C’ était un jeudi soir sans lune dans le royaume nain. On y était pas habitué ici, car le lune transperce les collines et éclair les environs à son habitude. Une grande silhouette se dessinait sur le sol. C’était un elfe ;plus précisément un elfe qui venait du royaume du Roi Sorcier. Il était très grand, il mesurait au moins un mètre quatre-vingt dix pour cent dix kilos de muscle. Il avait les cheveux longs et très noirs, qui dépassaient de sa cape en peau de dragons des mers. Son visage était sombre : de petits yeux noirs, un petit nez qui, vu sa forme, avait dû être cassé bon nombre de fois, et une grande cicatrice qui lui recouvrait la moitié de la joue gauche. Il avait aussi une petite barbe de trois ou quatre jours. De son sac dépassait une partie de son armure et l’étui qui contenait son étrange épée, recouverte de runes elfiques et de formes bizarre. On pouvait voir dessus du sang séché des nombreux adversaires qu’il a dût tué.
Il entra dans une taverne naine : plus un bruit. Les nains avaient arrêté de boire, scrutant l’étranger qui venait d’entrer. Le patron lui demanda :
Que veut - tu étranger ?
L’elfe lui répondit :
Sert moi donc une chope de ta meilleure bière ! L’étranger le pris par le bras et lui dit :
Mais je veux la boire tiède !
Etonné par cette demande, le nain alla chercher la bière. Boire la bière tiède était l’habitude des elfes noirs. Ils en buvaient rarement mais toujours tiède. Un nain assis sur le tabouret voisin vint et demanda :
_Dis donc, on t’a jamais vu dans le coin toi ? Qui es-tu et d’où viens-tu ?
_Je suis Kazik le Malicieux de Karond Narka !
A ces mots, les nains le regardèrent tous d’un air apeuré. Khor, son voisin continua :
Alors c’est toi le fameux Kazik ! Dis moi j’en ai entendu de belle sur toi, tu peux me raconter ce qu’il t’est arrivé ?
_Avec plaisir répondit Kazik mais alors tu doit m’offrir une mousse !
Khor lui serra la main et accepta.
_Au fait ajouta-t-il, je me présente je suis Khor le borgne.
Kazik but quelque gorgées et commença...
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Naggaroth, dans mon village natale, non loin de Karond Kar. Il s’appelait Karond Narka. Le nom des villes commencent toujours par le début du nom de la plus grande ville la plus proche à Naggaroth. J’était encore un enfant, j’aidait mon père, un paysan connu et aimé de tout le village. Je devais avoir à cette époque environ 16 ans. Mon père voulait que je l’aide à accrocher les bêtes au chariot mais je me suis enfuis dans la forêt. J’avais une cabane dans un arbre non loin de ma ferme. Celle-ci était vaste, j’y venait souvent avec quelques uns de mes amis pour discuter. En bas de cette arbre, j’avait trouvé, tout petit, une épée. Depuis, avec mes amis, nous nous entraînions à nous battre comme des corsaires de la puissante armée de Malékith. D’ici, je pouvais observer tout le village. La vue y était vraiment superbe. C’est dans cette arbre que j’ai eu la peur de ma vie ! J’ aperçus une ost d’elfe noir se diriger vers mon village. Il n’y avait pas beaucoup d’homme, environ 500 lanciers et autant de corsaires, soit la moitié de la population de mon village. Il avançait droit vers le village, d’un pas décidé, dirigé par un noble elfe noir, Korolair, le plus grand noble de tous les elfes noirs de Karond Kar. Celui-ci était venu parce qu’il avait besoin d’esclave pour bâtir une nouvelle forteresse. L’attaque se fit rapidement et par surprise. En arrivant de Karond Kar pour entrer dans le village, il n’ y avait qu’en seul chemin. Alors les corsaires passèrent à travers champ, juste sous mon arbre, mais ne m’aperçurent pas. Quant aux lanciers, ils ont sont passés de l’autre côté de façon à encercler les habitants du villages. L’assaut fut violent et rapide mais les paysans purent allèrent chercher de quoi se défendre. Ceux-ci étaient armés de leur fourche et de tous les outils qu’ils purent trouver. Un bon nombre d’entre eux moururent car ils ne faisaient pas le poids à côté des corsaires armés jusqu’au dents. Mon père lui essaya de protéger sa famille et réussit à exterminer quelque corsaires avant d’être amené de force par les lanciers. C’est après cette petit affront gagné par les hommes de Korolair qu’ils purent enfin emmener les paysans encore vivant et capable de travailler jusqu’à Karond Kar. Puis, il a chargé un régiment de lanciers de s’occuper des enfants et des femmes encore en vie. Je vous laisse deviner ce qu’ils ont bien pus faire aux femmes ! Après en avoir terminé avec eux, ils jetèrent tous les cadavres des enfants et des femmes dans la rue, les tripes à l’air, comme si c’étaient de vulgaires bêtes, les laissant se vider de leur sang. Le reste de l’armée repartit, je descendis et remarquai que j’était le seul encore en vie. Je me mis à pleurer, j’ai pleuré à côté de tous ces cadavres pêle-mêle qui jonchaient nos terres. C’est alors que j’ai fait la promesse de tuer l’homme qui avait détruit entièrement mon village, ce sale elfe de Korolair. Et depuis grâce à la force que ma transmis Khaine notre seigneur, je cherche à retrouver Korolair...
