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"Ce texte est placé dans les One Shot du fait d’un unique prologue et chapitre."

Prologue...

Unique est Gaïa, mère de toute chose ;

Sept sont les chevaliers d’or, protecteurs de l’équilibre ;

Quatorze sont les "alchimistes", détenteurs des secrets ; ( notion de clé ?)

—> peu-être prêtres, ou medecins.

Quarante-neuf sont les gardiens, sondeurs des ténèbres ;

Et lorsque l’heure fut incertaine, "— idéogramme trouble,

Quarante-neuf furent-ils envoyés en tout royaumes . . .


Ma traduction des glyphes de l’antique poême de Fraen est sans doutes loin de l’exactitude, perdant la majeure partie de sa beauté et de son impact avec le changement de langue, mais je pense que le sens en est très proche de l’original.

" extrait du journal de bord de JHM "

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39 ème jour

Si ma perception du temps est encore exact, nous sommes le 9 de veniros.

J’ai enfin abouti.

Après toute une vie de recherches et de fouilles, je crois avoir touché au but.

Hier j’ai réussi à pénétrer dans la cité des glaces, au coeur du mont Waylöl.

La légendaire cité sans nom, oubliés de presque touts les contes.

Elle existe.

Et elle est au delà de tout ce que mes mots pourraient décrire.

Je n’ai pour l’instant qu’exploré les premières salles.

Hélas, je crains n’avoir l’occasion d’en voire d’avantage. Le tunnel que j’ai emprunté hier s’est éffondré. Aucun espoir de resortir de ce côté.

La température est bien inférieur à celle où l’eau se change en glace.

Il me faut trouver rapidement de quoi me réchauffer.

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J’ai fais aujourd’hui une découverte dépassant l’imagination. Dans un vaste hall au coeur de la montagne, se trouvent de nombreux corps emprisonnés dans la glace, parfaitement conservés.

Ils sont totalement nus. Presque toutes les éspèces de ma connaissance sont représentées ici.

Et d’autres que je ne connaissait pas.

J’ai compté quarante-neuf de ces sarcophages miroitants.

Tous ont les yeux fermés, comme endormis à jamais. Ils dégagent une sérénité troublante.

L’un d’eux en particulier à retenu mon attention. Il renferme le corps d’une jeune femme très grande, à la musculature imposante pour une jeune fille. Son visage à les traits durs et le teint pâle, mais deumeure harmonieux. Elle a de longs cheveux très clairs. Je ne sais si c’est un effet de lumière, ils paraissent blanc-argentés aux reflets azur. Malgrès sa carure, elle est belle. . .

Il fait de plus en plus froid. Mes membres commencent à s’engourdir.

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Je ne pourrais pas tenir encore longtemps. Le froid s’inssinu dans mon corps tel une lame acérée. Mes pieds ont gelés.

C’est avec difficulté que j’écris ces mots,les doigts douloureux, comme pour lutter encore un peu.

Mais je me suis résigné...


Réveil ....

Nawyl ouvrit les yeux. Peu à peu elle reprit conscience. Elle se trouvait dans la salle de sommeil des gardiens. Autour d’elle, le silence était absolu. Et les deux sarcophages qui l’entouraient et lui cachaient la vue était vides. Ses membres se réveillèrent peu à peu, et elle se rendit compte que son bras gauche ainsi que ses jambes à hauteur de cuisse étaient encore prisonniers de la galce. Elle se dégagea lentement à l’aide de sa main libre, et descendit sur le sol dallé. Ce faisant, elle manqua de glisser à cause d’un feuillet brun, couvert d’écriture qui se trouvait là. Probablemement arraché d’un carnet ou d’un journal de bord d’après son apparence. Mais elle avait chose plus urgente à songer, et inspecta du regard la grande salle blanche. Ce qu’elle vit eut de quoi la troubler.

Tous les blocs étaient ouverts, vidés de leur occupant. Elle était la dernière ! Mais de toute façon, elle savait ce qu’elle avait à faire. Et si ils avaient étaient tirés de leur repos, il n’y avait certainement pas de temps à perdre.

Sans hésiter, élégante dans sa nudité, elle se dirigea d’un pas rigide, encore mal assuré vers le couloir, en direction de l’entrepôt. Elle franchit nombres de porches et de dédales avant de passer devant les portes de la cité, aux pieds des sept chevaliers d’or. et ne put s’empêcher de les admirer un instant. Les septs Gymelefs géants tronaîent impérieux face à la lumière. Cette dernière semblait jouer sur les reliefs glacés de leur splendides armures de diamants. L’effet en était éblouissant pour quiconque s’attardait à les contempler. En plein soleil, ils devaient être divins. "Pas étant qu’ils furent nommés ainsi !" pensa le gardien.

Sept titants au visage d’aciers, dont le reveil ferra trembler la terre. Mais mieux vaudrait ne pas en être poussé à ce dernier rempart. Tout dépendrait des rapports des gardiens. Se rappelant à sa mission, elle les dépassa et pursuivi son chemin.

Lorsqu’elle arriva à l’entrepôt, une autre mauvaise surprise l’attendait. Son partenaire n’était plus là. Seul demeurait un vieux gymelef d’ancienne série, qui devait être en réparation au vu des amas de matériaux reposant à ses pieds. Pestant et jurant, Nawyl se porta a son niveau. Rageusement installée au poste de pilotage, elle tendit les commandes. Et rien ne se produisit. En vérité, elle n’avait pas encore retrouvé la totalité de ses facultés.

Se reprenant, elle fit résonner sa voix de cristal :

"Ylwan feraël Owne"

Il y eut tout d’abord un frémissement, puis un ronronnement tandis que la machine se métait en mouvement.

C’est alors quelle songea qu’il lui faudrait trouver des vetements....

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