Pourquoi ecrivez-vous?

Juste pour savoir si mon esprit de déduction est bon : j'ai découvert qu'un Apologue était une sorte d'essai sous forme narrative, dont un des exemples les plus connus sont les Fables de la Fontaine. Le renard de ton avatar, illustration du Corbeau et du Renard ?

1- Qu'est-ce qui vous a poussé un jour à écrire?

Baheu... Pour tout dire, j'ai oublié. Sans doute le plaisir d'élaborer une hsitoire de façon permanente; avant, je créais, mais uniquement au stade de l'imagination, ça ne sortait jamais de manière physique et je passais un certain temps à faire évoluer des mondes en esprit d'une manière des plus improductives.

2- Quelles étaient vos motivations au départ?

Créer un nivers, un héros, une aventure à nulle autre égale, et pis, rêve d'enfant, publier :'D


3- Quelles sont vos motivations aujourd'hui?

Les mêmes XD J'ai jamais réussi à finir un écrit depuis que j'ai commencé, à part des textes trés courts. Donc j'essaie toujours.

4- Comment voyez vous vos récits futurs?

D'une manière trés, trés simple. Avec juste un peu de chance, que dis-je la chance n'y fait rien, avec beaucoup de travail et une conviction de faire que je n'ai encore jamais trouvé :

Achevés.

5- Y a t-il une idée de récit que vous auriez toujours voulu écrire et que, pour l'instant, vous avez toujours echoué à faire?

Une saga. De fantasy. Une aventure épique. Je n'ai qu'un suel réel objectif, écrire de la fantasy, quoi que j'écrive si c'est pas de la fantasy ça ne remplira pas cet objectif que je veux accomplir au moins une fois. Ca n'est pas original, mais c'est pas pour les autres que je veux ça, c'est pour moi, pour arriver à enfin accomplir cet objectif.

Accessoirement, je voudrais écrire quelque chose sur les Mercenaires, dont le concept me fascine.

Une réécriture de l'aventure des Dix Mille ?

Ho, et une autre réécriture (décidément) : La Chute de Lucifer, avec guerre des anges et tout le tintouin.

Bien entendu je n'arriverais pas à accomplir ne serait-ce que la moitié de ces objectifs, mais faut essayer.

1- Qu'est-ce qui vous a poussé un jour à écrire?

C'était il y a une vingtaine d'années. A l'époque j'étais accro à la collection "livre dont vous êtes le héros". Le background d'une des séries m'avait particulièrement marqué et j'ai voulu construire des récits se déroulant dans ce cadre-là.

2- Quelles étaient vos motivations au départ?

Je ne lisais pas de bouquins à l'époque. Etrangement je trouvais dans l'écriture mon seul moyen d'évasion. J'écrivais de manière tellement spontanée que l'évasion était immédiate. Un peu comme aujourd'hui quand je me plonge dans un roman.

3- Quelles sont vos motivations aujourd'hui?

en fait le besoin d'écrire est moins fort aujourd'hui. j'éprouve du plaisir à lire et je crois que j'aimerais qu'on éprouve du plaisir à me lire. donc c'est surtout le partage qui m'intéresse. Un autre aspect qui m'interpelle c'est la toute puissance que nous donne l'écriture. Sous notre plume naissent des univers régis par notre seule volonté, des personnages naissent et meurent et entre les deux sont heureux et ou malheureux selon notre bon vouloir. En un mot nous sommes des dieux!

4- Comment voyez vous vos récits futurs?

j'observe beaucoup le monde réel. A défaut de pouvoir régler tous les problèmes que nous connaissons je crois que je vais transférer tout ça dans des récits imaginaires où j'aurais tout le loisir d'apporter symboliquement des solutions à toutes ces problèmatiques. Et tout ça sans même bouger de mon fauteuil!


5- Y a t-il une idée de récit que vous auriez toujours voulu écrire et que, pour l'instant, vous avez toujours echoué à faire

il y a une énorme saga qui me trotte dans la tête depuis des années. les lignes directrices sont là ainsi que les principaux protagonistes. en fait d'année en année tout ça s'enrichit et se complexifie mais j'hésite à franchir le pas. Je pense que je préfère affuter ma maîtrise de la langue et de l'écriture avant de me lancer dans un tel chantier. Je garde tout ça pour mes vieux jours

6- Utilisez-vous le clavier ou la plume ?

l'écriture éléctronique a pris une telle place dans ma vie quotidienne que j'ai mal au poignet lorsque j'écris au stylo plus de 10 lignes.

ah le rêve serait d'atteindre un niveau de talent tel que je puisse être l'auteur d'oeuvres à deux niveaux de lecture. Un premier purement divertissant où le lecteur se laisse simplement emporter par le rythme de l'aventure. Et un second en filligranes où seraient distillées mes cogitations philosphico-spirituelles (pour ceux que ça intéresserait...)

y a du boulot! aussi bien pour apprendre à pondre des récits prenants que pour apprendre à transmettre des messages de manière subtile mais suffisemment claire que pour provoquer la réfléxion et le débat.

