file Quand écrivez-vous?

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il y a 17 ans 11 mois #11641 par Krycek
Réponse de Krycek sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?
Sympa tous ces conseils. Pour le premier conseil, je le "savais" au fond de moi, je le mets en pratique mais n'avais jamais vraiment mis le doigt dessus.

Pour le reste, pour ma part, l'écriture n'est pas ce que je ferais de ma vie en tant que métier, c'est une passion, rien de plus et la façon dont tu en parles j'ai l'impression que pour toi c'est une tâche à accomplir plus qu'une passion... ?

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il y a 17 ans 11 mois #11655 par Monthy3
Réponse de Monthy3 sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?
Hmm, voyons si j'applique ou non ces conseils.

Premier conseil : relisez une partie de votre texte jusqu'où vous avez arrêté.
Ca vous remet dans l'atmosphère, ça vous évite de repartir sur tout autre chose et, avec un peu de chance, vous joignez à l'envie d'écrire le plaisir de la lecture.
Si jamais, une fois arrivé au bout de la lecture, vous ne saviez pas quoi écrire, c'est soit que vous avez autre chose en tête, auquel cas il vaut mieux abandonner, soit que le passage était mauvais, et là c'est Ctrl+Z et on reprend.

Ca, oui, évidemment, même si quand cela fait 3 ou 4 moments que j'essaie d'écrire le même passage à quelques jours d'intervalles, je m'en passe.

Deuxième conseil : profitez de vos erreurs.
Vous avez comme moi planifié jusqu'au moindre détail, vous avez besoin que votre personnage passe à droite plutôt qu'à gauche et bien entendu, au moment voulu, le personnage passe à gauche.
A ce moment, songez qu'il y a peut-être une raison à votre choix : revoyez votre plan, votre histoire, réfléchissez à ce choix inattendu et adaptez l'histoire en conséquence. Un plan n'est pas figé une bonne fois pour toute, il ne demande qu'à s'enrichir. Soit vous arrivez à concilier l'erreur et en faites un nouvel élément du texte qui l'enrichit, soit vous cherchez la cause de ce choix et vous la modifiez. Dans les deux cas, cherchez toujours la cause d'une erreur.

Là aussi, je n'hésite pas à modifier les idées prévues. Cependant, je le fais exclusivement sur des événements qui, s'ils ne sont pas totalement insignifiants, ont tout de même une importance limitée dans le récit. Ce qui m'amène à contredire, d'une certaine façon, ton conquième conseil (j'y reviens).

Troisième conseil : ne pensez plus à l'écriture.
Pour tous ceux qui en allumant leur ordinateur ouvrent par réflexe l'explorateur ou lancent un jeu quelconque, mettons un JdREMM, n'oubliez pas que l'écriture est un besoin viscéral, que ça ne vous lâchera plus jamais de toute votre existence. Si le besoin n'est pas viscéral... tant pis pour vous.
Donc lancez votre jeu, visitez votre forum, discuter sur messagerie, bref oubliez complètement l'écriture. Vous le regretterez d'abord, ensuite vous n'y penserez plus, puis l'envie d'écrire reviendra, toujours plus forte, toujours plus dévorante, qu'il faudra bien assouvir.
Plus vous résisterez (et résister, on le sait, n'est pas difficile), plus l'envie sera forte.

Le plus facile à suivre, incontestablement ! Allez hop, tour des 4-5 forums et du site d'eurosport, puis pouf, on lance Neverwinter Nights II, et... bah mince, je me couche sans avoir écrit une seule ligne...

Quatrième conseil : écrivez régulièrement.
Oui, je sais, ce n'est pas évident, mais en se forçant on n'obtient rien et devoir attendre des mois avant de réécrire est quelque peu dommageable. Le mieux est encore de s'offrir des périodes d'écriture, le matin ou le soir, voire un jour donné dans la semaine. N'essayez pas d'écrire plus que vous ne le pouvez, ça se retournera toujours contre vous.
Ainsi, pour ma part, j'ai plutôt l'habitude d'écrire le soir, en expédiant le plus vite possible tout le reste, forums, jeux. Il faut juste une plage horaire un peu morte, où on n'attend plus rien, qui permette donc de se concentrer aisément sur l'écriture.

