie" corrigea l'assassin.
A la limite, c'est logique:- étaient parallèles ou perpendiculaires les unes par rapport aux autres,
prends deux perpendiculaires à une même droite, t'as une parallèle.
Avec seulement des parallèles, c'est dur de passer d'une rue à une autre
Ce serait plutot: "ordonné ou en désordre" qu'il faudrait mettre en avant (mais écrit dans ton style, bien entendu!)
Sinon, rien qu'avec l'apport des anecdotes sur la ville, sois conscient que tu fais vivre ce monde, encore un point positif!
C'était là (logique avec le temps de ton texte)Surtout, c’est là que Lametrouble avait ses fournisseurs.
Disons que dis comme ça ça fait très... moderne. Je comprends quand même ce que tu signifies, mais ce "/3 ME GËNE UN PEUBon, est-ce que le rapport mort/herbes
Ca fait partie de ces passages un peu en-dessous car ils semblent assez intuiles et par rapport à leur importance sont bien trop longs. Ce qui nous intéresse n'est pas la manière dont est installé l'éclairage, mais pourquoi, ou alors les mimiques de l'homme à la vue de certaines plantes. Et même ça serait bien long...L’éclairage était dispensé par une lucarne qui permettait au soleil de prodiguer sa lumière aux plantes en question, une lampe à huile surplombant le comptoir, et un chandelier finement sculpté posé sur une petite bibliothèque à peu près vide, dont les rares ouvrages portaient tous sur l’herborisme.
Excellent!!! Sans rire, j'adore cet humour léger, vraiment!- Eh bien, eh bien, où est le problème ? Sept feuilles pour sept morts, le compte y est.
- Faux : deux feuilles pour sept morts. Tes Larmes gelées se sont montrées sans effet. Pour le prix qu’elles m’ont coûté... Je suis déçu.
Une fois encore, ça donne un peu de vie, mais au "profit" d'une certaine lourdeur.Lametrouble prit la direction de son deuxième fournisseur habituel, dont la forge donnait malheureusement directement sur la Voie magique, c’est-à-dire sur une rue régulièrement empruntée par presque tous les habitants du quartier. Son tenant, un certain Soran, justifiait son emplacement par le fait qu’il attirait plus de clients et qu’il se sentait protégé des dangers du quartier par, justement, la forte fréquentation.
Ca fait un peu heureux hasard (enfin, heureux...) mais que ça se passe-t-il pile quand le héros approche... Je pense quand même que ça a un lien avec l'aventure, mais je préférais signaler ma première impression.Toute une foule se pressait à la devanture de la forge, s’agitant, piaillant, s’excitant. Pas besoin de se rapprocher davantage pour en connaître la raison : soit Soran avait péri, soit il avait disparu. Mais le tourbillonnement des flux de magie et leur couleur rouge intense ne laissaient planer aucun doute sur le funeste sort du forgeron.
Il aurait peut-être fallu faire passer cela en narration, du style l'homme s'arrête et bégaie un peu... Du moins dir eun peu sa réaction, pas juste la phrase qui semble tellement exagéré qu'elle en est hypocrite (ça doit sûrement être cela, mais là c'est trop visible )La tristesse me submerge.
Il n'y a pas à dire, mais ce texte me laisse vraiment une très bonne impression. Le procédé que tu uses afin de décrire ton monde (les passages italiques, donc) est vraiment maîtrisé, cela ne coupe nullement l'action, et la voix didactique du "maître" est vraiment bien maniée. Bref, pour la présentation, du tout bon!
De même, tu parviens, grâce à des descriptions d'anecdotes et à la recherche du détail qui fait vrai, de faire vivre ton monde. Mais fais attention tout de même, dès fois tu vires un peu dans la surenchère, et il y a certaines lourdeurs.
les dialogues me semblent vraiment bine maîtrisées aussi, peut-être que certaines répliques mériteraient quand même d'être complétés d'une phrase narrative (Il corrigea, il éluda... (des exemples pris au hasard).
