Iliaron - les sept compagnons [mars 2006]
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Mais comme pour Pandémonium, si je retrouve là ton style, ce n'est jamais qu'une scène de transition qui s'offre à nous, divertissante ma foi .
Je note aussi que la description de l'elfe est très bien passée, jusqu'à la fameuse cape... Sans cette dernière, il est même possible que je ne l'eusse pas reconnue.
Impe, trop fatigué pour en dire plus.
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- Krycek
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Comme promis, j'ai lu le chapitre 3 que tu nous avais proposé la MAJ précédente. Dans l'ensemble je l'ai trouvé plutôt sympa, l'idée des héros de l'histoire qui tentent de fuir la bataille est plutôt sympa. Afin de m'atarder plus sur le nouveau chapitre, je vais éviter de reprendre les erreurs disséminées dans le texte que les autres auront sûrement pointées.
Ainsi j'ai relevé deux points négatifs, le premier étant lié à la bataille et le second au dernier morceau de l'histoire.
Je me suis demandé si c'était volontaire ou non mais j'ai trouvé biz z arre que tu ne nous offres aucune vue de l'ennemi aux portes du château. En effet, à aucun moment on ne les voit, ni ne connait leur nombre exact. D'ailleurs est-ce que le duc n'aurait pas du envoyer une troupe de reconnaissance afin de vérifier ce qu'on leur a dit : qu'il y avait du monde à la porte.
Dans la majeure partie des récits d'assaults de châteaux on apprends que l'on peu résister (en fonction des fortifications) à 1 contre 10 attaquants. Or s'il y a un millier de personnes dans le château il en faudrait au moins dix mille pour les inquiéter.
Le duc choisit de faire une sortie pour aller les taper mais il ne sait même pas combien il y a de personnes dehors !!!
Sinon dans le dernier morceau de l'histoire, où ils se font capturer, je n'ai rien compris du tout. Même si tu nous donnes une vision de l'ensemble grâce à un des compagnons au loin, je n'ai toujours pas compris, quand, où pourquoi et comment le tout se passait. C'est un peu fouilli en fait.
D'ailleurs la mort de Gontrand est un peu longue. Bien sûr l'effet de style est sympa mais... je ne sais pas comment te dire ça autrement que j'ai l'impression que tu en fais un peu trop.
Au début du texte, tu nous a placé le mot Anamnèse. Bam ! Krycek va jeter un coup d'oeil dans le dico, mais reste que ça ne colle pas avec le reste de ton style des mots dans le genre ! Si les personnages ne seraient pas capables de sortir des mots de ce genre, je trouve déplacé alors que la narration le fasse. A mon avis il faut rester au niveau du langage des personnages afin d'éviter que l'on pense à l'auteur qui nous parle.
Sinon à part quelques répétitions, fautes de langue et autres, j'ai aimé le style de ce chapitre, moins indigeste que les précédents. Je continue de penser qu'il faudrait tout de même l'alléger un peu et faire gaffe à des trucs du genre :
Là par contre tu casses tout ton style. On ne voit même pas le gars tomber et mourir. Après il se trouve que tes persos ont le temps de discuter et de blaguer alors que quelques secondes plus tôt ils se trouvaient au milieu du champ de bataille.Iliaron écrit: Derrière eux un rugissement épouvantable résonna, qui les détourna tous pour découvrir la provenance du cri. Ils découvrirent un Geoffroy écumant, qui se précipitait à l’encontre de leur agresseur. Son épée était tirée, et passant aux côtés de l’agresseur, la lui jeta dans la gorge. Il fit stopper sa monture quelques mètres plus loin, et haleta :
« - Pas facile de vous rattraper. Galopez mieux que je ne pensais. »
Il serait intéressant aussi d'avoir des points de repère au niveau de tes persos afin de mieux les différencier, bien que maintenant je les cerne un peu mieux. Exemple : quand l'un deux est dans l'arbre et voit un cavalier arriver, il aurait été sympa à sa description que l'on se dise : "mais non c'est pas un ennemi, c'est ton ami !!!" que l'on prenne part au récit en étant capable de réfléchir par nous même.
Au final donc, à part les deux gros points négatifs, je dois dire que j'ai aimé ce chapitre. Je vais maintenant lire celui de cette MAJ.
Krycek qui pense qu'il doit en faire de même pour San et son Ogre de Pérouse avant de pouvoir continuer sur cette MAJ !!! Pfff...
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- Iliaron
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Certes en soi il n'y a pas d'action, mais pourtant quasiment toute l'intrigue se joue dans ce chapitre, et certainements informations sont importantes (certes disséminés dans un fouillis de choses non importantes )Mais comme pour Pandémonium, si je retrouve là ton style, ce n'est jamais qu'une scène de transition qui s'offre à nous, divertissante ma foi .
Déjà, les trois personnages présentés auront quand même un rôle, du moins deux (et quand même l'on a la vision du tueur, c'est pas rien ), et puis il y a un paradoxe assez important notre première et deuxième partie (je ne dis pas lequel, une clé de l'énigme y réside).
De même, l'insuffisance flagrante des mercenaires est surprenante, non?
Au moment de poster ce chapitre, je me suis dit que je pouvais le modifier. Alors j'ai repris les trois descriptions. Je n'ai retouché qu'à cela (avec aussi le passage des étoiles qui m'a sur le moment tenu à coeur, et que j'apprécie encore!).Je note aussi que la description de l'elfe est très bien passée, jusqu'à la fameuse cape... Sans cette dernière, il est même possible que je ne l'eusse pas reconnue.
Krycek:
Au tout début de l'histoire, en plus, je venais de lire l'article sur comment il ne fallait pas écrire les histoires, donc j'ai fait gaffe au syndrome de l'Everest . Et puis, comme à la toute première écriture je n'avais rien préparé, j'avais trouvé intéressant cette fuite, le lecteur ne saurait pas à quoi s'en tenir (euh... sur le moment, l'auteur ne le savait vraiment pas )Dans l'ensemble je l'ai trouvé plutôt sympa, l'idée des héros de l'histoire qui tentent de fuir la bataille est plutôt sympa.
Ca, ça peut être considéré comme une clé du texte, quelque chose que j'ai un peu à coeur afin de faire réfléchir sur les apparences (bon, ça n'est pas non plus très important; mais je me suis amusé sur ce point à jouer sur les clichés). En un mot, à aucun moment tu ne verras un homme attaquer (on voit les Skefiens se défendre (et attaquer pour cela, certes), mais pas les Mormundiens. Certes ce sont bien des hommes, et ils attaquent, mais la narration ne le décrit pas.Je me suis demandé si c'était volontaire ou non mais j'ai trouvé biz z arre que tu ne nous offres aucune vue de l'ennemi aux portes du château. En effet, à aucun moment on ne les voit, ni ne connait leur nombre exact. D'ailleurs est-ce que le duc n'aurait pas du envoyer une troupe de reconnaissance afin de vérifier ce qu'on leur a dit : qu'il y avait du monde à la porte.
