Sans titre (Science fiction)
- Leagend7381
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Chapitre 1 :
Un grand banc de fumées grisâtres s’amoncelait en son sommet, donnant une allure étrange à la cité.
Elle geignait, couinait, bruissait, rythmée par le tempo assourdissant d’une grande barre d’acier martelant le sol avec fracas. Sous les bruits incessants des foreuses, les sorties de mines grouillaient d’ouvriers grimaçant, couverts de suie, profitant d’un léger bol d’air avant de retourner dans l’atmosphère étouffante des boyaux. Un grand tapis roulant emportait les minerais pour les emmener dans la fonderie, immense usine à la gueule rougeoyante qui dégageait une chaleur insoutenable.
Plus loin, une route délabrée se trainait parmi les immeubles aux façades éventrées, recousues à l’aide de pathétiques morceaux de tissus qui flottaient à demi au souffle que produisait les usines à oxygène et que l’on se plaisait à appeler vent afin de redonner un minimum de vie à l’ensemble morne de la ville.
La pluie dans la ville se matérialisait en un fin brouillard incessant, humide et étouffant, qui provenait des vapeurs des grandes fonderies, au centre de la ville.
On imaginait, au loin, les magnifiques palaces aux bordures dorées des hauts quartiers, un ilot de lumière parmi les ténèbres de la ville, centre des rêves les plus fous d’une population désespérée. On avait même crée des contes parlant de ce lieux que l’on ne connaissait que de nom et que l’on ne voyait que par le biais de l’imagination.
Le cheminement mal pavé se dirigeait maintenant droit vers un petit bar à la pancarte pendante qui diffusait une écœurante odeur d’alcool, alourdissant l’air déjà vicié par les pollutions incessantes de la ville.
L’intérieur était tout aussi sombre que le reste de la ville, embrumé par les fumées du tabac et de l’opium. Le bar était tenu par un homme au visage anguleux et aux cheveux grisonnants. Son regard bleu perçant épiait Call, un occupant de l’immeuble assis sur un grand tabouret, un petit verre de whisky à la main.
Celui-ci, après avoir marmonné quelques mots pour lui-même avait fini son verre d’une traite puis était monté dans la pièce qu’il occupait.
La chambre était en piteux état. De grandes tâches de moisissure grignotaient les murs maronnâtes ou coulait incessamment un petit filet d’eau crasseuse. Une table gisait en son centre, couverte de bières vides et d’objets en tout genre, posée à coté d’un vieux canapé dont les ressorts avaient crevés les tissus du matelas.
Call s’avachit dessus avec un soupir las, les yeux perdus dans le vide. Ce monde l’écœurait, cette ville emplie de mensonges et de violences, cet univers que l’homme avait gâché sous prétexte du développement. Cette société qui avait réussit à prendre le pouvoir par les menaces et qui le gardait par les armes. Même les faveurs n’étaient que manipulation : les Hauts Quartiers étaient accessible à tous ceux qui donnaient une bonne image de l’état, à ceux qui faisaient bien, qui donnaient la patte lorsque l’on leur demandait.
Call en avait envie de vomir. Il repoussa ses tristes pensées pour partir dans un sommeil agité, sombrant dans des cauchemars qui ne le quittaient plus depuis que la ville avait été crée.
Chapitre 2:
Deux hommes en armes patrouillaient côte à côte dans les ruelles sombres, serrant leurs cols autours de leur cou gelé par l’air glacial. Ils maugréaient en avançant péniblement, de grosses cernes noires qui ne les quittaient plus depuis deux jours marquaient leurs yeux fatigués.
Le soleil allait bientôt poindre au travers de la paroi bleutée qui protégeait la ville, il réchaufferait bientôt les corps gelés des deux hommes ; et tandis qu’ils marchaient, ils ne savaient pas que la petite flamme de vie qui animait encore ces corps se serait éteinte.
Tout se déroula très vite.
Un homme, dehors, pendant le couvre feu. Une altercation virulente, violente même. Une lame sortie, deux brefs coups portés, un coup de feu qui résonne, et trois hommes étaient morts, entretués.
Le plus jeune, un garçon freluquet aux cheveux blonds, gisait adossé à un mur, comptant les dernières secondes de sa vie tandis que s’écoulait un léger ruisseau carmin se sa poitrine, se glissant le long de son bras et imbibant ses mitaines pauvrement cousues.
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- Imperator
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Ce serait intéressant de voir comment tu en dévies avec le temps ou si tu t'y tiens et comment tu as organisé les choses avant d'avoir commencé l'écriture.
Côté commentaire, c'est surtout de la description et de mon côté ça fait l'effet voulu, détails mis à part. J'attends surtout de voir l'action elle-même .
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- Leagend7381
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Mais j'ai mis au point une technique d'écriture asses peut commune.
