[Décembre 2006]Les Masques d'Elise T. Myron, chap.1-2

Tiens, j'avais oublié de passer ici après avoir lu le texte ...

Alors, premières impressions après la lecture : c'est assez différent de la première partie, tout en traitant les mêmes thèmes. Je ne sais plus qui dans sa critique énonçait qu'il était difficile de deviner "l'époque" du texte. Mais ce n'est pas foncièrement nécessaire, et ce flou apporte un plus à ce texte. Comme on découvre l'histoire avec le regard de Glycerine, je trouve normal de ne pas avoir d'arrêt sur images nous expliquant le pourquoi du comment de son univers.

Dans la première moitié du texte, on est aussi perdu qu'elle, et on ressent bien la terreur. C'est simplement un ressenti, mais j'ai senti les descriptions "brumeuses", ce qui correspond bien à cette partie de l'histoire.

Malheureusement, j'ai beaucoup moins accroché à la deuxième partie. Comme quelqu'un l'a fait remarqué, le mot "monument" m'a induit en erreur. Je voyais ça comme une construction. Et puis, le dialogue m'a semblé manquer de naturel. J'ai trouvé qu'il détonnait trop du reste. Avec ce qu'elle a vécu, je pensais que Glycerine serait plus méfiante, plus appeurée. Ca m'a un peu gêné.

Voilà pour mon appréciation globale. J'aime beaucoup l'univers que tu nous décrit, tout en mystères, ténébreux, brumeux. Mais j'ai comme l'impression que tu n'as pas réussi à maîtriser l'irruption de la couleur dans ta photo

Merci Gulix pour ta critique !

Effectivement, j'ai encore quelques difficultés avec la "couleur", sachant qu'en plus, Erato a complètement changé de mon idée initiale... Enfin, bref. Tellement de retouches à faire que j'ai déjà recommencé à écrire... Il faut définitivement revoir cette affaire de monument ! C'était pour dire que le truc était monumental... mais du coup, c'est un peu trompeur.

Quant au flou - trop flou, ahah, je suis contente que cela te dérange un peu moins que les autres. Pour autant je pense essayer d'user de procédés me permettant de m'attarder un peu plus sur des détails - mais j'aime ce flou malgré tout.