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Prologue : A quelques kilomètres de jérusalem , 33 après jésus-christ , quatorze heure dix

Tulius réajustais son long vêtements blancs dans sa chambre. Il était tellement beaux , tellement parfait , comme  son empire. Celui de l’art , du raffinement , de l’apogée de la rache humaine. La puissance romaine avait assis son autorité sur presque toute l’europe , commandant tous les peuples ayant instaurés une nouvelle civilisation , intelligente , raffiné , a l’image de leurs dieux. Il y avait seulement ce problème. Ce jésus. Cet imbécile se proclamait roi des juifs , fils de dieux. Abomination , un dissident , mais le problême principal n’était pas cela , Tulius avait déjà combattus des dissidents partout , des tribus barbares assoifés de sang, il avait même eu souvent affaire à ces vieux croulant stagnant du sénat , ne voulant pas bouger leur petit doigt. Mais ce jésus était spécial. Tulius prit une grappe de raison dans son magnifique vase à fruits d’argent , et observa le mobilier de sa luxueuse chambre. Tulius était un espion de l’empereur , un des meilleurs. Ces services rendus contre les rébéllions séparatistes en moyen-orient lui avait offert un poste privilégié dans la région de Jérusalem. En fait , il possédait une luxueuse villa , d’une dizaine de piéces , de servantes magnifiques , et d’un jardin intérieur resplendissant. Il donnait souvent des réceptions dont le faste avait conquis la noblesse marchande et romaine de Jérusalem. La nourriture pour lui était illimité , on lui offrait les meilleures esclaves de toute la côte africaine , et l’eau n’était pas croupie et sale comme dans les quartiers pauvres de la ville , mais pure et fraiche comme dans les oasis paradisiaques du saarah. Tulius se mit a la fenêtre et observa cette fois le magnifique paysage désertique qu’offrait ce moyenn orient pleins de faste et de luxe. Un légionnaire troubla soudain sa contemplation.

-Ave seigneur Tulius.

Tandis que le garde était raide comme un piquet , le visage crispé dans une expression froide et statique , tulius léchait ces doigts pleins de raisains d’un air négligeant.

-Ave légionnaire , qui y a-t-il ?

-Monsieur , si vous le voulez bien , notre centurion Azator a finis l’interrogatoire. Nous avons le secret.

Tulius se figea soudain , et en plissant le bas se sa toge parfaitement lisse , signe qu’il était partiuliérement a crans , il regarda le légionnaire.

-Vous en êtes sur légionnaire ?

-Azator a juré sur les dieux que le secret était la. Notre homme n’a rien voulus dire , mais il s’est retrouvé immédiatement comme vidé de ces forces une fois sans.

-Alors qu’attendons nous par jupiter ! Pressons !

Ils sortirent donc de la chambre par un long corridor décoré de statues d’athlétes , ou de héros en tout genre. A chaque fois que Tulius passait devant il se disait toujours qu’il finirait comme ces héros légendaires. Et à ce moment , il en avait plus que jamais la certitude. Ils quittérent le corridor par une grande porte de bois a double battants , et arrivérent sur une des coursives du jardin intérieur. En fait , la villa était faite de forme carrée , chaque aile étant un des cotés , et au centre , on avait le jardin avec une fontaine. On pouvait dinner sur des divans dans les jardins , ou contempler tranquillement en discutant sur les coursives les différentes plantes toutes plus verdoyante les unes que les autres.

-Voici seigneur.

Dans le jardin se trouvait quatres légionnaires , et un centurion plus impressionant de par sa stature et son nombre de cicatrices au visage. Azator était l’un des guerriers les plus violents de jérusalem , il s’était occupé de l’interrogatoire , et le sang avait du couler. Tulius avait le souvenir d’éxécution par Azator dans la ville , il se rappella les têtes roulés a ces pieds sous le rire gras du centurion. Tulius n’aimait pas vraiment la violence , mais il admettait qu’elle soit parfois obligatoire pour le bon maintien de l’ordre dans l’empire.Maintenir les peuples conquis par parfois une petite éfusion de sang public était une bonne technique , comme une claque préventive sur un chien. Tulius descendit de l’escalier aux côtés de son légionnaire , avec le sourire carnassier d’Azator comme acceuil.

-Ave Tulius , ton homme était vraiment coriace , très amusant d’ailleurs ! on a dut se débrouiller pour trouver la feinte.

-Epargne moi les détails centurion , tes  sales fantasmes d’annimaux ne m’intéresse pas , donne moi plutôt..