J'écris le début, la fin, puis les chapitres qui vont au milieu dans le désordre selon l'inspiration qui me vient. Pour ce qui est du plan, l'histoire est assez complexe à tisser et donc encore floue.
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- Mr. Petch
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Je trouve que globalement tes textes sont bons. Là, on est dans de la description, et la description fonctionne, en en saisit l'effet, on saisit en quelques mots la nature de ton univers. Donc ce que je vais dire après, c'est vraiment du détail et du pinaillage pour que ce soit encore mieux.
J'ai eu un petit souci de lecture avec cette phrase :
Plus loin, une route délabrée se trainait parmi les immeubles aux façades éventrées, recousues à l’aide de pathétiques morceaux de tissus qui flottaient à demi au souffle que produisait les usines à oxygène et que l’on se plaisait à appeler, afin de redonner un minimum de vie à l’ensemble morne de la ville, vent.
La construction de la phrase est bonne, fluide, mais la fin est difficile à lire. J'aurais mis "vent" avant, du type :
"et que l’on se plaisait à appeler vent, afin de redonner un minimum de vie à l’ensemble morne de la ville."
Ceci dit, je comprends l'idée de mettre en exergue le terme en le plaçant à la fin. Malheureusement, à la lecture, je trouve que c'est un peu court, cela crée un déséquilibre. A la rigueur, allonger le terme "vent" en le qualifiant pour éviter le déséquilibre, par exemple :
"et que l’on se plaisait à appeler, afin de redonner un minimum de vie à l’ensemble morne de la ville, vent des brumes."
**
Sinon je trouve que la phrase suivante est un peu "too much" :
Le cheminement mal pavé se dirigeait maintenant droit vers un petit bar à la pancarte pendante qui diffusait une écœurante odeur d’alcool, alourdissant l’air déjà vicié par les pollutions incessantes de la ville.
Autant j'aime beaucoup l'allitération sur "pancarte pendante", autant sur la fin de la phrase, tu mets trop d'adjectifs pour dire la même chose : "écoeurante", "vicié", "pollutions incessantes". A ce stade, on a compris l'idée d'une ville polluée. Pas la peine d'en rajouter. Je dirais que tu dois faire attention au dosage quand tu écris. Essaye de voir quand le lecteur a compris, et quand il est nécessaire d'en faire trop (parce que parfois il est nécessaire d'en faire trop, mais pas là, au premier chapitre : ne brûle pas d'un coup toutes tes cartouches).
Surtout que ça continue après :
La chambre était en piteux état. De grandes tâches de moisissure grignotaient les murs maronnâtes ou coulait incessamment un petit filet d’eau crasseuse.Une table gisait en son centre, couverte de bières vides et d’objets en tout genre, posée à coté d’un vieux canapé dont les ressorts avaient crevés les tissus du matelas.
Oui, OK, c'est sale... Le truc c'est que pour montrer la saleté, tu utilises pas mal de clichés : les bières sur la table, les ressorts du matelas... Ton emploi du terme "objets en tout genre" au milieu de la phrase démontre que tu n'es pas allé chercher au-delà d'une représentation classique de la saleté. Essaye d'imaginer des façons originales d'exprimer la même chose. Si possible des façons originales qui servent le reste du propos de l'histoire.
Car le défaut du texte est en un sens son imprécision. Ton décor de chaos industriel ressemble à n'importe quel décor de chaos industriel. Je pense que tu pourrais faire mieux et, dès cette description liminaire, apporter au lecteur des indices sur ce monde. Tu le fais après, mais tu le fais de façon très didactique et directe, en allant dans les pensées du héros :
Ce monde l’écœurait, cette ville emplie de mensonges et de violences, cet univers que l’homme avait gâché sous prétexte du développement. Cette société qui avait réussit à prendre le pouvoir par les menaces et qui le gardait par les armes. Même les faveurs n’étaient que manipulation : les Hauts Quartiers étaient accessible à tous ceux qui donnaient une bonne image de l’état, à ceux qui faisaient bien, qui donnaient la patte lorsque l’on leur demandait.
Ce serait plus pertinent, en plus ou à la place de cette annonce qui nous explique sagement qu'on est dans une oligarchie militarisée avec des riches et des pauvres, de disséminer ces mêmes informations dans la description au-dessus. Demande-toi par exemple : est-ce qu'on est dans un monde complètement futuriste ? Quelle est la technologie de ce monde ? Qu'est-ce que fait Call qui pourrait conduire à la présence d'autres objets que des bières sur sa table ?
En gros, mon conseil, c'est de garder ton style qui est tout à fait plaisant, mais de l'enrichir en essayant d'aller hors d'une zone de confort d'une écriture qui s'exprime pas clichés. En tout cas pas dès le début : pour captiver le lecteur, il faut qu'il ait l'impression de lire quelque chose de neuf (en tout cas un lecteur comme moi ! )
Hâte de lire la suite, en tout cas...
