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Pour commencer, peux-tu te présenter en quelques mots : tes études, tes loisirs, ton biotope... etc.

Bon, allons-y : Moi, Iggy Grunnson (ou bender, c’est au choix), de mon vrai nom Julien, j’aurai 17 ans en novembre, je suis actuellement vacancier mais à partir de septembre, je serai en terminale S à Perpignan. Pour ceux que mon physique de jeune premier intéresse, ils n’ont qu’à voir ma photo sur mon site sang et orcs. Pour faire court : je mesure 1m 77, j’ai les yeux bleus-gris, et les cheveux chataîns ( même si ça ne se voit pas sur la photo). Mes loisirs ? En dehors de l’heroic-fantasy, j’adore le cinéma, en particulier les films asiatiques, que ce soient ceux de Jackie Chan ou ceux de John Woo ; je suis aussi un fan de punk-rock : green day, millencolin, rancid, nofx...A part ça, je suis aussi amateur de hockey sur glace et de comics américains. Ce qui fait que trouver des gens avec les mêmes goûts que moi, surtout à Perpignan, n’est vraiment pas facile.

 

Quels sont tes rapports avec la littérature fantastique en général, et avec l’Heroic-Fantasy en particulier ? Quels auteurs aimes-tu lire ; y en a-t-il certains dont tu t’inspire dans tes récits ?

J’ai toujours beaucoup aimé l’heroic-fantasy. Petit, j’étais surtout fan de trucs comme Dracula, très gothiques... J’ai commencé par lire les collections fleuve noir : Shadowrun, Ravenloft, Les royaumes oubliés, il y a 5 ou 6 ans. Ce n’est pas de la très grande littérature, mais j’aime vraiment. D’ailleurs, la série Ravenloft m’a beaucoup inspiré par son approche sombre de l’heroic-fantasy. Dans tous les bouquins de cette collection, les méchants gagnent à la fin, et ça m’a sûrement influencé inconsciemment pour La Confrérie du nouvel ordre. J’ai commencé à lire les "grands" auteurs au début de cette année seulement, mais j’ai déjà lu pas mal de Tolkien (Seigneur des anneaux, Bilbo et le Silmarillon), une dizaine de bouquins de Pratchett, et je suis à la moitié du cycle d’Elric de Moorcock. De toute façon, il est certain que ces lectures m’ont influencées, mais je n’y fais pas de références volontaires, comme reprendre des noms ou des clins d’œil du même genre...

 

Passons à ton premier récit, La Confrérie du Nouvel Ordre. Est-ce le récit d’une partie de Jeu de Rôles comme tout le laisse à penser ? Si oui, peux-tu nous en dire plus sur le jeu : combien de joueurs, où en êtes-vous, de quel jeu s’agit-il... etc. Si non, comment t’est venue l’idée de ce récit ?

Et bien en fait, la confrérie du nouvel ordre est le nom du groupe de guerriers que j’ai crées avec mon frère pour warhammer quest. Ceci dit, ça fait maintenant un bout de temps qu’on ne s’en est plus servis ; Iggy est devenu mon général pour warhammer battle, et j’utilise Skaggy comme champion des tueurs de trolls de mon armée. En fait, cette histoire est inspirée par mes aventures de quest, mais elle ne suit pas un scénario précis ; c’est un peu un mélange de toutes mes parties. L’intrigue m’est venue au fur et à mesure, ce sont surtout les personnages qui sont tirés du jeu. Pour moi, cette histoire est vraiment l’aventure classique, un petit village, une taverne, des souterrains et pas mal de bagarre. Pour en revenir à ta question, je dois dire que je n’ai jamais joué à aucun jeu de rôle. Chez moi traînent les règles de Shadowrun et de Dark Earth, mais je n’ai jamais trouvé de joueurs assez motivés. IL faut bien dire que les joueurs avec qui je joue à warhammer battle ont déjà mis plus d’un an à en comprendre les règles, alors, les jeux de rôles...

 

L’histoire de la Confrérie se termine assez mal : un des héros a disparu et tout porte à croire qu’il est mort, et la mission des aventuriers se solde par un échec puisque le village est rasé. Ce genre de fin est assez inhabituelle dans l’heroic-fantasy où l’on est plutôt habitué aux happy ends. As-tu voulu rendre ton récit plus réaliste en lui donnant une fin assez dure ?