(maintenant vous aurez sûrement plus de facilité à savoir de quel peuple sont extraits les attaquants)
Surtout un millier de fantassins pas vraiment réguliers . Mais je suis d'accord (arg, pour autant, je n'ai pas envie de supprimer le point juste plus haut, un des très rares aspects réfléchis (et encore, c'est presque faux, l'idée m'en est venu sur le tard).Dans la majeure partie des récits d'assaults de châteaux on apprends que l'on peu résister (en fonction des fortifications) à 1 contre 10 attaquants. Or s'il y a un millier de personnes dans le château il en faudrait au moins dix mille pour les inquiéter.
Prendre par surprise.Le duc choisit de faire une sortie pour aller les taper mais il ne sait même pas combien il y a de personnes dehors !!!
Peut-être ne l'a-tu pas vu, mais il n'y a absolument aucune machine de guerre, dans aucun camp (l'info peut servir pour la suite ). Et s'ils se font assiéger, malgré le "speech" hargneux du chapitre II, ils sont un peu dans la merde .
De plus, ils ont foi (ok je sors) dans leur action. Plus précisément, ils sont fiers, et croient en leur chance (pas pour rien que la ville s'appelle Skefoy la prodigue (ah, mais je balarde des indices, ils sont bradés aujourd'hui ou quoi )
Quand: lors de la bataille, mais loin des combats principaux (à la fin du moins)Sinon dans le dernier morceau de l'histoire, où ils se font capturer, je n'ai rien compris du tout. Même si tu nous donnes une vision de l'ensemble grâce à un des compagnons au loin, je n'ai toujours pas compris, quand, où pourquoi et comment le tout se passait. C'est un peu fouilli en fait.
Où: au début, c'est sur le champ de bataille proprement dit (et encore, je précise que leur groupe part dans la direction opposée au gros des combats). Ensuite, j'ai pourtant précisé qu'ils s'éloignaient progressivement du château (certes ils se font poursuivre, mais il serait stupide qu'ils reviennent vers les ennemis, ils auraient encore plus de soldats à leur trousse^^)
Pourquoi: eux: acte irréfléchi. Ils partent pour partir: ils ont perdu leurs amis, sont un peu (complètement) désorientés, et Geoffroy n'a pas confiance dans le duc. Veulent en fait fuir les guerres et les meurtres (bon, ils se précipitent dedans, certes)
Hi hi (jubile un peu)D'ailleurs la mort de Gontrand est un peu longue. Bien sûr l'effet de style est sympa mais... je ne sais pas comment te dire ça autrement que j'ai l'impression que tu en fais un peu trop.
Bon, je dois avouer que le deuxièmeparagraphe (avec ongles décharnés) est un peu long. Sinon, ce passage montre que les adversaires ne sont pas ceux que l'on pense (bon, certes, c'est avant la disgression sur la mort): des Mormundiens l'auraient "raccourcis", eux lui retirent la flèche...
Ensuite, j'avais envie de tester ce que donnent ces descriptions, mais j'oublie trop souvent que même si j'ai la capacité de faire long, je n'arrive pas encore (y arriverais-je un jour ?) à rendre tout cela intéressant.
Au moment où j'avais écrit le texte, je trouvais le mot presque courant (je sortais de cours de philosophie où on nous a bourriné ce terme lol: . En plus, c'est stupide, j'ai lu certains livres avec un très haut niveau de vocabulaire, et il est presque impossible de comprendre (et encore, on pouvait faire pire :o )Au début du texte, tu nous a placé le mot Anamnèse. Bam ! Krycek va jeter un coup d'oeil dans le dico, mais reste que ça ne colle pas avec le reste de ton style des mots dans le genre ! Si les personnages ne seraient pas capables de sortir des mots de ce genre, je trouve déplacé alors que la narration le fasse. A mon avis il faut rester au niveau du langage des personnages afin d'éviter que l'on pense à l'auteur qui nous parle.
Je crains qu'il me faudra un peu de temps pour trouver le juste milieu. Au début c'était très court (si tu veux, je peux t'envoyer la version d'il y a un an, les trois premiers chapitres prennent quatre pages Word (là, au moins, c'était du rapide ). J'essaie pourtant, mais j'ai du mal: quand j'écris, je me place souvent dans l'optique: deux heures donnent un court passage, environ quatre pages Word. Et je me fixe des défis, très souvent chaque passage comprend une description, un essai de style... (là, je dois t'avouer être en peine pour réécrire le prochain chapitre par exemple)Je continue de penser qu'il faudrait tout de même l'alléger
Désolé, je ne pensais vraiment pas qu'il faille décrire la chute de la victime (mince, quand j'essaie de faire des ellipses qui sont présupposés (quand on meurt, on tombe), je fais d'un coup trop léger )Là par contre tu casses tout ton style. On ne voit même pas le gars tomber et mourir. Après il se trouve que tes persos ont le temps de discuter et de blaguer alors que quelques secondes plus tôt ils se trouvaient au milieu du champ de bataille.
De plus, je précise (peut-être pas en fait, mince ), ils sont déjà loin de la bataille: s'ils ont fui ce n'était pas pour se rapprocher .
Sinon, je te dirais que dans le passage il n'y a que deux répliques humoristiques, une première de Geoffroy (alors lui, le jour où tu le verras sérieux et ne pas railler... euh non, tu n'y arriveras pas ), et la seconde de Mav (de même lui est aussi blagueur, un peu moins quand même que Geoffroy). Kev reste quand à lui silencieux et même triste (arg, j'aurais du le préciser, dur de gérer tant de persos! J'aimerais réussir à montrer comment chacun réagit, je l'imagine bien (surtout pour ces trois-là en fait), mais si à chaque fois que je développe, je réalise une pause trop longue.
De plus, la scène est tout de même très courte, peu de répliques, brèves qui plus est, et quand même, j'ai essayé de garder une certaine émotion (je ne dis pas que j'ai réussi, visiblement non d'ailleurs)
Après ce rapide essai d'analyse, le plus grand défaut de la poursuite est en fait un manque flagrant de repères spatio-temporels, après des incises suffisent à rétablir les défauts je pense. Mais j'ai oublié de préciser l'essentiel, ce qui pourtant ne prend pas de temps: "fuyant tout en veillent à s'éloigner du château, et des combats"; "à présent les fracas des armes semblait distant, comme appartenant à une autre dimension, à un mauvais rêve". Court, et indispensables!!!« - Pas facile de vous rattraper. Galopez mieux que je ne pensais. »(pique de Geoffroy, par habitude (faut s'entretenir^^)
Il se permit enfin un sourire, avant de s’asseoir à terre.
« - Content de vous voir vivants, j’ai cru que jamais je n’arriverais à temps. » (là il est sérieux)
« - Merci d’avoir été là » trouva juste à dire Kev, encore sous le choc de leur cavalcade et de son heureux dénouement. (on ne peut pas dire que Kev participe à la blague^^)
« - Pas de quoi » se réjouit Geoffroy, « remercie justement mon habitude de chasseur, sinon je vous aurais jamais remarqué parmi les autres ombres. » (c'est entre le séreux et les sarcasmes. Un peu un moyen de se réconforter, de rassurer l'autre...)
« - En même temps » se moqua Mav, juste parce qu’il éprouvait le désir de rire après être passé si près de la mort, il était en vie et voulait en profiter, (il manque cruellement, je m'en rends compte, une parole du style: "pour faire retomber la tension et faire cesser les tremblements qui agitaient encore ses membres" « un si petit cavalier que Kev, ça doit bien se remarquer ! »
Geoffroy acquiesça avec le sourire, encore usé par sa chevauchée, tout comme ses deux compagnons.