Mr Petch
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- Leagend7381
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Merci encore de ton commentaire
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- Leagend7381
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"ne brûle pas d'un coup toutes tes cartouches"
En gros, tu vois certains outils comme des jokers à garder pour les moments ou l'on en a le plus besoin, je ne me trompe pas?
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- Mr. Petch
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En gros, tu vois certains outils comme des jokers à garder pour les moments ou l'on en a le plus besoin, je ne me trompe pas?
C'est un peu ça, oui. C'est à la fois un conseil général : ne cherche pas à tout dire d'un coup, et un conseil particulier : n'utilise pas toutes les figures du style en même temps.
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- Leagend7381
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"La ville était là, protégée dans son grand dôme aux allures bleutées.
Un grand banc de fumées épaisses s’amoncelait en son sommet, donnant une allure étrange à la cité.
Elle geignait, couinait, bruissait, rythmée par le tempo assourdissant d’une grande barre d’acier qui martelait le sol avec fracas. Sous les bruits incessants des foreuses et des claquements répétitifs des bottes cirées des soldats, les sorties de mines grouillaient d’ouvriers grimaçant, couverts de suie, profitant d’un léger bol d’air avant de retourner dans l’atmosphère étouffante des boyaux. Un grand tapis roulant emportait les minerais pour les emmener dans la fonderie, immense usine à la gueule rougeoyante qui dégageait une chaleur insoutenable.
Plus loin, une route délabrée se trainait parmi les immeubles aux façades éventrées, recousues à l’aide de pathétiques morceaux de tissus qui flottaient légèrement au souffle que produisaient les usines à oxygène. Souffle qui arrivait par bourrasques cinglantes et que l’on se plaisait à appeler vent afin de redonner un minimum de vie à l’ensemble morne de la ville.
La pluie dans la ville se matérialisait en un fin brouillard incessant, humide et étouffant, qui provenait des vapeurs des grandes fonderies du centre de la ville. Cette brume incessante trempait les uniformes raidis des militaires en armes qui surveillaient chaque carrefour, chaque coin sombre, chaque petit chemin.
Il n’était pas rare qu’il y ait des altercations entre civil et militaires, mais ces querelles finissaient souvent par des arrestations voir par des exécutions sommaires, trop souvent…
On imaginait, au loin, les magnifiques palaces aux bordures dorées des hauts quartiers, un ilot de lumière parmi les ténèbres de la ville, centre des rêves les plus fous d’une population désespérée, seul vestige de liberté qui, en ce monde, semblait un réel paradis terrestre. On avait même crée des contes parlant de ce lieux que l’on ne connaissait que de nom et que l’on ne voyait que par le biais de l’imagination.
Le cheminement mal pavé se dirigeait maintenant droit vers un petit bar à la pancarte pendante qui diffusait une écœurante odeur d’alcool.
L’intérieur était tout aussi sombre que le reste de la ville, embrumé par les fumées du tabac et de l’opium. Le bar était tenu par un homme au visage anguleux et aux cheveux grisonnants. Son regard bleu perçant épiait Call, un occupant de l’immeuble assis sur un grand tabouret, un petit verre de whisky à la main.
Celui-ci, après avoir marmonné quelques mots pour lui-même avait fini son verre d’une traite puis était monté dans la pièce qu’il occupait.
La chambre était en piteux état. De nombreuses feuilles de papier voletaient au vent que délivrait l’unique fenêtre de la pièce dont les carreaux avaient été brisés. Les murs étaient craquelés, la peinture s’effritait, des morceaux de plâtre tombaient de temps en temps sur le sol. Une statuette représentant un révolutionnaire français gisait à même le sol, le bout de son fusil rompu. Seul un petit bureau paraissait encore entretenu dans ce désordre complet. Il se profilait discrètement dans un coin sombre de la pièce, couvert d’une multitude de petites pièces mécaniques et engrenages ainsi qu’une petite montre éventrée dont le système tournait encore en cliquetant.
Call s’assit sur une petite chaise, devant le bureau et plongea sa tête dans ses mains.
Ce monde l’écœurait. Cette société qui avait réussit à prendre le pouvoir par les menaces et qui le gardait par les armes. Même les faveurs n’étaient que manipulation : les Hauts Quartiers étaient accessible à tous ceux qui donnaient une bonne image de l’état, à ceux qui faisaient bien, qui donnaient la patte lorsque l’on leur demandait.