La fin de la confrérie est le passage auquel j’ai le plus réfléchi avant de l’écrire. Comme je l’ai dit plus haut, les bouquins Ravenloft m’ont sûrement inspirés...Mais je voulais avant tout surprendre un peu. Toute cette histoire est assez banale, et ça rejoint ce que j’ai dit : c’est l’aventure type. C’est pour ça que j’ai voulu mettre une fin originale. En plus, ça collait bien avec le reste du récit qui est assez sombre. Dans la Confrérie, j’ai voulu changer les points de vue sur certaines choses. En tant que joueurs de warhammer, on trouve tous un gob ou un skaven assez ridicule ; mais c’est vraiment idiot parce que cette idée est fondée sur les règles. Honnêtement, si un homme-rat armé jusqu’aux dents apparaissait à côté de moi, je fuirais à toutes jambes sans me poser de questions...mais revenons à la fin de cette histoire. Il y a une chose que j’aimerais bien savoir : qu’est-ce que les gens ont compris du combat final entre Skaggy et les hommes-rats ? J’avoue que je ne savais pas trop comment finir. Mon frère m’a suggéré de faire inonder ou exploser les souterrains, mais ça me semblait vraiment trop facile. Le visage "atrocement canin" représente, pour ceux qui ne l’auraient pas compris, une apparition de Khorne ou d’un de ses démons. J’ai voulu montrer que les choses peuvent être vues à différents niveaux : pour nous, les actes de Skaggy sont d’une bravoure incroyable, mais on peut aussi dire qu’il commet un génocide... Par un acte héroïque, il se retrouve à la limite du mal absolu. Ca montre aussi que les efforts de héros sont inutiles et que finalement le mal est toujours vainqueur : peu importe à Khorne d’où vient le sang versé, et on peut considérer que Skaggy devient par ses combats son serviteur. Ce passage montre bien combien les dieux du chaos sont totalement imprévisibles dans leurs actions.

 

Comment procèdes-tu habituellement pour écrire ? Fais-tu des plans, en sachant déjà avant de commencer comment ton récit va se finir, ou te lances-tu plutôt dans l’écriture un peu au hasard, chapitre par chapitre ?

Là, je dois dire que c’est un gros problème : je n’ai aucun plan. Pour te donner un exemple, quand les guerriers se rendent dans les grottes au chapitre 2, je n’avais pas la moindre idée de ce qu’ils allaient y trouver quand je décrivais leur marche ! En fait, ils auraient tout aussi bien tomber sur les souterrains des Skavens et l’histoire se serait finie ici. Ma hantise a d’ailleurs été tout au long du récit la continuité. J’ai vraiment l’impression parfois que mon récit manque de cohésion. L’exemple le plus évident est le personnage de Jebediah, qui est présenté comme un méchant quand il arrive, mais que j’ai finalement totalement abandonné par la suite. D’un autre côté, j’avais décidé de la destruction de Laarsburg assez tôt...même si au départ il était censé s’y dérouler une bataille ! J’ai d’ailleurs dû modifier quelques détails au chapitre 2 puisqu’à la base, les guerriers devaient contrer l’invocation d’un Verminarque. Mais j’ai fait ces corrections parce qu’elles rendaient incompréhensible l’apparition démoniaque. Je ne voulais pas semer le trouble. Je voulais me mettre à faire des plan en commençant l’éternel vagabond, mais je ne mis suis toujours pas mis. Mais c’est moins grave car les aventures de Cornelius seront différentes à chaque fois, il n’y aura pas vraiment de continuité. Quand j’aurai fini de poser les personnages, chaque chapitre sera une nouvelle aventure avec le début et la fin.

 

Rencontres-tu des difficultés, des problèmes quand tu écris une histoire, Si oui, lesquels ?

