je suis pas mort
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il y a 19 ans 10 mois #5029
par Udufru
je suis pas mort a été créé par Udufru
Ca fait un certain temps que j'ai pas écrit donc voila, ma nouvelle production (je v conctater miramax pour en faire un film). Donc voila, je me suis pas relu et je compte ajouter des descriptions et autres.
Retour aux origines
Yarrick regarda le soleil tomber lentement le long de la cote. Les rochers à fleur d?eau étaient comme baignés d?un halo divin. Les rayons déclinants se reflétaient sur les vagues comme autant de soleil donnant à la Mer des Songes l?impression d?être un autre univers. Elle était la blottie contre lui. Aucun des deux ne parlaient, ils étaient silencieux devant le majestueux spectacle qui s?offrait à eux. Le temps défila rapidement. Avec le déclin du soleil vint la nuit. Et les étoiles apparurent sur la mer déchaînée.
Yarrick se releva en sursaut, la sueur coulait le long de ses tempes. Il regarda sur le coté. Le lit était vide. Il n?y avait que lui et le néant. Elle était morte. Yarrick revit la scène, une fois de plus parmi les milliards d?autres depuis son départ. Charistéas était la, il la tenait par les cheveux, un sourire terrifiant sur ses lèvres. J?avais bondi mais ses sbires étaient intervenus. Je les avais attaqué. Je sentais encore mon épée s?enfoncer dans leurs corps, je me souvenais du bruit des os qui éclataient, des cris de douleurs. J?avais complètement perdu l?esprit. Je ne voyais plus que la haine, elle m?avait envahie. Je revis la peur dans leurs yeux. J?entendis à nouveau mes rires démoniaques. Je ne me rendais pas compte que cela me menait à ma perte. Charistéas avait sans doute était effrayé, il l?avait égorgée avant de fuir. Je n?avais rien vu, je ne voyais alors que mes adversaires et le sang. Lorsque le dernier de mes adversaires avait touché le sol, le torse défoncé en deux par un coup magistral, j?avais regardé autour de moi, cherchant Charistéas du regard. Mais il était parti, et seul le corps sans vie de mon épouse était présent. Je m?étais agenouillé devant elle. J?ai fermé ses yeux qui me reprochaient ma haine. Je l?avais bercé contre moi longtemps, très longtemps, j?avais perdu le sens de la réalité.
Je secouais la tête afin de faire partir ses images. Ma main s?était déplacée d?elle-même sur la garde de mon épée, comme animée par un désir de vengeance. Je la retirai lentement, je n?avais plus touché à une arme depuis ce jour. Je m?étais contenté de trouver un travail épuisant pour ôter Dalia de mon esprit. Cela faisait trois ans qu?elle m?avait quittée et sans Attalus, mon frère de sang, je me serais déjà suicidé. Je regarda par la fenêtre et vit que le soleil ne pointait toujours pas à l?horizon. Il me restait du temps avant le lever du jour, je me recouchai, espérant ne pas faire de cauchemar.
A quelques rues de la, un homme se retrouva acculé contre un mur, deux cadavres à ses pieds. Il avait l?épaule gauche en sang et son corps était lacéré de toute part. Il toisa ses adversaires, des assassins à en juger par leurs attitudes.
« Venez goûter à ma dernière danse, marmonna t?il avant de se jeter sur eux, une dague en main. ».
Son cri de guerre retenti dans la ruelle. Il beugla « Sang et Mort » quand son arme perfora la gorge d?un premier. Le sang macula son pourpoint, mais il ne s?en soucia pas. Seul comptait sa survie. Il sentit une brûlure au coté droit et pivota sur lui-même. Il évita de justesse un coup vicieux avant de plonger sa dague dans les entrailles du tueur. Il sentit la chaleur de la vie sur sa main, et eu un sourire carnassier. Il continua son assaut, mais ses adversaires s?étaient repris. La vigueur de ses attaques faiblit alors que les leurs amplifièrent. Une lame perça sa jambe droite, une autre ripa sur sa mâchoire. Il lâcha son arme quand un coup lui brisa deux cotes. Il chuta en genoux et glissa en attendant le coup fatal. Il vit le sol se rapprocher et sentit sa froideur contre son visage. Une douleur fulgurante lui traversa le corps et ses yeux se clorent à tout jamais.