« - Je récupère mon épée, on achève les deux autres, et on peut y aller. »
Kev, à cette parole, avala difficilement sa salive.
« - Dis-toi que si on les laisse vivant, ils auront encore la possibilité de te tuer » prononça Geoffroy en tranchant la gorge des deux agresseurs. « C’est cruel mais c’est la guerre. »
Kev approuva péniblement, avant de suggérer :
« - On devrait peut-être aller au point de rendez-vous, j’espère que Gontrand et Arthur y sont déjà. »
« - Je l’espère aussi, cela voudra dire qu’ils sont toujours vivants » signifia Mav. (paroles courtes, et là le sujet n'est vraiment pas à la rigolade. Bon, j'aurais vraiment du préciser où ils se trouvent auparavant)
« - Attendez » cria Geoffroy, « on récupère leurs deux montures encore valides. Elles sont fatiguées, mais elles feront le voyage à vide. Elles pourront toujours nous servir. »
Il saisit par la bride un des chevaux, puis partit en un trot calme vers le point de rendez-vous.
« - Suis-le, je prends l’autre et vous rejoint de suite » l’informa Mav, en récupérant la bride de la deuxième monture.
Kev ne le sait même pas . Un cheval libre est amené sous lui, il en profite. Avec la peur qui l'étreint, il ne réfléchit pas à tout ça (bon, il faudrait peut-être que je m'y attarde un peu, mais le physique est loin, très loin d'être mon point fort!)Il serait intéressant aussi d'avoir des points de repère au niveau de tes persos afin de mieux les différencier, bien que maintenant je les cerne un peu mieux. Exemple : quand l'un deux est dans l'arbre et voit un cavalier arriver, il aurait été sympa à sa description que l'on se dise : "mais non c'est pas un ennemi, c'est ton ami !!!" que l'on prenne part au récit en étant capable de réfléchir par nous même.
Sinon, suite aussi à la critique d'Impe, je fais tout mon possible pour plus les différencier.
Merci! Et bonne lectureAu final donc, à part les deux gros points négatifs, je dois dire que j'ai aimé ce chapitre. Je vais maintenant lire celui de cette MAJ.
Au final, j'ai l'impression d'avoir expliqué beaucoup de choses. Mauvais point, cela signifie que de nombreux aspects sont hermétiques, faut donc que je clarifie des passages!
Iliaron
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- Krycek
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Intéressant... à quoi veux tu en venir ?Iliaron écrit: En un mot, à aucun moment tu ne verras un homme attaquer
A propos du Où Quand Comment... je crois que cela vient du fait que tu parles des 3 archers qui les suivent, puis tes compagnons prennent la parole sans transition. C'est ce qui m'a troublé. par la suite on ne sait plus trop ce qui se passe exactement.
Tu pouvais aussi penser à une caractéristique de l'armure, un plummet, la façon dont il se tient qui pourrait nous donner un indice.Iliaron écrit: Kev ne le sait même pas Clin d'oeil . Un cheval libre est amené sous lui, il en profite. Avec la peur qui l'étreint, il ne réfléchit pas à tout ça (bon, il faudrait peut-être que je m'y attarde un peu, mais le physique est loin, très loin d'être mon point fort!)
Sinon, suite aussi à la critique d'Impe, je fais tout mon possible pour plus les différencier.
En fait après réflexion il s'avère que ton texte est plein d'idées, de bonnes choses mais un peu décousu. On sent parfois que tu veux tout de suite passer à quelquechose de différent, une scène que tu préfères peut-être.Iliaron écrit: Au final, j'ai l'impression d'avoir expliqué beaucoup de choses. Mauvais point, cela signifie que de nombreux aspects sont hermétiques, faut donc que je clarifie des passages!
A ta place je listerai les idées dans l'ordre de mon chapitre et les développerai de la même taille. Après tu peux toujours mettre l'accent sur quelquechose, mais cela te permettrait de ne pas oublier de transitions.
D'ailleurs à la fin on les croit sortis d'affaire et loin du château mais d'un coup il s'avère qu'il en sont assez près pour se faire capturer. On sent ici que tu es Dieu et que tu veux les mener où bon te semble. Peut-être que la coupure entre les paragraphes (avec les ***) démange... plus de transition? fondu ?
Mais bon, c'était la MAJ précédente, je vais attaquer le suivant...
Krycek, qui espère s'être fait pardonné au vu des longues critiques que tu lui fournis pour Pandémonium. (Ah je me rends compte que dans mes signatures je commence à parler à la 3e personne. Mauvais ça )
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- Iliaron
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Je crains que tu ne peux le comprendre à ce stade là de la lecture.Intéressant... à quoi veux tu en venir ?
ok, j'en prends note!A propos du Où Quand Comment... je crois que cela vient du fait que tu parles des 3 archers qui les suivent, puis tes compagnons prennent la parole sans transition. C'est ce qui m'a troublé. par la suite on ne sait plus trop ce qui se passe exactement.
idem, j'y penserai!Tu pouvais aussi penser à une caractéristique de l'armure, un plummet, la façon dont il se tient qui pourrait nous donner un indice.
J'essaierai, mais certaines idées, je n'en prends conscience que longtemps après (exemple: la ville de Mor, il m'a fallu plus de huit mois pour remarquer la ressemblance avec "mort" :o )En fait après réflexion il s'avère que ton texte est plein d'idées, de bonnes choses mais un peu décousu. On sent parfois que tu veux tout de suite passer à quelquechose de différent, une scène que tu préfères peut-être.
A ta place je listerai les idées dans l'ordre de mon chapitre et les développerai de la même taille. Après tu peux toujours mettre l'accent sur quelquechose, mais cela te permettrait de ne pas oublier de transitions.
Pour la fin, ce ne sont pas du tout les mormundiens qui s'y trouvent.D'ailleurs à la fin on les croit sortis d'affaire et loin du château mais d'un coup il s'avère qu'il en sont assez près pour se faire capturer. On sent ici que tu es Dieu et que tu veux les mener où bon te semble. Peut-être que la coupure entre les paragraphes (avec les ***) démange... plus de transition? fondu ?
De plus, ils sont certes proches du château, mais à l'opposé de l'entrée (ce que je devrais peut-être préciser!), donc très loin des combats.
Enfin, la présence de ces ennemis à cet endroit peut être en partie expliquée parce que ce ne sont plus des mormundiens, et en partie par une autre explication (que je ne dévoilerais pas). Bon, tu devrais t'en douter au prochain chapitre (mais bon, c'est vrai que je profite avec abus de la toute puissance de l'auteur ).
Pour les ***; ça m'évite de décrire les changements, mais peut-être le devrais-je. Souvent ça remplace une phrase du style: après... D'ailleurs, je l'écris souvent cette phrase, mais c'est pour mieux montrer la coupure (dans le cas où tu me parles, là, il est clair que je passe du coq à l'âne, d'ailleurs je pourrais enlever ce passage, du moins le remanier. Pas besoin qu'on passe directement du point de vue des "ennemis".
Tu es comme moi . Limite on croirait que celui qui écrit sur le forum n'est pas l'être face à l'écran. Ah la la^^qui espère s'être fait pardonné au vu des longues critiques que tu lui fournis pour Pandémonium. (Ah je me rends compte que dans mes signatures je commence à parler à la 3e personne. Mauvais ça )
Iliaron, et merci!!!