Le monde est cruel.
Sophocle m’ennuie. Profondément. Il faut croire que le malheur des autres n’est pas toujours réjouissant. Et savoir que cette pauvre Jocaste appelait feu Laïos son époux au moment de rendre son dernier soupir ne m’exalte pas plus que ça. (v. 1245)
Résultat, j’alimente les Chroniques.

1- Qu’est ce qui m’a poussé un jour à écrire ?
* Effort zélé d’introspection * Je sens que je ne vais pas vraiment répondre à la question, m’enfin… Je vais raconter ma vie : pour changer.

Je me souviens qu’en CP j’étais une torche en rédaction et que mes p’tits camarades disaient que plus tard je serais « écrivainte ». Les enfants sont merveilleux. Ensuite, j’ai eu ma période « poèmes » à quatre sous. Moi, bouffie d’orgueil l’année où tous les CE2 apprirent ma ridicule petite poésie sur Noël :
« Manteau blanc, chapeau doré : c’est Noël qui arrive / Ses couleurs chantantes revivent sous le ciel noir illuminé ! / C’est Noël qui arrive les bras chargés de cadeaux / C’est Noël qui arrive sifflant dans un pipeau… » (etc.)
En exclusivité, vous noterez bien. Et non : je ne le publierai pas dans les « travaux d’écriture ». J’ai mon honneur. Malgré tout : si Feurnard et l’ami Monthy veulent s’amuser sur la métrique. Libre à eux…

Ensuite, un grand flou artistique jusqu’en 4e. J’avais une passion morbide pour la guerre ( toujours, d’ailleurs ) : je m’étais mis en tête d’écrire une nouvelle là dessus. Ça m’a bien tenu un an, ce truc là. Puis, plus rien jusqu’à « mon ami, Harry ». Du moins, rien de concret. Je m’exprimais par le dessin à l’époque. La gouache, le crayon noir, c’est cool. Finalement, le grand déclic, ça a été mon ordinateur portable à la fin de mon année de 1ère. Plus le temps de dessiner, un goût fort prononcé pour les Lettres. L’extase de la page blanche. Microsoft Word, l’invention du siècle. Ce qui nous amène à la suite…

2-Mes motivations
Ouais, bha c’est pas super glorieux. Je risque de me coller une chouette étiquette.
Alors. « Mon ami, Harry » parce que toute lectrice de Flaubert, de Baudelaire et de Gide que je puisse être, J.K.Rowling tient une grande place dans ma vie. J’ai commencé à écrire des textes sur ffnet en 1ère.
La première motivation, donc : lassée de ne pas trouver sur ffnet ce que je voulais lire, j’ai décidé de l’écrire. Marre des intrigues foireuses et des gens qui ne savent pas mettre un verbe au passé simple. « Soudain, il ouvra la porte ! » Gosh !
En plus, je devais passer en prépa environ un an plus tard. Ecrire me permettait clairement de décompresser. Je me moquais profondément d’entreprendre quelque chose d’envergure. De toute façon, écrire de la fanfic reste une solution de facilité. La paresse de créer le monde dans lequel évoluent les personnages. Ecrire de la fanfic revient à écrire sur pilotis. En un mot ( comme en deux) : ça flotte.

Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que ça a vite fait d’être frustrant. Parce qu’au bout d’un moment, le lectorat tire vers le bas. Point de mépris là dedans. Mais le fait est que plus on cherche à étayer une intrigue, moins on est compris. Bref. Une tragédie.
Pour l’heure, je suis en quelque sorte en période de rééducation. « Laïciser » mes idées pour les arracher à l’univers HP. Certains m’enquiquinent suffisamment avec ça.

3-Comment voyez-vous vos récits futurs ?
Ha. Ha. Bonne blague.
Bha, déjà je vais essayer d’y voir quelque chose. Ensuite, on en reparlera.

4-Projets à moyen-long terme :
- Finir « Cendre » déjà. Histoire d’avoir droit à mon restaurant japonais. Histoire que Monthy arrête de me harceler. Histoire de publier quelque chose.