Le soleil se leva sur Seveso, avec lui la ville se réveilla d?un sommeil réparateur. Yarrick se leva quand son patron toqua à sa porte. Il se prépara pour une journée de travail de plus à forger des armes pour l?armée ducale. Il avait eu la visite de quelques clients venu rechercher leurs armes quand plusieurs hommes entrèrent dans le magasin. Ils demandèrent à faire réparer plusieurs armes. Quand Yarrick inspecta les armes, il sentit l?odeur du sang et hésita à accepter le travail. Finalement il accepta, les dégâts n?étaient que mineurs. Quand les hommes repartirent, laissant leurs armes à ses bons soins, il les reconnu. C?étaient des hommes de Charistéas. Il faillit défaillir mais il se souvint ou l?avait mené la haine. Ses poings serrés blanchirent mais sa détermination de flancha pas. Le reste de la journée se déroula sans problème, il eu beaucoup de client et son esprit fut occupé. Alors qu?il resta fermé l?échoppe en compagnie de son employeur, il vit un sergent d?approcher. Il lui indiqua que la boutique était fermée. Le sergent lui demanda s?il était Yarrick et lui annonça la mort de son ami.
Je fus atterré, mon seul ami venait de mourir. Lui qui m?avait permis de survivre tout ce temps. Je sentis mes jambes se dérober sous mon poids, et l?officier qui me rattrapait. Alors qu?il me relevait, je me souvint de l?odeur du sang sur la lame des assassins. Mon souffle se coupa. Non. Ce n?était pas possible, il n?avait pas fait tuer Attalus. Si il l?avait fait. Il venait de détruire une nouvelle fois ma vie. La haine menaça de me submerger mais je résistai. Je ne devais pas céder par respect pour elle. J?entendis le sergent me parler de très loin. Quatre adversaires étaient morts avec lui. Quatre hommes que je n?aurais pas à tuer. La haine venait de m?envahir. Je voulais la tête de Charistéas et de ses hommes. Je repoussai le sergent avant de courir chez moi. Je m?engouffrai dans ma chambre, tremblant comme une feuille. Mes mains parcoururent le fil de mon épée, s?attardèrent sur chacune des entailles de ma cotte de maille. Lentement je m?équipai. La haine anima mes yeux d?une folie sanguinaire.
Yarrick s?élança dans la rue. Il se perdis plus d?une fois dans le dédale des rues mais réussis à retrouver la tanière de son adversaire. Il défonça la porte et entra. Deux gardes arrivèrent. Je les balayai d?un coup, fendant boucliers et armures. Ma fidèle épée n?avait pas perdu son tranchant malgré les années de repos. D?autres gardes arrivèrent, mais ils n?étaient pas nombreux et ma sauvagerie les écrasa comme autant d?insecte à la surface de la terre. Un éclat de rire attira mon attention. Il était la, en haut de l?escalier. Les cinq assassins survivants entre lui et moi. « Achevez-le comme sa femme et son ami, je veux voir la soumission dans ses yeux. ».
Ses hommes se jetèrent sur moi. Je bondi à leurs rencontres. Les lames se heurtèrent dans une gerbe d?étincelle. Je ne leur laissa pas le temps de s?organiser, sachant que cela causerait ma perte. J?esquivais plusieurs attaques avant de me fendre. Un d?entre eux toucha le sol. Instinctivement je me souvins du combat qui avait eu lieu trois ans plus tôt et la haine me submergea un peu plus. Poussant un hurlement bestial, je frappai à coups redoublés. Déchirant les chairs, fouettant les entrailles. Un deuxième, puis un troisième puis un quatrième assassins moururent. Le dernier voulut fuir. Refusant de le laisser vivre, je pris mon épée à l?envers et la lança sur lui. La lame passa entre les plaques de son armure, le clouant à un pilier comme un papillon. Je m?avança vers lui et dégagea ma lame. Il n?y avait plus que lui. Plus que lui et ma vengeance serait complète. Perdant définitivement tout sens de la mesure je chargea. Mon emportement faillit me faire chuter dans l?escalier mais l?expérience me rattrape.