J’ère depuis plusieurs années, je recherche quelque chose à me mettre sous la dent. Car il n’y a plus grand chose à manger. J’ai installé des pièges pour capturer les rats qui viennent manger les cadavre du village de Karond Narka. Je suis exténué, je m’entraîne tous les jours plus longtemps à me battre avec l’épée que j’avait trouvée. Mais depuis un moment, je commence à me forger une épée avec les restes des matériaux les plus résistants qui ont servi à construire le village. Il y a du fer mais aussi du cuivre et encore bien d’autre matériaux dont j’ignore encore le nom. J’ai utilisé l’atelier de forgeron du village, qui m’a été d’une aide précieuse. Mon épée a la forme d’un arc de cercle où ,par endroit, j’ ai décidé de trancher des morceaux de métal pour lui donner plus de fluidité et de resistance. J’ai gravée dessus les runes de Khaine pour qu’il m’aide dans ma quête qui sera très longue, j’en suis conscient. Désormais, je vais prendre la direction de Karond Kar.
Je traverse l’immense forêt qui mène à Karond Kar mais je sais que je ne ferais pas le poids seul contre toute son armée alors, je fais un détour par le nord, pour aller chercher les guerriers les plus valeureux de toutes les terres de Naggaroth. Ces hommes ont repoussé à maintes reprises les puissants sanguinaires de Khorne et beaucoup d’autres ennemies très valeureux. Leur ville s’appelle Karond Garroth.
Arrivée à l’entrée du ville, je vois avec stupeur que les habitants se font attaqués par une énorme armée venant des terres du chaos. Il y en avait à perte de vue : 500 guerriers du chaos, 1500 maraudeurs sur des chevaux de guerre. Tous en ligne sur plusieurs rangs, ils étaient plus impressionnant que le roi sorcier Malékith en personne. Les maraudeurs avaient en main deux haches recouvertes du sang de nombreux citadins mort. Ils portaient une morgenstern, et fonçaient sur tous les guerriers qu’ils voyaient. Les guerriers, eux, avaient une armure du Chaos et possédaient une hallebarde chacun. A pied ,ils faisaient peur aux enfants et aux femmes en leur montrant des têtes de cadavres, les tripes leur pendant encore après les têtes. L’armée était dirigée par un seigneur du Chaos, le puissant et impressionnant : Karizak le Craint. Il montait un féroce dragon et avaient une armure qui, d’après les rumeurs avaient été volé a Sigmar après lui avoir tranché la tête ! Son dragon s’ appelait Fizere, le plus féroce dragon jamais monté. Karizak l’avait monté tout petit déjà et fut le seul à réussir à le dompter.
Les elfes quant à eux étaient une bouché de pain par rapport aux chaotiques : 300 cavaliers noirs et 300 guerriers elfes noirs, les plus redoutables de tout Naggaroth. Les cavaliers noirs avaient des arbalètes à répétition et une cape en peau de dragon des mers. Les guerriers avaient tous une arme lourde et une armure de sang. Je courus jusqu’à eux et sortis de mon sac mon épée. J’ l’empoignais de mes deux mains et la serrais très forts pour ne pas qu’elle ne m’échappe. Un cavalier tomba devant moi par un puissant coup de haches qui fut donné à sa monture, il roula par terre, le guerrier leva ses deux haches et prononça des paroles incompréhensible. C’est à cet instant que je savais qu’il fallait que j’intervienne : je défonçai d’un coup de pied le genou du guerrier du chaos et lui coupai la tête dès qu’il fut à terre. Celle-ci roula un peu plus loin. J’avais porté le coup avec une telle puissance que le sang de mon adversaire avait éclaboussé mon visage. Je goûta son sang et dès ce moment je compris que je pris goût à la bataille et que cela allait devenir une drogue pour moi et qu’il fallait que je tue tous les jours pour prendre plaisir à vivre. J’aida l’elfe à se relever ,puis il me dit :
Merci pour ton aide, sans toi j’aurais déjà plus de tête ! Mais comment t’appelle- tu ?