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- Krycek
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J'y pense mais ce n'est pas toi qui m'a demandé pour Pandémonium si Eisen mourait vraiment alors qu'il a trempé dans du biod et a terminé dans une salle explosant ?!!!!!!Iliaron écrit: Désolé, je ne pensais vraiment pas qu'il faille décrire la chute de la victime (mince, quand j'essaie de faire des ellipses qui sont présupposés (quand on meurt, on tombe), je fais d'un coup trop léger Mort de rire )
Bon, comme promis, j'attaque la critique du chapitre suivant :
Je commence par les mots qui m'ont gêné :
- Superfétatoire (garde le pour le scrabble celui là !)
- taveler
- colichemarde
- caparaçon
- amarante
- soleret
- dextre
Je comprends que tu veuilles te servir d'un vocabulaire moyenâgeux mais imagine que tu fasses lire ce texte à tes parents ou toute autre personne qui ne soit pas fan de HF ? Pour te dire, j'ai eu du mal à cerner (pour ceux que j'ai cerné !) leur sens. Il suffirait juste d'expliquer en deux trois mots à chaque fois (séparés par des virgules) ou une note de bas de page ce que sont ces mots !!!
Je continue dans l'ordre de l'histoire et j'en arrive à la description de l'elfe. Sûr elle est sympa, d'ailleurs je crois l'avoir déjà lue dans travaux d'écriture... mais :
1- Elle tranche complètement avec l'histoire il y a 2 longs paragraphes nous le décrivant et ça coupe complètement, rappelle toi le fait d'intégrer les descriptions quand elle est utile. D'ailleurs tu nous décris celui là mais les autres rien du tout, le lieu (la grotte je crois), le nombre d'elfes... pas de détails !
2- Je pensais Kev complètement naz, fatigué et il arrive à prendre une demi heure de son temps pour détailler les moindres coutures et éfiloches de son interlocuteur sans même regarder où il se trouve !
Passons...
Ici on a l'impression que l'elfe connaît les compagnons de Kev. D'une part car tu utilises le terme compagnon qui nous lie immédiatement au titre et d'autre part car Kev n'a pas mentionné avoir des compagnons, mais s'inquiéter pour d'autres prisonniers. Après tout il pourrait s'en faire pour une fille elle aussi prisonnière non ?Iliaron écrit: « - Excusez-moi, quand vous m’avez sauvé, avez-vous trouvé d’autres... d’autres prisonniers ? »
Mälthion fixa Kev, avant de souffler :
« - Désolé, aucune trouvaille de vos compagnons. »
Vu le style de langage de l'elfe, il faut éviter de nous placer cette tournure comme ça !!!Iliaron écrit: « - Nous repartons demain : rapport de mon éclaireur, des hommes sont dans le coin, faut se méfier. Nous feras-tu l’honneur de nous accompagner ? »
La plume de dieu une fois de plus ! Il est têtu le Kev mais quand il s'agit de prendre la bonne direction dans l'histoire il change vite d'avis !Iliaron écrit: Kev acquiesça, convaincu.
Et au fait ? Qu'en est-il de ses liens à Kev ? Je le croyais retenu par des liens et puis plus de nouvelles !
J'aime beaucoup !Iliaron écrit: Eux trois avaient été magnifiques, eux trois avaient combattus avec courage, eux trois... qui étaient quatre au départ.
Là déjà moins !!!Iliaron écrit: Ca a été un coup de poing dans mon ventre.
Bah je croyais qu'ils venaient de se réveiller... comment se fait-il qu'ils réfléchissent àleur vengeance depuis plusieurs heures ? (ce que tu tends à nous faire croire).Iliaron écrit: Il n’y avait nul besoin de plus de précisions : ce « ils », chacun des compagnons y songeait à tout instant de la journée, peaufinant leur vengeance à chaque heure.
Déjà dans le chapitre précédent j'avais tiqué à cette forme. Si tu veux faire des abréviations, des raccourcis de langages dus à l'oral utilise l'apostrophe genre :Iliaron écrit: « - C’est bon, sont enfin réveillés » s’écria le mercenaire, avant de sortir aussitôt de la tente.
"C'est bon, 'sont réveillés."
Ici on comprends que ce n'est pas l'auteur qui a oublié un mot mais bel et bien une forme de langage. Ca aide à la compréhension. La frontière est faible pour le lecteur entre un auteur analphabète et un auteur qui jongle avec le style.
Huh ?! J'suis pas contre mais je ne connais pas cette mode !Iliaron écrit: Enfin, ses cheveux se trouvaient enroulés dans une ceinture de cuir
Vérifie mais je ne crois pas que "réprimer" soit le verbe à utiliser.Iliaron écrit: deux gardes passèrent et leur jetèrent la nourriture à terre, réprimant avec hilarité des remarques du style[...]
Je passe au passage de la description de Malak. Clairement je trouve que tu en fais un peu trop en matière de description :
-ils sont enchaînés et mangent par terre
- fatigués, torturés
- le roi arrive pour les acheter
et eux ils ont le temps de penser Héraldique et couture/maillage de son accoutrement !!!!!!!!!!!
Tu ne veux pas garder ces détails pour un autre moment, genre en entrant dans le château (s'il y a !) ?!
Et sinon une bourse d'or ça tue vraiment ?!
plus haut tu nous avait parlé d'être enchaînés.Iliaron écrit: leva les deux poings, avant d’enrouler la corde le long de l’arme.
A propos de mots en trop :
Tu te compliques la tâche.Iliaron écrit: ce dernier retira l’épée du premier mercenaire du corps du deuxième
Bah y'a pas de camp ami donc parle plutôt du camp tout court ou du camp de mercenaire.Iliaron écrit: Le chaos régnait dans le camp ennemi,
Sympa ! Essaie quand même de ne pas laisser trop de temps entre le tir de la flèche et cette traduction que l'on ne s'y méprenne pas... ou revoit la tournure, mais je trouve ça drôle !!!Iliaron écrit: « - Quelque chose comme : si vous faites pareil, je fais pareil. »
Ici il aurait été intéressant que tu nous donnes le nom de ce chef avant, que ce soit plus personnel. D'ailleurs si on a son nom et celui de quelques sous-fifres on vibrera plus à la fin du chapitre quand le camp va se faire décimer...Iliaron écrit: Le roi devait avoir peur que le chef meure et que
Sympa... mais revoit la tournure pour un truc plus fluide.Iliaron écrit: « - Oh, même si j’ai eu le plaisir de voir qu’ils t’ont pris beaucoup de tes hommes - dix, si j’ai bonne mémoire, sans compter celui que tu as toi-même tué, à quatre, alors que l’on est lié et prisonnier sans arme, c’est quand même un beau record, je n’aurais pas fait mieux - je ne pense pas qu’ils vaillent une telle somme. »
D'ailleurs pourquoi le roi se met-il soudainement à tutoyer le chef mercenaire ?