Ma lame s?abattit. Charistéas para et me jeta en bas de l?escalier d?un coup de pied. Je me relevai rapidement le souffle coupé. Je réussi à parer le coup suivant de justesse mais il ne me laissa pas me reprendre et je dus reculer à travers la salle. A force d?attaque, il perça ma garde et m?atteint au thorax. Sa lame ripa sur mon armure et m?entailla le bras. Je profitai de sa surprise pour frapper de toutes mes forces. Son bouclier se brisa mais il ne vacilla pas, se contentant de reculer. Nous nous fixâmes un temps. Je vis l?arrogance dans ses yeux. Il vit la haine et la folie dans les miens. J?attaquai de nouveau mais il réussit à bloquer mes coups, avant de me faire reculer de nouveau. J?étais presque acculé quand il glissa dans une mare de sang. Un sourire haineux, je passai tout de suite à l?action, ma lame fendit un bras levé comme protection et fit fendit sa tête comme une pastèque. Je retira ma lame et poussa un cri de guerre. C?était celui d?Attalus et il allait me servir pendant une quinzaine d?années lorsque j?écuma le monde, la haine au ventre, me battant contre tous les sosies de Charistéas.
Aujourd?hui je regarde à nouveau les étoiles, je suis vieux et fatigué. Je regrette d?avoir laissé ma haine m?emporter. Le seul souvenir que le monde gardera de moi sera celui de ma haine et de mes meurtres.
Retour aux origines
Yarrick regarda le soleil tomber lentement le long de la cote. Les rochers à fleur d?eau étaient comme baignés d?un halo divin. Les rayons déclinants se reflétaient sur les vagues comme autant de soleil donnant à la Mer des Songes l?impression d?être un autre univers. Elle était la blottie contre lui. Aucun des deux ne parlaient, ils étaient silencieux devant le majestueux spectacle qui s?offrait à eux. Le temps défila rapidement. Avec le déclin du soleil vint la nuit. Et les étoiles apparurent sur la mer déchaînée.
Yarrick se releva en sursaut, la sueur coulait le long de ses tempes. Il regarda sur le coté. Le lit était vide. Il n?y avait que lui et le néant. Elle était morte. Yarrick revit la scène, une fois de plus parmi les milliards d?autres depuis son départ. Charistéas était la, il la tenait par les cheveux, un sourire terrifiant sur ses lèvres. J?avais bondi mais ses sbires étaient intervenus. Je les avais attaqué. Je sentais encore mon épée s?enfoncer dans leurs corps, je me souvenais du bruit des os qui éclataient, des cris de douleurs. J?avais complètement perdu l?esprit. Je ne voyais plus que la haine, elle m?avait envahie. Je revis la peur dans leurs yeux. J?entendis à nouveau mes rires démoniaques. Je ne me rendais pas compte que cela me menait à ma perte. Charistéas avait sans doute était effrayé, il l?avait égorgée avant de fuir. Je n?avais rien vu, je ne voyais alors que mes adversaires et le sang. Lorsque le dernier de mes adversaires avait touché le sol, le torse défoncé en deux par un coup magistral, j?avais regardé autour de moi, cherchant Charistéas du regard. Mais il était parti, et seul le corps sans vie de mon épouse était présent. Je m?étais agenouillé devant elle. J?ai fermé ses yeux qui me reprochaient ma haine. Je l?avais bercé contre moi longtemps, très longtemps, j?avais perdu le sens de la réalité.
Je secouais la tête afin de faire partir ses images. Ma main s?était déplacée d?elle-même sur la garde de mon épée, comme animée par un désir de vengeance. Je la retirai lentement, je n?avais plus touché à une arme depuis ce jour. Je m?étais contenté de trouver un travail épuisant pour ôter Dalia de mon esprit. Cela faisait trois ans qu?elle m?avait quittée et sans Attalus, mon frère de sang, je me serais déjà suicidé. Je regarda par la fenêtre et vit que le soleil ne pointait toujours pas à l?horizon. Il me restait du temps avant le lever du jour, je me recouchai, espérant ne pas faire de cauchemar.
A quelques rues de la, un homme se retrouva acculé contre un mur, deux cadavres à ses pieds. Il avait l?épaule gauche en sang et son corps était lacéré de toute part. Il toisa ses adversaires, des assassins à en juger par leurs attitudes.