-Calme ton language , nous sommes loin du sénat Tulius.

-Insinuerais tu une menace centurion ?

Ils se regardèrent froidement , d’un œil dur qui ne montrait aucune peur. Azator réflèchis un peux , et compris qu’il ne valait mieux pas tenter de mordre la main qui vous nourris , même si Tulius était pour lui ,un chien. Un chien riche et mous. une haine cordiale les unissait depuis toujours dans leurs relations « professionnelles » , mais le tandem n’explosait jamais , l’un dépendent trop de l’autre et vice versa.

-Alors centurion , l’objet.

Azator sourit ,et prit un linge rouge qu’un des légionnaires tenait dans les mains. Tulius s’approcha et sentit l’haleine pourrie de viande froide du centurion. Celui-ci vivait dans une caserne miteuse de Jérusalem , pas une villa luxueuse en bordure de ville. Azator enleva le linge rouge , et laisssa découvrir un objet des plus étranges. Une sorte de carte verte , probablement de métal , couverte de rainures noires , rouges et jaunes , comme des petites veines. La taille totale de cette carte ne dépassait même pas la paume de Tulius.

-Quelle est cette chose ? Demanda Tulius , fortement intrigué.

Azator rias une nouvelle fois , et avec un oeil de prédateur lui répondit.

-         Vous n’allez pas me croire seigneur , mais en torturant notre homme a grands renfort de pinces , de coutelas , ou de marteaux , le prisonnier a hurlé , d’un cris inhumain , et cette chose est sorti de son cou. Je vous laisse imaginer le sang , la douleur , et les cris. Mais c’est comme si l’objet était sortis par lui-même , avec je ne sais quel maléfice. Le plus étrange seigneur , c’est que sa peaux s’est refermé sur sa plaie une fois l’objet sortis. Comme une intervention divine seigneur.

-         Ne dites pas de bêtises centurion , si ce que vous dites est vrais , cet homme est un monstre , un démon. Il n’a rien a voir avec le divin. Pendant un moment , j’ai eu peur que notre amis Pilate ne prenne pas la mesure de tout ce qui se passait , et ne faillise a sa tâche.

-         Ah , et un de mes hommes sous le choc , est devenus comme fous , et nous a menacés de bruler dans les flammes de Pluton , tuer ce fous était nécessaire. Nous dirons qu’il est mort au combat.

-         Bien sur , du bon travail centurion ,suivez mon légionnaire a mes caisses , il vous donnera votre récompense.

-         Bien sur seigneur , ave !

-         Ave.

Chacun repartit donc de son côtés , et une fois tulius seule dans sa chambre , il s’assit a son bureau et observa l’objet. Ces reinures , tels des artéres , n’était elle que simple dessin ,ou avait elle une utilité magique. Et qui était cet homme qui allait finir sur la croix au final , servait il un dessin plus grand que l’homme , comme un envoyé des dieux ? Ou était il réellement le fils d’un autre dieux ,plus puissant ? Tulius se mit une claque. Comment avait il osé penser une chose pareille ! N’empéche que l’objet qui était dans le corps de cet sorte de demi-dieux semblait conférer des pouvoirs incroyables. La résurrection , changer de nature l’eau et le vin. Il était chargé de revenir avec l’objet au sénat , pour débattre du sort de cette sorte d’artefact , mais il y avait une autre solution. Pourquoi pas essayer de maitriser cette chose ? Il serait plus fort que l’empereur. Tulius caressait l’objet en réfléchissant. Il fut coupé de ces réflexions par des coups de poings a la porte. Encore cet empoté d’Azator qui réclamait plus de sesterce , quel idiot. Tulius ouvrit la porte , très remonté.

-         Centurion , si c’est pour..

Tulius ne put pas terminer sa phrase que Azator lui décrocha un coup de poing en pleine figure. Tulius tomba a terre , avec probablement le nez cassé et du sang coulant de la comissure de ces lévres.

-         Je crois que c’est a vous seigneur.

Azator laissa voir un sourire immonde avec ces dents cassés et jaunis , en lançant la tête sanguinolente du légionnaire de garde de la villa. Celle-ci roula aux côtés de Tulius.

-         Vous me prenez vraiment pour un imbécile Tulius , si tu crois que je vais te laissez prendre les pouvoirs et t’en aller comme ca , tu te trompe. C’est a moi que revient ce droit ! c’est moi qui fait les sales boulots depuis que je suis dans cette ville infecte ! C’est ma vengeance !