Par régulièrement, tu entends, si je comprends bien, au moins de façon hebdomadaire ? Si c'est le cas, je ne le fais pas, hélas, même quand je n'ai strictement rien d'autre à faire.
Cependant, le fonctionnement des chroniques me pousse tout de même à une régularité mensuelle, rythme que je n'aurais peut-être même pas tenu sans venir sur ce site.
La plage horaire un peu morte, j'en profite rarement. Quand je "dois" écrire, je me prends un après-midi (vendredi ou samedi) et je m'y mets. Le soir, de temps en temps, mais je suis en général trop fatigué pour en profiter.

Cinquième conseil : faites évoluer continuellement votre histoire.
Une histoire fixe est une histoire morte, un texte qui ne verra jamais le jour. Vos idées changent, j'espère, votre expérience scripturale aussi, vos goûts, vos raisons d'écrire peut-être. Réadaptez l'histoire, n'hésitez pas à la changer radicalement à l'occasion, supprimez un personnage, rajoutez-en un autre, changez la fin sur un coup de tête.
Le premier avantage est que vous n'aurez jamais l'impression de faire du copier/coller de votre esprit au traitement de texte mais de toujours inventer, le second avantage étant que vous aurez envie, en fixant le cours de l'histoire, d'en découvrir la véritable fin. Un texte vivant est un texte qui nous intéresse, qui a donc toutes les chances d'être continué. Si vous ne continuez pas une histoire, c'est peut-être tout simplement qu'elle ne vous plait plus, et pour la sauver il faudra peut-être en changer le fondement même.

Faire évoluer l'histoire, oui, sans aucun doute. De toute façon, quand on en a une en tête, il est difficile de ne pas la voir s'agiter dans tous les sens pour partir dans toutes les directions possibles. Là où j'ai vraiment du mal à te suivre, c'est quand tu parles de supprimer un personnage (horreur, à moins qu'il soit très secondaire) ou de changer la fin sur un coup de tête (mamma mia, elle est déjà bien assez compliquée sans ça !). Quand l'auteur en est au point de chercher à découvrir la véritable fin en écrivant, je me dis qu'il ne la trouvera jamais, ou alors que son histoire sera soit trop linéaire, soit décousue.
Non, garder le fondement de l'histoire me semble nécessaire si l'on s'attaque à un long récit (je ne parle pas d'une décalogie, juste d'un simple roman, heing). Je ne pense pas que modifier sans cesse la fin peut aboutir à un résultat cohérent.
Mais qui sait, peut-être me trompé-je et que cela fonctionne très bien pour toi ? 8)

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il y a 17 ans 11 mois #11662 par Vuld Edone
Réponse de Vuld Edone sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?
Moui, en fait je suis un véritable extrémiste. Quand je n'arrive pas à continuer une histoire, je n'hésite pas à Ctrl+Z tout ce qui me dérange, y compris le héros, quitte à tout effacer du même coup.
Donc supprimer le personnage, changer la fin ou le fondement, gardez ça pour les situations désespérées. Ca m'est déjà arrivé d'écrire une histoire, puis de me dire que c'était trop ambitieux et de repartir sur la même histoire avec un tout autre concept, une autre approche. Il faut juste accepter d'appuyer sur les deux touches magiques.