Là encore je ne crois pas que ce soit le mot que tu voulais utiliser, en tout cas il ne s'y prête pas. Gaffe à la définition de paladin.Iliaron écrit: Les paladins allaient souffler ces archers si remarquables
Excellent ! J'adore !!!Iliaron écrit: Geoffroy ralentit ensuite à proximité du roi, puis lui cracha au visage toute son aversion. Malak lui renvoya un sourire mauvais, les yeux teintés de tyrannie. Geoffroy se détourna, pour voir une lame se précipiter vers son cou
Au final j'ai noté cinq point majeurs :
Parfois tu nous fais trop de descriptions ce qui coup le rythme du récit et à d'autres moments quand il en faudrait (comme lorsqu'ils se battent dans le camp de mercenaires) il n'y en a pas. A ce moment il aurait fallu que tu nous donnes une idée de la disposition du camp, des alentours, je pense. On comprends qu'il y a beaucoup de détails dans ton monde et que tu prends plaisir à les lister, mais il serait plus intéressant de les distiller lorsqu'ils seront nécessaire. Ainsi la descriptions des persos ne semble jamais s'arêtter et on a l'impression que tu vas nous expliquer ce qu'ils ont mis comme sous vêtements...
Il serait aussi nécessaire de revoir quelques tournures et l'explication du vocabulaire.
J'ai pensé à quelques trucs pour continuer à distinguer tes persos comme des anecdotes très particulières, leur comportement vis à vis des femmes peut-être, un accent, leur histoire aussi...
Sinon j'ai trouvé que le style était quand même beaucoup plus fluide et plus agréable à lire. Ainsi ton premier chapitre ne serait pas mauvais s'il était plus léger et ça n'entecherait en aucun cas la suite du fait de la différence de descritpion. Ce serait comme un marche pied pour entrer dans ton monde, une descritpion simple des évènements pourquoi pas.
Quant au scénario il est aussi très sympa même si on sent une grosse différence entre le chapitre 3 et le 4. On l'impression de passe de quelquechose à autre chose tout différent. Je pense que la transistion entre les 2 chapitres (leur capture) a besoin d'être plus en fondu, ne pas passer de la bataille à leur capture autre part d'un coup puis à leur vie de prisonnier. On a l'impression que ce morceau est là parce que tu voulais écrire quelquechose du genre sans réel lien.
Mais au final, je pense que tu auras une place sur mon podium !
Krycek... concis ?!
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- Iliaron
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Euh... siJ'y pense mais ce n'est pas toi qui m'a demandé pour Pandémonium si Eisen mourait vraiment alors qu'il a trempé dans du biod et a terminé dans une salle explosant ?!!!!!!
Il y en a pas mal dont je pense pouvoir me passer (à la limite, ils ont été mis après une longue recherche sur les vêtements des hommes moyen-âgeux, et j'étais tellement content de trouver les bons mots que j'en ai rajouté ).Je commence par les mots qui m'ont gêné :
- Superfétatoire (garde le pour le scrabble celui là !)
- taveler
- colichemarde
- caparaçon
- amarante
- soleret
- dextre
Mais "caparaçon" me semble vraiment comme un mot assez commun, du moins, je ne trouve pas du tout de synonimes usuels.
De même, j'aime bien la prononciation de colichemarde (d'ailleurs il m'arrive de l'utiliser pas mal pour les hommes... c'est plus gracieux à dire qu'"épée bâtarde" (même si ce n'est pas exactement la même chose )
Le lieu n'est pas du tout une grotte, sinon il ne regarderait pas des étoiles en fin de passage .1- Elle tranche complètement avec l'histoire il y a 2 longs paragraphes nous le décrivant et ça coupe complètement, rappelle toi le fait d'intégrer les descriptions quand elle est utile. D'ailleurs tu nous décris celui là mais les autres rien du tout, le lieu (la grotte je crois), le nombre d'elfes... pas de détails !
Sinon, pour la description, pour la justifier en partie (tu vas me dire, dans ce sens, c'est simple ), disons qu'il est fasciné par l'elfe et éprouve de l'admiration (à toi de trouver la cause...)
Hé hé héIci on a l'impression que l'elfe connaît les compagnons de Kev. D'une part car tu utilises le terme compagnon qui nous lie immédiatement au titre et d'autre part car Kev n'a pas mentionné avoir des compagnons, mais s'inquiéter pour d'autres prisonniers. Après tout il pourrait s'en faire pour une fille elle aussi prisonnière non ?
Tu as tout à fait raison!Vu le style de langage de l'elfe, il faut éviter de nous placer cette tournure comme ça !!!
Euh... C'est encore voulu (à croire que l'élément presque le plus important de toute l'histoire est vraiment trop subtil^^). On peut distinguer trois phases:La plume de dieu une fois de plus ! Il est têtu le Kev mais quand il s'agit de prendre la bonne direction dans l'histoire il change vite d'avis !
- fascination de l'elfe
- son esprit reprend le dessus
- le fatigue et ... en viennent à bout.
T'as vu ça, la puissance de l'auteur à l'état pur: hop, plus besoin de lien, ils disparaissent de même, magiqueEt au fait ? Qu'en est-il de ses liens à Kev ? Je le croyais retenu par des liens et puis plus de nouvelles !
Cette tournure est en vérité à laisser à l'origine à Leste-Plume, au chapitre 2 de son récit Un pont par delà les brumes (sur l'ancien ou le nouveau site, je ne sais pas)J'aime beaucoup !
Je pense qu'il vaut mieux que je change tout... Mais pourquoi "mon" te gêne?Là déjà moins !!!
Je vais supprimer: je sous-entendais: "depuis l'assassinat de leurs compagnons", mais la phrase serait bien trop lourde!Bah je croyais qu'ils venaient de se réveiller... comment se fait-il qu'ils réfléchissent àleur vengeance depuis plusieurs heures ? (ce que tu tends à nous faire croire).
Ok, merci de l'infoDéjà dans le chapitre précédent j'avais tiqué à cette forme. Si tu veux faire des abréviations, des raccourcis de langages dus à l'oral utilise l'apostrophe genre :
"C'est bon, 'sont réveillés."
Ici on comprends que ce n'est pas l'auteur qui a oublié un mot mais bel et bien une forme de langage. Ca aide à la compréhension. La frontière est faible pour le lecteur entre un auteur analphabète et un auteur qui jongle avec le style.
Oups, je ne sais comment l'exprimer: c'est totalement clair dans mon esprit, mais pas dans l'écrit . Euh... une sorte de foulard de cuir qui retient ses cheveux, je ne vois vraiment pas comment expliquer... Je chercherais donc!Huh ?! J'suis pas contre mais je ne connais pas cette mode !
réfrénant devrait déjà plus coller, j'espèreVérifie mais je ne crois pas que "réprimer" soit le verbe à utiliser.
Ah, effectivement, c'est pas vraiment bon de ce point de vue-là !Je passe au passage de la description de Malak. Clairement je trouve que tu en fais un peu trop en matière de description :
-ils sont enchaînés et mangent par terre
- fatigués, torturés
- le roi arrive pour les acheter
et eux ils ont le temps de penser Héraldique et couture/maillage de son accoutrement !!!!!!!!!!!
Je crois que je vais garder l'idée de l'héraldique pour vraiment plus tard . Et supprimer les termes barbares (sigh) d'une armure (m'en avait pourtant prise du temps, enfin bon, faut savoir enlever).
Giga!!! Tu viens de me donner une bonne idée là, leur entrée dans la ville! J'avais complètement zappé !Tu ne veux pas garder ces détails pour un autre moment, genre en entrant dans le château (s'il y a !) ?!