Je suis Kazik, je viens du village de Karon Narka.
_Et moi je m’appelle Luçhyo, je suis le chef des cavaliers noirs de Karond Garroth ! Viens, ils ont besoin d’aide !
Les deux nouveaux amis coururent langues pendantes vers les guerriers du chaos. Luçhyo n’était pas imposant pour un elfe, mais il était le leader d’elfe quatre fois plus imposant que lui. Il mesurait environ un mètre vingt cinq pour 43 kilos. Il avait deux grands yeux noir qui pouvaient apercevoir un ennemi à plus de cinq kilomètres ! Il possédait comme arme une hache à double tranchant finement aiguisée. Dès leur première assaut, il réussir à détruire des guerriers très puissants. Luçhyo avait lutté contre un maraudeur extrêmement puissant : après l’avoir fait chuté, il para un coup phénoménale en l’esquivant puis en contre-attaquant par une coup de hache qui coupa la tête du maraudeur en deux verticalment. Kazik ,lui, avait déjà exterminé vingt maraudeurs et plus de quarante guerriers en les devançant de vitesse. Son agilité lui permit de monter sur un destrier du chaos et en même temps de trancher par derrière la tête du maraudeur. Il ne restait plus qu’une trentaine de guerriers elfes et aucun cavaliers n’avait survécu. Par contre, les guerrier du chaos étaient encore 50 et autant de maraudeur sans monture tentaient d’exécuter les derniers elfes. Les cavaliers noirs s’étaient attaqué à Karizak après avoir massacré les maraudeurs. Mais la puissance du seigneur du chaos avaient surpassé celle de ses adversaires. Il donnait coup sur coup, tous portait pour tuer, et faisait mouche à chaque fois. Il ne restait plus que Kazik son nouveaux compères Luçhyo et le détestable Karizak sur le champ de bataille. Même à deux, Kazik pensaient vaincre le seigneur et surtout grâce à l’aide que lui apporterait le cavaliers elfes. C’est alors qu’une lutte sans fin pour les combattants débuta : Karizak descendit de Fizère et sortit une épée gigantesque d’au moins deux mètres. Il fit une spirale avec pour essayer d’impressionner ses deux adversaires elfes. Il fonça sur eux et la lutte commença enfin. On entendait seulement le bruit du contact entre les armes : les épées et la hache. Karizak n’était pas facile à déstabiliser et sur le plan de la manipulation de l’arme, il excellait. Ses coups était d’une telle puissance que les elfes luttaient pour ne pas tomber sur les cadavres qui jonchaient le champ de bataille. Les coups étaient très rapide mais personne n’arriva à bout de force avant un bon moment. Fatigué par la puissance qu’il développaient les combattants, à bout de souffle donnèrent leur dernière force pour faire pencher la balance de leur côté. C’est ce qu’il se passa lorsque Karizak, d’un cou d’épée, blessa Luçhyo en l’obligeant à poser genoux à terre, lâchant sa hache de guerre pour stopper l’ hémorragie. D’un seul coup de pied, Karizak le fit tomber et une lutte plus dure encore l’ attendait avec Kazik. D’ailleurs, ce dernier pensa pendant une fraction de seconde que son adversaire était invincible. Mais il ouvrit bien grand les yeux et quand Karizak porta un coup au niveau du genou du puissant elfe, Kazik sauta par dessus la lame et d’un coup porté avec toute la force et l’énergie qu’il lui restait au plus profond de lui, il transperça l’armure du seigneur et la ressortit instantanément. Karizak, affaiblit, se releva difficilement, s’appuyant sur son épée et chargea Kazik. Kazik esquiva le coup par un tour qu’il effectua sur lui même et porta un coup à la nuque de son adversaire qui trancha la tête de Karizak comme un couteau tranche une pomme. Quand Kazik remarqua que son adversaire ne se relèverait plus, il se précipita vers Luçhyo. Celui-ci avait une plaie au bras, plus précisément en haut de l’épaule. Après avoir soigné sa blessure, Luçhyo dit à Kazik :
Merci encore Kazik, je te dois une fière chandelle, grâce à ton intelligence, tu as pus sauver la ville et ma vie surtout et je t’en serais toujours reconnaissant !
Ce n’est rien voyons, toute ma vie j’ai cherché Korolair, l’enflure qui a fait de mon père un esclave et qui a tué ma mère ainsi que ma sœur. Et je vais à présent continuer ma route pour trouver des hommes capables de m’aider à tuer ce salopard.
Tu es si malicieux que je vais t’aider dans ta quête, ce sera en quelque sorte un remboursement de ton aide pour m’avoir sauver la vie. D’ailleurs dès maintenant, je t’appellerai Kazik le Malicieux.........