Mais où sont-ils tous passés ? Les Chroniques ont beau être une bibliothèque, pour justifier un tel silence il faut avoir fermé les portes et éteint les lumières... ah mais oui c'est les vacances.

      À tous ceux qui restent il n'y a pas grand-chose à faire, le récit du mois s'étire sur tout l'été et les discussions sont au point mort. Pas de nouveaux textes, pas de projets, ce n'est pas le bon mois pour demander à qui que ce soit un effort. Dommage, dommage, puisqu'il reste toujours des personnes désireuses de lire et découvrir de nouvelles créations, que feront-ils durant cette fin de vacances plutôt vide ? Sans cette confiance inébranlable en nos chroniqueurs, il faudrait passer son chemin.

      Car, et c'est la grande question, que se passera-t-il en septembre ? Aura-t-on enfin des textes, aura-t-on enfin des projets, n'importe quoi à se mettre sous la dent ? Et si c'est le cas, plus important, les gens seront-ils au rendez-vous pour commenter et participer ? Il y a tellement de noms gravés et tellement d'histoires dans les archives qu'à côté la moindre étincelle semble bien terne. C'est le paradoxe de la nouveauté qui surpasse les anciens et ne peut pas se comparer à eux.

      Pas de nouveaux textes donc depuis juin.

      Une occasion de plus pour les retardataires - s'il y en a - de rattraper le temps perdu, d'aller voir ce qui a déjà été fait, de nous suggérer quelques petits textes peut-être ? Les Chroniques sont là, elles, fidèles au poste et prêtes à servir. Et elles vous appartiennent encore. Tout ce qui a été dit est encore vrai, les chroniqueurs gardent et garderont le poste pour eux ou pour d'autres, nous trouverons bien quoi faire de ce site encore neuf et de tout ce passé qui nous incombe. Aussi et si ce n'est à présent, au moins par la suite...

Chroniqueurs, à vos plumes !