« Venez goûter à ma dernière danse, marmonna t?il avant de se jeter sur eux, une dague en main. ».
Son cri de guerre retenti dans la ruelle. Il beugla « Sang et Mort » quand son arme perfora la gorge d?un premier. Le sang macula son pourpoint, mais il ne s?en soucia pas. Seul comptait sa survie. Il sentit une brûlure au coté droit et pivota sur lui-même. Il évita de justesse un coup vicieux avant de plonger sa dague dans les entrailles du tueur. Il sentit la chaleur de la vie sur sa main, et eu un sourire carnassier. Il continua son assaut, mais ses adversaires s?étaient repris. La vigueur de ses attaques faiblit alors que les leurs amplifièrent. Une lame perça sa jambe droite, une autre ripa sur sa mâchoire. Il lâcha son arme quand un coup lui brisa deux cotes. Il chuta en genoux et glissa en attendant le coup fatal. Il vit le sol se rapprocher et sentit sa froideur contre son visage. Une douleur fulgurante lui traversa le corps et ses yeux se clorent à tout jamais.
Le soleil se leva sur Seveso, avec lui la ville se réveilla d?un sommeil réparateur. Yarrick se leva quand son patron toqua à sa porte. Il se prépara pour une journée de travail de plus à forger des armes pour l?armée ducale. Il avait eu la visite de quelques clients venu rechercher leurs armes quand plusieurs hommes entrèrent dans le magasin. Ils demandèrent à faire réparer plusieurs armes. Quand Yarrick inspecta les armes, il sentit l?odeur du sang et hésita à accepter le travail. Finalement il accepta, les dégâts n?étaient que mineurs. Quand les hommes repartirent, laissant leurs armes à ses bons soins, il les reconnu. C?étaient des hommes de Charistéas. Il faillit défaillir mais il se souvint ou l?avait mené la haine. Ses poings serrés blanchirent mais sa détermination de flancha pas. Le reste de la journée se déroula sans problème, il eu beaucoup de client et son esprit fut occupé. Alors qu?il resta fermé l?échoppe en compagnie de son employeur, il vit un sergent d?approcher. Il lui indiqua que la boutique était fermée. Le sergent lui demanda s?il était Yarrick et lui annonça la mort de son ami.
Je fus atterré, mon seul ami venait de mourir. Lui qui m?avait permis de survivre tout ce temps. Je sentis mes jambes se dérober sous mon poids, et l?officier qui me rattrapait. Alors qu?il me relevait, je me souvint de l?odeur du sang sur la lame des assassins. Mon souffle se coupa. Non. Ce n?était pas possible, il n?avait pas fait tuer Attalus. Si il l?avait fait. Il venait de détruire une nouvelle fois ma vie. La haine menaça de me submerger mais je résistai. Je ne devais pas céder par respect pour elle. J?entendis le sergent me parler de très loin. Quatre adversaires étaient morts avec lui. Quatre hommes que je n?aurais pas à tuer. La haine venait de m?envahir. Je voulais la tête de Charistéas et de ses hommes. Je repoussai le sergent avant de courir chez moi. Je m?engouffrai dans ma chambre, tremblant comme une feuille. Mes mains parcoururent le fil de mon épée, s?attardèrent sur chacune des entailles de ma cotte de maille. Lentement je m?équipai. La haine anima mes yeux d?une folie sanguinaire.
Yarrick s?élança dans la rue. Il se perdis plus d?une fois dans le dédale des rues mais réussis à retrouver la tanière de son adversaire. Il défonça la porte et entra. Deux gardes arrivèrent. Je les balayai d?un coup, fendant boucliers et armures. Ma fidèle épée n?avait pas perdu son tranchant malgré les années de repos. D?autres gardes arrivèrent, mais ils n?étaient pas nombreux et ma sauvagerie les écrasa comme autant d?insecte à la surface de la terre. Un éclat de rire attira mon attention. Il était la, en haut de l?escalier. Les cinq assassins survivants entre lui et moi. « Achevez-le comme sa femme et son ami, je veux voir la soumission dans ses yeux. ».