Les descriptions sont aussi bien faites, mais parfois avec la surenchère de descriptions de détails qui semblent inutiles, ça perd de son intérêt. Si cela sera plus tard utile, rend les alors utile maintenant, décris par exemple un peu plus la fonction... Mais du moins, si cela dopit plus tard être utile, fais-nous comprendre quand on lit la description que plus tard ça servira, sème des indices. Si cela est juste pour le détail, raccourci (exemple: les lampes)
Les descriptions des personnages sont assez bien réalisées, mais je trouve que c'est quand même ton point faible. Quand tu cherches à les faire un peu plus longues, il manque, je trouve, un fil directeur (pas forcément évident à trouver), et peut-être augmenter l'aspect psychologique (remarque, j'admire quand même ton style qui avec des considérations physiques fait passer la psychologie, vraiment bien réalisé!). Surtout qu'au point de vue physique, on passe parfois du cop à l'âne:
Rend-toi compte, tu passes de la description d'un pendentif qui, même si tu dis que ça frappe l'observateur, je n'en suis pas sûr, c'est quand même assez discret! Surtout qu'il y a une "petite" chaîne" (moins visible), et là ils sont à l'arrêt, donc pas de mouvements....Son visage, exposé, se révélait relativement commun ; ses yeux, marron foncé, étaient au diapason d’une chevelure sombre et désordonnée, quoique pas très longue ; même le teint mat de sa peau ne parvenait pas à éclairer sa face relativement propre. Bien qu’il ne fût pas plus grand que les autres et malgré son origine sociale modeste, il semblait dominer par sa prestance ses interlocuteurs. Il était équipé du strict minimum pour le lieu à risques où il se trouvait ; de toute façon, ici, le risque, c’était lui. Ainsi, une dague effilée et parfaitement aiguisée se réchauffait dans un fourreau noir, fourreau qui frottait contre le long manteau de l’assassin. La seule autre chose qui frappait l’observateur au premier aperçu de l’homme était son pendentif : une pièce de cuivre, attachée par une petite chaîne de fer, qui reposait sur sa poitrine et s’agitait au moindre mouvement, émettant alors un léger grincement. C’est cette silhouette, un visage sombre engoncé dans des vêtements plus sombres encore, qui était en train de parler.
'Fin, c'est quand même pas très visible, puis juste après, alors que tu avais déjà évoqué le visage, tu passes à l'élément qui frappe le plus: le visage engoncé qui donne vraiment l'ambiance.
Je saisis ton cheminement, tu veux introduire le dialogue, mais il faudrait par exemple faire la réplique au début, puis la description ensuite. Ca évite l'incohérence de cette description
Ce qui m'amène à ton autre défaut: pour commencer un dialogue, tu as un peu de mal, tu désignes trop clairement les personnages ("c'est")(mais bon, j'avoue avoir ce problème aussi, donc je te le dis, mais je n'arriverai pas à te donner des conseils )
Mon avis est donc plus que positif, je dois avouer que je m'attendais à du moins bon que cela! Bravo pour ce début prometteur!
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Monthy3
- Hors Ligne
- Messages : 673
Si je suis laconique, c'est normal.
Je considère qu'il est effectivement à l'aise dans cette misère ; mais ce n'est pas forcément négatif. Il connaît cette misère, il la côtoit tous les jours, voilà la signification de l'expression. Rien de plus.Citation:
l’autre paraissait vraiment dans son élément.
Cela renvoit à une qualité. Au contraire, même si le "pauvre" est dans son élément, ce serait plutôt négatif.
Mais elle n'est pas non plus forcément malvenue.Citation:
dans un fourreau noir, fourreau qui frottait contre le long manteau de l’assassin
Pas besoin de répétition.
Je t'accorde que la phrase n'est pas parfaite, mais la virgule ici est essentielle. Car il y a une opposition entre les paroles sûres et le reste, et c'est le reste qui compte pour ce qui suit. A la limite, je pourrais enlever les 2 virgules.Citation:
algré ses paroles sûres, ses doigts crispés et son visage, presque blanc, révélaient un malaise constant, un profond tourment
Je trouve qu'il y a erreur de style: une virgule de trop.
Là, avec tes deux virgules, tu crées deux incises, une est bien assez suffisantes.
Je dois dire que dans la partie "normale" tu as quelques phrases un peu trop saccadées.
Cela ne me choque pas à l'oreille. Et c'est sur ça que je me base. Disons que les 2 formes ont un sens différent. Elle ne le soulage pas du tout, le "plus" aurait onc un sens différent.Citation:
ajoutait à sa honte plutôt qu’elle ne le soulageait
plus qu'elle, pas plutôt (à moins que ce ne soit moi qui ne connaisse pas bien l'expression, c'est possible)
C'est dû au nombre de personnages. Mais tu as là-aussi raison ; il est à noter que je n'emploie plus guère le "c'est" dans les chapitres suivants.Citation:
C’est cette silhouette, un visage sombre engoncé dans des vêtements plus sombres encore, qui était en train de parler.
Par exemple celle-ci. Je n'aime pas trop le "c'est", on dirait que tu n'as pas réussi à maintenir le niveau du reste du paragraphe.
Citation:
C’est lui qui poursuivit.
Idem
Jamais je n'emploie d'incise de cette sorte dans mes dialogues.Citation:
nous apprendrons la mort de votre proie.
- De votre proie.
Insiste à mon avis:
- De votre proie" corrigea l'assassin.