Oh ça, j’ai rencontré des tas de problèmes en écrivant la confrérie. D’abord, cette histoire devait au départ se passer quelques années avant la guerre du chaos. Ca collait bien à l’historique d’Iggy (il est parti à cette époque avec Skaggy dix ans à l’aventure pour apprendre à se battre avant de prendre la tête de son clan. Pour ceux qui veulent en savoir plus, jetez un œil sur la chronologie du site Sang et Orcs). Mais je me suis ensuite rappelé avoir lu que les collèges de magie n’avaient étés fondés qu’après cette guerre dans le livre des haut-elfes. Je n’en étais pas très sûr, mais j’ai dû situer cette aventure un siècle plus tard. Ce qui explique qu’Iggy ait quitté son clan pour venir en aide à ses amis : c’est peu crédible mais ça n’était tout simplement pas prévu au départ. Sinon, un des gros problèmes auquel j’ai du faire face est le nombre de héros. Dans les combats notamment, c’est dur de ne pas perdre le fil : il faut que le lecteur sache ce que fait chaque personnage sans tomber dans un rythme circulaire où chaque héros agit à tour de rôle, toujours dans le même sens, du genre : magnus-iggy-skaggy-ulric-magnus-iggy etc...Il faut éviter ce piège parce qu’il donne l’impression d’assister un combat au tour par tour, et j’ai eu du mal à changer le rythme à certains moments. A ceci, il faut ajouter les problèmes de continuité cités plus haut. Mais je ne serais pas franc en passant sous silence l’incroyable flemme qui me caractérise. Paradoxalement, c’est ce qui ma poussé à écrire si rapidement : dès que je laisse passer plus de quelques jours sans écrire, j’ai un mal fou à m’y remettre. Il faut que je fasse tout d’une traite.

 

Pour ton second récit, L’Eternel Vagabond, tu sembles avoir changé totalement de style pour te lancer dans une histoire plutôt comique, à peu près dans le même genre que ce que fait Johann avec ses Trépidantes Aventures. Pourquoi ce changement ? Te cherches-tu un style ou désires-tu simplement varier les plaisirs en touchant un peu à tous les genres ?

En fait, j’ai réfléchit à l’éternel vagabond avant de finir la confrérie, et j’ai vraiment voulu me changer les idées pour cette seconde histoire. Je crois avoir atteint des sommets du sinistre en matière d’heroic-fantasy avec ma première histoire, et je trouvais inutile de recommencer. Au départ, je voulais écrire le récit de la conquête de Karak Varn que j’ai vraiment jouée, mais ça posait beaucoup de problèmes trop compliqués pour être résumés brièvement ; c’était surtout s’embarquer pour une longue saga que je n’avais aucune chance de terminer. L’idée de l’éternel vagabond m’est venue au fur et à mesure ; je me suis longtemps bloqué sur la race du héros : j’ai d’abord pensé à un demi-elfe mais ça ressemblait trop à Kain, qui, s’il est un elfe, se comporte surtout comme un humain. Finalement, j’ai trouvé une autre idée qui m’a bien plu... mais vous n’en saurez pas plus. Par rapport au Trépidantes aventures, j’avais envie de faire quelque chose de plus construit, de plus traditionnel, tout en restant totalement débile. J’adore mettre des références dans cette histoire, et si certaines sont évidentes, d’autres sont plus subtiles. Si d’ailleurs quelqu’un pense les avoir toutes trouvées, qu’il m’envoie un mail (ce serait une bonne idée de concours : j’offrirais peut être au gagnant une photo dédicacée.. : )). Pour Steven Seagle, eh bien, c’est juste que je trouve que ses films sont les plus nullissimes de la planète...c’est la seule raison qui m’a poussé à en parler. Cette histoire est surtout inspirée par les livres de Terry Pratchett, que j’adore vraiment. En plus, les aventures de Cornelius me laissent beaucoup de liberté : je peux en faire beaucoup, mais rien ne m’empêche de stopper dès que j’en ai envie. De même, je n’ai pas à m’inquiéter de la continuité, ni de la vraisemblance : en fait, cette référence à Steven Seagal n’était pas si gratuite : ).

 

Quels sont tes passages préférés dans tous tes récits (ceux que tu estimes avoir le mieux réussi par exemple) ? Quels sont ceux que tu aimes moins bien, ou que tu aimerais changer ?