Ses hommes se jetèrent sur moi. Je bondi à leurs rencontres. Les lames se heurtèrent dans une gerbe d?étincelle. Je ne leur laissa pas le temps de s?organiser, sachant que cela causerait ma perte. J?esquivais plusieurs attaques avant de me fendre. Un d?entre eux toucha le sol. Instinctivement je me souvins du combat qui avait eu lieu trois ans plus tôt et la haine me submergea un peu plus. Poussant un hurlement bestial, je frappai à coups redoublés. Déchirant les chairs, fouettant les entrailles. Un deuxième, puis un troisième puis un quatrième assassins moururent. Le dernier voulut fuir. Refusant de le laisser vivre, je pris mon épée à l?envers et la lança sur lui. La lame passa entre les plaques de son armure, le clouant à un pilier comme un papillon. Je m?avança vers lui et dégagea ma lame. Il n?y avait plus que lui. Plus que lui et ma vengeance serait complète. Perdant définitivement tout sens de la mesure je chargea. Mon emportement faillit me faire chuter dans l?escalier mais l?expérience me rattrape.
Ma lame s?abattit. Charistéas para et me jeta en bas de l?escalier d?un coup de pied. Je me relevai rapidement le souffle coupé. Je réussi à parer le coup suivant de justesse mais il ne me laissa pas me reprendre et je dus reculer à travers la salle. A force d?attaque, il perça ma garde et m?atteint au thorax. Sa lame ripa sur mon armure et m?entailla le bras. Je profitai de sa surprise pour frapper de toutes mes forces. Son bouclier se brisa mais il ne vacilla pas, se contentant de reculer. Nous nous fixâmes un temps. Je vis l?arrogance dans ses yeux. Il vit la haine et la folie dans les miens. J?attaquai de nouveau mais il réussit à bloquer mes coups, avant de me faire reculer de nouveau. J?étais presque acculé quand il glissa dans une mare de sang. Un sourire haineux, je passai tout de suite à l?action, ma lame fendit un bras levé comme protection et fit fendit sa tête comme une pastèque. Je retira ma lame et poussa un cri de guerre. C?était celui d?Attalus et il allait me servir pendant une quinzaine d?années lorsque j?écuma le monde, la haine au ventre, me battant contre tous les sosies de Charistéas.
Aujourd?hui je regarde à nouveau les étoiles, je suis vieux et fatigué. Je regrette d?avoir laissé ma haine m?emporter. Le seul souvenir que le monde gardera de moi sera celui de ma haine et de mes meurtres.
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- Anonymous
il y a 19 ans 10 mois #5035
par Anonymous
Réponse de Anonymous sur le sujet Re: je suis pas mort
Bon, j'ai pas le temps de tout lire ce soir, alors j'ai lu qu'un minimum et ne critiquerai que les deux premiers paragraphes.
Bon ca à l'air bien écrit, le style est posé. Pour cela, bravo.
Cependant, je suis désolé de te le dire, on a du mal au début à accrocher ton texte: Pourquoi?
Tout d'abord, les descriptions m'ont sembler un peu trop imaginatives et pas très parlantes, ce qui fait que j'avais du mal à m'introduire dans le décors.
Ensuite, tu changes très très vite de cadre spatio-temporel et en plus de change la personne de narration!!! Comme si tu voulais absolument que ton lecteur s'y perde complètement.
Après, si c'est voulu...Soit. Mais bon, ce n'est pas l'effet de style que je préfère...
Maleus(100 pour 100 subjectif)
Bon ca à l'air bien écrit, le style est posé. Pour cela, bravo.
Cependant, je suis désolé de te le dire, on a du mal au début à accrocher ton texte: Pourquoi?
Tout d'abord, les descriptions m'ont sembler un peu trop imaginatives et pas très parlantes, ce qui fait que j'avais du mal à m'introduire dans le décors.
Ensuite, tu changes très très vite de cadre spatio-temporel et en plus de change la personne de narration!!! Comme si tu voulais absolument que ton lecteur s'y perde complètement.
Après, si c'est voulu...Soit. Mais bon, ce n'est pas l'effet de style que je préfère...
