Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
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il y a 18 ans 5 mois #9880
par Imperator
Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006] a été créé par Imperator
Je reprends donc (oui, ma malédiction ne me lâche pas, un nouveau commentaire de perdu…).
Première impression en fin de lecture : c’est complexe et on se prend au jeu. Beaucoup de questions, donc l’attente de beaucoup de réponses.
Voyons les principales actions de ce passage :
- Nephtys est confrontée au possesseur du yacht
- Nephtys va chez Dapos, avec Noka et y rencontre Serge
- Nephtys cherche la trace d’un médaillon celte
- Nephtys sauve Ahmed et en fait son petit protégé
- Nephtys part faire son bout de chemin seule (avec Ahmed)
- Sellière est sauvé et interrogé par un vieillard parlant l’égyptien ancien…
Le tout sous l’ombre d’une guerre entre humains et dieux qui se précise, avec d’un côté Horus et ses sbires, de l’autre… de l’autre, très difficile à définir. Où sont les traîtres ? Le rôle de Dapos, Noka et Serge reste à définir…
Alors voyons ces fameuses actions…
Le yacht.
Bon, je passerais sur le fait que j’aie eu énormément de mal à me faire à l’idée que Nephtys puisse avoir la peau suffisamment blanche pour faire croire à une française.
Après coup, ça me marque enfin, mais sur le moment je n’y avais pas fait attention… M’enfin, étrange que les autorités maritimes n’aient pas tout de suite mis aux arrêt celui ou celle qui se trouvait à bord d’un bateau volé, puisque celui-ci avait sans doute été déclaré comme tel. À vrai dire, ça n’a pas d’importance (la crédibilité reste entière à mes yeux).
Le riche homme vient voir Nephtys. C’est là que j’ai beaucoup à dire :
- Les policiers. Au départ, j’avais pensé que c’étaient des gardes du corps, puisqu’ils obéissaient servilement au riche. Par la suite, on apprend que ce sont des flics. Aurait-il fallu préciser « tous habillés pareils, en bleu » ? Ou simplement, dès le premier instant, parler de policier, quitte à préciser que Nephtys ne pouvait, bien évidemment, se douter de leur fonction (mais la devinait en partie, soit lui faire la peau en cas de problème.) Comme pour le revolver, autant accepter que le lecteur sache ce dont il s’agit. Là, à un moment, j’ai failli me dire : « Mais d’où ils sortent ces policiers ? ».
- La réaction du riche face à la magie (et à Nephtys en général) et son avenir. On a un riche qui dit : « Ces messieurs vont te conduire dans un endroit où tu seras traitée avec tout le respect que tu mérites. Es-tu un genre de sataniste ? Qu’es-tu en train de faire ? »
Par cette parole, par ces questions, il montre un intérêt soutenu à Nephtys. Pourquoi ? Parce que c’est justement ce que le lecteur aimerait savoir, ce qu’elle est en train de faire. De même, un type blasé se serait contenté, plutôt que d’un long discours, d’envoyer les policiers arrêter cette droguée. Bref, il lui montre de l’intérêt, il cherche à la comprendre.
Plus encore, il ne s’effraie pas de la magie (contrairement à un bon 80% de la population). Voilà vraiment un personnage haut en couleur à la personnalité bien tranchée. Ajoutons à cela un nom complet et on obtiendra une figure mise en avant dans l’histoire… qui va mourir quelques secondes après.
Tout comme le revolver a complètement disparu, malgré l’attention qu’on lui avait porté, voici un élément bien mis en avant qui disparaît aussitôt. À voir…
- Le combat contre les policiers, rien à dire. Pas de bourrinisme, au contraire, plutôt crédible, très bon moment. Par contre, qu’elle se torde le pied à l’atterrissage… Soit soit. Sans même faire allusion au fait que l’on entendra plus jamais parler par la suite de ce léger incident (ne boite pas, ne souffre pas, n’y prête pas attention, etc…), cela m’a donné une vision de la tuile qui tombe sur la tête du héros lorsqu’il sort de chez lui. Que vient donc faire cette torsion de pied ici ? Dans quel but ?
- Dernier élément :
« Mon voilier est équipé d’un traceur GPS. Ce n’était qu’une question de temps. »
Pour ceux qui ont lu le type de Solaris, je dénonce ici l’effet : « Capitaine amerton, trois de nos quatre moteurs à propulsion sub-spatiales sont en panne. Si nous ne faisons rien dans les trente minutes, le cosmo-caniche va s’écraser sur le soleil. »
En deux mots, tu as beaucoup tendance à passer par le dialogue pour distiller des informations sans que cela ne soit nécessaire. Bien, pas bien… je ne suis pas catégorique à ce sujet. À mon sens, c’est pas hyper bien, mais ça reste un style comme un autre. Selon le type de Solaris, c’est à éviter. À toi de voir. En tout cas, ce passage m’avait frappé, mais il y en a d’autres, moins évidents… (petite recherche, je reviens de suite…)
« Je commence à fatiguer, dit-elle. Nous allons nous poser près de cette maison, là-bas. »
Ce peut être pris dans le même ordre d’idée, même si je suis de loin moins convaincu…
***
Suite… Nephtys suit Noka et arrive chez Dapos où elle rencontre Serge. Embrouillé tout ça. J’ai retenu que Dapos et Serge étaient des traîtres potentiels, puisque hyper intéressés par la technologie. Malgré tout, ils servent visiblement Horus. Noka idem ou presque… Les trois sont peu définis, ils ont leurs magouilles. On parle de canaliser la magie, mais ça reste une des questions à venir.