Oui, je ne savais pas trop comment le faire passer. Le tout était de signifier qu'il s'agit de rues telles qu'on se les représente quand on pense à une véritable ville.Citation:
- étaient parallèles ou perpendiculaires les unes par rapport aux autres,
A la limite, c'est logique:
prends deux perpendiculaires à une même droite, t'as une parallèle.
Avec seulement des parallèles, c'est dur de passer d'une rue à une autre Clin d'oeil
Ce serait plutot: "ordonné ou en désordre" qu'il faudrait mettre en avant (mais écrit dans ton style, bien entendu!)
Je pense que le présent est possible (logique sinon je l'aurais enlevé). A voir.Citation:
Surtout, c’est là que Lametrouble avait ses fournisseurs.
C'était là (logique avec le temps de ton texte)
On m'a déjà fait la même remarque. Comment paraître moins anachronique ? En mettant un "-" à la place du "/" ?Citation:
Bon, est-ce que le rapport mort/herbes
Disons que dis comme ça ça fait très... moderne. Je comprends quand même ce que tu signifies, mais ce "/3 ME GËNE UN PEU Embarassé
Moui, mais j'aime bien décrire. Et puis, je n'aime pas ne pas savoir où ça se passe. Cela permet aussi de donner un aperçu de la personnalité de Nathan (oui, même dans l'éclairage).Citation:
L’éclairage était dispensé par une lucarne qui permettait au soleil de prodiguer sa lumière aux plantes en question, une lampe à huile surplombant le comptoir, et un chandelier finement sculpté posé sur une petite bibliothèque à peu près vide, dont les rares ouvrages portaient tous sur l’herborisme.
Ca fait partie de ces passages un peu en-dessous car ils semblent assez intuiles et par rapport à leur importance sont bien trop longs. Ce qui nous intéresse n'est pas la manière dont est installé l'éclairage, mais pourquoi, ou alors les mimiques de l'homme à la vue de certaines plantes. Et même ça serait bien long...
Tu apprendras dans le chapitre 2 que...Citation:
Toute une foule se pressait à la devanture de la forge, s’agitant, piaillant, s’excitant. Pas besoin de se rapprocher davantage pour en connaître la raison : soit Soran avait péri, soit il avait disparu. Mais le tourbillonnement des flux de magie et leur couleur rouge intense ne laissaient planer aucun doute sur le funeste sort du forgeron.
Ca fait un peu heureux hasard (enfin, heureux...) mais que ça se passe-t-il pile quand le héros approche... Je pense quand même que ça a un lien avec l'aventure, mais je préférais signaler ma première impression.
Bah oui, c'est de l'ironie. Et il ne cherche pas à la rendre discrète.Citation:
La tristesse me submerge.
Il aurait peut-être fallu faire passer cela en narration, du style l'homme s'arrête et bégaie un peu... Du moins dir eun peu sa réaction, pas juste la phrase qui semble tellement exagéré qu'elle en est hypocrite (ça doit sûrement être cela, mais là c'est trop visible Clin d'oeil )
Le pendentif est très visible, étant donné qu'il repose sur la poitrine de l'assassin.Surtout qu'au point de vue physique, on passe parfois du cop à l'âne:
Citation:
Son visage, exposé, se révélait relativement commun ; ses yeux, marron foncé, étaient au diapason d’une chevelure sombre et désordonnée, quoique pas très longue ; même le teint mat de sa peau ne parvenait pas à éclairer sa face relativement propre. Bien qu’il ne fût pas plus grand que les autres et malgré son origine sociale modeste, il semblait dominer par sa prestance ses interlocuteurs. Il était équipé du strict minimum pour le lieu à risques où il se trouvait ; de toute façon, ici, le risque, c’était lui. Ainsi, une dague effilée et parfaitement aiguisée se réchauffait dans un fourreau noir, fourreau qui frottait contre le long manteau de l’assassin. La seule autre chose qui frappait l’observateur au premier aperçu de l’homme était son pendentif : une pièce de cuivre, attachée par une petite chaîne de fer, qui reposait sur sa poitrine et s’agitait au moindre mouvement, émettant alors un léger grincement. C’est cette silhouette, un visage sombre engoncé dans des vêtements plus sombres encore, qui était en train de parler.
Rend-toi compte, tu passes de la description d'un pendentif qui, même si tu dis que ça frappe l'observateur, je n'en suis pas sûr, c'est quand même assez discret! Surtout qu'il y a une "petite" chaîne" (moins visible), et là ils sont à l'arrêt, donc pas de mouvements....
'Fin, c'est quand même pas très visible, puis juste après, alors que tu avais déjà évoqué le visage, tu passes à l'élément qui frappe le plus: le visage engoncé qui donne vraiment l'ambiance.