Maleus(100 pour 100 subjectif)
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- dude
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- Messages : 624
il y a 19 ans 10 mois #5043
par dude
Réponse de dude sur le sujet Re: je suis pas mort
Je rejoins ce qu'a dit Maleus. La narration qui passe de la première personne à la troisième en l'espace d'un paragraphe, ce n'est pas l'idéal pour s'installer dans l'histoire.
A la limite, ce procédé pourrait marcher si tu appliquais à des personnages différents deux styles de narrations diférents. Là, on se retrouve avec le même personnage, tantôt à la première tantôt à la troisième, et c'est assez déroutant.
Les descriptions sont pas mal du tout mais fais gaffe à la surenchère d'images aux formules tarabiscotées. L'action est bien décrite, les passages sont assez clairs et violents à mon goût
L'histoire en elle-même est assez sympa même si le thème de la vengeance, est assez classique. Elle aurait pu être traité de façon un peu plus originale, moins linéaire.
dude
A la limite, ce procédé pourrait marcher si tu appliquais à des personnages différents deux styles de narrations diférents. Là, on se retrouve avec le même personnage, tantôt à la première tantôt à la troisième, et c'est assez déroutant.
Les descriptions sont pas mal du tout mais fais gaffe à la surenchère d'images aux formules tarabiscotées. L'action est bien décrite, les passages sont assez clairs et violents à mon goût
L'histoire en elle-même est assez sympa même si le thème de la vengeance, est assez classique. Elle aurait pu être traité de façon un peu plus originale, moins linéaire.
dude
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- Ismaël
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- Messages : 57
il y a 19 ans 9 mois #5066
par Ismaël
Réponse de Ismaël sur le sujet Re: je suis pas mort
Rien à dire au niveau du style: assez fluide, bonne écriture... Le passage de la 1ere à la 3eme personne est soit un peu déroutant, mais ne me choque pas... ça donne même un ptit plus je trouve...
Par contre, je rejoins les avis précédent: on a un peu de mal à accrocher... A mon avis, cela viens tout bêtement du sujet et de la maniére dont tu l'as traité: on ne trouve rien mis à part les meutres, et la vengeance. Pquoi cet assassinat ? Le fait de commencer par sa description permet généralement une bonne intro (le lecteur se demande grosso modo: c koi ce bordel? Pqoi y font ça?), mais ici, tu n'apporte aucun éléments de réponse, et ça se sens un peu dés le début: à part les coups, le malheur et la haine du type, il n'y a aucuns éléments, aucune piste. On se trouve en terrain connu on pourrait dire, et rien ne vient émoustiller notre curiosité: c'est "juste" un réglement de compte à coup de grands couteaux, teinté d'un peu poésie et de descriptions. Et ce pdt tout le récit... Il manque en fait une intrigue à ton texte, et que tu la fasse apparaître dés le début (par ex, des allusions aux raisons des meurtres, une histoire un brin plus compliqué qui apparaîtrait en filigrane...) . Bon, je cache pas que ça demandrait du boulot, et créerait un texte plus long, mais à mon avis plus prenant...
Voila, seule critique à faire... Sinon, texte bien fait.
Par contre, je rejoins les avis précédent: on a un peu de mal à accrocher... A mon avis, cela viens tout bêtement du sujet et de la maniére dont tu l'as traité: on ne trouve rien mis à part les meutres, et la vengeance. Pquoi cet assassinat ? Le fait de commencer par sa description permet généralement une bonne intro (le lecteur se demande grosso modo: c koi ce bordel? Pqoi y font ça?), mais ici, tu n'apporte aucun éléments de réponse, et ça se sens un peu dés le début: à part les coups, le malheur et la haine du type, il n'y a aucuns éléments, aucune piste. On se trouve en terrain connu on pourrait dire, et rien ne vient émoustiller notre curiosité: c'est "juste" un réglement de compte à coup de grands couteaux, teinté d'un peu poésie et de descriptions. Et ce pdt tout le récit... Il manque en fait une intrigue à ton texte, et que tu la fasse apparaître dés le début (par ex, des allusions aux raisons des meurtres, une histoire un brin plus compliqué qui apparaîtrait en filigrane...) . Bon, je cache pas que ça demandrait du boulot, et créerait un texte plus long, mais à mon avis plus prenant...
Voila, seule critique à faire... Sinon, texte bien fait.
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