Ce n’est vraiment pas une question facile...Je pense que mon avis sur ce sujet change tout le temps. A des moments, je me dis : ouah, tu es vraiment un écrivain génial ! ce passage est fabuleux. :-) Mais le reste du temps je me dis : mouais...pas terrible, il faudra faire bien ensuite pour compenser. J’ai vraiment besoin d’être dans cet état d’esprit pour écrire ; ça me motive. De toute façon, je ne pense pas être le mieux à même de juger mes récits ; je ne pense pas en fait que quiconque puisse s’octroyer le droit de juger les histoires des autres non plus. C’est quelque chose de très subjectif, tout dépend ce qu’on recherche dans ses lectures. Honnêtement, je ne pense pas être un grand écrivain ; mais quand je trouve un passage raté, je le réécris tout de suite, jusqu’à ce que je le trouve bon. La confrérie a ses défauts, mais ils font partie de l’histoire. Le style est ce que j’ai pu faire de mieux ; si certains le trouvent mauvais, il n’ont qu’à lire autre chose. Je ne crois pas qu’il y ait de passages réellement plus faibles que les autres. Par contre, j’ai mis plus de temps pour écrire certains textes, notamment celui du cimetière. D’un autre côté, je me sens plus à l’aise pendant les combats, je les trouve plus faciles à écrire. Personnellement, j’aime bien la fin de la confrérie, avec le combat de Skaggy (je pense que vous avez pu le comprendre) mais mon frère trouvait vraiment cette idée mauvaise. Franchement, ça n’a pas d’importance. Je ne cherche pas à écrire l’histoire ultime, qui plairait à tout le monde. J’écris juste des récits que j’aimerais lire.

 

Comment définis-tu tes principaux héros : leurs qualités, leurs défauts, les aspects de leur personnalité qui te plaisent ou pas...

Iggy, tout d’abord. C’est le personnage le plus rodé, celui dont le caractère est le mieux défini. C’est un nain, avec tout ce que cela implique : têtu, brave, il a un grand sens de l’honneur. Mais il est aussi tourné vers l’avenir : il est plus ouvert que l’ensemble de ses congénères, notamment envers les autres races, comme l’on peut s’en apercevoir au chapitre 4 lorsqu’il se prend de pitié pour une villageoise. Il apprécie aussi l’innovation technique, et ne dénigre pas le progrès. Mais cet aspect de sa personnalité n’a pas que des avantages : il se pose plus de questions que les autres nains, et il a parfois peur de ne pas être à la hauteur de ses responsabilités, ce qui paraîtrait absurde aux autres nains. Il est très jeune (pour un nain) et il a déjà la charge de son clan. Il a du mal à tout assumer. Mais il est aussi capable de se montrer diplomate, beaucoup plus que Skaggy par exemple. Enfin, ça n’est pas très difficile d’être plus diplomate que Skaggy de toute façon : ).

Skaggy, justement. Il est fortement inspiré par le personnage de comics Wolverine : c’est un guerrier impulsif avec lui aussi un grand sens de l’honneur et qui a vécu de terribles drames. Que dire de plus ? C’est lui aussi un personnage que j’aime beaucoup, et qui a participé à un bon nombre de parties de warhammer battle autant que de quest (et même de Blood Bowl !). Ca n’apparaît pas vraiment dans l’intrigue, mais c’est un vieux nain maintenant (près de 500 ans) et il regrette parfois son serment de tueur qu’il oblige à quitter sa nouvelle famille, le clan Grunnson, même s’il ne l’avouerait jamais. Il est devenu tueur très jeune et à vécu de nombreuses aventures avant de rencontrer Iggy et son clan ; il a perdu un peu de son envie de mourir. Une des choses qui transparaît dans la confrérie est que son impulsivité n’est pas toujours bénéfique, contrairement à Wolverine justement. Mais c’est un grand guerrier, probablement le plus puissant du groupe.

