[Réécriture] La Nuit du Chaos
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- Iggy Grunnson
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J'avoue avoir eu un pincement au coeur en relisant la prose de ce cher lorindil, surtout prenant place dans le monde de warhammer.... Ca nous rajeunit pas, tout ça
Ceci dit, les références au background sont suffisamment subtile pour que le texte puisse séduire même quelqu'un de complètement étranger au vieux monde. En fait, de part sa structure et sa "morale" finale, le récit tient bien plus du conte que de la fanfic warhammer classique, et c'est tout à son honneur!
Le style, comme toujours avec Lorindil, est impeccable, et je n'ai pas repéré de fautes en première lecture. Ce qui me touche beaucoup, c'est la conclusion de l'histoire, je trouve bien vue la psychologie du personnage qui continue d'apposer des protections de pacotilles tout en sachant au fond de lui qu'il a déjà cédé... C'est très humains finalement, ce qui est toujours bienvenu dans un récit de fantasy où les personnages sont parfois réduits à des archétypes un peu grossiers!
Quelques défauts quand même: le discours de tzeentch est moyennement convaincant, dans la mesure où son argumentation se limite à "je vais faire de toi le plus grand magicien de tous les temps" suivi de "tu n'es qu'une marionnette pour moi...". Si l'on se doute bien que le démon ne compte pas tenir ses promesses, c'est quand même plus surprenant de l'entendre le déclarer lui-même ouvertement.
Sinon, mais ça vient peut-être de moi, j'avais envisagé le magicien comme un vieux bonhomme dans sa tour, jusqu'à ce que le dernier dieu ne mentionne sa jeunesse. M'enfin, je ne sais pas trop si c'est vraiment un problème du texte ou une question de perception.
Du tout bon en tout cas!
Iggy
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- Anonymous
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Oui Tzeensh est peu tentant; j'ai quasiment fini le Cycle d'Horus de la Black Library, et j'ai de nouvelles idées pour corriger le tir (et faire plus craquer pour le Grand Architecte).
Le Chaos est né des Hommes, du moins est-ce la vision développée par la Black Library, et c'est une excellente vision : dans ces conditions, comment ne pas succomber à quelque chose né d'une face aussi pbscure de l'essence humaine ? D'où les protections dérisoires, et la tentation inévitable.
Je loue les héros qui ne succombent pas au Chaos, dans les nouvelles les présentant, il y a une part d'inhumain en eux, car ils sont parvenu à brider ou écraser leurs faiblesses humaines. Des sur-hommes ?
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- Iggy Grunnson
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La dark fantasy se prête donc à ce genre de thèmes. Pour ma part, j'ai souvent mis un sens psychologique dans mes récits de DF. Le Jour Où Vint le Chaos se voulait le reflet d'une tentation psychique vers la folie. En vérité, c'est même un texte déguisé sur les dangers du jdr: le Chaos et ses 4 dieux sont les messagers de la tentation, et la tour l'ulime rempart de la conscience peu à peu investi...
Il s'agit du même récit, où bien d'un autre ayant le même sujet?
Iggy
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- Anonymous
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- Iggy Grunnson
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- Messages : 418
Je ne vois pas où tu as retrouvé cette citation ?
Comme je le mentionnais (de façon pas très claire il est vrai ), cette citation est tirée de la discussion "thèmes", lancée par dude dans la partie conseils d'écritures du forum.
Iggy
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- Anonymous
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J'ai fait un peu de psychologique à une époque, j'ai vite "tourné cette page", faire de psycho de comptoir n'a pas vraiment d'intérêt. J'avais eu une bonne enguelade là dessus à l'époque
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- Anonymous
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Lor.
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