Les relations entre les trois hommes et Nephtys sont tendues.
Le médaillon. Piste futur sur l’assaut qui mit fin aux dieux et la mort de Nephtys, mais pour le moment on en sait rien. Encore une question..
***
Ahmed, ce cher Ahmed… Là, il y a un jeu intéressant. D’une part, on fait penser au lecteur qu’elle s’éprend presque de ce jeune homme (tout comme elle s’était un amant dans les esclaves du temps des dieux), d’autre part on nous indique :
« . Les récits qui narrent tes exploits ne sont pourtant pas des contes pour enfants. »
En deux mots, elle n’hésitera pas à le tuer ou le sacrifier pour sa cause. Dualité de la personnalité de Nephtys, très intéressante. Ahmed en lui-même est la naïveté incarnée, c’en est touchant.
Bref, en gros, rien à dire, c’est parfait. Elle s’assure son premier serviteur fidèle (puisque impressionné), elle se fait toute gentille mais n’hésitera pas à sortir les crocs. Pour le lecteur, c’est très distrayant.
Ceci dit, je vois bien arriver la mort d’Ahmed dans le chapitre suivant. À force de détruire tous les éléments un tant soit peu développé dans le texte, ça ne m’étonnerait même pas trop… À voir. Mais pour le moment, Ahmed devient un peu le « personnage secondaire » de l’histoire, le deuxième héros, bref, un type important.
***
Nephtys part faire son bout de chemin seule. Pour le moment, pas très développé. Notons le coup des coffres sous l’eau. On y croit, c’est l’important. Mais ça reste assez bancal. Qu’importe… On verra bien ce que tout ça donnera. Encore une question à résoudre.
***
Enfin, Sellière est sauvé. Aussitôt, un type parlant l’égyptien ancien vient lui parler. On reste très énigmatique à ce sujet, re-soit. Espérons que la réponse viendra vite. Rien de plus à dire, on a pas assez d’éléments. À noter tout de même que Sellière a peur. Est-ce Seth, est-ce un autre dieu, est-ce un inconnu du lecteur ? Pas assez de preuves pour l’affirmer.
***
BREF…
Dans ce passage, beaucoup de dialogue, beaucoup beaucoup de dialogue… un début étrange (à quoi bon tout ce cirque ?), une coupure totale avec ce qui précède (plus de pistolet, pas de nouvelles de Sellière avant la fin du passage, plus de bateau…) et une suite pleine de questions…
Des questions, en effet :
- que va faire Nephtys toute seule dans son coin ?
- que va faire Nephtys de Ahmed ?
- qui a parlé à Sellière ?
- que va devenir Sellière ?
- Que mijotent Serge, Dapos et Noka ?
- Que va faire Horus ?
En deux mots, au point où on en est, on en sait pas plus qu’auparavant, mais on a un peu avancé.
L’élément le plus intéressant du texte, à mon sens, est l’idée du Ragnarok, qui nous sort un temps de l’égypte pour parler des dieux en général (et Poséidon aussi dans cette idée). Plus encore, la chute des dieux ne viendrait pas d’égypte, mais d’europe. Intéressante conception et mélange des cultures, une complexité qui fait envie.
***
Enfin, on en apprend plus sur les dieux eux-mêmes :
- ils sont très humains (rapport à Nephtys qui rêve de sa mère)
- ils sont mortels (les premiers dieux ne sont plus) (oui, je sais, j’l’avais dit que je connaissais mal la mythologie égyptienne).
- ils sont nombreux…
- un humain essaie de canaliser la magie…
Bref, parfois je me dis que ces fameux dieux ne sont rien d’autre que des humains avec des pouvoirs magiques, sans plus.
Une question à élucider, la nature des dieux…
Niveau style… le dialogue. La plupart du temps correctement utilisé, du moins pour ce que je puis en juger.
Les dernières phrases sont très amusantes.
L’ensemble est bien écrit.
Maintenant, l’histoire reste, pour l’instant, une série d’intrigues. Pas de sens cachés, pas d’immense réflexion à fournir (ou alors je ne l’ai pas vue). Voyons ce qu’il en adviendra.
Une chose, toutefois, est sûre pour moi : À l’exception du début avec cette histoire de yacht, GPS et autres, cette partie est meilleure que l’autre.
L’ambiance reste plus ou moins la même.
Mes questions à moi sont :
- pourquoi Nephtys est-elle blanche ?
- pourquoi cette histoire de yacht, l’hôtel, etc… ?
- pourquoi la foulure du pied ?