Euh... Une très grosse et bien remplie... Ce détail venait de la deuxième réécriture, sûrement un peu trop exagérée (bon, ça peut tuer, mais faut vraiment que le gars n'ait pas de chance )Et sinon une bourse d'or ça tue vraiment ?!
Oups . Ce sera donc "encordé" (enfin, je rechercherais le bon terme)plus haut tu nous avait parlé d'être enchaînés.
okBah y'a pas de camp ami donc parle plutôt du camp tout court ou du camp de mercenaire
Je garde la tournure, elle m'amuse bien . Je vais voir ce que je peux faire alors pour rapprocher les événements.Sympa ! Essaie quand même de ne pas laisser trop de temps entre le tir de la flèche et cette traduction que l'on ne s'y méprenne pas... ou revoit la tournure, mais je trouve ça drôle !!!
L'absence de noms est faite exprès. On ne connaît d'ailleurs le nom d'aucun mercenaire de cette compagnie.Ici il aurait été intéressant que tu nous donnes le nom de ce chef avant, que ce soit plus personnel. D'ailleurs si on a son nom et celui de quelques sous-fifres on vibrera plus à la fin du chapitre quand le camp va se faire décimer...
L'abus de synonimes peut conduire à une absence de sensLà encore je ne crois pas que ce soit le mot que tu voulais utiliser, en tout cas il ne s'y prête pas. Gaffe à la définition de paladin.
Merci!Excellent ! J'adore !!!
Ce passage-là, c'est dude qui me l'avait conseillé d'ailleurs, il m'avait conseillé de mettre un peu de suspense
Note: penser à parler des sous-vêtements la prochaine fois, et de leur dernier bainParfois tu nous fais trop de descriptions ce qui coup le rythme du récit et à d'autres moments quand il en faudrait (comme lorsqu'ils se battent dans le camp de mercenaires) il n'y en a pas. A ce moment il aurait fallu que tu nous donnes une idée de la disposition du camp, des alentours, je pense. On comprends qu'il y a beaucoup de détails dans ton monde et que tu prends plaisir à les lister, mais il serait plus intéressant de les distiller lorsqu'ils seront nécessaire. Ainsi la descriptions des persos ne semble jamais s'arêtter et on a l'impression que tu vas nous expliquer ce qu'ils ont mis comme sous vêtements...
Au final, j'ai l'impression que le pire est quand même l'héraldique. Ensuite un peu trop pour les autres (trop long). Par contre, visiblement, la description du chef mercenaire a bien été acceptée (heureusement à la limite, celle-là elle n'est vraiment pas dure à justifier d'ailleurs!)
Euh... Comportement vis-à-vis des femmes... Les femmes n'ont pas une grande importance dans tout le livre I .J'ai pensé à quelques trucs pour continuer à distinguer tes persos comme des anecdotes très particulières, leur comportement vis à vis des femmes peut-être, un accent, leur histoire aussi...
Accent: on a Arthur, mais je dois pouvoir en trouver d'autre... Déjà, le "si tu vois ce que je veux dire", faut que je le donne à Geoffroy (j'adore cette expression )
Histoire: au début, au prologue... Mais l'histoire n'intervient que peu au final . A part pour les qualités des individus.
Arg, si ça continue, je vais avoir le bonheur de me coltiner une quatrième réécriture complète du débutSinon j'ai trouvé que le style était quand même beaucoup plus fluide et plus agréable à lire. Ainsi ton premier chapitre ne serait pas mauvais s'il était plus léger et ça n'entecherait en aucun cas la suite du fait de la différence de descritpion.
Bon, avec les conseils d'Impe et les tiens, je pourrais bien rendre les sentiments plus fluides (en réalité, j'ai cette impression que le style cassé provient d'un trop-plein de description où l'on ne sait pas vraiment ce que l'on écrit)
Je vais essayer... Mais là on ne voit même pas entièrement la partie émergée de l'iceberg (et j'ai mis du temps à découvrir moi-même la partie immergée^^)Ce serait comme un marche pied pour entrer dans ton monde, une descritpion simple des évènements pourquoi pas.
Je ne peux pas vraiment écrire quelque chose d'autre!Quant au scénario il est aussi très sympa même si on sent une grosse différence entre le chapitre 3 et le 4. On l'impression de passe de quelquechose à autre chose tout différent. Je pense que la transistion entre les 2 chapitres (leur capture) a besoin d'être plus en fondu, ne pas passer de la bataille à leur capture autre part d'un coup puis à leur vie de prisonnier. On a l'impression que ce morceau est là parce que tu voulais écrire quelquechose du genre sans réel lien.
De plus, les chapitres III et IV sont quand même parmi les chapitres les plus suivis au niveau temporel:
Chapitre III: bataille, ils fuient. Comme par magie ils sont retrouvés, en plus par les agresseurs qui ont dû tuer leur ami (on le devine avec la description du chef mercenaire et de la haine en Geoffroy).
Ils se font coursés et sont capturés tous (plus ou moins) vivants.
Ensuite: réveil de Kev et évanouissement rapide.
Re-réveil de Kev
Puis le réveil des compagnons.
Tout ce que je passe en silence sont donc des phases de "brumes" pour les compagnons, où ils sont évanouis. Lors de ces moments de brume peuvent d'ailleurs se passer des événements intéressants (tiens, par exemple, Kev n'est plus avec ses trois compagnons.)
Enfin, ce chapitre est plus que nécessaire pour l'intrigue: Là on a la base de l'intrigue; c'est à partir de là (et de l'assassinat des pères et enfants auparavant, bien entendu) que tout se met en place.
Certes il y a des passages "superfétatoires" comme celui avec les étoiles (simplement un coup de coeur en espérant créer une ambiance), mais le reste est quand même plutôt important! (je sais quand même, euh... globalement , où je vais).
Merci beaucoup pour ta critique Krycek!
Iliaron
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C'est mon mien à moi........................................Iliaron écrit: Je pense qu'il vaut mieux que je change tout... Mais pourquoi "mon" te gêne?
Ca dépends qui parle... je croyais que les mercenaires ne tarissaient pas d'insultes ?!Iliaron écrit: Citation:
Vérifie mais je ne crois pas que "réprimer" soit le verbe à utiliser.
réfrénant devrait déjà plus coller, j'espère Confus
Au vu de ce que tu me dis, j'attends de savoir alors la raison de tous ces non-dits, te mettrais tu aussi à disséminer des indices ?
De rien, de rienIliaron écrit: Merci beaucoup pour ta critique Krycek!
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- Iliaron
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Oups, erreur de ma part .Ca dépends qui parle... je croyais que les mercenaires ne tarissaient pas d'insultes ?!
Oui, c'est quand même pratique ensuite pour mettre en place l'intrigue .Au vu de ce que tu me dis, j'attends de savoir alors la raison de tous ces non-dits, te mettrais tu aussi à disséminer des indices ?
Mais mes indices ont un défaut, ils sont souvent bien trop insignifiants et disséminés dans un fatras de paroles (hé hé, le délayage, ça sert aussi à ça^^).