Je saisis ton cheminement, tu veux introduire le dialogue, mais il faudrait par exemple faire la réplique au début, puis la description ensuite. Ca évite l'incohérence de cette description
Ce qui m'amène à ton autre défaut: pour commencer un dialogue, tu as un peu de mal, tu désignes trop clairement les personnages ("c'est")(mais bon, j'avoue avoir ce problème aussi, donc je te le dis, mais je n'arriverai pas à te donner des conseils Clin d'oeil )
La dernière phrase est en fait un bilan de la description, c'est pourquoi elle reprend le visage. Donc, pas vraiment d'incohérence, à mon sens.
Quant au défaut sur les dialogues, c'est vrai ; mais lorsque j'ai plus de 2 personnages, il faut savoir qui parle. Tu le verras notamment dans le chapitre 2, qui n'est qu'une conversation entre 11 (!) personnages. Bref, oui, c'est un peu lourd ou maladroit, mais c'est, je trouve, indispensable pour que le lecteur s'y retrouve.
En tout cas, je m'excuse si je me suis montré froid ou fermé aux critiques (de toute façon, je le défendrai bec et ongles ), j'espère que ça ne se reproduira pas...
Enfin, sinon, je ne répondais pas... Peut-être cela valait-il mieux ?
Monthy, dans une mauvaise passe
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Iliaron
- Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Messages : 427
Pas du tout, je préfère une réponse, et la tienne est quand même bien plus ouverte que certaines que l'on peut trouver .En tout cas, je m'excuse si je me suis montré froid ou fermé aux critiques (de toute façon, je le défendrai bec et ongles ), j'espère que ça ne se reproduira pas...
Enfin, sinon, je ne répondais pas... Peut-être cela valait-il mieux ?
J'espère que tes problèmes se rétabliront!dans une mauvaise passe
Entendu. Mais il est vrai qu'au début j'étais un peu perturbé par les trois nouveaux personnages, donc il faut le temps de comprendre... Mais je pense que dire qu'il se sent à l'aise pourrait... Enfin, je chipote, et c'est quand même ton texte!Je considère qu'il est effectivement à l'aise dans cette misère ; mais ce n'est pas forcément négatif. Il connaît cette misère, il la côtoit tous les jours, voilà la signification de l'expression. Rien de plus.
Après ta proposition d'enlever les 2 virgules j'ai relu et là j'ai mieux remarqué que les deux virgules étaient indissociables l'une de l'autre. Excuse-moi.Je t'accorde que la phrase n'est pas parfaite, mais la virgule ici est essentielle. Car il y a une opposition entre les paroles sûres et le reste, et c'est le reste qui compte pour ce qui suit. A la limite, je pourrais enlever les 2 virgules.
Ne t'inquiète pas, si je t'avais proposé cette solution, c'était en fonction de mes oreilles .Cela ne me choque pas à l'oreille. Et c'est sur ça que je me base.
Parfait (je ne suis pas fan de "c'est", et pourtant je dois l'utiliser tant de fois )Mais tu as là-aussi raison ; il est à noter que je n'emploie plus guère le "c'est" dans les chapitres suivants.
ok, je saisisJamais je n'emploie d'incise de cette sorte dans mes dialogues.
Tout dépend de la vision de la ville, et ne t'inquiète pas, j'avais parfaitement compris la vision de la ville. C'est peut-être un pléonasme de préciser les deux, mais au moins on comprend parfaitement!Le tout était de signifier qu'il s'agit de rues telles qu'on se les représente quand on pense à une véritable ville.
J'avoue ne pas savoir, là je corrigeais à partir des observations de mes oreillesJe pense que le présent est possible (logique sinon je l'aurais enlevé). A voir
Déjà, désolé du passage en gras, erreur au niveau du clavier^^On m'a déjà fait la même remarque. Comment paraître moins anachronique ? En mettant un "-" à la place du "/" ?
Ensuite, après lecture de ta critique, j'ai relu la phrase, et finalement il est normal que l'homme prononce cela comme ça, ça sonne naturel! Donc "/" ou "-" à toi de voir, l'avantage du "-" est qu'il a moins une connotation futuriste.
okCela permet aussi de donner un aperçu de la personnalité de Nathan (oui, même dans l'éclairage
ok. J'ai la mauvaise habitude de toujours considérer un médaillon comme caché, à plus forte raison quand l'homme semble passer pour quelqu'un spécialiste de la dissimulation.La dernière phrase est en fait un bilan de la description, c'est pourquoi elle reprend le visage. Donc, pas vraiment d'incohérence, à mon sens.
Il est vrai que si tu n'utilises pas d'incises, je ne vois pas comment tu pourrais t'y retrouver!Quant au défaut sur les dialogues, c'est vrai ; mais lorsque j'ai plus de 2 personnages, il faut savoir qui parle. Tu le verras notamment dans le chapitre 2, qui n'est qu'une conversation entre 11 (!) personnages. Bref, oui, c'est un peu lourd ou maladroit, mais c'est, je trouve, indispensable pour que le lecteur s'y retrouve.