Impe, qui est un peu plus concis que dans son premier commentaire…
Première impression en fin de lecture : c’est complexe et on se prend au jeu. Beaucoup de questions, donc l’attente de beaucoup de réponses.
Voyons les principales actions de ce passage :
- Nephtys est confrontée au possesseur du yacht
- Nephtys va chez Dapos, avec Noka et y rencontre Serge
- Nephtys cherche la trace d’un médaillon celte
- Nephtys sauve Ahmed et en fait son petit protégé
- Nephtys part faire son bout de chemin seule (avec Ahmed)
- Sellière est sauvé et interrogé par un vieillard parlant l’égyptien ancien…
Le tout sous l’ombre d’une guerre entre humains et dieux qui se précise, avec d’un côté Horus et ses sbires, de l’autre… de l’autre, très difficile à définir. Où sont les traîtres ? Le rôle de Dapos, Noka et Serge reste à définir…
Alors voyons ces fameuses actions…
Le yacht.
Bon, je passerais sur le fait que j’aie eu énormément de mal à me faire à l’idée que Nephtys puisse avoir la peau suffisamment blanche pour faire croire à une française.
Après coup, ça me marque enfin, mais sur le moment je n’y avais pas fait attention… M’enfin, étrange que les autorités maritimes n’aient pas tout de suite mis aux arrêt celui ou celle qui se trouvait à bord d’un bateau volé, puisque celui-ci avait sans doute été déclaré comme tel. À vrai dire, ça n’a pas d’importance (la crédibilité reste entière à mes yeux).
Le riche homme vient voir Nephtys. C’est là que j’ai beaucoup à dire :
- Les policiers. Au départ, j’avais pensé que c’étaient des gardes du corps, puisqu’ils obéissaient servilement au riche. Par la suite, on apprend que ce sont des flics. Aurait-il fallu préciser « tous habillés pareils, en bleu » ? Ou simplement, dès le premier instant, parler de policier, quitte à préciser que Nephtys ne pouvait, bien évidemment, se douter de leur fonction (mais la devinait en partie, soit lui faire la peau en cas de problème.) Comme pour le revolver, autant accepter que le lecteur sache ce dont il s’agit. Là, à un moment, j’ai failli me dire : « Mais d’où ils sortent ces policiers ? ».
- La réaction du riche face à la magie (et à Nephtys en général) et son avenir. On a un riche qui dit : « Ces messieurs vont te conduire dans un endroit où tu seras traitée avec tout le respect que tu mérites. Es-tu un genre de sataniste ? Qu’es-tu en train de faire ? »
Par cette parole, par ces questions, il montre un intérêt soutenu à Nephtys. Pourquoi ? Parce que c’est justement ce que le lecteur aimerait savoir, ce qu’elle est en train de faire. De même, un type blasé se serait contenté, plutôt que d’un long discours, d’envoyer les policiers arrêter cette droguée. Bref, il lui montre de l’intérêt, il cherche à la comprendre.
Plus encore, il ne s’effraie pas de la magie (contrairement à un bon 80% de la population). Voilà vraiment un personnage haut en couleur à la personnalité bien tranchée. Ajoutons à cela un nom complet et on obtiendra une figure mise en avant dans l’histoire… qui va mourir quelques secondes après.
Tout comme le revolver a complètement disparu, malgré l’attention qu’on lui avait porté, voici un élément bien mis en avant qui disparaît aussitôt. À voir…
- Le combat contre les policiers, rien à dire. Pas de bourrinisme, au contraire, plutôt crédible, très bon moment. Par contre, qu’elle se torde le pied à l’atterrissage… Soit soit. Sans même faire allusion au fait que l’on entendra plus jamais parler par la suite de ce léger incident (ne boite pas, ne souffre pas, n’y prête pas attention, etc…), cela m’a donné une vision de la tuile qui tombe sur la tête du héros lorsqu’il sort de chez lui. Que vient donc faire cette torsion de pied ici ? Dans quel but ?
- Dernier élément :
« Mon voilier est équipé d’un traceur GPS. Ce n’était qu’une question de temps. »
Pour ceux qui ont lu le type de Solaris, je dénonce ici l’effet : « Capitaine amerton, trois de nos quatre moteurs à propulsion sub-spatiales sont en panne. Si nous ne faisons rien dans les trente minutes, le cosmo-caniche va s’écraser sur le soleil. »
En deux mots, tu as beaucoup tendance à passer par le dialogue pour distiller des informations sans que cela ne soit nécessaire. Bien, pas bien… je ne suis pas catégorique à ce sujet. À mon sens, c’est pas hyper bien, mais ça reste un style comme un autre. Selon le type de Solaris, c’est à éviter. À toi de voir. En tout cas, ce passage m’avait frappé, mais il y en a d’autres, moins évidents… (petite recherche, je reviens de suite…)
« Je commence à fatiguer, dit-elle. Nous allons nous poser près de cette maison, là-bas. »
Ce peut être pris dans le même ordre d’idée, même si je suis de loin moins convaincu…
***
Suite… Nephtys suit Noka et arrive chez Dapos où elle rencontre Serge. Embrouillé tout ça. J’ai retenu que Dapos et Serge étaient des traîtres potentiels, puisque hyper intéressés par la technologie. Malgré tout, ils servent visiblement Horus. Noka idem ou presque… Les trois sont peu définis, ils ont leurs magouilles. On parle de canaliser la magie, mais ça reste une des questions à venir.
