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L’automne a pris ses marques autour de nous. Et comme chaque année à cette époque, les Chroniques des Jours Anciens ont pris un an de plus sans que personne ne leur aient souhaité un bon anniversaire ou longue vie. A l’échelle d’internet, 13 ans, c’est une éternité. A dire vrai, plus personne ici ne sait la date exacte de leur naissance : est-ce 1999 ou 2000 ? Quant au mois, mystère… Et quelque part, c’est une belle chose que ce site n’ait pas vraiment de date officielle de naissance. Cela montre que ce n’est pas important. Cela situe les choses à leur juste valeur.

      Pourtant, nos chères Chroniques n’ont peut-être pas besoin d’anniversaire, mais elles ont besoin qu’on prenne soin d’elles. Amis lecteurs, oui, elles sont besoin de toi. Amis auteurs, elles t’attendent les bras ouverts. Et plus que jamais elles ont besoin que lecteurs et auteurs se rencontrent. Voilà une belle transition pour présenter le nouveau Chapitre 3 du Renard au Harnais, cette œuvre étrange qui n’en est pas une et qui pourtant sous ses apparences insignifiantes, sans doute un peu espiègles et rusées, ne parle que de cette relation qui unit l’auteur au lecteur. Oui, ami lecteur, tu te retrouves en première place dans ces textes et les auteurs te proposent un jeu de Renard. Un jeu féroce et cruel. Si tu n’es pas tombé dans les pièges des précédents, voici ta nouvelle épreuve !

      Non, l’important n’est pas cet anniversaire, c’est le présent et l‘avenir. Nous ignorons s’il y aura des chances pour que nos Chroniques vivent encore 13 nouvelles années. Tellement de choses peuvent survenir. Et on sait qu’il ne leur faut pas grand-chose pour qu’elles brillent de mille feux, mais on sait également qu’aujourd’hui, le moindre grain de sable peut leur être fatal, car, voyez-vous, même ici les grains de sable sont rares. Et quand le dernier se sera envolé au vent, alors nous ne parlerons plus de cendre mais du vide… Alors si l’envie vous venait de venir apporter ne serait-ce qu’un petit grain de sable, nous vous en remercions. Mais inutile de venir non plus avec un semi-remorque, sinon nous aurions l’impression de prêcher dans le désert !

      Oui, l’avenir est plus que jamais mystérieux sur nos terres. Et le présent alors ? Il est surprenant. Alors que nous n’avions plus eu de nouveaux membres depuis quelques temps déjà, voilà qu’un mystérieux Lerrat nous propose un nouveau texte, Sweet Home. Un récit qui prend des pistes très peu explorées sur nos terres car elles nous plongent dans une réalité d’aujourd’hui que tout le monde connait mais ne veut voir : celle de nos banlieues. Ne le cherchez pas dans notre bibliothèque mais sur notre forum. Et venez discutez avec notre nouvel ami si le cœur vous en dit.

      Et le passé ? Nous avons eu ce mois dernier une jolie discussion au sujet du dernier texte de Vuld Edone, avec de son mystérieux Monsieur Renier, toujours disponible sur le forum, dans travaux encours. Si je vous disais que notre renard favori nous avait pondu une histoire de renard, alors vous vous seriez précipités pour les savourer ? Mais voilà, notre membre le plus précieux, celui par qui la lumière de notre Phœnix a continué de briller, peine à vouloir nous donner une suite. Alors venez vite le gronder pour qu’il reprenne séance tenante sa plume !

      Et bien sûr, ce qui est devenu un rituel de nos dernières mises à jour perdure. Un nouveau Rêves d'Ether (le): Chap. 20: Un espoir Caché a pris sa place pour que l’ancestrale tradition des Récit du mois ne s’évanouisse pas. Un chapitre où on retrouve le sympathique Petit Louis et les tourments d’Aurélia. Et à peine mise à disposition que la discussion a été lancée par Imperator. Une discussion où je capitule pour délivrer quelques-uns des secrets du Rêve d’Ether…

      Alors, amis lecteurs, amis auteurs, les mots s’enchaînent les uns aux autres dans cette ronde qui donne la joie aux Chroniqueurs de ces lieux ; les pages se tournent encore et toujours. Jusqu’à ce que peut-être un jour l’épaisse couverture du grimoire que nous tenons tous dans nos mains ne se referment à jamais.

En attendant,

Chroniqueurs, à vos plumes !

 

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