Tulius fulminait. Pour qui se prenais cet abrutis , il n’était rien , il ne méritait pas ce pouvoir qui le dépassait.

-         Créve sale chien !

Tulius s’élança sur l’objet avec la force du déséspoir. Il savait très bien que jamais a mains nues il ne vaincrait Azator , sans parler que de toute facon ces frères d’armes , ces chiens de traitres , était surement dans le corridor. Azator se mit a rire en voyant Tulius tenter ce qui lui semblait être sa dernière action. Cette saleté de rire , cette haleine puante. Abrutis. Quand Tulius toucha la petite carte verte , celle-ci soudain se planta dans ces veines du poignet , comme annimés d’une vie propre, avec la rapidité d’un serpent du désert. Le sang coula , les cris de Tulius déchirèrent le silence religieux de la villa romaine , le centurion observait, terrifié. le sang coulait , l’objet se fixait au bras de Tulius.  Tulius hurla a s’en déchirer les poumons , il sentait comme si une force trop grande pour lui s’emparait de son corps , il n’était plus maitre de ces pensées , de ces actes , ces yeux se révulsérent , ces muscles se tendérent , son visage se transforma en une grimace sadique.

       -   Pauvre pécheur , l’heure de ton absolution est arrivé.

 -   Légionnaires, à moi ! Pluton lui-même veut notre vie !

Le centurion au mental et au physique d’acier était mort de peur. Il sentit l’urine chaude coulait , ces mains moites trembler sur son glaive. Tulius , ou plutôt le monstre qu’était devenus l’ancien sénateur se leva en poussant un râle. Comme un râle de victoire. Avant que le centurion n’eut pus lever son glaive sur lui , que Tulius se jeta sur lui , et lui mordit la jugulaire , le sang coula du cous du centurion qui pleura. Les cris des légionnaires qui fuyaient de peur résonnèrent aux oreilles de Tulius , mais celui-ci n’en avait pas finis. Il prit le glaive du centurion , et avec une force surhumaine , lui coupas les deux jambes d’un seul coup sec. Azator n’était plus qu’un moignon sanguinolent , restant en vie dans sa flaque de sang grace a ces nerfs. Tulius se mit a rire.

-         Est-ce que tu comprend maintenant le sens du mot peur centurion ?

Azator remua une derniére fois la tête , le visage déformé par l’horreur , et mourut. Soudain , Tulius revient a lui. Il chuta a terre , et dans les vapes , la vue brouillé , il regarda le cadavre mutilé avec terreur. C’était lui qui avait comis cette horreur ? Par jupiter , cette chose l’avait rendue en monstre ! En pleurant , la folie semblant l’atteindre , il arracha l’objet maléfique de son bras avec douleur et l’écrasas en miettes avec son pied , avec une rage sans bornes. Il hurlait , pris de peur. Si quelqu’un le trouvait ? Oh par les dieux de toute facon les légionnaires qui avaient fuis allait le dénoncer , c’en était terminé pour lui. Il n’aurait jamais du tenter d’avoir un pouvoir qui n’appartenait qu’aux dieux du panthéon. Tulius pleura a chaudes larmes , ne pouvant penser a autre chose qu’aux puissances divines qu’il avait déchainés dans son simple corps de mortel. Il prit ensuite une décision. Il allas dans son armoire , et prit une grande cape , avec une capuche. Il mit dans une sacoche de cuir des pommes , du raisin , et du pain. Il but aussi beaucoup d’eaux a la fontaine. il fesait tous ces gestes avec empressement , en ayant l’impression qu’une force l‘épiait. Les larmes lui remonter aux yeux souvent. Il essayait de se maitriser mais ces mains tremblaient irrésistiblement, ces pensées ne pouvaient aller autre part que vers le cadavre d’azator , qu’aux dieux qui l’avait habités. Il regarda ensuite une derniére fois sa villa , et alluma une torche. En pleine journée , avec le soleil du désert, tout prendrait vite. Il jeta finalement la torche dans les jardins , et presque immédiatement , tout commença a brûler. Tulius prit son cheval , et le visage caché par sa capuche , il s’enfuya dans le désert.

Personne ne crut les fuyards de la villa , et  Tulius ne fut pas retrouver. Le sénat enterra l’affaire , et éxécuta tout ceux qui avait eu un rapport lointain ou proche a celle-ci. Mais à l’instant ou Tulius s’enfuyait a cheval , vers des destinations que lui seul conaissait , celui qui allait être le messie , le martyr , et le pilier d’une des plus grandes religions du monde , poussait son dernier soupir sur la croix.

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