Les relations entre les trois hommes et Nephtys sont tendues.
Le médaillon. Piste futur sur l’assaut qui mit fin aux dieux et la mort de Nephtys, mais pour le moment on en sait rien. Encore une question..
***
Ahmed, ce cher Ahmed… Là, il y a un jeu intéressant. D’une part, on fait penser au lecteur qu’elle s’éprend presque de ce jeune homme (tout comme elle s’était un amant dans les esclaves du temps des dieux), d’autre part on nous indique :
« . Les récits qui narrent tes exploits ne sont pourtant pas des contes pour enfants. »
En deux mots, elle n’hésitera pas à le tuer ou le sacrifier pour sa cause. Dualité de la personnalité de Nephtys, très intéressante. Ahmed en lui-même est la naïveté incarnée, c’en est touchant.
Bref, en gros, rien à dire, c’est parfait. Elle s’assure son premier serviteur fidèle (puisque impressionné), elle se fait toute gentille mais n’hésitera pas à sortir les crocs. Pour le lecteur, c’est très distrayant.
Ceci dit, je vois bien arriver la mort d’Ahmed dans le chapitre suivant. À force de détruire tous les éléments un tant soit peu développé dans le texte, ça ne m’étonnerait même pas trop… À voir. Mais pour le moment, Ahmed devient un peu le « personnage secondaire » de l’histoire, le deuxième héros, bref, un type important.
***
Nephtys part faire son bout de chemin seule. Pour le moment, pas très développé. Notons le coup des coffres sous l’eau. On y croit, c’est l’important. Mais ça reste assez bancal. Qu’importe… On verra bien ce que tout ça donnera. Encore une question à résoudre.
***
Enfin, Sellière est sauvé. Aussitôt, un type parlant l’égyptien ancien vient lui parler. On reste très énigmatique à ce sujet, re-soit. Espérons que la réponse viendra vite. Rien de plus à dire, on a pas assez d’éléments. À noter tout de même que Sellière a peur. Est-ce Seth, est-ce un autre dieu, est-ce un inconnu du lecteur ? Pas assez de preuves pour l’affirmer.
***
BREF…
Dans ce passage, beaucoup de dialogue, beaucoup beaucoup de dialogue… un début étrange (à quoi bon tout ce cirque ?), une coupure totale avec ce qui précède (plus de pistolet, pas de nouvelles de Sellière avant la fin du passage, plus de bateau…) et une suite pleine de questions…
Des questions, en effet :
- que va faire Nephtys toute seule dans son coin ?
- que va faire Nephtys de Ahmed ?
- qui a parlé à Sellière ?
- que va devenir Sellière ?
- Que mijotent Serge, Dapos et Noka ?
- Que va faire Horus ?
En deux mots, au point où on en est, on en sait pas plus qu’auparavant, mais on a un peu avancé.
L’élément le plus intéressant du texte, à mon sens, est l’idée du Ragnarok, qui nous sort un temps de l’égypte pour parler des dieux en général (et Poséidon aussi dans cette idée). Plus encore, la chute des dieux ne viendrait pas d’égypte, mais d’europe. Intéressante conception et mélange des cultures, une complexité qui fait envie.
***
Enfin, on en apprend plus sur les dieux eux-mêmes :
- ils sont très humains (rapport à Nephtys qui rêve de sa mère)
- ils sont mortels (les premiers dieux ne sont plus) (oui, je sais, j’l’avais dit que je connaissais mal la mythologie égyptienne).
- ils sont nombreux…
- un humain essaie de canaliser la magie…
Bref, parfois je me dis que ces fameux dieux ne sont rien d’autre que des humains avec des pouvoirs magiques, sans plus.
Une question à élucider, la nature des dieux…
Niveau style… le dialogue. La plupart du temps correctement utilisé, du moins pour ce que je puis en juger.
Les dernières phrases sont très amusantes.
L’ensemble est bien écrit.
Maintenant, l’histoire reste, pour l’instant, une série d’intrigues. Pas de sens cachés, pas d’immense réflexion à fournir (ou alors je ne l’ai pas vue). Voyons ce qu’il en adviendra.
Une chose, toutefois, est sûre pour moi : À l’exception du début avec cette histoire de yacht, GPS et autres, cette partie est meilleure que l’autre.
L’ambiance reste plus ou moins la même.
Mes questions à moi sont :
- pourquoi Nephtys est-elle blanche ?
- pourquoi cette histoire de yacht, l’hôtel, etc… ?
- pourquoi la foulure du pied ?