Call en avait envie de vomir. Il repoussa ses tristes pensées pour partir dans un sommeil agité, sombrant dans des cauchemars qui ne le quittaient plus depuis que la ville avait été crée."
edit: revision totale
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- Mr. Petch
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Attention, tu as la répétition de "incessant" ici :
La pluie dans la ville se matérialisait en un fin brouillard incessant, humide et étouffant, qui provenait des vapeurs des grandes fonderies du centre de la ville. Cette brume incessante trempait les uniformes raidis des militaires en armes qui surveillaient chaque carrefour, chaque coin sombre, chaque petit chemin.
Mais effectivement, j'ai l'impression que ça passe mieux, même si je trouve qu'il y a encore beaucoup d'adjectifs (mais enfin... je dis ça, j'ai tendance à en mettre trop aussi !). Dont certains un peu imprécis, je pense au "allure étrange" de la seconde phrase.
La première phrase est meilleure aussi, "protégée" plutôt que "emprisonnée" introduit une forme d'ambivalence.
Et toujours envie de savoir la suite... Trop court ! Trop court !
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- Leagend7381
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Hem... Debut du cahp 2 posté. Quelques révisions à faire pour la suite
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- Mr. Petch
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La critique : c'est toujours un peu la même en réalité : réfléchit bien à la place de tes adjectifs pour éviter l'inflation.
Exemple :
Ils maugréaient en avançant péniblement, de grosses cernes noires qui ne les quittaient plus depuis deux jours marquaient leurs yeux fatigués.
Ici, on a les cernes doublement qualifiés ("noires" et "qui ne les quittaient plus depuis deux jours") et les yeux "fatigués". J'ai l'impression qu'un de ses qualificatifs est en trop. Il n'est pas en trop au sens où il insiste (ça pourrait être un effet de style), mais au sens où il dit strictement la même chose (= ils sont fatigués). A la limite le noir apporte une touche un peu différente.
Mais réfléchis bien à cette question dans tes descriptions : si on insiste sur un détail avec trois qualificatifs, il faut que ce soit motivé derrière, et le moins ennuyeux possible. Sinon, on a l'impression que l'auteur nous tend un panneau "Hé ho ! Regarde ! Ils sont fatigués !"
Dis-toi que l'inflation d'adjectifs est souvent le signe des écrits débutants : si tu lis des romans, tu verras que rares sont les auteurs qui vont qualifier chaque substantif.
La remarque : Au troisième paragraphe, tu changes de style, avec des phrases sans verbe qui décrivent l'action. Je trouve que c'est une bonne idée, et le "tout se déroula très vite", quoiqu'un peu classique, fait une bonne transition. Est-ce que ce choix est conscient de ta part, est-ce qu'il a une raison particulière ?
Tu abandonnes très vite ce style pour revenir à une écriture plus classique. Or, je pense que le choix de ce style sans verbe pourrait te permettre d'allonger la scène d'action du paragraphe trois tout en conservant l'idée que "tout va très vite". Qu'en penses-tu ?
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- Leagend7381
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(mais toujours si court !)
C'est le début du chapitre deux, il est censé être plus long que le 1.
La critique : c'est toujours un peu la même en réalité : réfléchit bien à la place de tes adjectifs pour éviter l'inflation.
C'est vrais que maintenant que je relis cette phrase, elle me marque. Je vais relire à nouveau voir ces problèmes.
La remarque : Au troisième paragraphe, tu changes de style, avec des phrases sans verbe qui décrivent l'action.
Est-ce que ce choix est conscient de ta part, est-ce qu'il a une raison particulière ?
Oui, je voulait donner un point de vue assez extérieur et un déroulement assez rapide. Et je n'arrive pas très bien à décrire les scènes d'action, ça me permettait de la raccourcir au maximum (il faut que je m’entraîne un peut)
En tout cas, je vais essayer de modifier ce qui est nécessaire
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- Mr. Petch
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Oui, je voulait donner un point de vue assez extérieur et un déroulement assez rapide. Et je n'arrive pas très bien à décrire les scènes d'action, ça me permettait de la raccourcir au maximum (il faut que je m’entraîne un peut)
Au contraire, je trouve qu'avec cette méthode, tu as trouvé un très bon moyen de régler le problème des scènes d'action, de les rendre quand même intéressantes à lire. C'est pour ça que je te conseillais d'en profiter au maximum.
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- Leagend7381
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Per contre, il ne faudrait pas que j'évite que toutes les scènes d'action soient écrites de cette manière non?
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- Mr. Petch
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Per contre, il ne faudrait pas que j'évite que toutes les scènes d'action soient écrites de cette manière non?
Euh... Je n'ai pas compris ta phrase, je crois qu'il y a une double négation.
Mais en gros :
- tu peux t'aventurer à écrire toutes les scènes d'action de cette façon, mais ce sera un défi !
- sinon, tu te contentes d'amorcer la scène d'action avec cette méthode, et la suite avec une écriture plus traditionnelle...
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