A moins que chaque personnage ait un caractère vraiment bien particulier, mais déjà il faut que le lecteur puisse se familiariser avec les spécificités de chacun, et enfin les caractères particuliers, ça marche pour quatre ou cinq, mais onze!
Hâte de voir ce que ça donne, histoire de voir comment tu as géré cela, ça pourra toujours m'aider
Iliaron
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Krycek
- Hors Ligne
- Messages : 2935
Je passe donc directement au fond et au style :
Comme je te l'avais dit dans les travaux d'écriture, j'ai du mal avec les auteurs qui s'adressent à leur lecteur. Et pourtant ! Ici c'est plus qu'agréable, tu n'en fais pas trop, ces interventions sont intéressantes et utiles à la compréhension, le mépris déguisé est un bon élément lui aussi.
Je ne sais pas en fait si j'ai envie de savoir qui me parle... disons que pour l'instant ça passe très bien !
Pour ce qui est du fond, je dois dire que beaucoups d'idées fourmillent dans ton texte, on sent qu'un monde est créé derrière, quand le perso rentre dans une échoppe on pourrait presque toucher les objets disséminés et... c'est vraiment TRES agréable. Tes descriptions sont superbes, pas trop lourdes et il y a une idée qui m'a beaucoup plus : la magie visible en rubans et autres artifices ! Ca c'est vraiment bien vu ! Cela donne la possibilité à de beaux combats ou de beaux effets !
Un point négatif majeur pour ma part : les dialogues. Si tu te relis, tu remarqueras qu'il serait peu banal d'entendre personnes parler comme ça. Disons qu'il faut d'abord faire la différence entre le langage récit et celui des dialogues, moins structuré normalement.
Et puis certains persos en font un peu trop :
Je trouve que tu passes du savon dans le dos de ton héros. Je retrouve quelques points négatifs que j'avais/j'ai dans Pandémonium et que j'ai modifié pour rendre le récit moins... moins... je ne sais pas.Monthy3 écrit: - Je n’ai d’ami...
- Que le hasard, oui, je sais, je connais la rengaine. Tu ne changeras jamais, n’est-ce pas ? Toujours seul, et détaché du monde. Au moins, tu ne feras pleurer personne lorsque tu mourras... Comme tout le monde, finalement, n’est-ce pas ? Bon, est-ce que le rapport mort/herbes s’est révélé avantageux cette fois-ci ?
un peu le syndrome DBZ (bien que je sois fan de cette série : Dragon Ball (Z)) où les personnages secondaires ne font que de saliver, d'agrandir leur sentiments, d'éxagérer sur le dramatisme et la force des personnages principaux.Monthy3 écrit: - Je veux des informations, petit marchand. Demain, je serai là à la même heure ; sois présent : tu sais que sinon, je te traquerai jusqu’au bout du monde pour te briser.
Disons que si tu parles plus de l'effet de ton perso sur les autres en plaçant une phrase de ci de là, tu n'auras plus besoin de ces paroles de "pnj" qui fantasment sur le perso principal.
C'est le seul défaut que j'ai vraiment trouvé. FRANCHEMENT : j'en redemande, je n'ai que peu de temps et ne peux lire les chapitres suivants des travaux d'écriture, mais ne nous quitte pas (snif !) j'espère la suite à la prochaine MAJ !
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Monthy3
- Hors Ligne
- Messages : 673
@ Iliarion :
Je modifierai donc sûrement les quelques temps inappropriés. Marrant, ça, on fonctionne tous les deux à l'oreille... Je me demande si c'est le cas de tout le monde.
Sinon, j'ai dit que je ne mettais pas d'incises, c'est vrai ; mais je compense par des phrases que je glisse entre deux paroles. Je préfère.
@ Krycek :
Déjà, évidemment, merci pour les compliments.
En fait, je ne vois pas trop où c'est choquant. *Se remémore les dialogues* Hmm ; très franchement, je ne vois pas. Ce serait bien que tu me cites un passage, histoire que je m'en rende compteUn point négatif majeur pour ma part : les dialogues. Si tu te relis, tu remarqueras qu'il serait peu banal d'entendre personnes parler comme ça. Disons qu'il faut d'abord faire la différence entre le langage récit et celui des dialogues, moins structuré normalement.
"passer du savon" = ? Tu veux dire que ça fait un peu trop "procédé artificiel pour apporter des renseignements sur le héros" ?Je trouve que tu passes du savon dans le dos de ton héros. Je retrouve quelques points négatifs que j'avais/j'ai dans Pandémonium et que j'ai modifié pour rendre le récit moins... moins... je ne sais pas.