Impe, qui est un peu plus concis que dans son premier commentaire…
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- Le Galuron
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il y a 18 ans 5 mois #9938
par Le Galuron
Réponse de Le Galuron sur le sujet Re: Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
Bonjour, merci pour tous vos commentaires, et surtout ceux d'Imperator, qui sont d'une très grande qualité. Malheureusement, je ne pourrais plus continuer la diffusion de ce texte sur les Chronique, puisqu'il va être publié par les éditions le Manuscrit.
Bon répondre brièvement, oui, il ya beaucoup d'intrigues qui sont lancées et aucune résolue. C'est normal, le roman est long et il n'est que le premier d'une saga d'au moins 5 tomes. Pour ce qui est du yacht, n'oublions pas que Sellière a acheté la police pour se donner le temps de capturer nephtys, manoeuvre qui a échoué. Le propriétaire l'a retrouvé assez facilement, c'est vrai. Je tiens aussi à préciser que beaucoup de français ont la peau basanée... Sinon, la foulure... qui, peut-être un peu maladroit. je voulais juste rappeler, après son coup d'éclat, que ça peut toujours mal tourner pour elle si elle n'est pas vigilante.
Tes critiques me font beaucoup progresser, merci Impe.
Bon répondre brièvement, oui, il ya beaucoup d'intrigues qui sont lancées et aucune résolue. C'est normal, le roman est long et il n'est que le premier d'une saga d'au moins 5 tomes. Pour ce qui est du yacht, n'oublions pas que Sellière a acheté la police pour se donner le temps de capturer nephtys, manoeuvre qui a échoué. Le propriétaire l'a retrouvé assez facilement, c'est vrai. Je tiens aussi à préciser que beaucoup de français ont la peau basanée... Sinon, la foulure... qui, peut-être un peu maladroit. je voulais juste rappeler, après son coup d'éclat, que ça peut toujours mal tourner pour elle si elle n'est pas vigilante.
Tes critiques me font beaucoup progresser, merci Impe.
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- Imperator
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il y a 18 ans 5 mois #9939
par Imperator
Impe, j'connais un libraire qui me le fournira assez aisément (comme tout bon libraire quoi ).
Réponse de Imperator sur le sujet Re: Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
Beaucoup, ça m'étonnerait...Tes critiques me font beaucoup progresser, merci Impe.
Dès qu'il est sorti, tu viendra nous donner les références? (notamment l'ISBN)puisqu'il va être publié par les éditions le Manuscrit.
Impe, j'connais un libraire qui me le fournira assez aisément (comme tout bon libraire quoi ).
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- Zarathoustra
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il y a 18 ans 5 mois #9951
par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re: Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
Tu évoques Le Manuscrit. J'ai cru comprendre que cette maison n'était pas forcément moralement inattaquables. Disons que c'est, si j'ai compris, une compagnie qui ne pousse pas vraiment les livres, une sorte de compromis entre le livre éditer à compte d'auteur et la vraie édition, non?
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- Le Galuron
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il y a 18 ans 5 mois #9952
par Le Galuron
Réponse de Le Galuron sur le sujet Re: Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
Oui, si on peut dire... Ce qui est sur, c'est que ce n'est pas un éditeur traditionnel, c'est à dire qu'ils se distribuent eux meme. On peut commander les livres depuis n'importe quelle librairie puisque les livres ont un ISBN et sont référencés sur Dilicom. Donc le livre en lui meme est tres facile à se procurer. Mais ils ne passent pas par un réseau de distributeurs.
Je ne sais pas si tu es familier avec le fonctionnement d'une libraire. Je suis libraire. En fait, ce sont les acheteurs qui achetent les livres qu'ils veulent pour leur magasin. En théorie, aucun livre, quel qu'il soit, n'a la garantie de se retrouver dans une librairie. Il faut qu'il intéresse un acheteur. Ces derniers choisissent sur catalogues. Evidemment, un livre distribué par une maison d'édtion prestigieuse ou par un distributeur connu, a toutes les chances de se retrouver en librairie. Les acheteurs ne sont pas idiots. C'est sur qu'ils vont acheter tous les titres de Bragelonne ou de J'ai Lu, principalement par effet de concurrence. Mais pour les maisons d'édition peu connues ou nouvelles, c'est tout un défi de se faire acheter. ça devient un véritable enfer pour certain, car ils doivent payer leur imprimeur et rentrer dans leurs frais. Le Manuscrit a tout simplement renoncé à cette méthode de vente traditionnelle. Ils font de la promotion de leurs ouvrages, mais leur truc, c'est: si vous êtes pas intéressé par le livre, tant pis, on ne vous forcera pas à l'acheter. Ils survivent en imprimant les livres à la demande, ce qui, en plus, est plus écologique. En tant que libraire, je suis assez choqué par la quantité de livres qui partent au pilon chaque mois!