Par contre voici un conseil un peu particulier : n'hésitez pas à écrire deux, trois, voire quatre histoires en même temps..
Là j'en mène quatre de front, toutes ayant des atmosphères et des trames radicalement différentes.
Ainsi, selon l'humeur, l'une conviendra plutôt que l'autre. C'est encore mieux si une au moins n'a aucune prétention, c'est-à-dire restera sur le disque dur ou finira sur un forum très très lointain et dépeuplé. Non seulement l'imagination a un champ d'exploration bien plus vaste mais en plus les histoires s'inspirent l'une l'autre.
Il ne faudra pas s'attendre à les écrire toutes régulièrement, certaines prendront de l'importance sur d'autres, mais à long terme toutes en profiteront.

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il y a 17 ans 11 mois #11681 par Iggy Grunnson
Réponse de Iggy Grunnson sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?

Par contre voici un conseil un peu particulier : n'hésitez pas à écrire deux, trois, voire quatre histoires en même temps..



Tout à fait d'accord: multiplier les projets (dans la limite du raisonnable quand même ;) ) permet de renouveler un peu sa créativité. C'est d'ailleurs cette raison qui m'a poussé, après m'être un temps isolé dans le monde de lint, à revenir vers les chroniques pour me lancer dans quelques projets de coécriture.

En même temps, se lancer dans trop de récits simultanément, c'est aussi prendre le risque de se sentir écrasé par l'ampleur de la tâche, et de n'en terminer aucun en définitive...

Iggy

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il y a 17 ans 11 mois #11686 par Falc'hun
Réponse de Falc'hun sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?
Sympas ces conseils, quelque part je les appliques déjà même si je n'avais pas mis de mots dessus.

Une position intermédiaire entre Iggy et Feurnard serait éventuellement de faire une pause dans une saga en se laissant aller à un petit One Shot.

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il y a 17 ans 4 mois #13232 par Haleks
Réponse de Haleks sur le sujet Re: Quand

Zarathoustra écrit: A partir de quel stade vous mettez vous à écrire?
- D'une idée ou d'une intention?
- D'un scénario béton?
- Quand vous connaissez la fin?
- Quand un débt d'histoire vous plait et que vous aimeriez connaître la suite vous même?
etc.

Qu'est-ce qui déclenche cette envie?
- Toujours l'idée, la fameuse étincelle?
- La pression (quoi?!? j'ai pas de textes pour la prochaine Mise à jour! :shock: )
- L'humeur, la météo
- Un film ou un apport exterieur

Avez-vous des trucs pour stimuler l'écriture?
LoR évoquait la musique. Mais avez vous d'autres trucs?



...Désolé, le quote est un peu long; mais comme le topic fait 3 pages... Je préfère rappeler les questions de Zara.
1. Bizarrement, j'ai plus tendance à fonctionner à partir de l'image (ah bah pour un futur graphiste hein...). Une scène et une ambiance particulière qui me travaillent pendant quelques jours, et qui - une fois bien mûris, deviennent généralement l'incipit de mes récits. A partir de là, mes idées sur la suite du texte baignent dans le flou artistique :|
J'essaie de broder à partir de cette image initiale, en tentant de développer l'atmosphère sans trop en dévier (c'est justement ce qui me pose problème pour les récits les plus longs - j'ai encore jamais achevé une série).
"- Quand vous connaissez la fin?" : Il y a de ça aussi, parfois - surout pour les one-shot. Etant donné que c'est assez court comme format, l'ambiance ne peut pas trop prendre le pas sur les autres aspects de l'écriture. Ou alors on tombe vite (et pas toujours intentionnellement) dans la marmelade lyrico-diurétique en prose >_L L qui nous débite une fantasy ou une SF exaltée. Enfin bref, un one-shot, ça doit peser plus lourd que son ambiance; ça se mange vite et bien.

2. Ce qui déclenche l'envie : L'humeur. Et pis : "J'vais la finir, cette putain d'saga!" :bret:
Et comme l'humeur ne joue jamais toute seule, les films, aussi. (Blade Runner...)