Ok, je vois ce que tu veux dire. En même temps, le personnage qui parle n'est pas LE personnage principalun peu le syndrome DBZ (bien que je sois fan de cette série : Dragon Ball (Z)) où les personnages secondaires ne font que de saliver, d'agrandir leur sentiments, d'éxagérer sur le dramatisme et la force des personnages principaux.
Disons que si tu parles plus de l'effet de ton perso sur les autres en plaçant une phrase de ci de là, tu n'auras plus besoin de ces paroles de "pnj" qui fantasment sur le perso principal.
Je veillerais à ça à l'avenir.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Imperator
- Hors Ligne
- Messages : 751
Dans cette dernière catégorie, je plaçerais surtout ces fameux dialogues de l'auteur.
S'il me parle, je suis sensé voir le château. Pourquoi alors vouloir que je me représente l'aspect extérieur par le nom? Étrangement, moi, ça m0a choqué. (étrangement car visiblement pas les autres).ce nom en dit long sur les événements qui s’y déroulent, et sur son aspect extérieur :
Transition assez pauvre...M'enfin, ça ressort surtout parce que le reste est bien mené.Je t’invite désormais à t’intéresser au reste de la ville. As-tu remarqué ce petit quartier éblouissant au nord de la Lumière de cendres ?
Là j'ai énormément apprécié la transition. C'est préparé, l'effet est soigné. Tu parlais à la fin du quartier mendiant, le "sois fort" puis nous voilà au coeur de l'action. Vraiment une belle transition.Ah ! Je parle trop, je te l’ai déjà dit. Maintenant, je me tais. Laisse-toi immerger dans ce monde, dans le monde ; je t’y abandonne, seul. Sois fort.
Dans une ruelle similaire
Voyons maintenant quelques éléments:
Les personnages:
Je dénombre en vrais personnages:
- le noble peureux mais vil. Paradoxe intéressant, d'autant plus lorsqu'il se mettra réellement à agir sans plus érpouver de scrupules, lorsqu'on verra son fond mauvais après l'avoir vu gentil. J'en salive d'avance.
- l'ami du noble, style amusant et amusé, sûr de lui et mystérieux malgré son ouverture. Une personnalité attirante très bien retranscrite. Très réussi.
- l'herboriste. L'est pas le plus doué, mais connait son truc, sympatique, un peu caricaturé mais pas trop. Cool pour l'ambiance. Pour le moment pas de véritable personnalité qui ressortirait.
- le héros... Il aime le hasard, c'est l'archétype de l'assassin, heureusement que l'univers à côté a des éléments assez amusants pour contrebalancer, parce que lui c0est un vrai glaçon. On le suit en spectateur, mais en tout cas pas à sa place. À voir si ça aura un rôle.
J'appuie sur l'effet "passer du savon" dénoncé avant moi. M'enfin, à voir la suite.
Dans l'ensemble, des personnages plutôt sympatiques. On pourrait y ajouter le narrateur avec son fameux mépris déjà cité qui est lui aussi un élément attrayant. Je ne crois pas déceler de difficultés chez toi pour gérer les persos.
Alors observons la structure du texte:
- intro avec narrateur: présentation du monde.
- intro perso principal et début introgue.
- euh... transition.
Alors première partie, c'est bon. Faut retravailler le style selon moi (rendre le narrateur plus crédible, user des bons vieux trucs de descriptions), mais c'est bon.
La seconde partie, on la comprend. Elle introduit le pero principal, le noble paradoxal, son ami... Elle démarre l'intrigue, bref, c'est chouette.
Troisième partie... Je résume:
- il va chez son pote l'herboriste, se plaint de ses lames, commande un truc spécial. Ensuite il va chez l'armurier, le trouve mort et demande à un marchand de tout lui raconter le lendemain.
Pour moi, ça relève du JdR pur (le PJ fait ses emplettes), mais niveau texte ça manque cruellement d'action. Quelle est la vraie raison d'être de ce passage, qu'apporte-t-il? Des infos sur le héros? On apprend rien. Présenter l'herboriste? Visiblement il lui manque une personnalité. Ce n'est guère pour le moment qu'un personnage très secondaire, même si c'est le pote au héros.
L'accident à la forge? Bof...
Ce que je veux dire, c'est que tout ça aurait pu être résumé en quelques lignes sans nuire au récit. Il va chercher ses deux petits fruits, il voit un problème à la forge, ça fait avancer le scénar' mais pas vraiment l'intrigue. Ou alors c'est dix fois trop amené.
Le fondement du problème pourrait venir du manque d'importance des éléments. Je détaille:
- l'herboriste... on sait rien dessus. Il a eu un passé, il a fait des expériences, il est laid. Point à la ligne. En gros, c'est du décorum.