- Finir mes fics. Non, parce que c’est bien beau de dire qu’on arrête, mais le lectorat existe. Et il est assez peu patient. Et puis, quitte à fouiller une intrigue, autant la mener au bout. On n’est pas responsable de son lecteur pour rien ( dixit de le renard du Petit Prince ? Ou pas.)

- Enfin : écrire. Tout court.
Parce que c’est encore le meilleur antidépresseur qui existe au monde. Et parce que « créer », ça a quelque chose de grandiose. Parce que j’ai beau gribouiller de temps en temps, je n’éprouve jamais le même plaisir que lorsque j’écris.

Un peu lamentable tout ça.
Mais sans rancune, hein : je m’ennuyais.

Arf, a mon grand désarroi, je constate n'avoir jamais pris le temps de répondre ici. Je m'y attache sur l'heure.

1- Qu’est ce qui m’a poussé un jour à écrire ?
Rien de spécial, je pense. J'avais envie, j'avais besoin de léguer quelque chose au monde, un bout de rêve, un bout de moi...un conseil, une utopie, je ne sais pas. Enfin, un monde où des hommes et femmes pourraient vivre leurs rêves, qu'ils pourraient étoffer à leur tour.
Bref, par plaisir et par besoin. J'aime écrire, j'aime qu'on analyse ce que j'écris, qu'on confronte des points de vue, qu'on fasse vivre tout cela.

2-Mes motivations
Cf. point 1 d'une part.
D'autre part...l'amour de la plume.
Je voue également une profonde haine à cet apprentie-écrivain moine copiste de pacotille qu'est JK Rowling (en plus elle m'a piqué mes initiales !!), et espère secrètement lui pourrir sa réputation en public si je deviens un jour célèbre.
Si possible, j'espère que mes travaux en inspireront d'autres. J'étudie beaucoup et produit peu. La synthèse de ceci, c'est Irkice. Pourquoi je le fais ? Parce qu'un jour, peut-être, cela servira.
Sinon, que chacun puisse, d'une manière ou d'une autre, trouver quelque chose qui lui plaît dans ce que je produis. Pas tout, mais si vous trouver une chose qui vous est propre, et qui vous fait plaisir dans mes lignes, alors cela me convient.

3-Comment voyez-vous vos récits futurs ?
Longs, complexes, mais avec toujours autant de passion dans la production. Je les vois intriqués, imbriqués, avec plusieurs messages et niveaux de lectures. Je suis utopique hein ? Tant mieux La plume n'a de limites que celles qu'on lui donne. Certains seront sombres, d'autres joyeux, certains politiques, d'autres guerriers. Je veux tout tester, tout faire !

4-Projets à moyen-long terme :
En finir avec la réécriture de ce que j'ai déjà fait, pour m'y mettre pour de bon !

Xlatoc, j'aime ta rage contre JKR.
Note que je n'ai absolument pas dit que c'était une grande "plume". Mais rendons à César ce qui est à César, elle a eu le mérite d'écrire un bouquin qui parle à toute une génération de gosses ( et le terme est générique et peut englober bcp de monde). Après ça, chacun en fait ce qu'il veut. Toi le premier.

1- Qu'est-ce qui vous a poussé un jour à écrire ?
Cela remonte si loin... une façon naturelle de m'exprimer, pour qui j'étais alors. Je convoque Calvino (citation de mémoire, sans doute inexacte) : Comme quelqu'un qui dit "Bah" ou "Bof", et qui aurait très bien pu ne pas le dire.

2- Quelles étaient vos motivations au départ ?
Plaçons-nous aux premiers souvenirs précis. Ado, très solitaire, ou même enfant sauvage, comme Mowgli mais élevé par des livres... faisais-je une véritable distinction entre personnes et personnages ? Je ne crois pas. Bon, tout cela ne nous éclaire pas. Je ne comprends rien à cette personne que j'étais. Elle m'a transmis son envie d'écrire, c'est déjà beaucoup.

3- Quelles sont vos motivations aujourd'hui ?
Communiquer. Jouer. Apprendre. Partager. Que ne trouve-t-on pas dans l'écriture ! Un besoin, mais pas seulement. Je ne sais pas au juste. Un trésor, une quête.

4- Comment voyez-vous vos récits futurs ?
Meilleurs, si possible !

5- Y a t-il une idée de récit que vous auriez toujours voulu écrire et que, pour l'instant, vous avez toujours échoué à faire ?
Non. En revanche, il est bien des formes qui m'échappent.