Magnus, ensuite. En fait, c’est un personnage crée par mon frère, et j’ai eu pas mal de difficultés à l’insérer dans le récit. Sa ressemblance physique avec Gandalf n’est pas volontaire : c’est juste l’aspect de la figurine de quest. J’ai quand même voulu montrer que, tout mage qu’il est, il n’est pas infaillible. Un des trucs qui m’énervent concernant les romans de Tolkien, c’est qu’on a l’impression que c’est vraiment Gandalf qui fait tout le boulot, que les autres ne font rien d’autre que se mettre dans des situations périlleuses pour qu’il les sauve. En fait, c’est récurrent dans l’heroic-fantasy : la magie est vraiment considérée supérieure aux armes. Là, j’ai voulu me démarquer de ce phénomène : parfois, Magnus ne sait pas quoi faire comme tout le monde ; il a aussi mauvais caractère et s’emporte parfois pour rien. Concernant sa magie, je l’ai vraiment basée sur le combat : ses sorts ne sont utiles que dans le feu de l’action. Je pense que ça le rend plus semblable aux autres aventuriers : il n’est pas la seule éminence grise du groupe, mais c’est avant tout un guerrier comme eux. Ulric : là je dois dire que je l’ai pas mal changé par rapport à nos parties de quest. Normalement, c’est un barbare, mais je n’aime pas le genre "gros musclé qui se balade partout en slip en fourrure" comme Conan. J’ai fait d’Ulric un soldat aguerri, qui essaie de combattre son instinct de barbare. Dans les combats, il essaie de réfléchir au meilleur moyen de survivre il ne veut pas se laisser emporter par son côté sauvage. Il est très discipliné et peut même faire preuve de diplomatie : ça n’est pas qu’un gros lourdeau. Son côté soigneur du groupe est inspiré par un personnage d’un livre de Ravenloft, Mort d’un sombre seigneur. Au fait, il est mort ou pas ? eh bien je n’en sais rien. Si j’écris une suite à la confrérie un jour ou l’autre, il est probable qu’on le retrouvera esclave des Skavens ; mais sinon, il est probable qu’il n’ait pas survécu à la destruction de Laarsburg. C’est marrant parce que j’ai écrit son combat dans la rue pour la simple raison que je trouvais que l’histoire devenait mollassonne ; mais finalement ce combat qui était à la base gadget a eu d’énormes conséquences sur Ulric et sur l’histoire. Pas de chance !

Cornelius : bah, il n’y a pas grand chose à dire à son sujet. Je n’ai pas vraiment défini son caractère ; on peut juste dire qu’il est assez con. Pour le reste, vous verrez dans les chapitres suivants (un peu de pub ne fait pas de mal :-) ).

 

Accepterais-tu de voir quelqu’un illustrer tes récits (ou voudrais-tu le faire toi-même) ? Si oui, quelles scènes aimerais-tu voir ainsi dessinées ?

Bien sûr, j’aimerais beaucoup voir quelqu’un illustrer mes histoires ; encore que j’ai décrit les personnages de la confrérie en fonctions d’illustrations de games workshop donc ça perdrait un peu de son utilité. Mais ce serait vraiment bien, c’est certain. Par contre, étant donné que je dessine à peu près aussi bien qu’un gros pied, hors de question que ce soit moi qui le fasse. Je pense que certains passages de la confrérie se prêteraient bien aux illustrations. Le tout début, au moment où les guerriers entrent dans la taverne, par exemple, parce que toute la description de ce passage est très détaillée. Sinon, il y a bien sur le sempiternel combat final de Skaggy. Encore que l’expression de désolation des guerriers face à la destruction de Laarsburg serait bien, ça collerait bien avec l’ambiance générale de l’histoire. Mais, je n’y ai jamais trop réfléchi, et je n’ai pas chercher quelqu’un pour faire ces illustrations.Ca n’est pas une priorité. Ceci dit, si quelqu’un veut s’en occuper, je suis partant.

 

Enfin, as-tu quelque chose à ajouter ? Y a-t-il une question que tu aurais aimé que je te pose ?

Comme dirait Fabian Nicieza (dessinateur de comics américains), j’aurais bien aimé que tu me demandes qu’est ce que ça fait d’être aussi sexy. Ce sera pour la prochaine fois, j’espère. En tout cas ma réponse c’est : c’est cool. A part ces ritournelles un peu faciles, je n’ai pas grand chose à dire. Bon, comme c’est 11h30 (du matin) et que je n’ai toujours pas fait mon lit, je crois que je vais vous quitter ici ou ma mère va m’écharper. Bonne continuation !

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