Avec moi, c'est très simple: quand tu as un paragraphe, alors c'était évident, j'explique même, une phrase, ça l'est déjà moins; un mot, c'est le bon filon lol: )
Iliaron - intrigue trop hermétique? Possible
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Côté style: il y a parfois une tendance à en faire trop, à être excessif dans le choix de tes adjectifs. Mais tu disposes d'un vocabulaire parfos même soutenu (je t'avoue que j'ai reperé quelques mots que je n'ai pas l'habitude d'employer et que je vais tacher de me remettre à l'esprit en écrivant), ce qui est un excellent point.
Les descriptions:
On sent ton envie de les pousser dans leurs limites. C'est très bien. Parfois, cela renforce également l'impression que tu en fais trop.
Tiens, pour l'elfe, j'ai noté une grosse répétistion autour de fin/finesse, tu evrras que tu l'utilises trois fois en 3 lignes.
Même chose sur le choix des couleurs: trois fois le terme "marron" (pour le chef mercenaire c'est "vert" et "proétger/protection que tu reserts à tour de bras)
Globalement, je trouve tes descriptions réussies. Celle de Malak me parait être la plus maladroite. Je pense qu'elle gagnerait à être allégée car tu emploies parfois des phrases très lourdes pour ne pas dire grand chose.
Autres points, fais gaffe à ne pas trop les enchainer. Je crois que c'est le cas à un moment donné. C'est une question d'equilibre. Du coup, on a parfois que tes héros sont de véritables examinateurs qui analysent le moindre personnage qui passe dans leur champs de vision, voire même en analysant tout ce qu'ils ressentent dans leur moindre détail. Ca crée un effet microscope où tout prend des dimensions excessives. Je pense que tu insistes trop sur les intentions de chacun
Par contre, je trouve que tu y mets de belles idées, d'autant qu'elle te serve à mettre en valeur la personnalité de tes personnages, surtout que tu renforces ça avec une dimension parfois métaphorique (c'est peut-être pas le bon terme, mais tu files des images autour). Et tu emploies une bonne convergence physique/psychologie.
Pour revenir sur l'elfe, mise à part ces broutilles, je trouve que tuas tout à fait réussi à dessiner sa parsonalité. Elle tranche avec les autres et intrigue.
Donc au final, attention à ne pas alourdir ou à rendre excessif les sentiments ou tes descriptions. C'est d'autant plus dommage qu'on sent que tu as une vrai e aisance pour raconter des choses. On sent également que tu es de plus en plus confiant dans ton écriture, que tu oses des trucs et que tu les réussis. Ce qui me parait le plus significatif, c'est que tu es capable de capter notre attention avec très peu d'éléments. D'ailleurs, la longueur de ce chapitre au vue de ce qui s'y passe est tout à fait significative. Tu remplis avec facilité ton texte de moments qui pourrait être du délayage mais qui en fait donne la vraie matière . Ainsi, l'action ne prime plus mais elle fait corps avec le reste que sont tes personnages.
J'ai souligné quelques passages qui me paraissaient plutôt lourds ou excsessifs:
Inutiles débattements, toujours l’épée rouge vient tâter ses membres. Larmes, supplications ; le fouet claque ; silence ; l’épée approche. La vie supplie de s’en aller, seulement retenue par des lambeaux d’âmes s’attachant encore au corps tuméfié. Déchaînement de toutes les cellules, volonté de mourir pour survivre, pour renaître de ses cendres. Quitter cet enfer !
Le nez du mercenaire était fin, semblant comme une goutte d’eau sur une feuille de chêne, à la fois pureté et beauté. Pareillement, ses lèvres, qui traçaient un fin trait rose dans ce visage, s’inséraient avec grâce, telles la tige retenant les pétales d’une fleur au nectar enivrant. Enfin, un détail intrigua l’attention de Kev : les oreilles de l’homme étaient sans lobes, et leurs pointes se dirigeaient en une lente et harmonieuse courbe en direction du ciel. Il ne parvenait à imaginer de tels attributs sur d’autres visages, mais sur celui-ci, au contraire, des oreilles normales auraient dénaturées ce visage façonné à l’image de la nature ; la perfection émanait de cet homme, et cette perfection attirait irrésistiblement Kev (il devient un peu gay?) !
Geoffroy, Mav, Gontrand et Arthur, blessés par cette révélation, se regardèrent les uns les autres, une expression de haine indicible leur déchirant le visage. D’habitude, une telle expression est fugace, mais cette fois-ci, elle semblait gravée dans leur faciès, comme si jamais plus elle ne partirait, comme si ce ressentiment ne pourrait jamais s’effacer de leur cœur et rancœur
Le roi devait avoir peur que le chef meure et que plus personne ne vive pour contrôler les mercenaires et les empêcher de tirer, ce qu’ils auraient tous faits pour protéger leur vie.
Les jeux étaient faits, ils n’avaient plus qu’à occasionner le plus de morts ! Que ces mercenaires se souviennent à jamais de ces quatre prisonniers qui refusèrent de se laisser capturer !
Quelle horreur que ces troupes asservies qui ne savaient se rebellaient contre les ordres ! Les paladins allaient souffler ces archers si remarquables - une qualité qui plaisait malgré tout à Geoffroy, même si c’était d’un être aussi talentueux que Pierre et Richard étaient morts ! - comme un balai nettoie la poussière. Visiblement, tous ces chevaliers partaient à l’assaut comme eux sept allaient auparavant dans une taverne !
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- Iliaron
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Alors:
Le vocabulaire soutenu me vient souvent du dico des synonimes, ou alors de mes lectures lol: )Côté style: il y a parfois une tendance à en faire trop, à être excessif dans le choix de tes adjectifs. Mais tu disposes d'un vocabulaire parfos même soutenu (je t'avoue que j'ai reperé quelques mots que je n'ai pas l'habitude d'employer et que je vais tacher de me remettre à l'esprit en écrivant), ce qui est un excellent point.
Là c'était effectivement le but, voir un peu jusqu'où je pouvais aller. Et je suis également persuadé que j'en fais trop, elles sont quand même bien longues, en fait, surtout celle de Malak à mon goût .On sent ton envie de les pousser dans leurs limites. C'est très bien. Parfois, cela renforce également l'impression que tu en fais trop.
Euh... au moins ça marque.Tiens, pour l'elfe, j'ai noté une grosse répétistion autour de fin/finesse, tu evrras que tu l'utilises trois fois en 3 lignes.
Même chose sur le choix des couleurs: trois fois le terme "marron" (pour le chef mercenaire c'est "vert" et "proétger/protection que tu reserts à tour de bras)
Bon, je verrais à alléger un peu ces termes
Celle-là, j'ai fait une disgression déjà avec l'héraldique, qui faut qui soit plus court (merci krycek . De plus, j'avais essayé de la rendre un peu ironique, et donc mettre des sortes d'incises des personnages; tu as raison, au final, ça rend lourd.Globalement, je trouve tes descriptions réussies. Celle de Malak me parait être la plus maladroite. Je pense qu'elle gagnerait à être allégée car tu emploies parfois des phrases très lourdes pour ne pas dire grand chose.