3. Stimulation: Se trouver un coin peinard, mais pas trop pantouflard -on est venu pour écrire; bien éclairé, confortable et tout; les conditions idéales. Et surtout un coin où on viendra pas vous faire chier. Qu'elle soit récréative ou sérieuse, l'écriture est une affaire de concentration (une affaire plutôt lente). I.I I

Feurnard a dit : "Ca m'est déjà arrivé d'écrire une histoire, puis de me dire que c'était trop ambitieux et de repartir sur la même histoire avec un tout autre concept, une autre approche. Il faut juste accepter d'appuyer sur les deux touches magiques."
C'est ce qui m'arrive un peu trop souvent; :( ah c'est chiant quand les fruits tombent pas tout d'suite!

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il y a 16 ans 5 mois #14458 par Hécate
Réponse de Hécate sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?
Parcours d'intégration. Itinéraire Bis. Je m'ennuie toujours.

Rhalala.
Tu en as des bonnes. « A partir de quel stade vous mettez-vous à écrire ? »
Le scénario béton : improbable.
Quand vous connaissez la fin : je ris.
Quand un début d’histoire vous plait : le début / le milieu / la fin, c’est hyper subjectif tout ça ! Un peu d’audace, que Diable !

Non, bon. Un peu de sérieux.
A partir d’une idée, la plupart du temps. Un truc qui émerge entre deux lignes d’un cours, d’un bouquin et qui fait dire « Ah ! Tiens…J’aime. ». Une photo, aussi. Ça m’est arrivé. Il était tard, j’étais claquée : la photo me narguait en fond d’écran. Et alors là, ni une, ni deux : tu commences à écrire sans un soupçon d’intrigue, de trame, de substance. Merveille de l’imagination qui accouche toute seule de choses improbables.
Ou encore pour répondre à une demande. Ecrire pour les gens. De même que je préfère dessiner à la demande, je trouve amusant d’écrire sur commande. Parfois artificiel, mais rigolo.

Une constante, encore : j’écris toujours sur mon PC.
Parfois, le simple fait d’ouvrir Word suffit à provoquer l’étincelle. Résultat : des kilomètres de lettres jamais envoyées. ^^

Qu’est ce qui déclenche cette envie ?
Bon, j’ai déjà à moitié répondu. Mais, il y a un truc infaillible pour me donner envie d’écrire : les révisions. Les longues plages horaires durant lesquelles tu fiches ton pavé sur les Relations Internationales de 45 à nos jours (Touchard, si tu m’entends…). Ces heures de torture où ton esprit est prêt à tout pour se raccrocher à la première bêtise qui passe. Et tu te retrouves à faire des trucs que tu ne fais jamais en temps normal. Regarder le mur, ranger tes tiroirs, te tresser les cheveux, passer des perles, bref : n’importe quoi ! :D Moins j’ai le temps pour ça, plus j’ai envie d’écrire. Je suppose que c’est à peu près le cas de tout le monde.

Les trucs pour stimuler l’écriture :
La musique, clairement. Tout un fichier de BOF sur mon PC. Hans Zimmer en tête. Histoire de créer l’atmosphère propice. Les photos aussi (ou le dessin, quand les photos viennent à manquer ).
Une amie marche au « nez ». Chaque personnage est associé à une odeur. Elle écrit avec tout son panel de fragrances sur les genoux. J’adore le concept. Jamais tenté, encore.