- la forge:
Ah, il est mort? Mince alors... Oui, j'avoue, j'ai pas du tout été touché. Le tout semble presque normal. Introduire l'évênement, en développer l'aspect lugubre ou chercher à lui donner un sens premier eut été pas mal. Des bruits dans la foule sur le possible meurtrier, le fait que ça s'était jamais vu depuis longtemps, ou que chacun se mettait à craindre pour lui-même puisque le forgeron avait pu être atteint... ou simplement le héros qui se met à penser que quelque chose ne tourne plus rond... Je ne sais pas moi.Comme il arrivait quasiment à l’échoppe, un bruit inhabituel le poussa à ralentir ; discret, il avança prudemment jusqu’au coin de la rue du Chien errant, perpendiculaire à la Voie magique, puis jeta un regard.
Toute une foule se pressait à la devanture de la forge, s’agitant, piaillant, s’excitant. Pas besoin de se rapprocher davantage pour en connaître la raison : soit Soran avait péri, soit il avait disparu. Mais le tourbillonnement des flux de magie et leur couleur rouge intense ne laissaient planer aucun doute sur le funeste sort du forgeron.
Mais en gros, si j'ai mis "transition", c'est que pour moi lecteur, le héros est allé chercher deux fruits qui m'importent bien peu et a vu le forgeron mort. Je n'ai rien à voir avec ces deux événements. Que m'importent les fruits? Pour le moment je ne sais rien. QUe m'importe le forgeron? Je ne le connaissais même pas.
Bref, je me sens à la traîne, je ne me sens plus concerné par l'intrigue. Au fond c'est un peu dommage.
Bon, plus de temps... j'espère ne pas être paru trop négatif. C'est comme toujours, on dit ce qu'il y a de mauvais, mais pas ce qu'il y a de bien, et là aussi y a du très bon . Quand j'ai fini le morceau, j'me suis dit "tiens, déjà fini?". J'en aurais lu facilement plus.
Mais il faut que j'y aille.
Impe, pressé.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Monthy3
- Hors Ligne
- Messages : 673
En fait, cette phrase est plus une explication de l'aspect extérieur que la description du château ; le narrateur dit pourquoi il est sombre, il ne dit pas qu'il est sombre. Enfin, si, un peu, mais ce n'est pas son but principal.Citation:
ce nom en dit long sur les événements qui s’y déroulent, et sur son aspect extérieur :
S'il me parle, je suis sensé voir le château. Pourquoi alors vouloir que je me représente l'aspect extérieur par le nom? Étrangement, moi, ça m0a choqué. (étrangement car visiblement pas les autres).
Je note.Citation:
Je t’invite désormais à t’intéresser au reste de la ville. As-tu remarqué ce petit quartier éblouissant au nord de la Lumière de cendres ?
Transition assez pauvre...M'enfin, ça ressort surtout parce que le reste est bien mené.
Pas forcément peureux... Plutôt tourmenté, rongé de l'intérieur.- le noble peureux mais vil. Paradoxe intéressant, d'autant plus lorsqu'il se mettra réellement à agir sans plus érpouver de scrupules, lorsqu'on verra son fond mauvais après l'avoir vu gentil. J'en salive d'avance.
Effectivement, ce sont exactement ses traits- l'ami du noble, style amusant et amusé, sûr de lui et mystérieux malgré son ouverture. Une personnalité attirante très bien retranscrite. Très réussi.
Il prendra de l'importance dans la suite du récit.- l'herboriste. L'est pas le plus doué, mais connait son truc, sympatique, un peu caricaturé mais pas trop. Cool pour l'ambiance. Pour le moment pas de véritable personnalité qui ressortirait.
Il est le personnage que je préfère. Ses comportements seront un vrai régal à écrire, pour moi- le héros... Il aime le hasard, c'est l'archétype de l'assassin, heureusement que l'univers à côté a des éléments assez amusants pour contrebalancer, parce que lui c0est un vrai glaçon. On le suit en spectateur, mais en tout cas pas à sa place. À voir si ça aura un rôle.
Je n'ai toujours pas compris ce que ça signifiait :J'appuie sur l'effet "passer du savon" dénoncé avant moi.
On apprend le nom du héros.mais niveau texte ça manque cruellement d'action. Quelle est la vraie raison d'être de ce passage, qu'apporte-t-il? Des infos sur le héros? On apprend rien. Présenter l'herboriste? Visiblement il lui manque une personnalité. Ce n'est guère pour le moment qu'un personnage très secondaire, même si c'est le pote au héros.
L'accident à la forge? Bof...
L'herboriste jouera un rôle important par la suite. Peut-être déjà essayer de lui donner une personnalité évidente ? Mais je pense que ce n'est pas encore le moment...
L'accident à la forge nous lance dans le vif du sujet.