C'est noté, même si je risque d'avoir du mal à mettre en pratique: en même temps, je n'ai pas envie de faire du décousu, et de plus, pour deux descriptions (celle de Mälthion et du chef mercenaire), il est normal qu'ils soient captivés (pour le chef mercenaire, c'est par la haine). Bon, pour Malak, par contre, j'avais envie de réaliser quelque chose d'ironique, au final ça rend un peu moins bien (voire beaucoup ).Autres points, fais gaffe à ne pas trop les enchainer. Je crois que c'est le cas à un moment donné. C'est une question d'equilibre. Du coup, on a parfois que tes héros sont de véritables examinateurs qui analysent le moindre personnage qui passe dans leur champs de vision, voire même en analysant tout ce qu'ils ressentent dans leur moindre détail. Ca crée un effet microscope où tout prend des dimensions excessives.
Il faut voir que chaque description est nuancée par la personne qui la voit.Je pense que tu insistes trop sur les intentions de chacun
Par contre, je trouve que tu y mets de belles idées, d'autant qu'elle te serve à mettre en valeur la personnalité de tes personnages, surtout que tu renforces ça avec une dimension parfois métaphorique (c'est peut-être pas le bon terme, mais tu files des images autour). Et tu emploies une bonne convergence physique/psychologie.
Par exemple, Geoffroy va faire ressortir la haine et chercher tout ce qui est haïssable, au contraire Kev lui en oublie les défauts qui ne peuvent qu'être existants (même si infimes).
Au final, j'ai aussi envie dans tout le texte de faire un peu réfléchir sur les prises de position: une personne remarquable peut être décrite horriblement par quelqu'un et le lecteur va la détester, alors qu'avec une autre manière il va l'aimer (pour exactement le même personnage: souvent ce qui compte le plus n'est pas l'action en elle-même des personnages (par exemple, dans ce chapitre, à peu près tous les protagonistes tuent des gens), mais le but à l'origine de l'action.
Tuer par vengeance revient au même que tuer par plaisir (pour la victime ).
C'est un personnage clé de l'histoire, et pourtant il a presque un rôle mineur dans l'histoire. Mais il est rempli de paradoxes .Pour revenir sur l'elfe, mise à part ces broutilles, je trouve que tuas tout à fait réussi à dessiner sa parsonalité. Elle tranche avec les autres et intrigue.
L'aisance n'est là que quand je suis inspiré. Ce chapitre en entier, je l'ai réécrit en à peine huit heures pour un résultat que je trouve bon, alors que pour des passages bien plus courts je peux bloquer, passer du temps, et n'avoir aucune aisance.Donc au final, attention à ne pas alourdir ou à rendre excessif les sentiments ou tes descriptions. C'est d'autant plus dommage qu'on sent que tu as une vrai e aisance pour raconter des choses
Ca fait plaisir que ça se remarque ! Je m'amuse bien maintenant avec certaines tournures de phrases et styles de narration!On sent également que tu es de plus en plus confiant dans ton écriture, que tu oses des trucs et que tu les réussis.
Par rapport à la première écriture, j'ai quand même ajouté de l'action. J'essaie de trouver l'équilibre entre les pensées des personnages, l'intrigue et l'action, et ce chapitre était au final plutôt simple pour cela, comme l'on est quand même à l'apogée de la première partie (et accessoirement à sa fin ). Disons que comme les personnages étaient déjà en place, je n'avais plus qu'à les faire "vivre", c'est le plus simple, je trouve. Quand il faut en plus "créer" le monde et les héros, là je n'ai absolument aucune aisance.Ce qui me parait le plus significatif, c'est que tu es capable de capter notre attention avec très peu d'éléments. D'ailleurs, la longueur de ce chapitre au vue de ce qui s'y passe est tout à fait significative. Tu remplis avec facilité ton texte de moments qui pourrait être du délayage mais qui en fait donne la vraie matière . Ainsi, l'action ne prime plus mais elle fait corps avec le reste que sont tes personnages.
Un test d'écriture, je voulais tester un paragraphe en asyndète, ça donne pas forcément grand chose.Inutiles débattements, toujours l’épée rouge vient tâter ses membres. Larmes, supplications ; le fouet claque ; silence ; l’épée approche. La vie supplie de s’en aller, seulement retenue par des lambeaux d’âmes s’attachant encore au corps tuméfié. Déchaînement de toutes les cellules, volonté de mourir pour survivre, pour renaître de ses cendres. Quitter cet enfer !
Ca c'est pour faire le contre-coup de la description de Malak plus tard . Je voulais tester aussi (je ne cesse de me lancer des petits défis quand je suis inspiré ), peut-être à raccourcir.Le nez du mercenaire était fin, semblant comme une goutte d’eau sur une feuille de chêne, à la fois pureté et beauté. Pareillement, ses lèvres, qui traçaient un fin trait rose dans ce visage, s’inséraient avec grâce, telles la tige retenant les pétales d’une fleur au nectar enivrant.
Là c'est clairement à raccoucir, d'ailleurs en écrivant j'avais bûché et écrit quatre à cinq phrases, et imaginé plein d'autres, avant de trouver la moins mauvaise.Enfin, un détail intrigua l’attention de Kev : les oreilles de l’homme étaient sans lobes, et leurs pointes se dirigeaient en une lente et harmonieuse courbe en direction du ciel. Il ne parvenait à imaginer de tels attributs sur d’autres visages, mais sur celui-ci, au contraire, des oreilles normales auraient dénaturées ce visage façonné à l’image de la nature ; la perfection émanait de cet homme, et cette perfection attirait irrésistiblement Kev
Non, pas du tout . Bon, faut que je change d'adjectifs (mais l'attirance fait quand même partie de l'intrigue, mais il n'y a absolument rien de sexuel là-dedans!(il devient un peu gay?) !
Je voulais mettre une petite incise de moi-même cette fois-ci. Je pense que la deuxième phrase peut être supprimée, ou du moins remaniée les deux phrases.Geoffroy, Mav, Gontrand et Arthur, blessés par cette révélation, se regardèrent les uns les autres, une expression de haine indicible leur déchirant le visage. D’habitude, une telle expression est fugace, mais cette fois-ci, elle semblait gravée dans leur faciès, comme si jamais plus elle ne partirait, comme si ce ressentiment ne pourrait jamais s’effacer de leur cœur et rancœur
Oups, l'absence de trnasitions! Et puis ce n'est vraiment pas palpitant, là faut même que je réécrive^^Le roi devait avoir peur que le chef meure et que plus personne ne vive pour contrôler les mercenaires et les empêcher de tirer, ce qu’ils auraient tous faits pour protéger leur vie.
Les jeux étaient faits, ils n’avaient plus qu’à occasionner le plus de morts ! Que ces mercenaires se souviennent à jamais de ces quatre prisonniers qui refusèrent de se laisser capturer !
Ce passage m'a été un dilemne. En fait, ce passage remonte à la toute première écriture (c'est dire!) et une personne m'avait dit que ce brin de philosophie était bien.Quelle horreur que ces troupes asservies qui ne savaient se rebellaient contre les ordres ! Les paladins allaient souffler ces archers si remarquables - une qualité qui plaisait malgré tout à Geoffroy, même si c’était d’un être aussi talentueux que Pierre et Richard étaient morts ! - comme un balai nettoie la poussière. Visiblement, tous ces chevaliers partaient à l’assaut comme eux sept allaient auparavant dans une taverne !
Mais en même temps, je ne parvenais vraiment pas à l'insérer, et je ne voulais pas le jeter. Mais je pense que je vais en supprimer une grande partie!
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