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il y a 16 ans 1 mois #14768 par Mutatis Mutandis
Réponse de Mutatis Mutandis sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?
Pour répondre strictement à la question : "Quand écrivez-vous?"
J'écris en moyenne tous les soirs de la semaine (et/ou du week-end), de sorte que dans mes bonnes semaines, j'écris 5 heures par semaine, par séance d'une heure. La régularité me semble un élément essentiel, car, lorsque je m'arrête durant une semaine, mon histoire après me semble étrangère et il me faut quelques séances d'écriture avant de retrouver la familiarité que j'ai avec l'intrigue de mon roman ( le pauvre Monthy a en lu d'ailleurs les quelques 100 premières pages, je suis admiratif!).
Après, lorsqu'il s'agit d'une nouvelle, évidemment, c'est quand j'ai un semblant d'idée. A part pour mon roman, le reste, je ne sais pas la fin, ni le milieu, à peine le commencement...
Il en est tout autre pour le roman, où je sais où je vais : j'ai établi un "séquencier" de toutes les scènes, puis un descriptif détaillé de chaque scène (du moins pour la partie dans laquelle je travaille). J'ai ainsi une meilleure vue de ce qui s'y passe et la peur de la page blanche est désamorcée et l'écriture d'une scène se fait plus rapide (je peux aussi la reprendre le lendemain pour la perfectionner). La phase d'écriture se concentre donc entièrement sur l'art d'écrire et non plus sur ce qui va se passer. On peut donc mieux réfléchir au ton de la scène, à ce que l'on veut exprimer et à la manière dont on va l'exprimer!
Je sais que cette méthode, très prévisionnelle, peut paraître tuer l'art - c'est ce que je pensais avant de m'y mettre - mais je me suis aperçue au contraire qu'elle est un soutient et que l'envie d'écrire ces scènes que j'ai imaginées (il m'arrive évidemment de modifier mon descriptif par la suite pour correspondre mieux à ce que j'ai écrit : le processus n'est pas figé) n'est en rien diminuée, bien au contraire!
Pour plus d'information sur cette méthode, et pour ceux qui serait intéressé par le genre policier (aussi), je vous conseille le livre d'Elisabeth George, publié récemment en poche : "Mes secrets d'écrivain", petit ouvrage assez précieux... il est toujours enrichissant de lire l'expérience des autres auteurs.
A ce sujet, lire aussi "La foi d'un écrivain", de Joyce Carol Oates, qui est très agréable à lire.

A part cela, j'écris le soir ou en fin d'après-midi, car il semble que mon cerveau mette du temps à se réveiller... et j'aime bien le soir. Le seul inconvénient est le stress qui peut m'habiter toute la journée à l'idée que je n'aurai pas le temps d'écrire ou la volonté (toute la difficulté pour moi est d'ouvrir le fichier dans lequel se trouve mon roman, quand le petit clic est fait, il n'y a en général plus de problème!).

Sinon, j'écris toujours sur ordinateur, sauf parfois quand, lors d'un cours de littérature grecque sur Théocrite, je m'ennuie et je me mets à prendre des notes sur un bout de papier!!!
J'écris sur Word en général, mais je viens de découvrir un nouveau logiciel (mais sur mac seulement, en anglais et payant, après un essai gratuit de 30 jours) : Scrivener, qui me semble bien fait et très utile (sous un même fichier, on a tous les textes relatifs à notre projet (même de la musique ou des vidéos si certains en ont besoin), avec la possibilité de mettre un synopsis pour chaque texte, etc).
J'avais testé, l'époque où j'étais sur PC, Phraséo... mais j'ai dû rapidement l'abandonner car je suis passé sur Mac.

Je me suis un peu éloigné de la question principale de "Quand écrivez-vous?", mais vous m'en excuserez...

Je cours me cacher,
Mutatis Mutandis

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il y a 15 ans 9 mois #15114 par Adrienne Mermet
Réponse de Adrienne Mermet sur le sujet Re: Quand écrivez-vous?
Quand ? N'importe quand, depuis toujours. Mais surtout le soir. Ou en arrivant quelque part, je me jette sur le papier pour y coucher une idée que j'ai eue en marchant... quand le but de mon trajet m'en laisse l'occasion. De plus en plus souvent, je n'attends pas la fameuse visite de la muse : je me mets à mon ordi (eh oui, je suis un tapuscribe) et je m'y colle, enfin j'essaie. Pour plus de détails, voyez ceci : [url:1n08crwg]lenrage.blog.free.fr/index.php?post/2009...Autoportrait-au-blog[/url]

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