En fait, pour ceux que ça intéresse, voici le complèment d'explication technique. En librairie, il y a un concept important, c'est celui d'OFFICE. Un office, c'est une nouveauté qu'un libraire achète sans risque, puisque tous les invendus seront renvoyés à l'éditeur pour remboursement. Les seuls véritables achats que fait une librairie, c'est son réassort, le fond de stock, les livres sortis depuis plus d'un an et dont on est sur de vendre au moins un exemplaire de temps en temps. Autant dire que les librairies ne prennent aucun risque. Tout les risques reviennent à l'éditeur, qui, s'il a mal évalué son coup, se retrouve avec quantité d'invendus sur les bras. Et là, ça fait mal. Le Manuscrit ne fait tout simplement pas d'office. Toutes leurs ventes sont des ventes finales. Donc, peu de librairies (mais il y en a quelques unes) ont envie de prendre le risque de les mettre en magasin, à moins d'entente particulière. Parce que la, c'est eux qui se retrouvent coincés avec des invendus.
Par contre, le manuscrit fait la promotion de ses ouvrages. Ils ont un service de presse, ils font participer certains livres à des concours et ils s'arrangent pour obtenir des critiques et des interviews dans quelques magzines et sur internet (plutôt sur internet en fait).
Pour conclure, oui, j'aurai préféré être édité par Flammarion ou Calmann lévy, mais bon, on fait avec les moyens du bord. (Surtout que je n'ai jamais envoyé mon livre chez eux, ils ne risquaient pas de m'éditer; je n'ai meme pas tenté ma chance... certain diront que je suis stupide! mmh... c'est peut-être vrai). De toutes façons, Le manuscrit revend automatiquement les droits si un éditeur plus gros qu'eux est intéressé par l'un de leurs ouvrages. Au départ, Le manuscrit était un éditeur internet.
Voila.
Je ne sais pas si tu es familier avec le fonctionnement d'une libraire. Je suis libraire. En fait, ce sont les acheteurs qui achetent les livres qu'ils veulent pour leur magasin. En théorie, aucun livre, quel qu'il soit, n'a la garantie de se retrouver dans une librairie. Il faut qu'il intéresse un acheteur. Ces derniers choisissent sur catalogues. Evidemment, un livre distribué par une maison d'édtion prestigieuse ou par un distributeur connu, a toutes les chances de se retrouver en librairie. Les acheteurs ne sont pas idiots. C'est sur qu'ils vont acheter tous les titres de Bragelonne ou de J'ai Lu, principalement par effet de concurrence. Mais pour les maisons d'édition peu connues ou nouvelles, c'est tout un défi de se faire acheter. ça devient un véritable enfer pour certain, car ils doivent payer leur imprimeur et rentrer dans leurs frais. Le Manuscrit a tout simplement renoncé à cette méthode de vente traditionnelle. Ils font de la promotion de leurs ouvrages, mais leur truc, c'est: si vous êtes pas intéressé par le livre, tant pis, on ne vous forcera pas à l'acheter. Ils survivent en imprimant les livres à la demande, ce qui, en plus, est plus écologique. En tant que libraire, je suis assez choqué par la quantité de livres qui partent au pilon chaque mois!
En fait, pour ceux que ça intéresse, voici le complèment d'explication technique. En librairie, il y a un concept important, c'est celui d'OFFICE. Un office, c'est une nouveauté qu'un libraire achète sans risque, puisque tous les invendus seront renvoyés à l'éditeur pour remboursement. Les seuls véritables achats que fait une librairie, c'est son réassort, le fond de stock, les livres sortis depuis plus d'un an et dont on est sur de vendre au moins un exemplaire de temps en temps. Autant dire que les librairies ne prennent aucun risque. Tout les risques reviennent à l'éditeur, qui, s'il a mal évalué son coup, se retrouve avec quantité d'invendus sur les bras. Et là, ça fait mal. Le Manuscrit ne fait tout simplement pas d'office. Toutes leurs ventes sont des ventes finales. Donc, peu de librairies (mais il y en a quelques unes) ont envie de prendre le risque de les mettre en magasin, à moins d'entente particulière. Parce que la, c'est eux qui se retrouvent coincés avec des invendus.
Par contre, le manuscrit fait la promotion de ses ouvrages. Ils ont un service de presse, ils font participer certains livres à des concours et ils s'arrangent pour obtenir des critiques et des interviews dans quelques magzines et sur internet (plutôt sur internet en fait).
Pour conclure, oui, j'aurai préféré être édité par Flammarion ou Calmann lévy, mais bon, on fait avec les moyens du bord. (Surtout que je n'ai jamais envoyé mon livre chez eux, ils ne risquaient pas de m'éditer; je n'ai meme pas tenté ma chance... certain diront que je suis stupide! mmh... c'est peut-être vrai). De toutes façons, Le manuscrit revend automatiquement les droits si un éditeur plus gros qu'eux est intéressé par l'un de leurs ouvrages. Au départ, Le manuscrit était un éditeur internet.
Voila.
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- Zarathoustra
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il y a 18 ans 5 mois #9953
par Zarathoustra
Réponse de Zarathoustra sur le sujet Re: Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
Je vois que tu as fait ça en connaissance de cause. Et que tu es même plus onformé que la moyenne! Mais j'avais lu sur internet des auteurs s'étant un peu fait avoir avec le Manuscrit (ou du moins n'ayant pas bien compris tout ce que ça impliquait, donc les torts étaient partagés).