Je vois parfaitement ce que tu veux dire ; mais j'ai besoin de présenter le monde, et ces épisodes sont autant d'opportunités pour présenter persos et lieux. Je ne vois pas vraiment comment je pourrai m'en passer.Ce que je veux dire, c'est que tout ça aurait pu être résumé en quelques lignes sans nuire au récit. Il va chercher ses deux petits fruits, il voit un problème à la forge, ça fait avancer le scénar' mais pas vraiment l'intrigue. Ou alors c'est dix fois trop amené.
Le but n'est absolument pas de toucher, c'est tout le contraire : qu'après tout, on ne ressente que de l'indifférence devant un acte qui reste tout de même un assassinat. Au fil du récit, j'espère justement transformer cette indifférence en d'autres sentiments...Ah, il est mort? Mince alors... Oui, j'avoue, j'ai pas du tout été touché. Le tout semble presque normal. Introduire l'évênement, en développer l'aspect lugubre ou chercher à lui donner un sens premier eut été pas mal. Des bruits dans la foule sur le possible meurtrier, le fait que ça s'était jamais vu depuis longtemps, ou que chacun se mettait à craindre pour lui-même puisque le forgeron avait pu être atteint... ou simplement le héros qui se met à penser que quelque chose ne tourne plus rond... Je ne sais pas moi.
Je ne vois pas trop quoi te répondre, si ce n'est qu'il s'agit d'un tout début d'un long récit. Par conséquent, c'est presque "normal" que tu ne sois pas plus emballé ; mais je pose beaucoup d'informations qui reviendront dans les chapitres suivants.Mais en gros, si j'ai mis "transition", c'est que pour moi lecteur, le héros est allé chercher deux fruits qui m'importent bien peu et a vu le forgeron mort. Je n'ai rien à voir avec ces deux événements. Que m'importent les fruits? Pour le moment je ne sais rien. QUe m'importe le forgeron? Je ne le connaissais même pas.
Bref, je me sens à la traîne, je ne me sens plus concerné par l'intrigue. Au fond c'est un peu dommage.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Imperator
- Hors Ligne
- Messages : 751
On le grandit, on le magnifie. "Il est grand, il est beau, il est mystérieux, etc...".Je n'ai toujours pas compris ce que ça signifiait
De tout le passage, c'est la seule chose que je n'avais pas retenue . J'avoue que ça m'amuse de le remarquer à présent.On apprend le nom du héros.
M'enfin, ça fait un moment que je voudrais essayer de développer mon commentaire, mais j'ai vraiment trop peu de temps...
Impe, sur le départ.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Zarathoustra
- Hors Ligne
- Messages : 2081
J'avais noté que tu enchainais par une description qui était un peu alourdit par des structures de pharses et un usage du point virgule sans doute approximatif.
Mais d'un autre côté, ces descriptions sont aussi une force dans le reste du récit pour donner corps au monde que tu créé.
Ce dernier est pour l'instant très manichéen, les pauvres d'un côté et les riches de l'autres.
Les personnages:
Pour l'instant, tu as l'art de les rendre crédibles. Bon, à la base, un assassin est quand même un personnage attirant. C'est un peu une facilité, mais tu sais le rendre nuancé: sa méconnaissance des herbes ne le rend pas omniscient.
Les autres perso sont également bien brossés et vivants.
Donc globalement, je dirais que tout ces éléments arrivent à nous faire oublier une intrigue qui pour l'instant est très classique. Mais c'est le début, donc attendons de voir où tout ça va nous mener.
Donc au final, une introduction plûtot réussie (mais c'est aussi ce qui est le plus facile à écrire). J'attends la suite avec impatience!
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Monthy3
- Hors Ligne
- Messages : 673
Les descriptions sont ce sur quoi je m'applique le plus, malheureusement ça n'a pas l'air de suffire... Je vais voir ça. Pour le ";", j'aime tellement cette ponctuation que je l'utilise énormément, parfois à mauvais escient
Tu parles du manichéïsme, tu es le premier à l'évoquer et je ne m'en étais même pas rendu compte Effectivement, le monde est plutôt manichéen, mais les personnages ne le seront pas, du moins c'est mon désir. Et puis, par la suite, bien et mal paraîtront bien futiles...
Enfin, c'est effectivement le classicisme du récit qui m'inquiète... J'ose espérer que l'intrigue se révèlera plus surprenante/captivante (sait-on jamais ) au fil du récit.
Moi aussi, j'attends ma suite avec impatience le chapitre 5 à finir )J'attends la suite avec impatience!
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- San
- Hors Ligne
- Messages : 1069
Très peu de choses à reprocher, j'ai hésité sur une ou deux tournures de phrases mais finalement elles sont passées sans véritable problème.
C'est vraiment du fait du haut niveau de tout le texte qu'on peut buter sur certains détails qui ne le méritent pas . Il faut avouer que c'est un travail de maître
Bon, je n'ai plus qu'à dire bravo et je vais bientôt pouvoir voter je crois. Vivement les prochains chapitres!
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.