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     Jabem et Momok se disputaient sur l’utilisation des prisonniers humains, l’Orque voulait les manger et le Skaven tester de nouvelle maladies sur eux. Ils furent interrompus par des cris qui provenaient du camp, ils sortirent de la tente pour voir ce qui se passait, le Skaven comprit beaucoup plus vite que l’Orque que le camp était attaqué.

-« Qu’est ce qui se passe ? »Demanda l’Orque comme si il était normal qu’il ne comprenne pas.

-« Les rescapés que l’on croyait avoir quittés le coin sont en train de nous attaquer, t’es con ou tu fais exprès ? Imbécile. »

-« Les quoi ? »

-« Les rescapés ! »S’énerva Jabem.

-« C’est qui ? »

-« Les humains, crétins ? » Après ces mots Jabem regarda Momok, sauta au niveau du visage du peau verte et lui administra un coup de tête magistral qui assomma l’Orque et tomba de toute sa hauteur sur le pauvre Skaven qui un peu sonné n’avait pas calculé que l’Orque pouvait tomber en avant donc sur lui.

-« A l’aide ! ! ! »Hurla Jabem. Aucune réponse ne suivit ce cris de détresse.

-« Bande de fils de (censuré) venez m’aider. »Cracha une fois de plus l’homme rat. Les gardes rapprochés de Momok qui comprirent enfin que Jabem s’adressait à eux grâce au ton de sa voix et non aux paroles car ils ne connaissaient pas le language courant, se dirigeaient vers le tas formé des deux chefs. Les peaux vertes soulevèrent avec beaucoup de difficultés leur chef et permirent au Skaven de respirer de l’air car la sueur et la crasse de Momok l’avaient quelque peu rendu malade.

     Les habitants de Cortignac s’étaient en fait caché dans une forêt au sud de la ville où un clan d’Elfes sylvains qui regroupait ceux qui partit à l’aventure s’étaient vite retrouvés sans moyen, leur honneur les empêchant de retourner dans leur famille et n’étant pas acceptés dans d’autre tribus ils furent un bon nombre à grossir les rangs du clan des arbres du cœur. Les humains rencontrèrent les Elfes au centre de la forêt et leur expliquant ce qui s’était passé les firent adopter leur causes, c’est ainsi que les hommes encore aptes à se battre et des guerrier sylvains attaquèrent le camps où se reposaient l’armée d’hommes bêtes, quelques régiments Orques et Skavens et les généraux Momok et Jabem. Ketil était un des chefs de guerre des arbres du cœur, jeune pour un Elfe il avait les cheveux longs, châtains très clairs et des yeux vert de la même couleur que ses vêtements : une cape, un haut et un pantalon qui lui donnait l’impression d’avoir été créé pour être un arbre. La troupe qu’il commandait était composée d’un vingtaine d’archer et d’une dizaine de guerriers, parmi eux, forcément, des humains de Cortignac. Les membres de la troupe du chaos furent surpris de voir des flèches élfiques transpercer certain de leurs compagnons. Les Humains et les Elfes eurent avec eux l’effet de surprise qui leur permettait non seulement d’abattre des monstres surpris mais aussi des Orques complètement bourrés et endormis.

     Lorsque Jabem et Momok comprirent qu’il fallait quitter le camps ils ne cherchèrent pas d’autres alternatives et regroupèrent leurs combattants encore en vie qui ne se fissent pas prier cher pour déquerpir. Les Hommes bêtes se retrouvèrent seul à combattre les forces du bien, leur nombre décroissait de façon alarmante même pour des Hungors. Ketil et ses frères d’armes nettoyaient à sec le camps des Hommes bêtes et lors de la trentième minute le pauvre Elfe ne vit pas l’ennemi qui avec son membre en forme d’épée lui assena un coup du tranchant au niveau de la nuque lui coupant la moitié de l’interface tête-torse, la tête de Ketil ne tenait sur ses épaules que grâce à dix cm de chair et une patate du gauche de l’Homme bête transforma Ketil en un bouteille de vin rouge débouchonnée. Un quart d’heure après tous les Hommes bêtes gisaient part terre dans un bain d’entrailles et de sang coagulé. Les Humains remercièrent les Elfes pour leur aides mais ceux si étant trop triste de la mort de leur chef ne les écoutèrent même pas et retournèrent dans leur forêt pour offrir une cérémonie mortuaire à Ketil.

     En fouillant les tentes les Humains découvrirent des armes, des armures, des provisions et une sorte d’enclos en bois dont la hauteur était d’environ quatre mètre. Cinq des vingt humains restant ouvrirent la palissade, à l’intérieur un nombre incalculable de rats se promenaient sur les dépouilles d’une centaines de citadins de Cortignac. Une odeur nauséabonde emplit en un rien de temps les narines des vingt survivants. Les rats les ayant repérés ne tardèrent pas à mordre ces quelques humains qui moururent en quelques minutes.

     Plus un seul bruit ne provenait du camp alors que l’obscurité devenait total. Au loin un loup hurla à la mort, en quelque secondes les hurlements venir des tous cotés. Les loups avaient compris qu’un festin s’offrait à eux.

     Le général Momok et le général Jabem accompagnés de leur guerriers arrivèrent au temple de Troclon et demandèrent à voir le grand pope.

-« Le grand pope ne veut pas être dérangé. » Leur répondit un garde Elfe noir.

     L’Orque et le Skaven reconnurent Choco qui passait au loin.

-« Tu n’as qu’à le prévenir du succès des maladies comme ça il le transmettra au grand pope. » Suggéra Jabem.

-« Pourquoi moi ? C’est tes maladies et ta mission, moi je n’était pas au courant » Se protégea Momok

-« Chute ! Il s’approche. »

-« Qu’es ce que vous faites ici ? Vous n’êtes pas sensés être au campement vous deux ? » S’étonna Choco.

     Mort de peur Jabem bredouilla :

-« …Non…Euh…Mission accomplie…transmet au grand pope. »

-« BBBOOOUUUHHH ! ! ! » Fit Choco.

     Les deux monstres s’évanouirent et Momok une fois de plus tomba sur le pauvre Skaven mais cette fois ci il ne s’en rendit pas compte.

-« AH !AH !AH ! J’adore faire peur, Vous trois emmenés les dans leur quartier »

-« Tout de suite maître Choco. » Répondirent les gardes Elfes noirs. Choco retourna tout brûler autour du temple, c’était son passe temps favori.

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