Mais tu as peut-être dans tes tiroirs des petites choses qu'on pourrait lire également?
Mais tu as peut-être dans tes tiroirs des petites choses qu'on pourrait lire également?
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- Iliaron
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il y a 18 ans 4 mois #9959
par Iliaron
Réponse de Iliaron sur le sujet Re: Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
Et bien et bien, un auteur édité des Chroniques !
Bonne chance à toi dans cette "aventure"!
Ceci dit, passons à la critique
Déjà, j'ai nettement préféré cette partie à la précédente. A mon avis tu devrais revenir sur le début et enlever les éléments superflus, dont la plupart ont été notés par Impe. A mon avis, le plus gênant est le revolver, à moins qu'un n'ait un rôle plus tard: tu en fais une surenchère pour ne plus en parler juste après. Tu perds un peu le lecteur (peut-être est-ce le but: je sais que j'aurais fait différemment, mais chaque auteur a son style, que diable!).
J'ai aussi noté une nette distinction entre ces deux premières parties: au début les dieux sont bien plus puissants que maintenant. Il suffit de voir: auparavant ils se dédoublent de leur corps, ils guérissent à toute vitesse de leur blessure (le coup de flingue pris, on en entend plus parler) et les quelques tentatives pour montrer leurs faiblesses ne trompent aucunement. Là, Nephtys a un visage bien plus humain, on sent presque Dako plus puissant . (ou du moins, plus malin, car ne comptant pas que sur lui-même).
Cependant, je me vois en mal de critiquer plus en avant: l'intrigue reste encore très opaque, bien que l'on suive à peu près bien (beaucoup d'éléments dont on ne comprend nullement la signification et que l'on oublie aussitôt (en espérant que ce ne soit pas mauvais pour la suite ) mais il reste une trame, c'est bien). Remarque, vu la taille finale du roman (le premier livre fait 200 000 caractères, tu as bien dit? - donc avec 5 livres, ça peut quand même faire un brin d'intrigue développé, surtout que tu as un style assez rapide ).
Je dirais presque, j'attends de voir la suite, mais comme elle ne sera jamais publié sur les Chroniques...
Ce qui me fait revenir à cette histoire d'édition (désolé si je dévie du sujet, à la limite il faudrait presque en créer un nouveau dans la rubrique Général
Je ne connais pas du tout les éditions le Manuscrit, comme je n'achète que dans les librairies, et fait souvent confiance aux noms qui circulent, style Robin Hobb, Feist... mais je compte bien parvenir à m'acheter ton récit: j'ai quand même envie de promouvoir un peu les auteurs des Chroniques, aussi faiblement que l'achat d'un livre est; et même si ton récit n'est pas forcément mon préféré (à cause du style peut-être trop différent du mien (chacun ses goûts, comme je le dis plus haut), ou de ses menues incohérence inhérentes à une grande saga), je l'aime bien, et je pense que lu du'ne traite, on comprend mieux.
Mais juste pour savoir, après envoi de ton manuscrit, tu as reçu ta réponse longtemps après? (j'ai participé au concours des éditions Robert-Laffont, et seulement un moins après réception des manuscrits (je crois que la dernière fois il y en avait eu 300, ça fait donc un bon brin de lecture), j'ai reçu la réponse (négative, fallait s'y attendre, même si j'ai été un peu déçu... enfin bref), et cette vitesse de lecture m'avait vraiment surprise (à moins que mon début soit tellement déplorable que passé la première ligne ils aient arrêté ).
Bon bon bon, tiens nous au courant pour ton édition (en fait, tu ne comptais pas monter une maison d'édition, je sais qu'un des membres en a déjà parlé, mais je ne cesse d'oublier si c'est toi ou Ualnis .
Je crois que j'ai plus dévié du sujet qu'autre chose. En conclusion, un passage qui gomme nombre de ses précédentes "erreurs", et les dieux présentés comme plus humains que dieux sont d'un coup bien plus attachants. Avec le duo/couple Nephtys - Ahmed, tu tiens vraiment quelque chose de bien !
Iliaron, un peu en retard dans cette MAJ (si j'avais su qu'après le bac j'aurais encore moins de temps libre )
Bonne chance à toi dans cette "aventure"!
Ceci dit, passons à la critique
Déjà, j'ai nettement préféré cette partie à la précédente. A mon avis tu devrais revenir sur le début et enlever les éléments superflus, dont la plupart ont été notés par Impe. A mon avis, le plus gênant est le revolver, à moins qu'un n'ait un rôle plus tard: tu en fais une surenchère pour ne plus en parler juste après. Tu perds un peu le lecteur (peut-être est-ce le but: je sais que j'aurais fait différemment, mais chaque auteur a son style, que diable!).
J'ai aussi noté une nette distinction entre ces deux premières parties: au début les dieux sont bien plus puissants que maintenant. Il suffit de voir: auparavant ils se dédoublent de leur corps, ils guérissent à toute vitesse de leur blessure (le coup de flingue pris, on en entend plus parler) et les quelques tentatives pour montrer leurs faiblesses ne trompent aucunement. Là, Nephtys a un visage bien plus humain, on sent presque Dako plus puissant . (ou du moins, plus malin, car ne comptant pas que sur lui-même).
Cependant, je me vois en mal de critiquer plus en avant: l'intrigue reste encore très opaque, bien que l'on suive à peu près bien (beaucoup d'éléments dont on ne comprend nullement la signification et que l'on oublie aussitôt (en espérant que ce ne soit pas mauvais pour la suite ) mais il reste une trame, c'est bien). Remarque, vu la taille finale du roman (le premier livre fait 200 000 caractères, tu as bien dit? - donc avec 5 livres, ça peut quand même faire un brin d'intrigue développé, surtout que tu as un style assez rapide ).
Je dirais presque, j'attends de voir la suite, mais comme elle ne sera jamais publié sur les Chroniques...
Ce qui me fait revenir à cette histoire d'édition (désolé si je dévie du sujet, à la limite il faudrait presque en créer un nouveau dans la rubrique Général
Je ne connais pas du tout les éditions le Manuscrit, comme je n'achète que dans les librairies, et fait souvent confiance aux noms qui circulent, style Robin Hobb, Feist... mais je compte bien parvenir à m'acheter ton récit: j'ai quand même envie de promouvoir un peu les auteurs des Chroniques, aussi faiblement que l'achat d'un livre est; et même si ton récit n'est pas forcément mon préféré (à cause du style peut-être trop différent du mien (chacun ses goûts, comme je le dis plus haut), ou de ses menues incohérence inhérentes à une grande saga), je l'aime bien, et je pense que lu du'ne traite, on comprend mieux.
Mais juste pour savoir, après envoi de ton manuscrit, tu as reçu ta réponse longtemps après? (j'ai participé au concours des éditions Robert-Laffont, et seulement un moins après réception des manuscrits (je crois que la dernière fois il y en avait eu 300, ça fait donc un bon brin de lecture), j'ai reçu la réponse (négative, fallait s'y attendre, même si j'ai été un peu déçu... enfin bref), et cette vitesse de lecture m'avait vraiment surprise (à moins que mon début soit tellement déplorable que passé la première ligne ils aient arrêté ).
Bon bon bon, tiens nous au courant pour ton édition (en fait, tu ne comptais pas monter une maison d'édition, je sais qu'un des membres en a déjà parlé, mais je ne cesse d'oublier si c'est toi ou Ualnis .
Je crois que j'ai plus dévié du sujet qu'autre chose. En conclusion, un passage qui gomme nombre de ses précédentes "erreurs", et les dieux présentés comme plus humains que dieux sont d'un coup bien plus attachants. Avec le duo/couple Nephtys - Ahmed, tu tiens vraiment quelque chose de bien !
Iliaron, un peu en retard dans cette MAJ (si j'avais su qu'après le bac j'aurais encore moins de temps libre )
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il y a 18 ans 4 mois #10090
par Monthy3
Réponse de Monthy3 sur le sujet Re: Le Galuron - Le retour des dieux [juin 2006]
Avant tout, félicitations pour avoir trouvé un éditeur
Je n'ai pas grand-chose à dire, en fait, et encore moins de reproche. J'apprécie l'originalité de l'intrigue et la maîtrise que tu as de ton sujet, on voit que soit tu t'es renseigné à fond sur l'Egypte ancienne, soit tu es passionnée par elle, et vraisemblablement les deux ; ça se sent dans ton écriture
Au niveau des reproches, un problème parfois de mise en page, ou plutôt de transition entre narration et dialogues, de temps à autres. Et, mais c'est très personnel, je ne vois pas l'utilité des citations en début de chapitre si elles ne servent pas à l'intrigue Peut-être que c'est le cas, ou peut-être que leur rôle est simplement de nous mettre dans l'ambiance, mais sur ces dix chapitres, ça ne m'a pas paru particulièrement pertinent.
Bonne continuation
Edit : ah, et puis je viens de lire la réponse d'Iliaron : j'espère également que tu nous donneras les références, je compte bien aussi me procurer ton (tes) ouvrage(s)
Je n'ai pas grand-chose à dire, en fait, et encore moins de reproche. J'apprécie l'originalité de l'intrigue et la maîtrise que tu as de ton sujet, on voit que soit tu t'es renseigné à fond sur l'Egypte ancienne, soit tu es passionnée par elle, et vraisemblablement les deux ; ça se sent dans ton écriture
Au niveau des reproches, un problème parfois de mise en page, ou plutôt de transition entre narration et dialogues, de temps à autres. Et, mais c'est très personnel, je ne vois pas l'utilité des citations en début de chapitre si elles ne servent pas à l'intrigue Peut-être que c'est le cas, ou peut-être que leur rôle est simplement de nous mettre dans l'ambiance, mais sur ces dix chapitres, ça ne m'a pas paru particulièrement pertinent.
Bonne continuation
Edit : ah, et puis je viens de lire la réponse d'Iliaron : j'espère également que tu nous donneras les références, je compte bien aussi me procurer ton (tes) ouvrage(s)
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